Astria N. Mallifor

Astria N. Mallifor

Post by Astria, AD - August 17, 2007 at 10:38 AM

Astria N. Mallifor
L'enfant venant de loin.

Lentement elle ouvrit les yeux sur sa fenêtres, ses jolies rideaux flottaient dans la brise du matin tels des plumes d’oie. Un doux rayon de soleil, timide, perçait les carreaux pour faire un joli dessin sur son mur. Une autre journée de sa petite vie commençait. Elle se demandait ce qu’elle ferait aujourd’hui, est-ce que sa maman l’amènerait chez le tailleur pour une nouvelle robe? Ou bien est-ce que son papa lui apprendrait comment marcher avec grâce, un livre sur la tête? Astria sourit, peu-importe, elle était certaines de bien s’amuser! Elle se leva lentement et marcha vers le bol d’eau pour se laver le visage. C’était importent de se laver le visage, oh oui! Elle ignorait pourquoi mais elle le faisait car ses parents lui avait montrés, parce qu’elle était grande! Ensuite, elle marcha vers sa grande, tellement grande garde-robe! Il y avait plusieurs chaussures pour une utilités propre à chacune. Plusieurs jolies robes, de soie, de dentelle, de lin. Rouge, rose, mauve, verte, oh, c’était si dure de choisir! Mais elle le faisait seule, parce qu’elle était grande. Elle posa son dévolue sur la mauve, elle adore le mauve! Puis, quand elle fut habillée, elle marcha vers sa petite vanité pour se brosser les cheveux. Dans sa petite robe à dentelle elle était si jolie. C’est vrai, elle avait quelque chose d’envoûtant, comme ses parents. Ses longs cheveux de couleur rouge vin ondulait comme des vagues de sang et ses yeux marron presque noir semblait deux puis sans fond, comme l’abîme. Elle était prête pour affronter sa nouvelle journée! Et une chose lui vain en tête subitement, le petit déjeuner!

Dans sa belle maison, elle gambadait, allant ci et là en trottinant vers la cuisine. Il y avait quelques serviteurs, qui à son passage disaient en s’inclinant « Bon matin maîtresse Astria» et elle leur répondait gentiment « Bon matin serviteur! » Car c’étais l’étique, le commun de toute maison bien placer dans le grand royaume de Zanther. Elle entra dans la cuisine ou Miriana, la nounou s’activait avec rapidité, confectionnant un bon déjeuner. Quel chance, ce matin là c’était du pain grillé avec des œufs! Astria adorait le pain grillé de Miriana! Il était toujours léger, doux et sucrer.

-**Vos parents sont partis tôt ce matin, maîtresse Astria. **
-**Oh… Encore? **
-Vous savez que vos parents sont bien occuper. Sur tout avec Nguelungi qui menace toujours d’attaqué notre ville. Ne soyez pas inquiète.

C’était là le quotidien de la petite, bien que parfois sa mère sois là, ou son père mais jamais en même temps, hélas. Elle savait bien, c’est toujours comme ça la diplomatie à Zanther. Les rapports entre villes sont toujours tendu, car les généraux sont avares de richesse et de pouvoir. Elle soupira de lassitude, elle allait donc devoir s’amusé toute seule apparemment. C’est pas si grave, elle jouait souvent avec ses poupées, de toute façon!

La journée passa, le soir était venu. La petite et sa nounou sortirent sur le balcon pour admirer le coucher le soleil. C’était si beau! La forêt qui les entouraient aussi d’ailleurs même si sa nounou en avait peur comme la peste. Elle racontait que la nuit, toute sorte de chose s’y passait. Des choses effrayantes! Il ne fallait jamais y aller, jamais, même le jour. Puis pour détendre l’atmosphère, la nounou lui racontait des histoires sur les parents de la petite. C’étais toujours intéressent de savoir ce que ses parents faisaient jadis. Puis vain l’heure du dodo, peut-être quelque chose qu’elle aurait préféré ne pas avoir ce jour là. Sa nounou la borda, lui souhaita bonne nuit mais c’était ironique, surtout quand on sais que c’était faut, dans l’avenir. Une heure passa, 2 puis 3. Tout était calme dans la maison, jusqu’à ce que les parents d’Astria ne débarque en toute hâte, en courant vers la chambre de leur fille. Les serviteurs se réveillèrent en sursaut et bientôt l’hystérie s’en suivit. Le père resta au prêt des serviteurs pendant que la mère allait habiller sa fille chaudement. Visiblement, quelque chose d’anormal se passait et Astria ne comprenait absolument rien.

-Maman? Ques…
-Plus tard mon ange, nous devons nous dépêcher! **
-
Mais pourq….**

Sans laisser le temps de réplique, les parents était déjà dehors, montant leur monture. Van, avant je partire au galop avec sa femme et sa fille lança d’une voix autoritaire à ses esclaves.

