[Bg] La famille D'Arachal

[Bg] La famille D'Arachal

Post by Lafäyelle, Ind - July 27, 2005 at 9:37 AM

Pendant une nuit froide et sombre, Azael parcourait les chemins de Systéria à la recherche de la bibliothèque.
Une torche à la main et un capuchon sur la tête pour passer inaperçu, elle se frayait un chemin à travers les êtres malveillants qui rôdaient par là en cette nuit.
Après quelques minutes de marche, Azael s'arrêta sèchement et leva la tête sur l'enseigne qui désignait la bibliothèque. Elle entra discrètement dans la pièce et balança sa torche un peu partout pour éclairer les endroits les plus sombres. Azael cherchait quelque chose en particulier et ne savait pas trop où commencer. Elle regarda près de l'entrée et posa un doigt sur l'annexe. Un sourire discret parcouru ses lèvres et feuilleta le livre jusqu'à une page écrit << Livres des Arbres des Générations - 4'ieme Salle >>. Voyant cela, Azael se dirigea sans perdre de temps dans la salle qui était indiquée dans l'annexe.
Arrivée à l'endroit désiré, Azael commença à fouiller les étagères une après l'autre, lisant les titres de chaque livre à l'aide de sa torche. Elle tomba soudainement sur un livre sur lequel était écrit : << La Génération D'Arachal >>. On pouvait voir, à ce moment, un sourire sur ses lèvres. Elle prit le livre entre ses mains et se dirigea vers une table éclairée à la lueur d'une chandelle. Elle accrocha la torche sur un support fait pour celle-ci et prit place sur la chaise d'un air intrigué.
Azael déposa le livre devant elle, sur la table, et abaissa son capuchon laissant tomber ses longs et soyeux cheveux bruns dans son dos. Elle ouvrit le livre et promena ses yeux bleus sur chaque nom qu'elle voyait. Le premier nom qui figurait en haut de l'arbre généalogique était : Frédérique D’Arachal.

Cet homme était le père de son grand-père, d'après sa description il faisait dans le 1 mètre 90 centimètres et avait les cheveux bruns jusqu'aux épaules. Il était marié à Alicia De Vallon. Il était devenu Duc pour sa bravoure, son courage et son implication dans la société de Systéria dans l'ordre du soleil. Le roi l'avait félicité pour avoir sauver de la mort un des hommes de la cour qui s'était fait poursuivre par un furieux brigand. Sa femme, Alicia, mit au monde une fille au nom de Éricka D'Arachal et un petit garçon du nom de Richard D'Arachal. Malheureusement, la petite Ericka fut prise d'une violente maladie et elle s'éteignit à l'âge de 5 ans. Richard pour sa part, fut élevé dans le luxe et les valeurs afin de faire de lui un grand paladin de Thaar. Souvent, Richard et son père allaient chasser pour rapporter de la viande à leur demeure. Devenu un homme, et aussi Paladin se jura de veiller sur les bonnes valeurs qu’il avait apprit.
Frédérique eu une bonne mort. Il mourra dans son sommeil quand il atteignit l'âge de 74 ans. De grandes funérailles furent faite en son honneur. Alicia, elle, mourut quelques mois après son mari, d'une pneumonie.

