À l'Honeur des Barbed'Or
Post by Gloin Barbed'Or - February 18, 2010 at 6:13 PM
Tout à commencé dans une mine abandonnée où régnait une odeur nauséabonde. Un nain d’une quarantaine d’années nommé Gloin Barbed’Or se réveil le visage abimé abîmé par l’alcool de la veille. Les yeux mi-clos, il se relève péniblement du sol en lâchant un soupir de soulagement une foie sur ses pieds. Ensuite, il se prit à une craque du plafond afin de s’y agripper et relever ses jambes pour étirer son dos...
N’importe qui, qui avait connu Gloin savait que, lorsqu’il se levait aussi lentement, c’était que la veille venait pratiquement de se terminer.
\tAprès se long réveil, son visage se raidit pour prendre un air sévère. Il se leva d’un bond, sans armes ni armures et, comme pour en ajouter au malheur, il ne lui restait qu’une bière. Il mangea ce qui restait du lièvre de la veille avant de commencer ca journée de marche, faisant bien attention pour ne pas faire trop de bruit. Ce n’était pas par peur qu’il faisait attention. Il avait une tache de la plus haute importante à accomplir: regagner l’honneur de sa famille...
Il faut connaitre l’histoire de son frère pour comprendre qui Gloin est.
\tC’est dans un petit village, habité par autant d’homme que de nains qui ne s’appréciaient aucunement. Aucunes attaques physique n’avait encore été signalé depuis les 50 ans où ce village de marchand avait été fondé. Âgé de 30 ans, Drekor, le frère aîné de Gloin, avait un potentiel immense à la forge. Leur père, Goriak BarbeD’or, était un des rares forgeron du petit village et avait appris à Drekor tout ce qu’il savait sur son métier. L’aîné avait très bien appris ce que son père lui avait enseigné mais la taverne lui a pris la tête. Il disait à son père qu’il allait miner pour aller boire. Pendant ce temps, Gloin, âgé de 23 ans, allait miner pour son père. Il adorait les mines mais son père n’avait pas le temps de lui apprendre à forger en même temps qu’à son frère.
\tLe soir où tout à chamboulé, Goriak venait tout juste de fermé son atelier et se dirigeait vers la maison familiale. En passant devant la taverne, il aperçu un nain dénudé, complètement soul et le visage en sang. Il n’y porta aucune attention jusqu’à ce que des bruits de chopes fracassés et de rires d’hommes le força à rebrousser chemin, se dirigeant vers l’entrée de la taverne. Sur le champ, il reconnu son fils, nu avec des morceaux de vers cassés partout dans le dos. Son visage passa alors de très surpris à fou de rage.
Ses yeux fumaient de colère pendant que sa main se posait sur la hachette à sa ceinture pendant qu’il levait la tête vers les trois hommes. Encore une surprise pour le nain que de voir le propriétaire de la taverne parmi eux. Sa main qui tenait la hachette la gardait bien plaquée contre sa ceinture.
-De quel droit bafouez vous l’honneur de ma famille, homme?
\tLe dégout transporté par sa voie était alourdi par le ton qu’il prenait en disant le mot ‘’homme’’. Ses dents étaient collées ensemble, les muscles de tout le haut de son corps tremblait de colère. Il laissa à l’homme le temps de dire un mot, un seul, avant de l’interrompre à l’aide d’une seconde question.
-Croyez vous VRAIMENT qu’une telle offense puisse M’ÊTRE faites sans REPRÉSAILLE?
\tLes hommes riaient toujours mais restaient dans le coin de la pièce. On pouvait voir chacun des muscles du vieux nains à travers ses vêtements. Au moment où le nain s’avançait vers eux, le propriétaire de la taverne sortit sa dague et avança vers le nain nu au sol. Le sourire toujours bien en place sur ses lèvres, il tourna la tête vers le vieux nain et pris parole d’un ton froid.
-En fait, c’est ton fils, ta FIERTÉE comme tu l’appel... Il frappe bien du marteau! Il a soif! Je lui offre à boire et il ne me pais JAMAIS... Il me doit ton échoppe...
\tAvant même qu’il n’ait terminé sa phrase, le nain avait dégainé sa hachette, ses yeux étaient injectés de sang tellement il rageait. Son aîné, sa fierté, l’avenir des BarbeD’Or, la somme de toutes les efforts qu’il lui a donné se fit couper la gorge devant lui.
\tÀ son réveil, la maison était vide mais, Gloin savait qu’ils partaient souvent tôt pour aller à la forge. Il partit donc vers la forge tout de suite après son repas matinale. Le soleil ne s’était toujours pas levé et, pourtant, la rue grouillait anormalement. Même en plein jours, il arrivait très rarement qu’une foule aussi importante soit au même endroit au même moment. Gloin allait passer outre sans s’en occuper, pas tout à fait réveillé, lorsqu’on l’appela.
-HÉ! JEUNE BARBED’OR! VIENS VITE!
De loin, on voyaient deux hommes tournés vers Gloin et qui lui faisaient des signes. Il se dirigea vers eux d’un pas lent alors qu’ils accéléraient le rythme de leur bras qui se balançaient en l’air. Voyant les deux hommes sauter sur place en envoyant leurs bras en tout sens, il se mit à courir.
-Que font tout le monde dans la rue à cette heure?
\tSa voie était grave et sans aucune énergie, se yeux étaient mi-clos et sa bouche restait un peu ouverte. Pour leurs parts, les deux hommes semblaient énervés.
-Tu n’as pas entendu la cloche?
\tÉtant plus près, Gloin remarqua qu’il avaient reçu du sang sur leurs vêtements. En y regardant plus attentivement, il en vu sur leurs mains. Alors ses sourcils s’arquèrent en même temps qu’ils s’ouvraient un peu plus. Il lui a alors raconter cette même histoire en ajoutant comment son père était mort. Incapable d’affronter la honte qu’il subirait à rester, il échangea la propriété de son père contre l’équipement nécessaire au voyage qui l’attendait...
\tC’est ce qui à provoqué que, pour Gloin, l’honneur est la seule restriction pour tout gestes. Chaque jours, il se remémorait comment sont père était un grand homme d’honneur et voulait lui rendre hommage. Il voulait le faire, non en forgeant mais, en défendant ce qu’il juge comme bon de défendre sans s’occuper de ce que les autres en pensent. Il veux agir comme ce que son père à toujours décrit comme un vrai nain:
Toujours loyal! Toujours serviable! Honneur pour guider sa vie!