-Vous êtes affranchi! Partez, sauvez vos vies! Allez vous cacher! Ils n’épargnerons personne!

Puis il fit ruer son cheval et ils partirent au grand galop à travers la ville. La petite était affoler, elle pleurait et ne comprenait rien à rien. Et durant tout le voyage, ni de sa mère, ni de son père n’osèrent parler. Pourquoi tant de secret? Pourquoi ne rien dire? Elle regardait sa maison s’éloigné peu à peu, sa ville, puis vu devant elle un port s’approcher au fur et à mesure que les chevaux avançais dans leurs courses effrénés. Un grand bateau se tenait là, au quai, prêt à partire et attendait visiblement l’ordre final. La mère sauta en bas du cheval, sa fille dans ses bras et accouru vers le bateau. Elle se retourna lentement pour voir son époux, rester a terre.

La petite se mise à pleurer, le capitaine ordonna que l’encre lever. Lentement le navire quitta le port, pour le large.

-Papaaaaaaaaaaaaa!!!!

Astria, de ses yeux embrouiller le voyait lui aussi s’éloigner, comme sa maison, comme sa ville, comme sa vie. Elle avait tout perdu à cause d’une bavure diplomatique. C’était comme ça, à Zanther…

Le jour fini par se lever, Astria se réveilla. Elle espérais que ce sois qu’un cauchemar, elle ouvrit les yeux sur le plafond de bois de sa petite cabine, elle soupira. Sa maman dormait à coter d’elle, c’était la chose la plus réconfortante qui existait, ici, sur cet immense bateau navigant vers on ne sais où. Elle repensa à son père rester là-bas. Qu’avait-il donc dit ou fait pour qu’il craigne à se point pour leurs vie? Elle regarda autour puis sa douce maman qui dormais si profondément. Elle semblait exténuer comme si elle aurait veiller durant des jours sa fille. Le temps parut long pour la petite. Les marins avait réussi à la divertire en chantant le soir et en lui racontant des histoires de vieux loups de mer le jour. Le capitaine prenait particulièrement soin d’Astria, pas vraiment le chois, sa mère était toujours au pont, tête par dessus la rambarde de corde.

-Ta mère n’al pas l’pied marin, t’pite héhé. Mais c’est une sacré belle femme, ça compense!

Astria ne disait rien, les marins sont ce qu’ils sont. Elle préférait rester assise dans les escaliers qui conduisait au pont principale. C’était beau la mer, c’était grand, si grand! Il y avait parfois des dauphins qui venaient accompagner le navire, c’était merveilleux et Astria souriait et riait. C’était quelque chose qui lui faisait oublier son malheur. Heureusement car le voyage était encore long…

Après plusieurs jours, le continent de Systeria apparu, au bout de la mer. C’était des plus enrichissant, une nouvelle culture, de nouveau gens, c’était étrange et amusant tout à la fois.

-Nous serons bien ici, Astria. Systeria est tranquille, nous réussirons, tu verras. Van sera fière de nous.

Si seulement cela aurait put être vrai… Astria l’espérait de tout cœur mais le destin en fit autrement. La maigre bource de la mère c’était épuisé vite, n’ayant pus en apporter plus. Les temps fut rudes pour elles, la nourriture de plus en plus réduite jusqu’au jour ou Ediastia tomba malade, faible et sans le sous pour payer un médicament. Elle aurait tant voulu faire en sorte que sa fille ne souffre pas. Son dernier souhait aurait été qu’elle sois heureuse et aimer. La mère fini par mourir, terrasser par une maladie inconnue de son pays d’origine et de sous-alimentation. Astria se retrouva seule, complètement seule…Puis un an passa, elle avait maintenant 7 ans. Son deuil de ses parents et de son ancienne vie avait été fait courageusement. Elle connaissait Systeria maintenant, c’était sa maison. Le fait était que la petite avait été promener de famille en famille et avait fini par connaître sa nouvelle ville. Elle avait connu une famille de pêcheur mais ils avaient tout perdu as cause des pirates qui pillèrent tout. Elle connu une famille dont le père était pourpre mais quand il décéda suite à une manipulation dangereuse, elle fut recueillit par une famille de voleur mais ceci ne dura pas longtemps non-plus. L’Ordre avait réussi à démanteler la famille et Astria fut finalement confiée aux Vestales, qui en prirent soin d’elle et de son l’éducation. Elle apprise beaucoup de chose avec les Vestales. C’est avec elles que la petite apprise à aimer les animaux, c’est elles qui lui donnèrent la piqûre. Astria ne savait pas si un jour quelqu’un voudrait l’adopter mais une chose était sur, quand elle serait grande elle aimerait pouvoir apprivoiser les animaux, pour ne jamais plus être toute seule.