Vastarë Mirëidis
Post by Kenji Maeda, Ind - June 4, 2010 at 9:48 PM
« Dans les grandes forêts d'Arnad’Idhren, sage royaume elfique, en leur coeur réside bien des mystères... Des histoires et des légendes relatant des temps immémoriaux que seul les plus âgés des elfes pourraient se souvenir. Le savoir de ces êtres dépasse de loin l'entendement mais qui peut se venter de tout savoir, de tout connaître? Qui en ce monde de simple mortel pourrait oser imaginer être la connaissance incarné? Et si, au plus profond des bibliothèques de Galadh’Einior, quelqu'un aspirait à plus qu'être banal penseur? »
Vastarë Mirëidis
Vieille elfe en quête du savoir et de vérité... rien de plus, rien de moins.
C'était par une belle nuit de lune au reflet bleuté. Empreinte de sérénité, une elfe était assise sur la véranda d'une demeure bourgeoise au fleur blanche et au vigne de chasselas. Elle lisait un livre au cuire rouge et qui semblait la passionner avec modération. Cette elfe était vêtus de soierie blafard et de bijoux de mortine, mais rien sur son corps n'aurait pus rivaliser avec sa splendide chevelure azuré et ses yeux au couleur des plus pures émeraudes. Il était rare de voir des elfes avec ces couleurs particulière mais c'était tout à fait probable. Cela faisait-il d'elle un être à part parmi ses congénères? Moins qu'on l'aurait cru. Comment apprécier la beauté quand on est une simple rose parmi tant d'autre? Cependant notre amie avait quelque chose qui pouvait jusqu'à un certain point, lui permettre de gagner les hautes sphère de Galadh’Einior. Si seulement elle l'aurait voulue!
La porte donnant sur le jardin de minuit s'ouvrit pour laisser voir dans la lumière des lampes un elfe tout aussi magnifique que les autres. Il portait une sublime armure de cuir et de métal d'or et de pierrie. A sa hanche gauche il portait fièrement une épée tout aussi magnifique que les autres. Il s'avança vers notre amie et s'arrêta à ses avant, elle posa doucement son regard sur lui.
-Ma tendre amie, puis-je m'entretenir avec vous d'un sujet épineux?
-Serte, prenez place.
Ce qu'il fit.
-J'ai su par votre oncle que vous alliez partir pour le continent systerien dans quelques jours. En dépit de notre mariage qui aurait du avoir lieu déjà depuis longtemps. J'aimerais seulement savoir la cause de tout ceci. Éclairez-moi puisse que vous êtes ma lune. Je croyait être à la hauteur de vos attentes, Vastarë...
-Ne voyez pas en ce choix le dénie de vous, cher ami. La raison qui me pousse à partir ne vous concerne en rien. Mais peut-être est-ce parce que vous êtes un vétéran du combat que vous ne comprenez point... Ici en cette ville, je ne saurai progresser dans cette voie qui est mienne. Je ne saurez me porter en hauteur si je reste parmi ces esprit obturer. Dans ma quête de vérité, qui n'est pas la leur, je dois donc faire ce que j'ai toujours fait. Chercher par moi même et abattre ces mur d'idée préconçus qu'ils défendent depuis trop longtemps.
-Pour cette quête de sens vous êtes bien sûr prête à sacrifier plus que vous ne gagnerez?
-Le savoir, la vérité, demande parfois de le faire en toute connaissance de cause. Sans doute vais-je vous décevoir, j'en suis désolé.
Ils se regardèrent longtemps, yeux d'émeraude dans ceux de saphir. Il porta sa main contre les cheveux de celle qu'il aimait. L'amour des elfes est immortel et traverse le temps et l'espace, à ce qui semble.
-Oserais-je croire que, même si je ne suis pas en accord, vous irez quand même?
-Croyez le... Puisse que c'est le cas. Je ne crois pas que quelque chose ici pourrait me retenir suffisamment longtemps.
-Rien? Rien de ce jardin, de cette lune, de votre famille ou de moi-même?
-Les roses me manquerons, mais il y en a d'autre. Cette lune me manquera, mais elle est la même là-bas. Ma famille me manquera, vous me manquerai Sîr. Mais ça, rien ne saurait le remplacer.
*Doucement, la dame se leva, suivi par notre prétendant. Elle marcha vers le petit étang voisin de la véranda, elle s'y regarda un moment puis Sîr vain la rejoindre pour l'étreindre dans ses bras de guerrier. *
-Pouvez-vous seulement me promettre que vous ne laisserai pas ces êtres impies et violent pervertir votre âme si pure. Que vous me reviendrai semblable à aujourd'hui?
-Je ne peux prévoir le futur bien qu'il soit parfois mathématiquement possible d'en déduire le dénouement. Je ne peux vous promettre de rester ce que je suis. Si je demeure ainsi, c'est que je n'aurai pas évoluer et progresser est mon but.
Vastarë s'en détourna pour marcher vers la maison et s'y reposer, il la regarda partir impuissant. Il ne pouvait pas la garder près de lui comme il l'aurait voulu. Avant d'entrer, elle s'arrêta et tourna la tête vers lui.
