Vaherfelt l'ensanglanté
Post by Amorgen Glungel, GdO - November 23, 2005 at 6:32 AM
Dans tous les plans, il y a des planètes, des mondes, tous ronds, tous bleu, vert et brun, et dans ces mondes, il y a, bien sûr plusieurs continents, des longs, des larges, des gros, des petits. Continuant dans cet ordre d’idée, il y a sur ces continents, des villes, des villages, des vallées, des chutes, des camps, des pierres. Et de tout ces éléments, ici, nous nous attarderons sur un village, d’agriculteur, à prime abord, quelque petite maison, dont une, au centre, plus grande, une lune pourpre, douce toutefois, caressant les toitures de pailles frêles, et de ces chaumières, une, en particulier nous intéresse, physiquement, elle est comme toute les autres maisonnette, prêt d’un champ, petite, en bois et en paille, mais à l’intérieur, il y avait quelque chose de spéciale, une dame, enfin, une fille, d’environs 15 ans, seule, mangeant d’un regard fixe un bol de bouillit aussi faible de quantité que de qualité, elle regardait autour son maigre lot d’inventaire et d’un regard triste, fixant sa nourriture, mangeait toujours, sans mots dire, apparemment triste et nu de plaisir presque autant que de vêtements. C’est ici que commence l’histoire.
\tAu petit matin, les petits pied blanc de cette fille courageuse fut mordu par la morsure glacé du matin d’automne, En ouvrant ces petits yeux fragile, trop pour une telle vie, elle pensât, comme à tout les matin, qu’il serait plus doux d’avoir un bon feux, et un Coq, mais tout est trop cher, et les biens matériel n’attire que les brigands. Elle se frottât les yeux et allât devant la fenêtre, espérant se faire caresser par l’ombre d’une percé de soleil, en vainc, tout était gris, et une fine pluie tombait sur le village maigre comme ces habitants. En mangeant une maigre carotte, elle évaluât, de la fenêtre ouverte l’étendus qu’elle devait récolter avant les gels, elle soupira. Avec sa faucille rouillée et sa cape quasi imperméable, la courageuse enfant coupais dans des coups sûrement motivés par la rage, les roseaux de blée mouillé et trop tendre. Elle fit cela pendant deux jours, tous les matins, jusqu’à la première neige.
\tElle avait de quoi durer tout l’hiver, un peu plus que l’année dernière, elle devait maintenant aller au marché du village, négocier avec un potentiel bûcheron le bois d’hiver qu’elle ne pouvait pas couper d’elle-même. Elle marchait dans sur le sol boueux, qui ne se gênait a maquiller de se brun, ces pied et ces jambes. Elle arriva enfin au centre du village et alla de son petit pas timide, vers l’échoppe du boucherons. Elle avait très hâte d’y aller, oui, car dans cette échoppe travaillait un petit monsieur, de son âge, apprenti bûcheron, il était plutôt beau garçons, de larges épaules, des cheveux fou, des habits presque riche, elle savait qu’il était capable de labourer un champ, elle savait qu’il pourrait l’aider à gagner le pain qu’il lui faut chaque matin, elle songeait, avec ce garçon dont elle était amoureuse, au jours meilleurs qu’elle pourrait avoir, elle songeait aussi, à la chaleur qu’elle pourrais lui donner, aux enfants aussi, et elle rêvait ainsi à des jours meilleurs, qu’elle serait bien dans ces grand bras robustes, tel des arbres, en boucherons qu’il était.
\tElle poussa la porte de l’échoppe, et comme elle s’en doutait, vit le jeune garçon lui sourire en passa le cadre de la porte. Qu’il est malheureux, se sentiment d’incertitude qui fait que les amoureux sont indécis sur les pensée de l’autre, comme plusieurs jeune fille, elle voudrait se faire enlever par le bien aimé, sans détour, sans pause, comme ça, comme le vent, sans raison.
-Bonjour, Cathara, tu vas bien ?
-O… Oui oui ça va… je… tu sais… pour cet hiver…. Le bois…
-Ah… le bois oui ! Combien en veux-tu ?
-Hum… Bien…. Pour l’hiver… tu sais…
-Ah, c’est vrai, tu ne peux pas vraiment le couper toi-même, c’est lourd un hache, tu devrais te trouver un mari.
Elle figea, était-ce une invitation ? le plus beau jour de sa vie ? Elle bafouillait, essayait de donner à son prétendant des paroles censé, en vainc.
-Tu sais, il y a un bal de l’automne, demain, en riant de ces manières timides ca te plairait de venir avec moi, demain ?
Elle avait les yeux ronds, la bouche ouverte, elle acquiesce.
