Les récits d'Albert Dagaud

Les récits d'Albert Dagaud

Post by dagalbert - November 9, 2009 at 4:11 PM

Après avoir quitté la ferme familiale enflammée, je me mis en quête, comme promis à mes parents, de trouver un travail digne de ce nom afin de pouvoir reconstruire notre bâtisse.

Quelques heures de marche passée, je fit la rencontre d'une caravane de marchands. Ceux ci, quoique très accueillant, acceptèrent de me prendre avec eux à conditions que je travaille pour eux.

C'est grâce à ces marchands que j'ai entendu dire qu'il y avait un groupement d'îles où il est assez aisé de faire fortune.

Voila pourquoi je me suis décidé à venir ici.

A peine arrivé sur le sol, je fis la rencontre d'une charmante poissonnière à qui j'achetai une canne à pèche. Je pus de ce fait manger à ma faim et surtout, rembourser le prix de ma canne. Chose amusante, j'ai même sorti une belle paire de cuissarde. (Pratique pour la pèche.)

A part cela, je n'ai pas encore rencontrer beaucoup de monde. Ce village m'a l'air assez désert en dehors des marchands et employés.

Peut être vais-je rencontrer quelqu'un d'autre aujourd'hui???


Post by dagalbert - November 9, 2009 at 6:08 PM

Et bien voila!

Ce que je craignait est arrivé, j'ai voulu travailler honnêtement et voila que le fruit de mon travail me rapporte moins que le prix d'achat de mes matières premières.

J'ai acheter de la laine pour la tisser et je me retrouve avec des vêtements coupés qui ne me servent à rien.

Il me restait encore un peu de sous mais j'ai mal été conseillé par le vendeur. Il m'a vendu de quoi coudre mais pour un professionnel.

Il va falloir que je me remette à pêcher pour manger.

Quelle galère.....


Post by dagalbert - November 10, 2009 at 8:11 PM

Du haut de mes 17 ans, plus j'avance et plus je me rend compte que travailler est dur.

Moi qui croyait que ce serait facile et rapide.

Plus j'apprend des choses et plus ça me coûte.

Mais quand est ce que je vais commencer à bien gagner ma vie???

En tout cas, ce n'est pas demain que je vais pouvoir acheter une nouvelle ferme à mes parents.

A force de travail, je me sens plus fort mais je commence tout doucement à désespérer.

Hier, j'ai rencontrer une jeune demoiselle, une certaine Aegir, je crois. Tout comme moi, elle vient juste d'arriver et se sens un peu perdue. Tellement perdue que je ne l'ai plus croisée du tout. Pourtant, elle m'a dit être couturière, j'ai passé des heures et des heures de travail à fabriquer des calottes, sans jamais la revoir une seule fois. Quel dommage, je la trouvais assez jolie quoique plus agée que moi.

J'espère quand même la revoir bientôt...


Post by dagalbert - November 11, 2009 at 3:17 PM

Quelle histoire....

J'étais tranquillement en train de chercher du travail lorsque j'ai rencontrer une dame très polie et gentille qui m'a offert le couvert et le gite malgré moi.

Ce n'est qu'en arrivant dans ce que jai cru être sa maison que j'ai appris qu'elle faisait partie d'une guilde appelée "La fraternité du chêne". En fait, j'ai appris que nous étions dans la réserve de celle ci.

Elle m'a offert une salade de fruit préparée avec beaucoup de minutie. Bien bonne d'ailleur.

Mais voila, j'ai eu un petit souci. Je me suis assoupi (PC planté). La belle s'en était allé pendant mon sommeil, ce qui m'a valu de me réveillé seul dans cette réserve.

J'ai crié, crié jusqu'à ce que quelqu'un vienne m'ouvrir. J'étais géné quand un grand monsieur est arrivé pour m'ouvrir. Je ne sais même pas comment il s'appelle. Dans mon état d'embarras, j'ai à peine compris ce qu'il me disais. Il s'énervait. Mais notre discution s'est enfin calmée après qu'il m'ait fouillé et remarqué que je ne suis pas un voleur.

Ensuite nous avons longuement discuté de sa guilde bien aimée et je crois que celle ci se rapproche le plus de mes façon de penser. J'envisage sérieusement d'y rentrer mais un autre coup de fatigue m'a sérieusement empéché de continuer mes démarches.

Mon locuteur de fortune a voulu me présenter un autre membrez de la guilde avec qui je n'ai pas vraiment pu discuter. Je pense qu'il s'appelait "Eleo", quelque chose comme ça. Il a fini par s'amuser avec moi en m'envoyant toutes sortes de lumière autour de moi.

J'ai fini par clamer haut et fort que j'en avait marre, et je suis parti sans demander mon reste.

Maintenant, je suis assis dans un super beau parc plein de plante au dessus d'un toit. Je ne sais même pas où je me trouve.

Décidément, la vie n'est pas aussi facile que ce qu'on m'a laissé entendre avant de prendre ce bateau de malheur.

Mais quand est ce que je pourrai revenir auprès de mes parents avec la fièreté de dire :" Papa, maman, j'ai l'argent pour la ferme..."

Moi qui n'avait jamais vu la couleur d'une pièce d'or...

Je ne suis même pas prèt à repartir en bateau pour rentrer chez eux.

Je n'ai donc pas le choix, je doisdonc rester sur cette île qui m'est bien hostile en ce moment.