Le debut d'une déchéance....
Post by Zelphander Dyn'Ryn, Ind - February 4, 2009 at 7:11 AM
Chapitre 1 : Une fin pour un commencement
Une explosion me tire de mon sommeil. Redressant lentement la tète, je me sens confus alors qu’une seconde détonation Vien bourdonnée a mes oreilles. Je fini par me redresser complètement sur mon lit pour avoir une meilleur vue sur le jardin du domaine. Il est important de préciser, je crois, que mes parents étaient de riches marchands qui avait atteint le statut de noble suite a de rude épreuves. Je crois que j’avais douze ans, lorsque tout ceci est arrivé.
Donc comme je disais, je regardais par la vitre de ma chambre, qui offrait une vue panoramique sur l’énorme domaine de ma famille. Des jardins remplis de fleurs colorés, des chemins de marbres blancs et des chênes énormes. Tout ceci était en feu. En feu?! Une seconde… rapidement je me frotte le visage et je prends connaissance de l’événement. Une trentaine d’homme armée d’épée et de potion explosive prennent position dans le jardin, l’impressionnant jardin de mes parents!? Qui sont-ils? Pourquoi sont-ils entrain de saccager ce domaine qui impose tant le respect auprès des habitants du village? Je dois encore une fois préciser que mes parents avaient atteint le statut de noble grâce a des efforts incroyables, mais je n’étais pas au courant de certaine de leur manigance qui datent d’avant ma naissance. Des ventes illégales du commerce noir. Ils avaient su se faire des ennemis puissants, des ennemis qui le paieraient un jour.
Alors les jardins sont en flammes. Ou sont mes parents? Les mercenaires et employés loyaux du domaine sont-ils mort, brulés et épier par ces brigands sans honneur? Probablement me dis-je… Rapidement je trouve mon pantalon et mon chandail de laine. Que faire lorsque l’on a douze ans et que sa maison subis une attaque? On prend un coup de maturité énorme et prend conscience de la cruauté qui vie sur cette terre. En tant que noble, mes parents on su me gratifié d’une éducation plus que complète ainsi que quelque notion de base au combat. Heureusement pour moi elles allaient m’être vitales. J’ouvre l’armoire sculpté en ébène dans ma chambre et en sort un petit fourreau. Une épée de fer toute simple, mais sa signification était énorme pour moi. L’homme qui me l’avait forgé m’avait dit : Gamin, si un jour tu as à dégainer cette lame, assure toi que ta vie ou celle d’un être proche est en danger. Elle ne doit pas être utilisée pour le plaisir mais pour la nécessité de survivre.
À nouveau une détonation se fait entendre, mais cette fois-ci c’est à l’intérieur. Je suppose que les portes viennent de céder sous l’impact de l’explosion. Instinctivement je pense a mes parents. Je sors vivement de ma chambre sans me soucier des dangers que je peu risqué. Je ne prends pas compte du fait que la porte de la chambre de mes parents est déjà ouverte et que des cris de détresses en sorte. J’ouvre la porte avec autant d’énergie qu’un petit garçon peu le faire et je la vois, ma mère tenant un couteau, sa robe de nuit déchirée. Elle est presque dénudée devant un briguant qui visiblement, voulait profiter d’elle avant d’en finir. Je remarque le corps de deux brigands au sol et celui de mon père au pied de ma mère. Une rage que je ne savais pas avoir m’envahi et je me prépare a planté ma lame d’enfant dans le dos de l’homme devant moi. Malgré tout lui aussi avais prévu sa manœuvre sur sa cible.
Mon épée le transperce mollement, la sienne retirant la vie de ma mère sans que je puisse inverser le courant. Je pose mon regard sur le Corps nue de ma mère. Morte ainsi, sans respect ni honneur. Sans toute la dignité qu’elle devrait avoir. Et mon père, incapable de défendre sa femme avant de trépasser. Je suis troublé, anéantis. Mais je prends conscience que ma vie n’est pas terminé. Je constate que plusieurs potions explosives gisaient toujours au coté des brigands. Je les prends toutes et je prends la fuite dans les passages secrets du manoir. Prenant évidement la peine de laissé quelque potion derrière moi. Une fois Dehors, je suis seul, sans argent ni famille et ma demeure explose.
Ce fut incroyable, du feu, de la fumée, des éclats de bois, de marbres et de vitre s’envolant partout. La couleur, passant de l’orange au jaune puis au noir de la fumée.