Richard se retrouva seul descendant des D'Arachals à l'âge de 30 ans, il n'avait pas encore de femme et avait hérité du titre de Duc à cause de son père. Richard était devenu un grand Paladin de Thaar à son plus grand bonheur. Il était très grand et costaud dû à son entraînement. Il avait les cheveux brun un peu plus pâle que son père et le visage au traits plus sévère. C'est vers l'âge de 35 ans que celui-ci donna sa vie à une dame au nom de Flora D'Iraal. Ils vivaient le plus grand bonheur. Un an plus tard, Richard devenu le père d'un beau garçon au nom de Borim D'Arachal.
L'élevage de Borim ne fut pas de tout repos, il était turbulent et avait une curieuse malchance à se mettre les pieds dans les plats.
Dès l'âge de 4 ans, Borim montrait beaucoup d'intérêt pour le maniement des armes. Il montrait aussi beaucoup de force et souvent il s'amusait à être un Chevalier avec ses amis pour sauver de jolies princesses, qui était à ce moment là, toujours sa mère.
À 15 ans, Borim s'entraîna plus durement à l'aide de son père pour atteindre ses buts. Il voulait suivre les traces de son père à tout prix pour que celui-ci devienne fier de lui. Borim eu des cours privé afin de lui permette d'exceller dans son domaine. C'est à l'âge adulte qu'il eu son adoubement. Il avait atteint ses buts et il était le plus heureux des hommes. Borim avait les cheveux brun très foncé et les cheveux longs jusqu'à la taille très raide et lisse. Il avait un regard doux et une allure charmeuse.
Il resta célibataire longtemps, dû au temps consacré au travail qu'il faisait. Borim eu beaucoup de conquête dans sa vie, mais ces histoires finissaient toujours dans un drame. Il se disait qu'il ne trouverait jamais l'amour car un dieu l'avait puni pour quelque chose.
Mais il eu tord, quelques mois plus tard, lors d’une fête annuelle, Borim rencontra la douce Sylia De Minaras, la fille d'un ami de son père. Toute suite il en tomba amoureux, elle était belle telle une étoile dans le ciel, telle une rose au milieu d’épine, telle une flamme dans les ténèbres. Elle dansait comme un ange et dégageait un doux parfum de lavande qui la suivait partout. Elle attira Borim dans ses bras et ils dansèrent toute la soirée, puis toute la nuit, jusqu’ à la matinée où il lui chuchotta à l’oreille << Je t’aime. >>

Son père, Richard eu une mort difficile, celui-ci perdit la vie quand il fut kidnappé par des hommes qui voulaient la richesse de sa famille. Il mourut pour avoir garder le silence et de ce fait garder le reste de sa famille en sûreté. Flora était d'une tristesse inconsolable. L'homme de sa vie n'était plus avec elle et en souffrait énormément. Flora était encore jeune et n'avait plus le goût de continuer à avancer. Tout cela changea quand elle apprit une grande nouvelle, son fils avait eu deux filles qui s'appelleraientt Azael et Véronique D'Arachal............ ...

Azael regarda le reste du livre, blanc, elle qui avait très envi de connaître la suite, mais la suite, seule elle pouvait compléter le livre puisqu'elle était la seule descendante de cette famille.
Azael baissa un peu la tête et se regarda les genoux, elle avait du mal à s'imaginer descendante d'une telle grande famille.
Prise d'une émotion de fierté, elle sortit une plume ainsi qu'un encrier.
Elle posa le bout de la plume sur la feuille et commença à écrire la suite du récit......

Azael et Véronique vécurent avec leurs parents jusqu'à l'âge de 3 ans. Leur mère leurs apprenait les bonnes manières et les valeurs à suivre pour devenir de bonnes dames de la cour. Malheureusement, la famille se retrouva parmi les flammes d'un vilain incendie qui détruira tout ce qu'ils avaient. Le fruit de cet incendie venait d'un groupe de brigand de la guilde des ombres.
Les parents périrent dans cet incendie et les enfants disparurent avec les brigands dans la nuit. Véronique avait été sauver des flammes mais plus perdonne n'entendit parler d'Azael.

Azael s'arrêta d'écrire en pensant à l'événement... elle ne se souvenait pas du visage de ses parents.... elle se souvenait d'une statuette de Thaar que son père lui avait donné. Elle se souvenait de la mélodie que sa mère chantait lorsqu'elle était bébé. Elle se souvenait aussi du doux parfum que son père dégageait lorsqu'il la prenait dans ses bras. Elle esquissa un sourire triste et continua son récit....

