Le journal d'un malade
Post by Zelphander Dyn'Ryn, Ind - February 9, 2010 at 8:29 AM
La majorité des gens souhaiteraient vivre une aventure incroyable, que leur vie ai un chamboulement imprévu ou quoi que ce soit, qu’ils aient quelques choses a raconté lorsque leurs jours seront finis… Moi c’est plutôt le contraire. Depuis mon plus jeune âge je désir vivre une vie des plus banales, calme et sereine, seulement troublé par l’amour de ma famille. Évidement si j’écris ces quelques lignes c’est que j’ai vécu d’une toute autre façon…
Commençons seulement en expliquant pourquoi je n’ai pas eu droit à une vie calme et sereine. La réponse étant bien simple à comprendre, j’ai une maladie rare, dont je préfère oublier le nom, qui est incurable. Je suis en tout temps fatigué et à bout de force. Bien sur les adulte comprenne facilement le problème et aujourd’hui je suis compris et respecté…et encore là…mais ce n’est pas le point important pour le moment. Lors de ma jeunesse, ma maladie me différenciait beaucoup des autres jeunes de mon âge. En plus d’être un des seuls demi-elfes de mon village, j’avais une peau beaucoup plus blanche et un visage beaucoup plus étiré à cause de ma fatigue. Ma mère a tout tenté pour trouvé une solution a mon problème mais en vain. La solution la plus pratique qu’un médecin du coin avait trouvé était de me gavé de potion de force à chaque fois que je sentais ma force physique faiblir.
Je dus, très jeune, apprendre à vivre avec une dépendance qui me dépassait et donc je ne comprenais pas l’utilité. J’ai subi l’incompréhension de mes camarades de classe en étant la cible d’insulte et d’harcèlement physique. Il était rare que je rentre chez moi dans un état normal. Je fus souvent battu et laissé comme un déchet dans des coins sombre. Un jour j’en ai eu assez et je me rendis à l’école avec une dague caché dans les plis de mon manteau. À la fin de la journée j’attendis mes assaillant de pieds ferme…Malgré ma faiblesse physique j’avais l’avantage de l’arme et ce ne fut pas dur de les faire fuir, mais a quel prix…j’avais réussis a blessé un enfant. En fait je lui avais sectionné deux doigts… Les parents de celui-ci portèrent plainte à l’autorité du village et il fut décidé que je serais banni… Oui j’entends déjà parler d’injustice et c’est bien ce que j’étais mais il faut croire qu’un demi-elfe issu d’une famille pauvre et qui étais soi-dit en passant, beaucoup trop différent des autres jeunes humains ne pourrait rester dans la ville parce qu’il pourrait causer du tord à toute la population.
J’avais environ 16 ans. Je conclu donc avec ma mère qu’il était temps que j’aille faire ma vie ailleurs et que ce village n’était pas l’endroit ou je trouverais le bonheur que je souhaitais trouver. Non sans pleur, je finis par quitté le domicile familial et m’aventurai dans le vaste monde qui m’étais alors inconnu.
Plusieurs mois plus tard, je rencontrai un maitre mage qui passait la plupart de son temps à voyager entre les différentes cultures pour en apprendre le plus possible sur le monde. Il vit en moi un potentiel que je ne me connaissais pas et fit de moi son apprenti. Nous parcourûmes le monde ensemble et j’en appris de plus en plus sur la nature de l’humain. Mon maitre passait d’ailleurs beaucoup de temps à chercher un remède à la maladie qui rongeait mes forces. Un jour il en vint à une conclusion et me fit part de ses idées.
Il me parlât de plusieurs potions existante pour rétablir la force temporairement mais plus longtemps que ce que j’ai connu, de plusieurs médecins reconnut donc je ne me souviens plus des noms et de l’Art Noir…Il me parlât de l’art noir comme étant une sorte de magie proférant une grande puissance a son utilisateur et qui compenserais mon manque de force. Sur le coup je fus séduis et je désirai en apprendre plus. Mais je compris rapidement, suite à des recherches personnelles, que mon maitre s’aventurait dans des chemins plus que dangereux. Lors d’un passage dans une ville d’importance, il s’absentât pour aller chercher quelques réactifs disait-il.
Plusieurs heures sans nouvelles et j’appris qu’un « Nécromancien» avait été attrapé et qu’il allait être brulé sur le champ. Je me rendis rapidement sur la place publique pour voir mon ancien maitre périr sans un mot, un sourire sadique accroché aux lèvres. Je compris que cette solution à ma maladie n’était pas celle que je recherchais et je continuai à avancé mes études en sorcellerie pour enfin pouvoir trouver une puissance saine qui puisse compenser ma faiblesse.
J’entendis parler d’une académie, La confrérie pourpre, qui enseignait, à qui le voulais bien, et qui était un temps soit peu motivé et sérieux, les rudiments de la magie. Me voila alors en route de l’endroit ou je pourrai enfin apprendre a surmonté mes défaut et devenir un être respecter a part entière…
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