Shigeru Maeda

Shigeru Maeda

Post by Shigeru Maeda, Adm - July 22, 2009 at 2:27 PM

Préface:

Le clan des Maeda est l'une des plus anciennes familles de guerriers du Territoire Tsen. Après avoir juré fidélité immortelle et infinie à la famille Royale Tsen, ils se sont vu attribuer un petit territoire non loin de la ville de Iogi, au Sud de l'Archipel en 583 de la deuxième ère.
Spécialisés dans l'élevage des chevaux et la taille de pierres précieuses, c'est essentiellement par le premier qu'ils sont reconnus pour leur monture plus grandes et plus endurantes que les autres races.

C'est le Daîmyo Tanada Maeda qui fonda le clan et qui durant trente années tâcha de faire de son territoire un lieu de paix et d'harmonie et ce par la bonté et l'écoute de ses gens. En éffet, la famille Maeda est connue pour sa miséricorde et son envie de comprendre ce que désire le peuple et de vivre avec lui chaque épreuve difficile quitte à devoir mettre la main à la pâte pour aider à reconstruire les ravages des guerres ou des éléments.

De générations en générations, la Clan Maeda a toujours eut à sa tête des Daîmyo justes et bons sans jamais connaître de déclin durant ces longues années de régence du territoire.

Le sujet qui nous intéresse:

C'est dans cette grande famille, entourré de Guerriers et de Serviteurs que nâquit Shigeru Maeda, troisième fils du Daîmyo Shujii Maeda. Elevé dans une tradition martiale, le jeune Shigeru n'eut aucun mal à se faire à l'idéologie Maeda; L'homme qui tient l'arme mérite le respect, l'homme qui l'affronte également.
Peut tourné même depuis sa plus tendre enfance vers la politique, le jeune homme grandit en se concentrant essentiellement sur la maîtrise de son arme et la force de son esprit. Tâchant pendant la journée d'assimiler les leçons de ses différents professeurs comme Kuadaï Noda, un des guerriers Maeda ami de son père et maître dans l'usage du Katana.

A l'adolescence, le garçon reçu l'autorisation de se balader seul dans les rues de la capitale Iori, réputée calme et sans danger. Il passa beaucoup de temps à se balader et regarder les paysans travailler aux champs, aidant parfois s'il le pouvait à rentrer les récoltes ou à monter les chevaux des dresseurs.
Cette proximité avec la classe paysanne lui valu le surnom de « Ourakaa », traduit littéralement par « Le Généreux ». Durant de nombreuses années, alors que ses fréres préféraient discuter politique entre eux, il préférait quant à lui discuter avec les paysans de ce qui posaient éventuellement problème, du temps, des réserves de nourriture et de l'état des cultures.

Le Daîmyo Shujii Maeda, père de Shigeru décéda alors que le jeune homme entrait dans sa 16ème année. Il était prêt et en âge de se marier, mais son père ne pû jamais lui trouver d'épouse à son goût et encore moins le nommer à la tête de la famille. C'est son Oncle qui prit la tête de la famille en attendant que l'aîné soit en âge de gouverner.

C'est alors que tout bascula, son oncle était un homme plus froid, n'ayant aucune affinité particulière avec ses neveux. Sa jalousie exacerbée pour l'ainé ne mit pas longtemps à l'agacer et il fit en sorte d'éloigner les fils de son défunt frère du pouvoir. Ainsi il changea radicalement l'optique du clan et n' hésita pas à abuser de ses pouvoirs et des richesses du clan pour son propre plaisir. Les trois garçons furent envoyés dans divers villages du Clan afin de selon lui terminer leur apprentissage.

Shigeru fût accueilli à Todo, chez sa tante, la sœur cadette de sa mère où il continua d'apprendre les armes avec son professeur. Il profita du calme de la résidence et des vastes jardins destinés à apaiser l'esprit de celui qui est égaré. Ainsi, il apprit la méditation avec sa tante, non sans toujours s' intéresser au travail des champs avec les divers paysans du domaine.

