Emilien Heildemar
Post by Emilien Heildemar, Ods - July 2, 2010 at 11:08 AM
Se Battre Pour La Dignité Du Faible.
Un soldat parmi tant d'autres, le destin de certaine personne n 'était pas parsemé d'épique dragon à tuer ou de village à sauver d'invasion barbare, ils devaient en quelque sorte équilibrer la masse des gens « extraordinaire »en étant simple.
Emilien Heildemar, ce jeune humain de vingt cinq ans en fait partie. Il eut une aventure assez banal. Orphelin depuis sa naissance son éducation se fut jusqu'à l'age de ses 10 par une vieille dame, une amie de la famille qui à aidé la défunte mère lors de son accouchement qui lui aura valut la mort. Oui il y a vingt cinq ans les conditions d'accouchement en Briganne n'était pas aussi évolué que maintenant, surtout pour la classe moyenne, disons que le Pays était en crise et que rare furent les femmes d'un certains âge à accoucher dans de bonne condition pour en ressortir vivante par la suite.
Dix ans obtenus et le garçon fut enrôlé dans l'armée, non par volonté mais par survie, la vieille dame s'occupant du jeune enfant trépassa à son tour, morte du à une canicule qui tapa Briganne deux long mois. A dix ans que peut on faire dans la milice interne de la ville ? Nettoyer les chevaux, s'occuper des draps, astiquer les armures, trier les flèches apte à être utilisé ou non, nettoyer le sol, servir de coursier pour les généraux, en bref toute la sale besogne. En contrepartie l'enfant recevait un toit, de la nourriture, et du linge pour se vêtir.
On pourra dire qu'il n'a pas vraiment eu d'enfance ni d'adolescence car dès l'age de ses seize ans il fut réellement enrôlé dans la milice, et à titre de soldat. Entrainement, manœuvre, permission, les responsabilités avait diminuées mais sa résistance physique était largement plus sollicité, c'était après tout presque un homme et il devait être performant autant qu'un autre.
Sur ce point il n'eut pas trop de soucis, pour avoir grandit dans un caserne il n'eut pas vraiment de talon d'Achille, sauf peut être pour le combat rapproché ou un duel sur longue durée l'épuisé beaucoup trop rapidement et conséquemment, un problème de respiration soupçonnait on. Sa vrai force résidait dans son mental et son réfléchit, il était un des seuls soldat à lire des livres sur les stratégies militaire connu en ce monde (on pense même qu'il les aura tous lu) ainsi que dans l'équitation, c'était un fin cavalier qui comprenait la bête et s'en servait comme puissant allié, dans l 'armée on le voyait plutôt neutre-ment, on l'évitait même car on le voyait comme un « sensible ».
Dés l'age de ses vingt ans il reçu une éducation clérical, certes il avait baigné dans les préceptes et valeur de Thaar depuis son enfance mais cette fois il reçu réellement des cours et la possibilité de devenir un guerrier de lumière. Non ce n'était point une mince affaire, car dit guerrier de lumière dit livre saint, et qui dit livre saint, dit fait d'arme, ors lui n'en avait pas et était trop « asthmatique » pour essayer d'en faire.
Parlons un peu des batailles qu'il à pu mener, globalisons le tout par deux guerres et deux sièges. Une guerre, sa première fut contre des barbares tentant une approche d'un petit village de Bregunia, son détachement (pas de cavalerie, hélas pour lui ) était la première ligne défensive, ce qu'on appellerait dans le jargon militaire ayant peu d'éthique, la chair à pâture. Heureusement pour lui les barbares était impressionnable au combat, la formation qu'avait pris leur ligne défensive fit vite abandonner l'attaque des ses barbares pour ensuite être poursuivie par la cavalerie lourde et exterminé jusqu'au dernier.
Sa seconde expérience au combat fut un siège, enfin diront nous qu'il connu deux sièges en l'espace de deux ans dans deux villages différents, des orcs. Il compris bien vite que par leur nature violente et impatiente les orcs n'était pas de bon combattants sur la durée, certes il avait une charge qu'il ne fallait pas ignorer mais il étaient globalement facile à vaincre.
Sa dernière guerre (enfin, connu à se jour), et la plus sanglante fut tout autre. Ce fut un guerre noble, une confrontation d'idéologie, une armée de rebelle voulant exterminer le pouvoir actuel de Briganne contre un Pays essayant de garder une population sur la même longueur d'onde. Helas dans ces cas si les hommes ne sont pas sollicité à penser, juste à combattre.
Faisons tout d'abord un aparté sur le fait que notre Emilien c'était beaucoup rapproché de son Sergent chef, un de ses seuls supérieurs qui l'avait remarqué dans sa dextérité neuronale. Ils eurent ainsi plusieurs soirée autour d'un jeu d'échec à parler de stratégie militaire et d'unité capable de vaincre certaine plus facilement que d'autres. Enfin bref tout ca pour dire qu'il eu une formation non conforme, et avancé en stratégie et philosophie martial, car oui notre soldat Bregunien avait un respect énorme pour ce qui concernait le respect de l'ennemie et des hommes montant au combat pour défendre une nation qui lui était cher.
Tout ca pour dire qu'il fut convié à la conception de la stratégie qu'ils allaient adopter contre cette armée rebelle, le Sergent connaissant les valeurs qu'animé le jeune soldat voulait son avis. Et il le donna. Certes il ne resterait pas dans la tente des commandants lors de la bataille à se pavaner et observer ses amis se faire trucider, mais au moins s'il mourrait il aurait pu avoir la satisfactions d'avoir réalisé un bout de rêve avant son trépas.
La guerre fut gagné, de manière presque aisé, mais le dévotion que les rebelles mettait à combattre en avait impressionné plus d'un lors du face à face, qui servait la meilleur cause ? Ce n'était pas à Emilien d'en décider. Son Sergent chef avait voulu après la guerre donner une promotion de lieutenant a notre amis mais hélas ce ne fut pas l'avis de tout ses supérieurs, il ne remplissait pas les normes en combats rapproché et sa résistance n'était que trop moyenne pour un gradé de ce niveau.
Les évènement s'enchainant, lors d'une permission notre jeune soldat tomba sur une femme entrain de se faire agresse par un homme, et par hasard ce fut la femme de son Sergent chef. Le Sergent reconnaissant usa de ses relations pour que notre soldat (car oui il n'avait pas gradé ni rien) puisse partir à l'étranger se former ailleurs afin de ne pas rester éternellement dans cette situation végète. L'homme voyait en lui surement un futur généraux ou que sais-je, quelqu'un.
Emilien, bon soldat, obéit aux ordres.
Le premier bateau qu'il prendra sera destination.
<Systeria...>
Ainsi il embarqua sur ce nom quelque peu familier, sans doute l'avait il entendu au détour d'une conversation avec son Sergent.
L'aventure l'attendait, amenant avec lui son savoir et sa naïveté naturel.