-Bien, super, je viens te chercher demain soir, met toi belle, on va bien s’amuser
C’est ainsi que les deux adolescent, sûrement avide d’Amour, se sépara, pour la dernière, fois, devant cette nuit, qui serait à chacun leurs dernières, car le destin n’est jamais bonne pour tous les êtres, elle ne cesse pas sa course pour une pierre, la rivière coule et avance sans regarder.
Alors elle repartit, sachant sont bois arriver bientôt, en espérant qu’il soit livrer par l’homme qu’elle veux tant, elle prenait le petit chemin qu’elle prenait toujours pour aller chez elle, elle pensait que c’était la seule fois ou elle était heureuse, peut être son rêve de sa chaumière allait se réaliser et qu’enfin elle aurait la vie campagnarde humaine qu’elle souhaitais, cette petite elfe jeune, à l’apparence d’une humaine de 15 ans qui, quittant son peuple, ne voulais que vivre simplement, comme les humains, car pour elle, la vrai vie prêt de la nature, n’était que celle de l’agriculteur.
C’est alors que, tout fût embrouillé comme tout dû l’être, le destin, comme dis plus haut est cruel. Les brigands, qui venait d’un camp non loin, qui était un centre du crime et des vil gens du coin, voit cette petite elfe, maigre, mais jolie, se promener seul, dans ce petit chemin désolé, et c’est ainsi que la faiblesse des hommes, de trois, mis le bourgeons dans une fleure trop fragile. Et c’est ainsi, que cette fillette, forte, vue sont sein souillé par les être les plus bas de toute les contrés, de simple voleur, des violeurs.
Elle vécu donc, les prochain neuf mois esclave de se camps, ou corvées par-dessus corvées, elle devait de plus en plus misérable, maigre, soumise à la violence et au plaisir des humains sale et souillé, et au bout de ces neufs moi, un beau moment, le seul et le dernier arriva avec des contractions, elle accoucha seule, dans la grange ou elle travaillait si souvent. Elle savait que dès que le brigand qui l’a enfanté aurait su, il lui aurait enlever l’enfant et tuer sous ces yeux. Alors elle eu une idée, elle avait rencontré, durant ces corvés de vente, un rôdeur, fort sympathique, avec qui elle avait eu de très longue discutions, ce fut ces seule moment de répit joyeux. Pourquoi ne pas lui confier l’Enfant ? il semblait bon, enfin, moins méchant que les autres, et pourrais sans doute s’en occuper.
Donc le lendemain, traînant le bébé dans sa besace au lieux de sa maigre collation du dîné, dans des draps propre qu’elle eut difficulté à trouvé, elle confiât au Rôdeur bien heureux d’avoir de la compagnie, cet enfant, en lui implorant de lui parler d’elle, qu’il connaisse sa mère, et son histoire, Il lui promit, et partie, arc et épée sur le dos, enfant dans les bras, vers le bois.
C’est donc ainsi que Vaherfelt, grandit en croyant qu’il était le fils d’un loup et d’un ours (qui était les familiers du rôdeur et aussi des professeurs) Il apprit les rudiments de la nature et de la vie en forêt. Mais dès son jeune âge ont vit qu’il ne pouvait devenir rôdeur, il n’avait pas de patience, est avait une colère inné, une colère profonde, comme donné par son père, voleur, et les tortures de sa mère, sans qu’on lui est raconté, il savait déjà tout, il détestait l’homme sauf son tuteur, il les détestait en le sachant sans le savoir. Et tout comme sa colère Il apprit l’épée, la plus grande et longue possible, car sa colère grandissait et son goût de dévastation aussi.
Un beau jour, le maître rôdeur décida de divulguer à son élève colérique sa véritable existence et naissance, sa mère, ainsi que son père. Il se doutait de sa réaction mais ne su pas qu’elle serait aussi explosive, et dans un élan de colère, il décapita son maître, car il n’était plus lui, il était sa colère comme une seconde personnalité, alors, dans les pleurs et les cris de rage, il rassembla ces choses, les mis dans un sac tenu par ces épaules large et musclé, et courut le plus qu’il peut, jusqu’au mont venteux, la ou il aurait, selon son maître défunt, un logie certain, et une aide pour son mentale explosif.
C’est ainsi qu’il arriva devant un monastère, ou des moines,d’alignement bon lui ouvrit ces portes et ces bras, et l’Accueillit, ils virent tous que le nouveau venu, malgré ces gènes calme de nature, était d’un tempérament explosif et impulsif, c’est ainsi, que de leurs bonté et leurs sagesse, il apprirent au jeune barbare, l’étendu de leurs connaissance sur le « soi-même » il eut de longue et pénible méditation (Essayer dont de faire méditer un barbare !!) Et quelqu'un années plus tard, à ces 16 ans, il était un très grand (rare pour un demi-elfe) et très costaud guerrier équilibrer entre sa colère et son contrôle, ne possédant que son énorme musculature comme armure, il parti vers le col des montagnes, vers une ville ou il y aurait sûrement, lieux de se vanger…..