A Meserole

A Meserole

Post by Aziz, AdM - December 6, 2011 at 1:21 AM

Une lettre avec des grains de sables était parvenue sur la tête d'Anteia. Une manière bien originale de faire passer un message. L'aigle qui avait transporté la chose était énorme et ne lâcherait pas la mercenaire avant d'avoir eu sa réponse.

Meserole,

J'aimerai avoir un entretien avec votre personne dans les plus brefs délais, pour une affaire plus que sérieuse. Renvoyez vos disponibilités par le biais de cet aigle.

Merci d'avance,

Aziz Bakhir.


Post by Anteïa Meserole, Adm - December 6, 2011 at 5:15 AM

*Et c'est non sans prononcée tous les sacres qu'elle connaissait qu'elle decrocha sa dague pour la.pointer vers le volatile. Et c'est toujours en blasphemant qu'elle rangea sa dague et pris la missive tombée au sol. D'une main elle tenatit de retirer tous le sable de sa chevelure, de lautre elle tenait la missive ouverte. Un grognement accompagna la fin de sa lecture et elle rentra dans l'établissement par la suite. Au retour elle avait replier la missive en suivant les plis précédant et la jetta au pied de l'oiseau.Au bas de la missive on pouvait dobc lire : *

A.M.

*Allez savoir la signification... mais la jeune femme avait le visage fermé et comme toujours elle ne semblait pas particulierement de bonne humeur. *


Post by Aziz, AdM - December 6, 2011 at 9:44 AM

Aussi rapide que l'éclair. Même pas une journée avant que le volatile ne revienne avec une réponse. Un papier froissé autour d'une rose noire, que tenaient les serres du volatile royal. Déposant de nouveau le message aux pieds de la mercenaire, l'aigle se permit de pester contre elle, émettant des bruits assourdissants. Visiblement, il en attendait plus.

Et sur le morceau de papier on lisait:

A.M

Rendez-vous dans deux jours pour parler de cette fleur, que vous avez emprisonné entre vos murs.

Aziz Bakhir.

Oui bien entendu, en y regardant de plus près il s'agissait d'une simple rose rouge, recouverte de cendre. Le message était explicite, le sérieux de l'affaire battait son plein.


Post by Anteïa Meserole, Adm - December 6, 2011 at 6:16 PM

Et pour le pauvre piaf, il aurait du prendre en compte que l'arc dans la main de la grande noire n'était pas que pour faire jolie. Des années de pratique et de vigilance, elle décocha vers le volatile une de ses flèches rapide.

Mais il semblerait qu'il ne faut jamais tuer le messager. Question de principe. Ainsi, la flèche ne fit qu'effleurer un flan du volatil en vol, le rendant ainsi plus léger de quelques plumes, la peau pratiquement pas égratigner.

Et le reste de sa journée fût très... morose. Le piaf l'avait déranger durant la seule chose qui lui procurait du plaisir, la chasse de son petit déjeuner. Et ses histoires de prison n'était pas pour lui plaire, oh sa non.