-Sîr Ethilarnor, nous nous reverrons. Puisse que le temps n'aura jamais d'emprise sur nous, autre que l'effacement de nos mémoires. Je reviendrai un jour avec ce pourquoi je suis partie. D'ici là, prenez soin de vous et atteignez vos buts.
-Vastarë... Je vous attendrai...
Quelques jours plus tard, alors qu'elle avait fait ses adieux à son oncle, Sîr son fiancer et les autres Mirëidis bien que peu nombreux, elle pris le bateau du matin en direction de Systeria. Était-elle fébrile, nerveuse? Rien ne paressait jamais sur son visage de marbre. Elle eu cependant un regard tendre pour la petite Emaïlis, sa cousine, qui pleurait le départ de sa chère amie de toujours. Il y a de ces aurevoir plus difficile que d'autre. Elle quittait cette ville qui fut son berceau et ses parents. Son père étant décéder peu de temps avant sa naissance durant un combat contre des elfes noirs et sa mère ayant succomber à une maladie sanguine, elle avait donc été élever par toute la communauté. Elle n'avait donc jamais vraiment eu ce sentiment d'appartenance. Elle avait peu d'ami encore de ce monde, la plus part n'était que des livres. Elle avait que son oncle, tente, cousine et fiancé. Ils étaient là pour son départ d'ailleurs. Le regret? Non, c'est une émotion trop instable qui amène vers de plus grand sentiments négatif, tout à fait à proscrire de son esprit.
-J'espère trouver les réponses, le savoir et la vérité en toute chose. Il sera ardu de trouver un sens à ce qui défis toute logique. Branlant monde, que caches-tu que mes doigts, mes yeux n'ont pas su encore toucher et voir? Ce désir qui m'anime, seule moi peux le savoir, le comprendre. Ne soyez pas inquiet, le doute est un poison pour l'intelligence. Tout ce que j'espère, c'est que vous n'oublierez pas.
-Faite bon voyage ma nièce, et prenez soin de vous.
-Écrivez-nous quand vous serez installé, nous en serions que plus rassurer.
-Et... tu reviendras vite d'accord? Tu m'avais promis m'apprendre l'astronomie.
-Oh mais je n'ai guerre oublier. Je le ferai je te l'avais promis.
La cloche du départ sonna, il était tant de partir. Elle les salua une dernière fois et embarqua pour Systeria. Un long voyage l'attendait, long et peut-être dangereux. Certaine d'avoir fais le bon choix elle se disait que peu importe où sa vie se terminerais, qu'elle avait eu la liberté de contrôler sa vie avec ses propres observations. Elle aspirait à connaître et ressentir les choses par elle-même pour sa survie.
« On dit des humains bien des choses, qu'ils sont impulsif, violent et éphémère. On dit d'eux qu'ils on la soif des combats, l'appât du gain et un attrait tout particulier pour l'échange organique dans des maisons close. Mais quand est-il de leur sentiments profond? De leur rêves? Leur existence est-il vraiment une erreur de la nature ou est-ce plutôt pour une bonne raison qu'ils existe aujourd'hui? Rien n'avait été fait au hasard durant la grande conception. Sommes nous, elfes, les seuls à pouvoir vraiment comprendre? Sommes-nous si unique au point d'exclure toute autres races? Laissez-moi le voir... par moi-même. »
Vastarë de la maison Mirëidis, est une elfe venue de très loin afin de trouver le savoir absolu de ce monde. On se sait pas son âge mais on devine facilement de par sa sagesse elfique qu'elle est plusieurs fois centenaire. Elle est de nature neutre et donne rarement l'impression de ressentir des émotions. On sait qu'elle aime et déteste des choses mais son visage est toujours de marbre, on ne peux rien y deviner. Sa fouler en terre humaine l'amènera-t-il vers la réussite de ses buts? Vers des échecs? si c'est nécessaire à l'ouverture de la porte du savoir, alors inévitablement ils en ferons partie. Puisse que c'est de nos erreurs que nous apprenons le plus.
Post by Kenji Maeda, Ind - July 2, 2010 at 1:34 AM
Au tournant des rues et des chemins au pavé de pierre, en Systeria, une elfe parcourait la ville. Elle était vêtue d’une simple toge d’un bleu-gris foncé, dérobé au hasard, et de quelques autres vêtements elfique qu’elle avait apporté avec elle. Voilà maintenant un mois qu’elle était en terre humaine, la quatre fois centenaire Vastarë Mirëidis…
La découverte d’un nouveau monde
Prémisse à la tolérance?
Comme Systeria était étrange, dans chacun de ses recoins. Comme Systeria était intéressante, dans chacune de ses rues. Chaque parcelle de la ville révélait aux vieux yeux de l’elfe de lune des merveilles d’information. Elle analysait, et analysait sol, mur, toitures, indigène local (les hommes) et tout ce qu’elle pouvait de loin ou de proche effleurer du regard. L’homme, qu’elle créature fascinante. Exercé d’une extrême adaptabilité de son environnement, mangeant à peu-près n’importe quoi et vivant d’un extrême à l’autre en un rien de temps. Capable du meilleur comme du pire… Dans une ville ou cultures, races multiples ont forgé ce qu’est devenue l’île libre, non, Vastarë n’était pas à plaindre.