Durant des années, Azael fut persécuté par ses ravisseurs. Ils s'amusaient à l'enfermer sans lui donner à manger, question de voir combien de temps elle pouvait tenir. Les hommes lui apprenaient à parler. Quand elle atteignit la puberté, vers l'âge de 12 ans, Azael fut forcé de se promener en petite tenue devant les hommes. Par contre jamais un homme ne l'avait violé, heureusement. Mais Azael détestait plus que touts ces affreux personnages. Elle voulait les voir mort tellement elle détestait leur comportement. Le soir elle pleurait souvent. Elle voulait être une enfant normal et avoir une vie comme les autres enfants de son âge. Elle était consciente qu’elle ne sortirait pas de cet endroit sans difficulté…elle devrait être forte et avoir de la ruse. Un jour, Azael qui n’avait encore jamais tenu tête aux brigands décida qu’il était temps de voir jusqu’à quel point elle pouvait se rendre avant d’être puni. Quand le chef de la bande demanda à Azael d’aller lui chercher un verre de cidre à la cuisine, elle le fit mais à la place de lui remettre dans les mains, elle le mit loin de l’homme. Évidement, il voulait son verre dans ses mains, donc elle le prit et elle fit semblant de l’échapper sur lui. Il eu tellement de colère qu’il la giffla sur la tête.

Ce souvenir provoqua chez Azael un dégoût, et eu un haut-le-coeur. Elle soupira de soulagement de se retrouver en sûreté dans la bibliothèque. Depuis le temps, Azael avait apprise à se méfier et peut-être même un peu trop. Quand quelqu’un voulait porter la main sur elle, elle réagissait mal la plus part du temps. Elle posa un regard sur ses cheveux et continua à écrire.....

Azael avait de très longs cheveux bruns bouclés et de grands yeux bleus azure. Le traitement que ses ravisseurs lui donnaient une allure maladive et elle avait perdu l'éclat qu'elle avait autrefois dans les yeux. Son désir le plus grand était d'avoir une vie normale, avec des amis normaux et de revoir sa famille. Enfermée, Azael ignorait l'état de sa famille. Elle avait hâte des revoir. Les hommes lui faisaient faire de durs travaux et tous leurs caprices. Elle n'avait presque pas le temps de dormir et manger. Elle n'avait que la peau sur les quelques muscles qu'elle développa à transporter de grosses charges.
Un jour, un homme d'une grande stature s'avança vers la cage dans laquelle elle était. D'une allure assez séduisante, il invita Azael à le suivre dehors. À l'extérieur, il avait quelque chose qu'Azael ne s'attendait pas de voir. Il y avait un tabouret et un homme avec un tisonnier. Azael n'avait jamais vu un tel objet alors elle ne s'imaginait pas ce qu'il l'attendait.
Elle fut assise sur le tabouret et sans perdre de temps, l'homme lui plaqua le tisonnier sur l'omoplate.
Le symbole était un coeur avec un cercle blanc à l'intérieur. Cela voulait signifier << coeur vide >>.
Pour que toute sa vie, elle se rappelle cet événement.
La douleur infligée était si grande qu'Azael en perdit conscience. Quand elle se réveilla, Elle était de retour dans sa cellule et avait l'impression d'avoir dormit le dos dans les flammes.
Le même homme qui l'avait inviter à sortir regarda autour pour voir s'il n'y avait personne et ouvrit la porte de la cage et prit place à côté d'Azael.
Il la regarda d'un regard doux et sortit un baume de son sac. Il tourna Azael dos à lui et mis un peu de ce baume sur sa brûlure.
Azael ne comprenait pas pourquoi cette gentillesse soudaine alors elle lui demanda le pourquoi de ces actes.
La réponse qu'elle eu la surprit grandement. L'homme ne voulait pas vraiment ce qui était arrivé, il était tombé amoureux d'Azael. Il expliqua à Azael ce qu'elle était et il lui avoua de quelle famille elle venait.
Malheureusement, Azael était devenu insensible à ces déclarations, ce qui vexa l'homme assis à ses côtés.
Il sortit frustré et la pointa du doigt en lui disant << plus tard... tu payeras ton attitude! >>
Azael resta encore 4 ans dans les griffes des ravisseurs. Elle avait maintenant 16 ans et doucement elle commençait à se trouver des plans pour s'enfuir. Mais tout n'était pas si simple car ses malfaiteurs étaient rusés et bien organisé.

