Amaihel Arabimitore
Post by Amaihel, AdC - July 7, 2009 at 5:14 AM
Bébé déjà sa mère ne savait pas de qu'elle mal soufrait sa fille. Les uns disaient qu'elle devait être malade, les autres qu'un mauvais sort avaient dû être jetés sur elle. En effet, tous auraient pu croire qu'elle était une enfant tranquille et normale si ce n'était que des larmes coulaient de ses yeux sans aucune raison apparente. Sa mère décida donc de l'appeler Amaihel ce qui signifiait, en langage elfe, « la belle qui verse des larmes".
Quand elle fut plus âgée, un Ancien passa à son village. Quand il la vit, il ne put cacher son étonnement face à cette enfant qui pleurait en silence et sans aucune raison. Il marcha donc vers l'enfant pour lui demander ce qui se passait. Quand le jeune elfe leva ses grands yeux bleus plains de larme vers lui il ne sut quoi faire et alla plutôt vers la maison pour parler à ses parents. Les parents lui expliquèrent qu'ils ne connaissaient pas les raisons de ce phénomène et l'Ancien leur conseilla de lui apprendre peut-être la danse et le chant et que ses apprentissages lui permettront peut-être de lui changer les idées.
Sa mère lui appris donc cela. Mais la jeune fille, bien que douer, ne semblait pas être plus heureuse. Sa grâce et le ton cristallin de sa voix en émerveilla plus d'un. Pendent plusieurs années elle fit la joie de tous et, même si ses chansons et ses danses étaient souvent mélancoliques, on l’invitait souvent dans les fêtes pour que tous profitent de sont talent.
Les années passèrent et le jeune elfe parvint à l'âge de l'adolescence. On pouvait deviner quelle femme elle serait plus tard et tous étaient maintenant habitués à ses larmes qui coulaient. La seule personne qui ne semblait toujours pas satisfaite fut son père. Il voyait bien que la danse et le chant n'aidaient pas sa fille et décida donc de l'emmener en voyage dans un autre village pour voir une amie d'enfance.
Quand ils arrivèrent là-bas, les elfes qui les croisaient les regardaient avec curiosité, mais fessais preuve de courtoisie en évitent de les dévisager et de leurs poser des questions. Le père de la jeune elfe l'emmena a lauré de la foret d'où on pouvait entendre des sons sourds et réguliers. Ils entrèrent donc dans la maison où ils régnaient une chaleur étouffante et où ils fessaient sombre. Son père avança vers la source du bruit et elle le suivi tranquillement. Ils arrivèrent à une salle ou une forme frappait sur une enclume près d'une forge immense.
— “Bonjour Shihasvain, comment te porte-tu?” dit le père d'Amaihel.
— “C'est toi Tiarad? Que me veux-tu?” Dit la forme près de la forge.
— “Je me suis dit que je pourrais passer prendre de tes nouvelles. Cela fait longtemps que je ne t'est vue.” dit Tiarad.
— “Depuis ton mariage en effet, quand tu en as choisi une autre que moi.” Dit la forme d'une voie sarcastique.
Amaihel se décolla un peu du dos de son père pour voir qui était l'elfe qui parlait ainsi. La forme tourna la tête dans sa direction et Amaihel resta figé. Elle devait bien mesurer autant que son père et avait des yeux verts qui scintillaient à la lueur de la forge. Ses cheveux était très longs, tressés derrière son dos et maintenus par les lacets du tablier de la femme.
— “C'est qui elle?” dit Shihasvain.
— “Ma fille.” dit Tiarad.
— “Et pourquoi l’amener ici? Tu vois bien que je lui fais peur, elle pleure.” dit Shihasvain d'un ton sarcastique.
— “Elle a toujours été ainsi nous ne savon pas pourquoi. Sa mère a essayé de lui changer les idées avec la danse et le chant, mais je ne crois pas que ce soit ce qu'il lui faut. Tu pourrais voir si elle a des dons? Je sais que tu m'en veux pour ce qui c'est passer par le passer, mais ne rejette pas ta colère sur elle s'il te plaît.” dit Tiarad en prenant sa fille par les épaules pour l'approcher de la forge.
