Du blanc au noir.

Du blanc au noir.

Post by Elzar Sartan - September 12, 2011 at 9:25 PM

Ce matin la, on entendait le bruit des armures des soldats de Systéria du haut de la chambre d' Elzar. Puis suit le bruit de la porte en mince bois qui s'enfonce. Elzar se lève en catastrophe prenant son épée qu'il s'empresse de dégainé. Les enfants se réveillent en sursaut se cachant sous les couvertures de mauvaises factures puis la femme du jeune homme s'empresse de les serrer contre elle. Quatre soldats vêtu d'une cape verte ainsi qu'un, visiblement le responsable de toute cette agitation, en cape blanche portant un chapelet doré. Après un bref moment de silence et d'observation, l'homme en blanc fait signe aux autres soldats de saisir la petite famille. Suite à un court combat, un des soldats assomme Elzar qui s'écroule au sol perdant connaissance.

À son réveil Elzar est enchainer dans un dongeon humides. Pendant un instant, il se débat essayant de se libéré de ses chaines mais sans succès. L'homme vêtu de blanc entre dans la cellule le regardant avec un sourire en coin.'' Sieur Elzar vous êtes accusé de haute trahison envers l'empire et d'utilisation de la magie noire. Dû aux preuves vous accusant, Un verdict a été rendu. Vous êtes jugé coupable et vous êtes condamné au bûcher, votre famille seras aussi exécuter pour avoir été exposé à des sort de magie noire lors de vos expérience.'' Le visage d' Elzar blêmit. Ses protestations heurtent le mur de pierre qu'est l'homme. Ses supplications n'arrivent pas à lui arracher un sourcillement.

Suite au jugement du juge qui fut rendu en date du 4 Solun vous serez soumis à la question avant d'être immolé jusqu'à ce que mort s'en suive. Votre exécution aura lieu près de votre famille afin que Thaar vous jugent en intégrité. L'homme roule alors la missive officiel et laisse le condamné à lui même dans la moiteur de la cellule .
Trois hommes firent alors irruption dans la cellule, l'un deux portaient une lourde cagoule noir, les deux autres des geôliers trainaient l'homme de force vers le donjon. Soumettre à la question est aussi reconnu comme une méthode de torture ou l'homme finit par avouer tout ce dont on l'accuse. Elzar savait qu'il n'avait plus la moindre chance alors d'échappé à son funeste destin. C'est trainé par les épaules par les deux soldats bourru que la succession de ses supplications prirent une voix de plus en plus désespéré. Alors qu'il apercevait la chaise de torture, sa gorge ce serra. Comme si la divine main ganté de Thaar était descendu du ciel pour lui fermer le clapet.

Les deux soldats jettent le prisonnier sur la chaise et lui attachent les liens. Un prêtre entra alors dans la pièce avant que la torture soit appliqué et récita quelque homélie Thaar.
-Thaar pose ton regard sur la souffrance de ton enfant. Ses péchés sont nombreux en horreurs, la faiblesse à possédé son esprit. Ainsi toi le grand juge, nous vous livrons à votre divin jugement l'âme perdu de cet homme. Suite à quoi le prêtre asperge le condamné d'eau bénite et quitte la pièce. Le bourreau tourne alors une grosse pince de fer rouillé dans un brasero. Si ce ne serait de sa cagoule tu croirais pouvoir voir une grimace souriante alors qu'il approche le charbon incandescent de ton visage. Il l'Approche sans toucher la peau, prenant un malin plaisir dans la peur qu'il crée chez sa victime. L'homme vêtue de blanc entre ensuite dans la pièce et soumet Elzar à la question. La question soumit le bourreau encagoulé vint alors lécher le charbon ardent contre la peau de l'homme. La peau fond quelque peu, ce déchire alors que le bourreau descend le charbon sur la peau. La pierre rougeoyante arrache un cri terrible de la bouche de l'homme.