Le Généreux grandit sans avoir trop de nouvelles de ses frères, au mieux quelques paroles de sa tante pendant les diners ou de temps en temps les nouvelles de la capitale.

Alors âgé de 21 ans, Shigeru reçu un plis d'un messager de la capitale lui signifiant que son frère ainé était retournés à Iori et que sa présence était également souhaitée, le tout signé de la main de son frère.
Il prit donc ses plus belles toilettes et diveres tenues de cérémonies possédant toutes l'emblème des Maeda, un héron cerclé de rouge, et prit la route de la capitale en saluant comme il se doit sa famille d'accueil non sans oublier de prendre avec lui une escorte de 6 guerriers Maeda, arrivés avec lui lors de son « exil ».

Arrivé à Iori, il prit le chemin de la Maison Maeda, bien qu'une petite foule de paysans le salua et le suivit durant toute son avancée dans la périphérie de la ville et dans les rues, il demeurait calme et serein à l'idée d'affronter la menace qu'était son oncle. En effet, son frère devait avoir une idée derrière la tête, et selon Shigeru, il ne pouvait s'agir que d'une insurrection contre le pouvoir actuel de son oncle et ceci terminerait certainement par une demande groupée des trois frères à leur oncle de mettre fin à ses jours pour s'éviter la honte du Clan.

Lorsqu'il arriva dans la petite cour intérieure de la maison, il comprit au regard des gardes qu'il avait du soucis à se faire. Bien que de tempérament calme et réfléchis, il ne put retenir un léger sursaut lorsqu'un garde brandit sa lance vers lui et lui intima de descendre de selle et de se laisser escorter sans arme jusque dans la salle d'audition où son oncle l'attendait.

Après avoir retiré ses sandales à l'entrée de la demeure, il suivit sans mot dire le groupe de gardes alors que son escorte attendait dehors alignés face à l'entrée. Kuadaï Noda lui signifia d'un simple signe de tête avant que shigeru ne disparaisse dans la résidence que ses hommes et lui étaient prêt à se battre.
Serpentant dans les couloirs, Shigeru pouvait percevoir la tension des gardes et les battements de son cœur qui s'accéléraient. Il tenta au mieux de contenir ses émotions, faisant ressurgir les techniques de relaxation apprise avec sa tante, là-bas à Todo.

Il arriva enfin devant la salle d'audition, un garde ouvrit les deux volets de la portes en les faisant coulisser et Shigeru entra. Il s'agenouilla face contre terre avant même de jeter un oeil dans la pièce où il se trouvait; il connaissait le tempérament impulsif de son oncle face au manque respect, et salua celui-ci à haute voix.

Lorsque son oncle lui intima de se redresser, il s'exécuta et en observant la pièce, son regard lorgna sur le cadavre de ses frères, habillés de leur tenue de défunt, ils semblaient figé dans une expression de tristesse intense.
Le jeune Shigeru plissa simplement les yeux, ne laissant rien percevoir de sa tristesse et de sa colère à son oncle.

« Voilà le troisième... Maeda Shigeru, me promets-tu allégeance ou désires-tu finir comme tes deux frères? » lui lança son oncle sur un ton entre amusement et irritation.
« Vous deviez guider mon frère aîné, Maeda Takuri dans sa succession au pouvoir, non pas vous l'approprier... Maeda Shikawa, mon oncle. » rétorqua simplement Shigeru, qui ne laissait à nouveau rien transparaître de ses sentiments bien qu'ils se déchaînaient en lui.

Son oncle éclata d'un rire presque dément alors que Shigeru reprenait une position plus digne, assit en tailleur.

