Jon de Baudouin

Jon de Baudouin

Post by Jon De Baudouin, AdM - September 13, 2006 at 9:45 PM

Histoire de Jon de Baudouin (BG)

\tLa vie de Jon de Baudouin commence comme plusieurs histoires, par une grossesse de 9 mois un père et une mère. Iegor, Duc de Baudouin comme tout bon père le jour de l’accouchement assistait Dame de Baudouin dans son travail et ces débats maternels. Cette nuit au manoir d’Ire était loin d’être comme les autres, hormis l’effervescence causée par la naissance de l’aîné, la famille préparait d’un intérêt certain, soupçonner de procrastination, un bal annuel dans leurs comté pour fêter la moisson.

\tLa sage femme calme par son expérience et ridée par son âge donnait des indications au père et à la mère afin que, comme tout accouchement souhaités celui-ci ce passe bien, vite et bien. Après centimètres de dilatations, sueurs et cries le bébé émergeât enfin de la matrice originelle et de la fin des cries de sa mère commençait ces propres plaintes. Sa vie débuta ainsi dans la chambre des maîtres.

\tDès l’âge de trois ans on sut tout de suite que l’enfants était doué d’un grand avenir, son apprentissage rapide de l’étiquette et des arts nobles lui assureront une place certaine, chaude et confortable et seins de la cours. Sont père, fier mage, tant qu’à lui apporta sont grain de sel en inculquant à son fils l’art des arcanes, de l’écriture et de séductions des pucelles. Sa mère de son coté ne manquât pas, en contrepartie de la virilité certaines des leçons de son mari, de lui inculquer sagesse délicatesse et tempérance.

\tA l’âge de huit ans, le jeune gaillard déjà fringants, talentueux et impertinent épatait déjà de ces prouesses académiques et amoureuse, il s’avait un ou deux sorts, connaissait l’étiquette comme le fond de sa poche sans oublier une ou deux bottes d’escrimes et le don de la musique.

\tCes ainsi que les temps passait, que les âges augmentaient et que la vie amusante, joyeuse et trépidante d’un petit gamin se calculait en joies et peine….

\tEnnuyant vous allez me dire ? Je vous l’accorde, c’est heureux pour cette raison qu’au plaisir de tout narrateur, l’image d’une belle histoire ou un ciel pure et bleu peut s’envenimer et s’ennuager. C’est pourquoi voici, encore de l’histoire de Jon, se jeune adolescent de 15 ans, l’anecdote qui est arrivé, Thaar ait sont âme.

\t« Le ciel était beau et les oiseaux chantait, la clairière au nord de Systéria était belle de vert, de chants d’oiseaux et d’animaux gambadant. Jon, qui dernièrement, pour son propre plaisir et sa propre vanité avait rompus avec sa dernière conquête, prétextant avoir vu sur sa joue un bouton un peu trop vilains pour la perfection qu’on lui désignait, se promenant dans cette même clairière recherchait un coin un peu plus lumineux pour faire goûter la pomme (qui je vous l’accorde, avait été dévoré plusieurs fois par lui-même quelques années auparavant) à sa nouvelle conquête qu’il jugeait, au départ, comme toutes les autres, médiocre mais satisfaisante.

-Je crois qu’ici ça sera parfait. S’écriât Jon désignant une petite zone déboisée non loin du petit chemin de terre.

-Qu’est ce que tu veux faire ? Dit alors la petite fille, naïve mais belles en le suivant, avec peu de joie étant tenu par la main.
-Je vais te montrer quelque chose. Dit à nouveau Jon, sourire carnassier, moqueur, esprit avide d’une pomme trop sucré.

S’assoyant tout deux dans la petite clairière, Jon, innocemment donnât un baiser un peu trop fougueux à la jeune pucelle. Celle-ci se débattant et tentant de criée tirait sans cesse sur son propre bras pour être lâché. Jon qu’en t’a lui tenant toujours sont étreinte, se baladant les mains sur le corps innocent de la jeune fille ne faisait que créé panique et pleurs chez cette seconde, malgré l’ignorance que celui-ci leurs accordaient. Arrête ! S’écriât-elle, en vains. D’un jeune homme noble et plein d’avenirs, sans que personne ne s’en soucie, on ne pouvait voir qu’a cette seconde, un violeur et un humain de bas étage, mais attendez…

Dans les fougues et les coups que la jeune fille tentât s’asséner à l’homme « toile d’araignée » un coup trop fort lui valut la maladresse d’être trop brusquement relâché et trop rapidement propulsé vers une pierre, non loin, que sa tête alla rencontrer.

Peu paniqué, soupirant, le jeune Jon creusa son premier trou… un trou de noble.