Pendant une nuit, Azael se faufila à travers un barreau qu'elle avait travaillé pendant des années avec subtilité. Tout le monde dormait d'un poing fermé. Elle prit les vêtements que les brigands avaient trouvé pour elle et sortit sans faire de bruit.
Elle s'arrêta sèchement devant un feu de camp qu'un homme avait allumé. C’était l'homme qui lui avait déclaré son amour. Il se tourna vers elle et se leva d'un coup en lui demandant ou elle pensait s'en aller.
Effrayée, Azael couru dans une ruelles à côté, il l'a rattrapa aisément et la plaqua de face contre le mur.
Elle se débattit un peu mais en vain, l'homme lui tenait les mains serrer dans le dos d'une seule main.
De l'autre main, l'homme glissa celle-ci sous le tissu qui servait de jupe à Azael, puis baissa ses propres pantalons, il allait s'approcher d'elle quand Azael donne un vigoureux coup vers le côté ce qui débalança son ravisseur qui avait les pantalons au genoux. Il tomba et Azael couru dans l'autre direction. Elle tourna un coin et se faufila entre deux buissons. L'homme continua à marcher tout droit pensant qu'elle n'irait pas loin. Après être sûre de ne plus avoir de problème, bref, au matin, Azael sortit de sa cachette et s'avança vers une grande rue où beaucoup de personnes s'agitaient. Elle vit une petite fille assise sur le bord de la route qui avait une aiguille et du tissu de l'autre main. Elle semblait concentrée à son travail. Azael s'en approcha, curieuse de savoir ce que la petite tricotait. La petite fille souria à la jeune femme et lui tendit une aiguille avec du tissu.
Azael prit place à côté et commença à imiter la petite fille. Doucement Azael développa un certain goût pour la couture, elle se disait qu'elle voudrait bien se faire de nouveaux vêtements. La petite fille se leva et prit la main d'Azael, celle-ci la tira à l'intérieur de la maison.
Dans la maison, il y avait tout un atelier pour la menuiserie et la couture. Tout ce que l'on pouvait rêver pour créer.
Un homme sortit d'en arrière du comptoir et s'avança vers Azael. Il lui prit la main et la regarda dans les yeux. La petite fille tira la manche de son père et lui chuchota quelque chose. Il resta silencieux et prit quelques outils pour les fourra dans un sac. Il tendit le sac à Azael et lui sourit. << Ma fille ma dit que tu semblais intéressée alors je t'offre ces instruments qui t'aideront à apprendre le métier! >>. Azael prit le sac timidement et le remercia grandement. Azael sortit doucement de l'atelier et avança doucement vers une autre grandes rues bombées de gens.
Un homme sur un cheval, s'approcha d'elle et la regarda de la tête au pied. Il descendit de sa monture et lui pris le visage dans une main amicalement. Ils allèrent s’asseoir dans un petit parc non loin de là. Après avoir écouter le récit d'Azael, l'homme demanda son nom et le nom qu'il entendit le pétrifia. Il pensait que l'enfant était mort mais non... elle était vivante et elle était devant lui. Il ne put s'empêcher de serrer dans ses bras cette jeune dame qui était la fille de son ancien ami, Borim.