« Tu ne réponds pas à ma question Maeda Shigeru, mon neveu, dois-je prendre ceci pour un refus? »
« Ma réponse ne tardera pas Maeda Shikawa, mon oncle, permettez-moi avant de vous donner celle-ci d'offrir une sépulture à mes frères au temple de Marada, où mon défunt père est enterré lui aussi? »
« J'accepte... Néanmoins, vous serez escorté par mes hommes tout au long de votre voyage et pendant la cérémonie, simple mesure de précaution. J'ai parlé, partez maintenant. »

Shigeru ne prit pas la peine cette fois de le saluer et fit volte face avant de sortir de la pièce. Les deux corps furent amenés ensuite par deux serviteurs et placés sur des chevaux de voyages. Les hommes de Shigeru furent renvoyés chez eux à l'exception de son vieu maître, et la monture du jeune homme fût ceinturée par un cordon de protection des soldats de son oncle.

Eveillé et conscient de la ruse de son oncle, Shigeru s'attendait à être abattu ou assassiné par l'un des hommes de l'escorte durant son voyage, mais à sa grande surprise il n'en fût rien, bien que personne ne lui parla, de toute façon il n'en avait pas envie, mais il sentit l'animosité des fidèles de son oncles.
Il arriva donc sans encombres au temple d'Aerduyn de Marada où des moines l'accueillirent d'abord avec joie, mais rapidement, ils adoptèrent une expression de compassion et de tristesse en voyant les deux corps.

L'un des gardes se chargea d'expliquer aux moines la suite des événements, et Takeo prit le chemin d'une chambre d'isolement pour se restaurer et pleurer ses frères par la prière.
Le jour suivant, il prit part de manière active dans les obsèques de ses frères, écoutant d'une oreille peu attentive les psaumes destinés à la mort des livres de la Sagesse, priant pour que la Connaissance de la mort soit favorable aux deux frères Maeda, il préféra se recueillir en son fort intérieur pour les âmes sûrement assoiffée de vengeance de ses deux ainés.

C'est dans le courant de la nuit du second jour que l'on frappa en douceur à sa porte. Lorsqu'il ouvrit la porte, un moine d'une trentaine d'année lui tendit une toge et des vêtements sans allures et qu'il lui chuchota discrètement à l'oreille « Partez... Je vous en conjure partez maintenant ou vous mourrez! »

Shigeru comprit que ses soupçons étaient fondés et qu'il devait filer au plus vite. Il demanda au moine de prévenir son professeur mais celui-ci répondit qu'il était introuvable.
Il enfila en vitesse sa toge, prit quelques provisions et une toge du clan avec lui avant de sortir de sa chambre et d'arpenter les couloirs pour sortir, soucieux de l'état de son ami. Lorsqu'il arriva à l'entrée du temple, il vit Kuodaï Noda, au prise des gardes de son oncle dans un combat inégale dans lequel il avait déjà perdu beaucoup de sang. Les cadavres ou les blessés agonisants étaient là la preuve de l'expérience du vieil homme et Shigeru ne pût se résoudre à l'abandonner. Il couru dans sa direction, prit le katana d'un des morts et se rua sur l'un des quatre derniers ennemis de son ami. Il lui trancha le torse d'un coup oblique net et rapide, puis fit un pas de côté pour éviter un coup de bardiche qui lui arrivait droit dessus. Son maître désarma son adversaire qui prit la fuite et décapita d'un coup net le lancier. Shigeru lui adressa un sourire franc qu'il perdit rapidement lorsqu'il vit l'arme du dernier homme transpercer l'abdomen de Kuodaï. Shigeru bondit et comme la foudre il frappa sur l'homme lui entaillant la clavicule qui se mit à saigner abondamment.

Il prit son maître par sous le bras et le glissa sur sa monture pour y grimper ensuite. Il traversa au galop le petit corps de garde à la sortie du temple et fila sur les routes aussi vite que le pouvait son cheval. Il sentait de moins en moins la pression des bras de son maître autour de sa taille et c'est lorsque celui-ci tomba de selle qu'il s'arrêta pour s'agenouiller à côté de lui.

