L'histoire de Wigum Arnakor
Post by Wigum Arnakor - February 27, 2010 at 12:29 PM
La Rencontre
Le ciel étais sombre sur la cité ce soir la, une pluie lourde pousser par un fort vent froid inondait le vieux pavé des rues. Marchant d’un pas presser vers la taverne pour allé déguster une grosse bière comme il avait l’habitude de faire. Le nain aperçu à proximité de ses pieds un jolie chapeau virevolter et entendue un cris d’affolement pousser par une femme. L’homme court sur patte, se dépêcha de sortir la dague qui gardait toujours près de sa poche gauche. Froncent les sourcil autour de lui n’apercevant personne du a cette étonnante pluie. Soudainement le nain reçu un coup de sacoche qui se répéta a trois reprise et une voix disant « ne toucher pas à mon chapeau espèce de brute». L’homme se tourna avec une rage noir d’écrite a son visage qui s’estompas lorsqu’il appercu le magnifique visage de son agresseur. L’homme se penchant ramassant le chapeau sur le sol le secoua et le remis à la dame en tentent de lui expliqué maladroitement qu’il croyais qu’elle était en danger. La femme éclata de rire et lui avoua que c’était simplement le vent qui a emporter son chapeau et invita l’homme à aller prendre un vert et de se sécher chez elle pour se faire pardonner de lui avoir fait trois bosse sur la tête. Le héros accepta l’offre de la naine et se présenta a celle-ci en lui déposant ces lèvre camoufler sous sa large barbe sur les douces mains de la dame et lui disa «Willar Arnakor pour te servir dame» et elle répondra «Josielle Fourdeux» accompagner d’un timide rire… Willar, passa quelques semaines a faire la court a sa belle Josielle et la maria et lui offra la plus simple lune de miel.
La naissance
Quelques semaines plus tard, des haut de cœur et des rondeurs se fit senti et voir chez Josielle, la naine posa sa main sur son ventre et senti des petits coups. La nouvelle marier très excité se demanda comment elle allais apprendre la merveilleuse nouvelle à son époux. Après une rude journée de travaille Willar arriva à la demeure familial, le visage poussiéreux et les mains noircis. Fatiguer l’homme se laissa tomber sur son fauteille et remplissant sa vieille pipe de tabacs. La futur mère s’approcha de lui et lui souria avant de prendre la parole « écoute donc mon vieux, j’ai quelque chose d’bien important à t’dire là, tu vas bientôt être père.» Le pauvre homme sauta dans les aires pris sa femme dans ses bras et l’embrassa. Durent la nuit Josielle ne ferma pas l’œil du tout et réfléchira jusqu’au levé du jour. Au petit matin, lorsqu’elle déjeuna avec Willar, elle prise la parole et lui dit « Tu sais mon homme, j’aurrions réfléchit pour nous autres cette nuite. J’veux pas qu’notre enfant grandisse dans Systéria, dans sa corruption et dans ses crimes, nous devrions déménagé en campagne nous lui f’rrons nous même sont éducations.» L’ homme réfuta en disant « mais comment ont vas vivre loin d’la ville, qu’est-c’que j’vas faire de ma forges?» « On pourrions bien s’accommoder en campagne, sil-vous-plait mon amoure.» Affirma la future mère inquiète. Willar ne répondi point, mais ses yeux semblait dire, on verra cela en temps et lieu. Quelques mois plus tard, puisque Josielle avais le ventre bien rond, le couple décida de se rendre chez la mère de la femme enseinte, qui connaissais des technique d’accouchement.
L’hiver faisait rage depuis déjà quelques mois, la basse température laissait pour mort toute trace de l’été, le brouillard chatouillait les millions d’étoiles éliminaient quelque peu le sombre chemin qui amenait un homme et une femme parti pour un long et fatiguant voyage. Fortement éloigné de leur chez-soi, le couple était envahie d’une anxiété vorace qui se nourrissais des autres sentiments, c’était due au fait qu’ils attendaient un enfant, leur premier. Ne sachant trop à quoi s’attendre les deux parents savaient bien que l’enfant naîtra d’une minute à l’autre. L’homme mal assit au devant du chariot dirigent sévèrement les raines attelés aux petits chevaux, tentait bien que mal d’aider sa bien-aimé et de calmer ses cries de douleurs qui provenaient de l’intérieur du chariot. Lorsque que c’était devenu certain qu’ils n’auront pas le temps d’arriver chez la future grand-mère, Willar, ordonna aux chevaux de se ranger sur le côté. D’un petit bon, il pénétra sous les toiles où se tenait, étendue, la pauvre Josielle, couchez aux beaux milieux de divers objets fabriqués par le future père. La jupe sur-levé, dans d’affreux cries de douleurs, lles main fortement agripper sur se qui servait de lit, avec le visage rougi et en sueurs. Glacé de partout la pauvre dame souffrait depuis un court moment, d’une horrible fièvre. Willlar, avec de grande difficulté pu plonger ses courtes mains, probablement dû à ses mains de forgeron, il réussi à sortir l’enfant, couvert de sang en sanglots, l’enfant semblait être vif et en santé. Le regard de Willarl hypnotisé par celui de l’enfant, oublia sa pauvre femme inconsciente. Quand il s’apprêta à rendre sa plus belle œuvre à sa femme, il vit bien que la pauvre reposait dans un large bain de sang. Sans perde une seconde il déposa l’enfant aux milieux des objets qui s’étendaient sur le sol, l’enfantin pris une des créations de son père et l’examinait comme un grand forgeron déjà, il avait pris goût aux œuvres. Pendant ce temps, le père prit quelques plantes et concocta un liquide qui laissa couler dans la petite bouche de la pauvre mère inerte. Sous une longue et surtout pénible nuit, reposait, aux milieux de nulle part, un chariot regorger d’un père désespéré, un enfant nue et tremblent et une femme entre la vie et la mort. Il restait que pour le père à attendre qu’ un dieu écoute les prières répétées tant de fois par Willar. La faible famille resta dans cette position pendant quelques jours, où finalement la pauvre mère succombas C’est ainsi que Wigum Arnakor est née, aux milieux d’outils et d’objets de forgerons.
