Mornyadra Dissettlo
Post by Acturus Polymaro, Mort - December 26, 2008 at 1:47 AM
Je sais que pour un deuxième personnage le BG n'est pas obligatoire (merci à Bolero pour l'info), mais j'aime bien m'impreigner d'une ambiance pour mieux jouer le perso.
Je me suis inspiré un peu de ma situation actuelle à l'université pour écrire cette histoire. (mais attention j'ai dis inspiré... c'est pas mal vie tel quelle qui est là. Il faut apporter des nuances Pourquoi un deuxième personnage? Pas que je me lasse de Galius, mais j'ai envie de jouer quelque chose de Evil et de différent c'est tout. Ne vous inquiété pas, pour ceux qui aime Galius il sera de retour et pour ceux qui ne l'aime pas... il sera de retour aussi
Enfin voilà son histoire. Je tiens à m'excuser pour les fautes d'orthographe, bien que je suis à l'université, j'ai encore beaucoup de difficulté avec mon français écrit (Faut croire qu'ils laissent entrer n'importe qui )
Histoire de Mornyadra Dissettlo
Mornyadra n’avait pas à se plaindre de son environnement lorsqu’elle était petite. Son parternel avait amplement les moyens de subvenir aux besoins de la famille, car il travaillait pour l’administration du trésor de l’empire de Brégunia. Une enfance parfaite aux yeux de certains. Elle fut élevée selon les principes, le protocole et les bonnes manières de la noblesses sans pour autant l’être. Enfin, son père, en travaillant à un poste aussi important, espérait l’obtenir pour le bénéfice de sa fille.
C’est justement pour cela que son paternel, l’initia à la lecture, l’écriture et les chiffres durant les premières années de son enfance. Il voulait lui donner tout le potentiel possible pour prendre place, elle aussi, dans l’administration de l’État. Bien que l’on ne pouvait pas le soupçonner, Mornyadra développait, insidieusement, une psychologie d’ermite. En effet, elle passait la plupart de son temps dans la bibliothèque royale. Elle pouvait le faire grâce à l’influence de son père, car y voir une enfant dans celle-ci était tout à fait extraordinaire et certains érudits s’en offusquaient ou encore l’a sous estimait! Au travers des murmures blessants, sexistes et insultants, elle continuait sa la lecture dans une concentration inébranlable. Au début de son érudition, elle consultait les ouvrages généraux comme n’importe quel néophyte. De plus en plus ermite, mais valorisé par son père qui y voyait un acharnement intellectuel grandiose, Mornyadra s’éclipsait dans un coin peu garnie en livre et parchemin de la bibiothèque. En fait, s’était la section dédié à la médecine, et plus le rayon y était vide, plus le sujet s’approchait dangereusement de l’anatomie animale et humaine… Enfin, plus rien… le rayon était vide. La nouvelle chercheuse, maintenant âgée de 24 ans était insatisfaite de se seul savoir. Elle voulait pousser, passer à un niveau supérieur de l’anatomie des corps et c’était celle des âmes.
Elle savait maintenant que la bibliothèque royale, d’ailleurs très pudique à ce sujet, n’avait plus aucune ressource à lui fournir. Elle entrepris pendant un court moment l’étude des ouvrages thaarsiens à ce sujet pour essayer de découvrir l’essence de l’âme. Bien entendu, cette lecture lui fut très frustrante, car elle ne donnait pas réponse scientifique, basé sur la raison, la logique et l’expérience. Il fit donc un pied de nez à la religion thaarsienne en regardant les ouvrages brûler dans le foyer familial à l’insu de ses parents très croyants avec un sourire nargueur. Pendant ce temps, elle réfléchissait à d’autre piste d’étude…
\tSa famille commençait à s’inquiéter de l’attitude de leur jeune fille et plus particulièrement son père. Il se permit de posé des questions à celle-ci en constatant la nature des derniers livres et des parchemins empruntés à la bibliothèque. Étant très mécontant, déçu et inquièt à la fois, il se permit d’entreprendre une discussion avec sa fille maintenant très instruite. Chacun avait ses arguments, le combat verbal était très fort. Cependant, la menace de se faire coupé le financement pesait très lourd dans la balance et Mornyadra ne pouvait se permettre de perdre se financement pour ses recherches. Elle donna donc raison à son père et lui promis de se concentré sur des matières plus académique… elle mentait bien quand même!
\tElle continuait ses recherches recherche dans le secret. Bien entendu, sous le couvert de la tromperie, elle continuait à utilisé le financement de son père, destiné à son admission à l’Académie royale, pour y acheter des livres illégaux et très dispendieux sur le marcher noir. Très bientôt, Mornyadra passe de la partie théorie à la session pratique. Dans le secret le plus totale, car ces actes étaient passible d’hérésie au yeux des thaarsiens, elle débuta ses dissections sur des cadavres d’animaux mort… puis vivant.
\tSon père se doutait bientôt de quelques choses. Cela commençait par les montants inhabituellement élevé qu’il devait parfois lui remettre pour continuer ses études jusqu’à ce que l’Académie lui fasse part du « peu d’enthousiame et de performance » de son enfant durant ses études. C’est pourquoi, pour en avoir le cœur net, il engagea un espion pour suivre ses moindres gestes. Ce jour là, avec l’argent octroyer par son père, Mornyadra allait s’acheter un bouquin d’un nécromancien qui prétendait avoir trouvé une nouvelle piste d’étude pour comprendre l’âme humaine. Étant rendu presque qu’une habitude, Mornyadra était peu sur ses gardes. Elle s’est fait prendre…
\tDe retour chez elle, son père l’attendait fermement… Le livre qu’elle venait tout juste de s’acheter en revenant des classes fut l’ultime preuve… Après une très longue et dure dispute son paternel pris une décision qui lui paraissait juge mais bien que difficile. Il ne pouvait pas laissé libre cours au événement sans qu’elle en subisse les conséquences. Plutôt que de dénoncer sa fille unique et de la voir brûlé sur le buché, il décida plutôt de l’exilé de la famille. Coupé de tous les vivres, sans emploi et refusé dans l’administration de l’État, Mornyadra devait trouver un endroit ou vivre maintenant. Le marchant, qui lui vendait régulièrement les livres, lui suggérait Systéria. Son plan, subvenir à ses besoins et ensuite, continuer ses recherches. Mais la tâche allait être très ardue sur un autre continent sans contacte et ne bénéficiant plus d’aide financière…