« Il faut fuir jeune Seigneur... voici tout ce que je possède, prenez-le et fuyez l'archipel, revenez nous venger plus tard jeune Seigneur, votre Oncle n'hésitera pas à vous tuer... Je vous en supplie, partez... maintenant... »

Shigeru attendit le dernier souffle de son maître pour lui fermer les yeux et s'enfoncer avec sa dépouille dans la forêt. La nuit fût longue pour le jeune Maeda alors qu'il tenta d'offrir des funérailles un peu digne à son plus vieil ami. Lorsqu'il euf fini, il jeta un œil dans le petit sac que lui avait donné Kuodaï avant de mourir et compta en vitesse le nombre de pierre précieuse, l'équivalent de 1000 écus puis il remonta en selle et partit vers l'est, loin de Iogi.

Il prit le bateau au port de Mishu et dû dépenser 500 écus pour le silence du capitaine. Le bateau embarquait pour Systéria, et il ne tarderait pas à poser pied à terre...


Post by Shigeru Maeda, Adm - July 24, 2009 at 3:36 AM

Bottes secrètes et Bottes de cuir

Il est des jours où le sort s'acharne tellement fort sur un être que s'en est presque fait exprès.
Bien que la journée commencé plutôt positivement, quelques agréables rencontres sans pour autant se montrer familier et la découverte d'une culture inconnue ou presque au cœur des ruelles de Systéria, la suite fût bien moins agréable.

Alors qu'un rendez-vous avait été fixé avec le Sergent Meliamme, recruteur officiel des mercenaires, l'héritier Maeda en profita pour flâner quelques temps dans la basse-ville, tâchant de ne pas se salir ou avoir à entrer en contact avec les vilains et les filous, il y passa quelques heures, ne sachant pas exactement combien de temps cela prendra ni vers où il marchait.

C'est en arrivant dans un endroit plus verdoyant et plaisant qu'il chercha à se restaurer. Commandant par se fait même une bonne tasse de thé brulant il remercia sans exacerber sa politesse celle qu'il prenait pour un aubergiste. Lorsque le gérant de l'établissement lui affirma qu'il s'agissait d'une femme, il ne put que sentir la gêne grimper en lui. Impossible alors de contenir ses pulsions d'humains il rougit. Diable qu'il détestait cette sensation, laisser transparaître des émotions fût pour lui un manque de respect total à ses aïeux et le Daïsho ne put que se sentir honteux.

Suite à cela, il demandé à l'aubergiste s'il avait une idée de l'heure qu'il fût, afin éventuellement de mettre en place un organigramme des choses à faire et ainsi mieux gérer son temps. Quelle ne fût pas sa surprise lorsqu'il se rendit compte qu'il était déjà en retard de plusieurs minutes. La course à travers la ville en geta lui parraissait insupportable, d'autant plus qu'à nouveau il s'abaissait à courir comme le font les gens du peuple. Habillé d'un Hakama-sita de ville, sa tâche n'en fût que plus difficile et il arriva à la Taverne du coin chaud presque en nage.

Étrangement et heureusement pour lui, l'entretien avec le Sergent porta ses fruits et rapidement on lui fournit son uniforme aux couleurs laides et à la découpe peu soignée. Comment se pouvait-il qu'une armée ne fournisse pas ses hommes en armures un brin élaborées ou en vêtements de qualités. Bien qu'il fasse fît de cela dans un premier temps, il remonté lentement habillé de ses guenilles irritantes et inconfortables, ses getas aux pieds. Alors qu'on lui annonça qu'il dû porter des bottes, il ne put qu'être rébarbatif à l'idée de porter ce genre de choses.

La douleur le prit lorsqu'il fît ses premiers pas dans ce cuir affreusement rigide et étudié afin de ne pas laisser le pied respirer. Il aperçu directement les mines amusées des divers mercenaires présents à la réception de la caserne. L'endroit lugubre additionné aux regards oppressants et moqueurs de ses collègues ne purent que le mettre de mauvaise humeur. Tâchant ensuite de se montrer dignes des anciens, il prit sur lui pour tenter de marcher avec classe dans ses instruments de torture.
Le sergent le prit en pitié, chose qu'il détestait au plus haut point et lui permis d'opter pour des sandales de cuir. L'obsession des Systériens pour le cuir ne pût rien arranger à son irritation et à son humeur massacrante mais il accepta, tâchant à nouveau de faire preuve de bonne foi pour ce qui fût de l'intégration à ce peuple hétéroclite et peu soumis aux usages et à la coutume.