Il informa Azael que sa grand-mère était encore vivante. À ses paroles, Azael explosa de joie et l'homme aida Azael à s'y rendre, il lui prometta d'aller arrêter les ravisseurs qu'ils lui on fait subir tout cela. L'homme tourna son chemin et quitta Azael d'un pas décider à aller venger la famille de son ami.
Maintenant seule, Azael regarda l'entré et se décida à frapper. Une vielle dame répondit et regarda Azael d'un air étrange. Soudain, son visage changea et un expression de tristesse envahissa le doux visage de la vielle femme.
Elle la regardait sans rien dire, et d'un coup elle enlaça la jeune femme qui prétendait être sa petite fille.
Elles se mirent à pleurer toutes les deux, la vieille femme car elle venait de retrouver sa petite fille et Azael car elle avait enfin quelqu'un sur qui compter et qu'elle était maintenant moins seule au monde.

Flora amena Azael dans une chambre libre, lui annonçant que celle-ci serait désormais la sienne. La vielle femme, ouvrit un grand placard où était rangée plein d'habits propres. Elle appartenait à sa mère et sa grand-mère venait de lui en faire cadeau. Elle lui fit visiter chaque appartement de la maison et finit par la cuisine. Flora désigna une chaise pour qu'Azael prenne place. Sa grand-mère sortit des fruits de l'armoire et les plaça dans une grande assiette. Dans le visage de la bonne femme, un nouveau sourire naissait, le sourire d'une personne ayant retrouvé ce qu'il lui restait de cher dans le monde.

Après avoir mangé à sa faim, Azael monta à sa nouvelle chambre, elle y entra et se mit en robe de nuit. Azael regarda sur les murs de la pièce. Le portrait d’une jeune fille était accroché sur le mur. À ce moment, la grand-mère d’Azael entra dans la pièce et eu un sourire triste en voyant le regard d’Azael fixer le tableau. Elle lui expliqua qu’il s’agissait de sa sœur, Véronique.
Flora défila telle une histoire de la manière dont elle fut morte. Elle s’était fait assassiner subitement, alors qu’elle était enceinte.
En entendant ces mots, Azael cru perdre une partie d’elle-même. Elle avait une sœur qui aurait très bien pu être vivante et en plus ! Elle était porteuse d’un enfant ! C’est mots l’a terrifiait. Mais pourtant elle pensait en bien de cette sœur. Cela la chagrinait mais… que pouvait-elle y faire.
Elle s'accota à la fenêtre et regarda le ciel. Elle avait le cœur léger, et l’éclat dans ses yeux revenait doucement.

Azael cessa d’écrire et regarda les nombreuses pages qu’elle avait écrites. Elle s’accouda au bureau et regarda le mur devant elle.
Son enfance venait d’être inscrit dans ce petit livre qui parlait de sa famille. Elle écrivait cela, dans l’espoir que sa descendance se souvienne d’elle. Avec tout ce récit, elle avait appris à mieux se connaître. Elle avait acquise une compréhension des choses et une maturité à travers ses aventures. Elle avait aussi trouvé sa passion ; créer des objets pour les gens de la citée.

Azael avait de grandes ambitions pour le futur, elle espérait avoir son propre commerce où elle pourrait faire travailler des gens.
Elle inventerait de nouveau style de vêtement pour le peuple.
Azael finit par sourire et ferma le livre délicatement. Elle prit sa torche et éteingna la chandelle de son souffle. Elle se leva et rapporta le livre là où elle l’avait prit. Elle se sentait mieux d’avoir mis à jour l’histoire de sa famille.

Le jour était entrain de se lever à l’horizon. Elle remit son capuchon sur sa tête et marcha tranquillement vers la demeure de sa grand-mère, avant que celle-ci se réveille.

Au loin on pouvait voir la silhouette d’Azael flotter plus gaiement qu’à l’habitude.


Post by Lafäyelle, Ind - July 28, 2005 at 11:17 PM

[petit paufinement de BG]