Malgré tous je n’étais pas asser loin. Un morceau de vitre allant plus loin que les autres. Visant malencontreusement mon visage et atteignant mon œil. Je tombai inconscient pendant que l’histoire de ma famille mourrait en même temps que ceux qui y avaient participés…
Post by Zelphander Dyn'Ryn, Ind - February 5, 2009 at 4:26 AM
Chapitre 2 : Un partenariat bien étrange
Six années ont passés depuis la mort de mes parents, depuis la perte de ma famille et de ma maison, depuis la perte de mon œil droit… J’ai vécu comme un moins que rien, volant de la nourriture lorsque j’en étais capable, mangeant lorsque l’occasion se présentait… J’ai cherché a traqué les dirigeant du plan pour mettre fin a ma famille, mais il n’en on résulter que des échecs. Jusqu’à maintenant. J’ai créé mon réseau fiable pour les informations entrant et sortant de la ville. Je pouvais savoir qui entrais et qui sortais de la ville a tout les moment de la journée. J’avais reçu des informations concernant un riche marchand qui, apparemment, aurait bénéficié énormément de la mort de mes parents. D’ailleurs j’ai cru comprendre que ce gaillard avait recours à des assassins pour arriver à ses fins.
Ce soir, il y aurait du vacarme. Oh ca oui… Ce marchand… Il n’était peut-être coupable de rien, mais le simple fait qu’il est pu profiter de la mort de mes parents était un pécher en sois. Et puis… en six ans, j’ai pris gout à une vie plutôt mouvementée. Les crimes, explosions, vols et meurtres….oui j’avais tué. Plus d’une personne était morte à cause de moi. Pour quel raison? Des querelles inconnues, j’étais aussi non-informé que les brigands qui on fait bruler ma maison. Physiquement, je me considérais comme athlétique. Au maximum musclée mais en rien impressionnant pour un combattant expérimenté. Malgré tout j’étais agile et savais mener à termes bien des choses….
Mais psychologiquement… C’était une autre histoire. La perte d’un membre peu importe lequel vous laisse des séquelles. Je ne sais pas pourquoi j’ai commencé à abordé le meurtre et les explosions comme un art, un plaisir donc je savourais chaque moment lorsque l’occasion se présentait. J’avais rencontré un homme au fil des ans. Il devait avoir mon âge…je suppose. Je ne l’ai jamais su. Son nom? Oh…ne me croyez si bête. Ceci est l’explication de plusieurs choses mais rien ne servirais à me retracer… Mais je m’égare.
Disons qu’il se nommait le Fou. Il était un personnage d’exception. Oh ca oui, probablement le plus brillant de tous mais étrangement… l’intelligence frôle la folie. Et pour lui c’était le contraire. Son nom n’étais pas prit au hasard je tien a le dire. Il fut le principal déclencheur de nombreuse folie dans plusieurs villages côtiers et a l’intérieur des terres.
Ce soir là, Le Fou m’accompagnait comme toujours. Nous avions prouvés a plusieurs reprise que nous savions faire des ravages. Ce riche marchand donc je vous parlais…il avait eu l’audace de racheter le terrain familiale. Évidemment plusieurs cachète secrète et passages souterrains ne m’étais pas étrangés et nous avions pu ainsi prendre contrôle de la demeure en quelque instant. La nuit était sombre et couverte de nuage grisâtre apportant la menace d’une pluie torride. Nous n’étions que deux ce soir là. L’idée; trouver le marchand, lui soutirer les informations nécessaires, voler son coffre de banque et Exploser le reste de la demeure. Souvent j’ai du rappeler a mon compagnon de ne pas faire de bruit. Il possédait un rire démentiel. Un rire aigu qui ne vous laissait pas indifférent. La porte de sa chambre était visible. Nous entrons discrètement dans la pièce et mon ami ne peu que sourire devant cet insouciant qui dormait a poing fermés, se croyant en sécurité.
Un couteau sous la gorge, des yeux affolés, une respiration rapide, une goute de sueur perlant sur son visage. Nous le questionnons. Il nous offre les réponses recherché. Je tranche sa gorge d’un geste fluide et habituel. Comme a l’habitude je ne peux détacher mon regard de la plaie. Une simple blessure, une blessure qui cause de grave dommage. Une poussé d’adrénaline me force a suivre mon compagnon légèrement trop heureux de la situation. Nous trouvons sa réserve d’or. Un sac sortit de ma poche, l’Argent le remplissant peu a peu, une corde le serrant et le voila à mon dos. Nous sortons de la maison avant que d’autre a l’extérieur attendent notre signal pour tout faire exploser. Une flèche enflammée, un bruit de pas dans l’herbe, des potions virevoltant dans tout les sens.
L’explosion fut plus qu’incroyable. Les réserves de poudre et de réactif du marchand donnant plusieurs couleurs aux flammes incroyablement dévastatrices. Le Noble et Le Fou. Voila comment on nous surnommait. Pour ce soir, tout le plan avait été appliqué à merveille, bien que le Fou ne soit pas de ceux qui aiment les plans. Plusieurs actions sanglante on précédés a celle-ci. Au moins huit ans, Huit ans de terreur que nous avons vécu et commit. Et aujourd’hui nous ne sommes pas las…Oh non…Un pays nous restaient inconnus. Une ile qui semblait renfermée bien des secrets. Un pays ou l’anarchie pourrais sans aucun doute nous amuser comme nous le souhaitons…Et maintenant nous y voila….