Puis vint le moment pour lui d'affronter les escaliers dans des souliers, des bottes, des ennemis hostiles. Il savait que la délivrance se trouvait aux pieds de ceux-ci et qu'il aurait vite fait de se procurer ses sandales, mais la profondeurs de l'escalier et le fait qu'il marchait sur ses talons, blessé par la peau tannée de ses bottillons, ne furent pour lui que l'occasion d'une longue réflexion quand à la manière d'affronter cet obstacle sans subir de chute ou de honte.
Ainsi, son troisième échec et successif de la journée débuta lorsqu'un soldat décida qu'il fût bon pour le jeune Seigneur d'être légèrement violenté afin de trouver le courage de descendre ces marches. Il était inutile d'insister pour qu'on lui apporte une échelle ou simplement de recevoir la permission de retirer ses pieds, pris en otage par le cuir, de ses bottes.... Et il chuta... sur toute la longueur de l'escalier jusqu'à s'affaler sur le sol soutenu par les rires gras et cruels de ses collègues écervelés. Il maudit l'inventeur de ces objets, successivement, les escaliers et les bottes, puis il eut une pensée pour ceux qui se moquaient de lui et intérieurement, il les maudit aussi...

Il retira ses bottes et choisit de continuer sa route nus pieds afin de s'éviter encore une fois les railleries des citoyens, passants, badauds, présents dans les rues...

Chose certaine, il n'avait pas dit son dernier mot quand à ses bottes du malheurs, et bientôt, elles paieraient...


Post by Shigeru Maeda, Adm - August 28, 2009 at 11:02 AM

Clan Maeda

Ancienne famille régnante :

Maeda Shujii : Père de Shigeru -décédé-
Maeda Takuri : Premier fils -décédé-
Maeda Oden : Second fils -décédé-
Maeda Shigeru : Troisème fils

Vasseaux de la famille régnante :

Ikeda Osamu : Père d'Otomo -décédé-
Ikeda « Maeda » Otomo : Cousin de Shigeru

Funji Kyo : Vassal du clan Maeda -décédé-
Funji Riko : Son fils
Funji Shun : Second fils

Uuji Shinden : Vassal du clan Maeda
Uuji Kama : Son fils -décédé-

Fujiwara Akamaru : Vassal du clan Maeda
Fujiwara Sadamaru : Son premier fils
Fujiwara Yoko : Son second fils -dédécé-
Fujiwara Tatsuke : Son troisième fils
Fujiwara Takeshi : Son quatrième fils

Obo Adoma : Vassal du clan Maeda -dédécé-
Obo Rikki : Son premier fils
Obo Tenji : Son second fils -décédé-

Yamaki Buden : Vassal du clan Maeda

Nouvelle Famille régnante :

Maeda Shikawa : Oncle de Shigeru
Maeda Shuu : Cousin de Shigeru, Commandant des armée d'Iori
Maeda Ruki : Fils de Shuu

Vasseaux de la famille régnante :

Nagata Rikaku : Vassal
Nagata Iome : Son fils

Shenshi Oro : Vassal

Itachi Sekikawa : Vassal
Itachi Kawato : Son fils
Itachi Muto : Son second fils

Koïshi Mikoshiba : Vassal
Koïshi Anii : Son fils
Fujikama Muuki : Vassal
Fujikama Katsuo : Son fils

Eikichi Onizuka : Vassal
Eikichi Hai : Son fils
Eikichi Ruu : Son second fils

Yamato Kuda : Vassal

Yoshiko Mada : Vassal

Atari Sumi : Vassal

Onomakushi Dumo : Vassal
Onomakushi Kakubi : Son fils
Onomakushi Saruto : Son second fils
Onomakushi Kuabara : Son troisième fils