[Confrérie Pourpre]
Post by Yriel Asuryan, AdM - January 8, 2012 at 2:34 AM
Estimés Mages de la Confrérie Pourpre,
Si je prends la plume aujourd'hui, c'est que je suis douleur.
En effet, j'ai récement été la victime d'un, voir de plusieurs viols à répétition et relativement sauvages.
Les formes avantageusement sculptées de mon physique herculéen n'ont cependant rien à y voir.
Je m'explique.
Depuis la mise en circulation, par vos soins je crois, de crystaux d'enchantement, il semblerait que le don de télépathie se soit propagé à travers Systéria plus rapidement que la plus virulente des pestes buboniques.
Ces derniers jours, j'ai un peu l'impression de servir de salon de thé pour télépathes, qui ne se gênent pas pour me parler ou m'influencer, en prenant soin de cacher leur nom bien entendu.
Si je n'étais pas sûr d'avoir affaire à des télépathes, grâce aux enseignements de votre Initiée Sakamae Nakaki (qui est un de vos éléments les plus compétents à n'en pas douter), je demanderais probablement à être interné dans le propre hospital dans lequel je travaille.
Toutes ces intrusions dans mon fort intérieur me faisant l'effet de me faire pénétrer sauvagement par une carriolle entière de trolls de cavernes, je m'interroge quant aux issues possibles à mon problème.
N'êtes vous pas censés protéger les habitants de Systéria des abus et dangers exercés par les mages ? Comment est-il possible que des pratiquants aient si facilement la possibilité de violer l'intimité des gens à votre nez et à votre barbe ? Qu'est-ce qu'il les empêcherait de faire de même sur l'Impératrice, le Prince-Consort ou ... le Surintendant ?
Convaincu de votre bonne volonté et des solutions rapides que vous pourrez m'apporter, je suis certain qu'il ne sera pas nécessaire que je soumette le problème à ce dernier, qui semble fort s'intéresser au devenir de la population Systérienne depuis son retour.
Acceptez l'assurance de mes sentiments les meilleurs,
Recrue Asuryan,
Armée des Mercenaires.
Post by Sakamae Nakaki, CP - January 8, 2012 at 4:43 PM
Un accusé-réception fut envoyé à la recrue Asuryan. À l'endos du papier était noté que l'homme pouvait rejoindre la demoiselle Nakaki au dispensaire de la moyenne ville, près du coin chaud, pour discuter des agressions dont il fut victime.