En ce bâtiment curieusement appeler le Coin chaud, elle y avait fait la rencontre d’être vraiment intéressent. Son tout premier demi-orc par exemple, qui fut comme elle attendait, d’un caractère détestable et violent. Demi-orc qu’elle aurait bien voulu disséquer pour voir si les organes internes étaient semblables aux autres humanoïdes. Mais l’idée n’enchanta pas ce dernier, on se demande bien pourquoi! Elle y rencontra une race d’homme du Nord capable de toucher aux plafonds mais ayant quelque petit problème d’élocution. Sans doute des cours de diction lui aurait été profitables. Elle rencontra aussi des elfes noirs, ennemis mortels de son peuple depuis la nuit des temps. Curieusement, tout le monde semblait les respecter, il y en avait même des nobles!
Mais sa meilleure découverte fut une très jeune elfe venu du continent ancestral presque en même temps qu’elle et qui, contre toute attente, partageait les mêmes ambitions qu’elle. Mëyrill fut sa complice l’espace d’un soir, une amie. Elles ne s’étaient pas revu depuis mais cela ne saurait tarder car elle était devenue pourpre et c’était aussi le but de notre vielle elfe bleue. La branche recherche était ce qu’elle désirait rejoindre, c’était qu’une question de temps maintenant, ou de Pandora…
Plus tard, quand elle eût mieux connu la ville, elle se permise de regarder pour des maisons, ci et là. Elle n’avait absolument aucun revenu que ce soit, aucun pouvoir même. Rien pour lui permettre de trouver l’or jaune humain pour vivre. Elle avait simplement envie de savoir où elle vivrait plus tard. Ses recherches la mémère vers le quartier le plus dangereux de la ville et de ses maisons à faible prix. Il n’était pas agréable pour une elfe de son rang de vivre dans un tel endroit, sal, brouillant et hasardeux. Elle aurait bien voulu se loger en moyenne ville proche du quartier pourpre mais, n’était-elle pas venu pour apprendre de la bête humaine? Toujours est-il qu’elle visita certaines maisons et contre toute attente, elle y trouve des manoirs! Plusieurs maisons fusionner ensemble pour créer de grand et spacieuse demeure. C’était plutôt astucieux, s’avoua-t-elle.
Ses pas fluides et d’une démarche rappelant celle des nobles elfique, la conduire vers un quartier tout à fait magnifique qui n’était pas sans rappeler la campagne Galadh’Einiorienne bordant le pourtour de cette dernière. Elle espérait y vivre jusqu’à ce qu’elle appris que c’était le berceau d’une toute nouvelle guilde druidique, l’Assemblée. Peut-être pourra-t-elle y avoir une maison un jour? Que de promesse pour celle qui voyait toujours tout avec logique et sans surprise. Neutre créature, constantes, espéré quelque chose ne faisait point partie de son être, hélas.
Mon cher Oncle,
Systeria est un endroit étrange, peupler d’être semblable aux pierres d’un ruisseau. Il y en a de toutes les formes, couleur et grandeur mais pourtant vivent tous ensembles dans un même courant de vie. J’y aie vu bien des cultures différentes à mesure de temps. Et une histoire propre à ce continent. Vous l’aurez compris, je ne regrette en rien mon choix et je crois en effet avoir trouver ma place en ce lieu si… surprenant.
Comment allez-vous depuis que nous nous sommes séparer sur le quai? Je crois que pour ma part tout ira bien dans l’avenir. Je compte rentrer dans cette guilde appelée la Confrérie Pourpre. Comme vous aviez su le prédire, il n’y a que cette guilde qui semble me convenir de proche ou de loin. Alors mon choix est pris désormais, j’y resterai.
J’y ai fait d’intéressante rencontre, vous aviez raison sur un point, Systeria est le seul continent offrant une palette aussi vaste de gens et de race. J’avouerai être parfois dépassé, quant à mon grand dam je vois des elfes noirs vivre et participer à cette ville, et ce pour son mieux. Des demi-orcs, des nains y vivent aussi. La population demi-elfe y est très importante et je constate que même les demi-elfes noirs ont une chance de devenir quelqu’un un jour. Suis-je prête à accepter tant de tolérance? Puis-je vraiment apprendre à ‘’d’ésaprendre’’? L’avenir, le temps me le dira, pour le moment j’ai encore bien des choses à voir. Ils sont mes alliers, n’est-ce pas?
Votre nièce,
Vastarë
Il était certain que pour notre amie, un grand devoir l’attendait. Elle allait devoir apprendre à vivre au coter d’êtres qui furent depuis longtemps des ennemis ou des rivaux de la maison Mirëidis. C’était ce qu’elle voulait, de toute manière : apprendre. Oui comme elle l’avait si bien dit dans sa lettre, l’avenir le dira….