Une enfance heureuse
Le ciel étais gris comme à leur rencontre, lorsqu’ils mirent Josielle en terre, tous étais réuni, familles et amis. Le veuve avait choisi d’enterrer sa femme en campagne, sous les arbres et près d’une rivière. Les cornemuse et les pleures du bébé accompagnais les mots du prêtte. Lorsque la cérémonie fut terminer, tous partir, tous sauf l Willar, qui déposa une rose et la dernière larme de sa vie sur le cercueil. Peut-être que c’est de la faute du nouveau née mais le deuil de Josielle fut bref pour Willar, bref mais tout de même très douloureux. Le père de famille pris la demande de sa défunte femme pour sa dernière volonté et vendirent sa maison et sa forge en ville, pris tout ses biens, les mirent dans son chariot et déménageas, avec la mère di Josielle, qui suite à la cérémonies décida de s’installer avec eux.
La nouvelle famille composer du père, la grand-mère et du bambin s’installerai tout près du lieu de repos de Josielle. Willar, étant un très bon bricoleur, prenant ses matériaux dans les bois et construit une très belle maison en bois rond à 3 étages, cette demeure très bien décorer et meubler, possédais trois chambre à coucher, un salon, une cuisine, une cave, deux magnifiques lucarnes, une grande cheminer, une granche et une vaste fenêtre qui donnait sur la pierre tombal de la défunte mère, le tout garder d’une clôture de bois.
Après le passage de quelques années, sous un chaud soleil, dans les verts pâturages, dans une campagne peu éloigné de la ville, le jeune nain passa ses journées à regarder son père travailler, tant dis que le vétéran se permettait d’instruire son fils sur le travaille de forgerie et de toute sorte de bricolage divers, la grand-mère lui appris à lire, écrire, lui donna des cours d’histoire et parfois même a coudre et à tricoter. À chaque semaine été comme hiver, Willar amenais sont fils campé dans les bois pour lui apprendre a chassé et a pêché. Les matins, le jeune Wigum travaillais l’agriculture dans les champs avec son père et l’après midi apprenait l’art du combats, le jeune nain passait des journées à frapper sur des pantins de paille, qu’il fabriquait avec son père. Un jour sa grand-mère lui offra un beau tablier vert et son père lui donna son marteau, un magnifique outil, mais le jeune nain n’en voulue guerre, comme son père a son âge il voulait entré dans la mélisse. Les années passure et Wigum appris à chevaucher, tirer à l’arc, à manier la hache et le bouclier, miner et forger. Wigum vieilli dans l’amour familial.
Wigum, adulte
Lorsque Wigum atteint l’âge adulte, son père lui raconta l’histoire de sa mère, un sujet jusqu’à maintenant qu’il avait éviter. Il lui parla de Systeria, de ses cartiers de ses valeurs et de ses défauts. Il lui expliqua de fonte en combe la vie de ville. Se même jour Willar appela son fils, qui vin a lui, le père le pris dans ses bras et lui dit « Mon fils, j’té appris tous s’que j’sais, j’crois que tes prêtte à affronter la vie. Part vite vive ta vie et t’es aventures. S’ta ton tour d’créer ton histoire» Le jeune adulte embrassa son vieux père et sa grand-mère, leur promis de revenir un jour les retrouver ici, de leurs part il et elle lui promis de l’attendre. Le jeune nain équiper de son sac franchit la porte de la maison et marchas vers la tombe de sa mère et l'embrassa. Ne sachant pas très bien se qu’il allais faire de sa vie, mais se n’est pas grave il avait toute sa vie pour y pensé justement, la seul chose qui avait dans la tête était la dernière phrase de son père. «S’ta ton tour d’créer ton histoire»…
Caractéristique
Âgés de 59 ans, mesurant un mètre et demie, pèsent près de 80 kilos, aillant corps robuste, possédant une imposante barbe brune et de grand yeux bleu, qui à travers c’eu-si on peut facilement voir qu’il est un homme d’honneur et respectable. Ont peut le rencontrer dans les tavernes et dans les salle d’entrainement, il aime bien travailler et surtout il aime l’or. Ça figure laisse difficilement voir quelques rides bien cacher dans son front. Doter d’immenses doigts, il lui est évident de passer d’un marteau aux armes. Propriétaire d’une voix grave, il n’hésite pas à s’en servir pour conté une bonne blague puisque son sens de l’humour est très développé mais cela ne l’empêche pas parfois de piquer de grande colère. Wigum est un nain sympathique mais timides, il aime bien d’estimer, prendre une bière et faire des rencontres.