\tPeu de temps après, sans surprise, il fut invité, avec son sage père et sa tendre mère à des funérailles, sans corps. Il trouva le buffets médiocres, mais était néanmoins très heureux de porter son nouvel habits noir, il lui sied bien, à ce qu’un de ces petites amies lui a dit.

\tDans la même année, après quelques funérailles et presque autant de plaintes, toutes non suivies (notons ici le rang social de son père). Jon s’épanouissait dans toutes les disciplines qu’ont lui avaient enseignée, il avait une plaie.

\tQuelques semaines plus tard, il toussait et crachait du sang, il avait deux plaies… puis trois… puis quatre, aucune ne cicatrisaient, toutes saignaient et puaient. Sans doute et sans trop de temps, tout les médecins de la ville ayant vu son cas, c’était unanime, pour ceux-ci la lèpre, pour d’autre (prêtre) une malédiction de Thaar pour certains pêchés (cherchez lesquelles). »

Pauvre Jon, il a maintenant 18 ans, son père est mort de chagrin (et d’un accident militaires, surtout) dû a la vu de son aînée, dont tout les espoirs était mis afin que les secondes générations de son nom est un géniteur, sans oublier la fierté d’un père. Il ne lui restait que sa mère, sa sage et bienveillante mère qui de sa foi sa gentillesse et sa bienveillance pardonna son fils pour tout les pêchés qu’il lui avait confessé. Les 14 meurtres et 27 viols, tout. (Notons que c’est la seule qui le sait)

Maintenant âgées 20 ans, et sa maladie de 5 il ne restait pas grand-chose d’élégant, charmant et nobles de se cher Jon. Le jeune enfants espiègle (hors-la-loi) bien élevé, éduqué, grand sportifs et athlétique était maintenant une loque, un Zombie encore vivant, le sujet de peur pour ceux qui le voit dans ces rares sorties hors du manoir familial.

Le seul nouveau dans sa nouvelle vie de nouvel adulte était l’énorme et riche chapelle qu’il avait fait annexer au manoirs, la prière était maintenant pour lui la seule échappatoire possible à cette maladiction (waa un mot-valise) qui l’affligeait.

\tQue reste t-il physiquement maintenant de notre cher Jon ? C’est assez simple, un corps mutilé, couvert de plaies béantes saignante jonchées de pues et d’odeurs peu appréciables. Notons aussi le manque de peaux à certains endroits et la fragilité de la presque totalité de ses extrémité.

\tPour la plupart de ceux qui le voit se promener en ville, la vision peu parfois être agréable, à première vue : Un être fragile, marchant lentement et avec difficulté, très mince. Son corps est totalement vêtu de riches habits de soie et de dentelles, aucune peau n’est vu, tout est couvert, il porte généralement des gants élégants mais distingués, il aime s’habillé de blanc et de couleurs pâle, ayant probablement peur de s’attiré certaines foudres divines par certaines divinité a porté vêtements trop foncés.

\tFait étonnant, jamais on ne voit le visage de Jon, toujours cachant sont visage un finement ciselé masque de fer, au trait fin et masculin, il en possède différent, selon l’occasion, parfois ceux-ci sont très simple, sinon d’autres, ornées de pierreries et ciselé d’écriture divine et de rune magique, peuvent être complexe et magnifiques. Le dessus de son masque et les derrières et côtés de sa tête sont toujours couverts d’un voile de dentelle et de soierie.

\tIl mesure dans les 1m80 et est sans conteste très maigres, ces cheveux sont d’une couleur inconnue (si il en a) de ceux qui arrive à voir ces yeux on fond de son masque, ou s’y attarde ces yeux paraissent noisette, triste et fade.

\tNotons aussi les très fréquentes quintes de toux qui peut, parfois, lui faire cracher du sang qui sorts, malheureusement, parfois de la fine fente de son masque lui servant à respirer. (Il a aussi une garde-robe de mouchoir gigantesque).

\tIl a aussi, mais personne ne le sait, un page personnel, aussi malade, qui l’habille, le lave et s’occupe de lui.

\tD’un côté plus psychologique, aux personnes qui discutes avec lui, on voit un jeune hommes (d’après sa voix) jeune, plutôt sage, étant souvent silencieux mais ne manquant pas de sonner de sa pertinence toutes les discutions auxquelles il s’implique. Notons aussi sa pieuté et sa générosité, sa foi éternelle et sa bonté sa maladie (ou sa malédiction) l’ayant anoblie. Il est très calme, patient, semble tout aimé et tout chérir, il a peu d’ambitions et n’aime pas trop se déplacer, ce qui est facile à comprendre.