Retour vers le passé
Post by Camthalion Celebrindal, Adc - June 5, 2008 at 11:52 PM
Retour vers le passé
Systéria, terre natale. Terre de mon père et de mes ancêtres. Terre ancestrale de ma longue ligner d’autre fois. À présent presque éteinte. Pourquoi l’avoir quitter si précipitamment ? Il n’aurait jamais du se passer ainsi, mais il fut le cas. Voilà désormais que mes héritages presque perdus, mes biens partis en brume. Tout doit être recommencer, rebâtir le nom de ma famille. Comme il le fut autre fois illustre dans les rues de mon quartier.
Mon arrière grand-père fut de l’Ordre, mon grand-père fut de l’Armée Mercenaire de ses temps glorieux. Mon père fut garde et mérite pour de haut dignitaire de la noblesse. Et que suis-je ici ? Un fuyard parmi tant d’autres n’ayant pas désirer à la base suivre les traces de mes aînées. Mais le temps passe, et leurs ombres me rattrapent. Moi qui fut que simple chasseur et traqueur. Moi qui ne fut rien d’autre qu’une brève mémoire des exploits de mon passé oublier. La passion ne puis que revenir, l’hésitant que partir. Sans cesse me suis-je chercher au paravent sans savoir pourtant mes réelles talents. Mais ma décision fut finalement choisis, mon retour en Systéria sera peu remarquer mais suffisamment dans un temps futur.
Ces ainsi que je traversa la première porte de la ville. La tête bourrer d’idées ou encore de souvenir. Le cœur battant, le pas certains je marchais enfin dans les rues pavés de ma ville natale. La douce odeur de la boulangerie ainsi que des marchés à ciel ouvert me manquait. L’ambiance s’éprenant des rues de la ville, des gens bougeant tel une fourmilière jusqu’au coucher du soleil. Là où l’on ne peut se sentir seul, là où l’on peut croire que tout est possible, que tout peu arriver. M’y voilà j’y suis finalement.
Vêtu de mes simples habits, de mon ceinturon en cuire noircis avec le simple temps, détenant mes seuls réelle bien, ma maigre somme d’or ainsi que mon fourreau garnis de ma fidèle épée. Je pu admirer pour une première fois les haut cloché de la Cathédrale ou encore les hautes tour du palais de l’empire ou encore exalter mon ouïe en passant devant l’arène bruyante, crépitant de cris des hommes de cette ville. Première fois depuis un moment qui me paru si long.
Ma patrie me revoilà !