La femme pinça les lèvres et soupira, puis elle regarda Amaihel. « Elle est trop maigre… En plus à toujours pleurer elle ne verra rien quand elle va travailler..» se dit-elle à elle-même. « Approche, je ne mords pas » dit-elle d'un ton chaleureux. Le jeune elfe ne put s'empêcher de regarder tous les objets qu'il y avait dans la forge avec étonnement, surtout le marteau de la femme. Il était énorme! Elle détailla ensuite du coin de l'œil la femme. Sa fine musculature du à son travaille rendais la femme très attirante et cela même Amaihel pouvait sen rendre compte.
La femme avait suivi les mouvements et les regarde d'Amaihel et même les petits coups d'œil que la jeune fille lui avais lancé n'étaient pas passés inaperçus. Elle mit les poings sur ses hanches, le marteau toujours à la main, et dit avec un sourire en coin :
— « Alors, tu aimes ce que tu vois? »
Amaihel rougie et hocha de la tête pour dire que oui.
— « Tu as une langue a ce que je sache non et ton père semble dire que tu as une belle voix alors parle quand je te pose une question. » dit Shihasvain.
— « Oui Madame» dit Amaihel.
— « Ce n'est pas madame, mais mademoiselle et de toute façon je préfère qu'on m'appelle Shi» dit Shihasvain.
— « D'accord...Shi» dit Amaihel en hésitant un peu.
— « Voyons voir de quel métal tu es faite. » dit Shihasvain en lui tendant son marteau.
Amaihel pris le marteau et failli l'échapper tellement elle était surprise de son poids, mais tien bon. Shihasvain lui sorti une barre de métal chauffer et lui fi signe d'approcher.
— « Frappe le centre pour commencer par aplatir la plaque et ensuite fait comme tu crois qu'il faut faire. Si tu vois, que tu as du mal remet le fer dans la forge et actionne le soufflet pour faire revivre les braises et recommence. »
Amaihel ce mis donc au travaille. Elle suivit les conseils de la femme, mais avec le temps les bras commençaient à lui faire mal. Elle n'osa pourtant pas arrêter jusqu'à ce qu’elle est finie, car elle sentait que Shihasvain et son père la regardaient. Elle travailla ainsi pendent deux bonnes heures jusqu'à ce que le travaille lui paraissent convenable et tendis la lame à Shihasvain. Elle ressentit alors une grande fatigue et tomba évanouie dans les bras de son père qui l'avait rattrapé avant qu’elle ne tombe à terre.
Sa fille dans les bras il regarda Shihasvain examiner la lame après lavoir refroidi et attendait son jugement.
— « Elle a du talent. » finit par dire Shihasvain en déposant la lame.
— « La prendras-tu comme apprentie? » demanda Tiarad.
— « Il serait dommage de gaspille du talent par rancune ou pour danser et chanter. » dit Shihasvain.
— « Bien que veux-tu faire alors? » demanda Tiarad.
— « Prépare ses choses je veux quelle vienne habiter ici. Je commence à l’aurore et je ne veux pas attendre que vous fassiez le chemin tous les jours. Je vais me charger d'elle à présent. » Dit Shihasvain
Elle prit Amaihel dans ses bras et alla l'étendre sur son lit. Tiarad regarda sa fille une dernière fois et l'embrassa sur le front avant de partir. Amaihel eu du mal au début à s'habituer à la femme, mais avec tout ce qu'elle devait apprendre elle n’avait pas le temps de ce lamenter. Un beau jour Shihasvain lui dit qu'elle n'avait plus rien à lui apprendre et lui conseilla d'aller dans d'autre contrer pour s'y perfectionner.
Elle arriva un jour sur les terres de Systéria et espéra que ce serait peut-être une terre qui l'accepterait. Elle tacha toute fois de ce trouver un petit coin tranquille à l’ abri des regards car elle c’était habituer à être seule.
Amaihel est de taille moyenne. Elle a les cheveux longs blonds tressés en natte qu'elle attache à sont tablier comme le fait sa Professeur. Elle a de grand yeux bleu et une fine musculature. Très légère, un homme avec une force un peux plus haute que la normal la soulèvera sans problème. Elle est âgée de 140 ans, mais semble avoir près de 18 années humaines.