Du donjon les plaintes ce succédaient pendant quelque heures, puis un silence lourd s'abat dans les geôles. Soit Elzar avait trépassé, soit il avait succombé à la question et avoué tout ce dont on l'accusait. Un cliquetis métallique provenait de la serrure annonçait la procession des geôliers et du bourreau. L'homme terrible vêtue de blanc fit alors irruption, suivit des geôliers qui trainait le corps semi conscient d'un homme durement éprouvé par la torture. La moitié de son visage offrait les stigmates de divers brulures.

Elzar fut alors séparé de sa famille, conservant les individus dans différente ailes de la prison. Bien qu'il ne devait pas connaitre bien des nuits en prison, il voyait au loin les autorités s’ empressé à dresser un bucher près de la place publique. L'homme ne toucha que quelque peu à la maigre pitance qu'on lui avait fournit en guise de dernier repas. Bien que les stigmates sur son corps lui coupait la fin, il n'avait pas l'intention d'abandonner. Quand même, quel châtiment pourrait être pire que la mort. Il avait un plan en tête et allait avoir besoin pour cela des dernière réserve d'énergie qu'il pouvait emmagasiner dans son corps.
Le jour fatidique approcha finalement, deux geôliers grimaçant un sourire que trop fier s'avancèrent à la cellule de Elzar. L'homme ne leur offrait aucune résistance, les geôliers devaient considéré que l'homme c'était résolu à la mort. C'est dans un silence profond que les trois hommes, suivit d'un prêtre de Thaar fesait procession jusqu’à la court, ou il sera conduit à la place publique. Chemin fesant, il reconnaissait bien les cris de sa femme, de ses enfants toutefois il savait qu'il ne devait leur offrir de regard s'il veut garder son entière volonté. Il ne pourrait pas les sauver et il le sait très bien.
Un cri surgit de la foule, l'agitation au centre déborde sur les gardes entourant le bucher. L'on entend : AU VOL! AU VOL!. Un individu ce sauve en courant de la foule, quelque garde qui était alors devant la foule parte à sa poursuite. C'est le moment ou jamais et Elzar le savait, s'il devait tenté quelque chose c'est à cet instant, la providence ne lui offrira pas une seconde chance. Réunissant ses forces il ramène un violent coup de coude au nez d'un des geôliers. Dans un crac! sonore le nez éclate et un ruisseau de vin rouge en éclate.

Le second geôlier d'abord étonné perd la maitrise sur Elzar lui laissant le temps de courir vers la foule ou les gardes étaient parti après le voleur. Frayant son chemin à coup d'épaule parmi la foule, l'homme ce dépêche à rejoindre une ruelle rapidement afin de trouvé une cachette séculière qui lui permettrait de survivre jusqu'à la nuit tombé. Au fond d'une masure abandonné l'homme ce souviendra toujours des cris horrifié de sa femme, les pleurs de ses enfants et la liasse de cri extatique de la foule devant cette pratique barbare.

Si Elzar n'avait pas le cœur sombre auparavant, cette journée marqua notablement sa vie, il voua alors une haine radicale aux haute instance de Systéria. Elzar ne pourrait pas continué à mener une vie normal à Systéria, les stigmates à son visage seraient reconnu d'entre toute les guilde et la mémoire de son évasion encore trop fraiche. Il devait fuir vers un autre continent...mais quel endroit serait l'idéal.... Zanther. Zanther oui, leur organisation de thaumaturge dépasse en arrogance de loin la confrérie, l'art magique y est pratiqué sans dédain envers certaine forme. C'est la qu'il choisissait d'établir les fondements de sa vengeance futur sur ceux qui lui ont ravi sa famille.

C'est le lendemain, au petite heure alors que l'aurore est encore timide qu'il ce dirige vers le quai. Ce serait trop risqué de payer pour le voyage, alors il ce faufile dans une caisse rempli de victuailles. Il avait l'intention de rester dissimulé dans la cale jusqu'à ce que le navire arrive à Zanther.

C'est comme un paria que Elzar fui Systéria, dans l'espoir d'y revenir leur faire payer la mort de sa famille.