Thaynia Nelith
Post by Thaynia Nelith, AdC - January 13, 2008 at 4:36 AM
Râre les journées qu'elle pouvait compter comme exeptionnelles. Le train-train de tous les jours devenait non pas qu'uniquement ennuyant, mais elle ne ressentait pas le besoin de vouloir défendre sa propre vie à chaques jours. Elle ressentait le besoin d'avoir des moments de solitudes, de fêtes, de clavardage, et non pas que de guerre. Sa ville d'origine, qu'elle préfère maintenant en oublier le nom vivait de richesse et de guerre. Lorsque ce n'était pas les hommes qui se battaient entre eux, ils tentaient de trouver le moyen de combattre, en allant à la recherche d'orques égarés, ou bien n'importe qui pouvant être contre leurs propres principes.
Sa propre famille était comme tel, une famille de 6 enfants, dont une seule et unique fille, Thaynia. Quel calvaire vivait elle, lorsque ses frères décidaient à bas âge de lutter avec elle. C'est ainsi qu'elle put apprendre la défense à main nue, après les divers combats, tous entâmés par ses frères. La mère de Thaynia, réputée pour ses nombreuses créations de couture montra les principes du métier à coudre. Un peu égoiste, elle ne voulait pas que sa fille la surpasse dans le même art, elle qui recherchait à toujours avoir le plus grand nombre de clients possible. Tandisque son père, un homme avec peu de consience, enseigna ses principes à ses fils. Pour sa fille, les deux n'étaient que rarement en contact, l'homme ne voulant pas perdre de temps avec une jeune femme avec aucune envie de combat.
Un jour, le seul pouvant se distinguer des autres, fut un point tournant de la vie de la jeune femme. Sans en jamais connaître son nom, une femme arriva dans la ville. Thaynia était à la taverne, lorsqu'elle vu pour la première fois cette femme. Elle s'approcha d'elle, après être entrée. Ce jour là, Thaynia paraissait lassée de tout, c'est pourquoi la dame mystérieure s'était approchée d'elle. La discution se porta en premier lieu sur Systéria, en n'oubliant peu de détails sur cette île. Quelques heures passèrent, la dame devenait faible peu à peu...elle décida de se rendre à sa chambre, à l'auberge. Ce clavardage entre l'adolescente et la dame avait fait réfléchir Thaynia. Elle choisi après mûre réflexion, de faire quelques sacs, en apportant le moins possible, pour finalement débuter le chemin pour se rendre sur l'île de Systéria. Peut-être trouverait elle le calme qu'elle a toujours recherché, tout en étant protégée d'avantage sur l'île, et pour finalement...pouvoir apprendre d'avantage sur la couture, ce que sa mère lui interdisait pratiquement. C'est ainsi qu'elle quitta la famille Nelith, ainsi que la ville.
Malgré son départ, elle n'était pas la seule belle femme dans cette ville, mais certains remarqua son départ. Thaynia était rémarquée, ayant hérité de la beauté de sa mère. Les hommes peu souscient mis à part de leur or et leur armes, ne remarquaient que cela chez elle. Lorsqu'elle finit par développer quelques créations, elle s'amusait à vouloir être quelque peu provoquante, de par ses habits. Elle n'était généralement, pas vêtue complètement de la tête au pieds, elle tentait et tente toujours d'être originale, en dévoilant le plus de peau possible, sans toutefois arriver au point de l'obsession. Elle est une belle jeune femme, pas trop grande, d'à peine 1 m 65. De longs cheveux bruns descendent lissement un peu plus bas de la nuque, avec quelques frisettes vers les pointes. Les yeux d'un bleu saphir semblent tour à tour moqueur ou un peu plus froid, les situations en décident. Son visage est accentuée de petites pomettes rouges, pratiquement en tout temps. Une voix douce accompagne le tout. Parmis tous ses habits, elle portait une croix, signifiant son appréciation de Shaelim. Elle ne parlait jamais de cette déesse, priait rârement, ceci dit, elle la respectait grandement. Avant de s'endormir, sans jamais manquer une nuit à partir de son premier jour d'adolescence, elle la remerciait, uniquement pour avoir fait d'elle ce qu'elle est.
Elle n'était maintenant qu'à quelques jours de bateau de Systéria, accompagnée de cette même femme, elle qui conduisait le bateau.