Au chevalier Al'Kazar et à sa fille Sherazade

Au chevalier Al'Kazar et à sa fille Sherazade

Post by Aziz, AdM - February 28, 2012 at 10:39 AM

Une lettre écrit dans le langage d'allabram fut envoyée à ces deux personnes précises, pas d'autres. C'est un aigle doré qui leur apporta à chacun le mot.

Le sable fera toujours vivre son âme.

Bien que les messages qui y seront écrit soient éphémères, le vent les emporte aux quatre coins du désert: elle restera parmi nous.

J'aimerai vous serrer dans mes bras afin de partager cette peine qui nous remplit.

Mes condoléances.

Aziz.


Post by Anar Al Kazar, AdM - February 28, 2012 at 12:02 PM

Saevan trouva aussi sur l'oreiller de leur lit une note d'Anar...

Mon amour,

Je suis vraiment désolé. Il fallait que ça arrive le jour où je n'étais pas de patrouille en basse. Nous traverserons ce terrible moment ensemble, compte sur mon épaule pour t'y appuyer.

Je t'aime

Anar


Post by Shigeru Maeda, Adm - February 28, 2012 at 2:31 PM

Et un mot de son Major adoré...

Caporal,

Toutes mes condoléances. Prenez le temps qu'il faudra pour vous en remettre, vos collègues s'occuperont de vos dossiers le temps de votre absence.

S'il m'est possible de faire quoi que se soit.

Shigeru Maeda. Major de l'Armée des Mercenaires.


Post by Asphaar Meliamne, AdM - February 28, 2012 at 6:51 PM

Caporal,

Mes plus sincères condoléances à vous et votre famille.

Capitaine A. Meliamne


Post by Cyriel S. Selaquii, Adc - February 28, 2012 at 7:59 PM

*Le couple de chevaliers reçurent, au Manoir Al'Kazar, la suivante missive qui rejoignit les autres, dans la pile. La rumeur du trépas de la jeune et fougueuse ainée des jumelles Al'Kazar s'était ébruitée, à priori. *

Monsieur et Madame Al'Kazar,

Je tenais à vous présenter mes plus sincères condoléances. Soyez assuré de mon soutien, s'il était possible de faire quoi que ce soit afin d'alléger votre peine.

Mademoiselle Cyriel S. Selaquii.


Post by Domilixia Segal, AdC - February 28, 2012 at 9:30 PM

Saevan, cher ami,

J'ai été informée du malheur qui t'afflige en ces jours. Je tenais à t'offrir mes condoléances. Je sais à quel point il peut être difficile de perdre un être cher et à quel point c'est pire lorsqu'il s'agit de notre enfant.

Si je peux faire quoique ce soit pour apaiser ta peine ou pour t'être utile, surtout, n'hésite pas.

Domi


Post by Saevan Al Kazar, AdM - February 29, 2012 at 3:37 AM

Ce jour la, Saevan s'était levé tot, il était de patrouille au port toute la journée et n'était revenu chez lui que vers la fin de l'après midi. A sa surprise, une pille de courrier l'attendais. Il en lu une, puis une autre.. et une autre.. Posa sa main sur son coeur et tomba a genoux. Mais ce n'était pas du a la grande tristesse de l'homme, le choque était trop fort, son coeur malade était entrain de fléchir. La douleur physique et mentale semblait insuportable.

Sa vision devenait flou, sa respiration saccadé. Il commencais déja a se voir au coté de tout les gens qu'il avait perdu au fil des années, Dune, Sephyr, Maal.. et sa fille. La mort soulagerait t'elle finalement le Chevalier de sa bataille sans fin et de sa malédiction a survivre.. encore et toujours survivre..

Non, la vie était trop cruelle pour le laisser allez ainsi. Saevan survivrait un autre désastre de soufrances.

Tout ceci dans le cours espace de 5 minutes. Il finit par se relever et pris la peine de répondre au lettres, mais d'une manière très protocolaire. Seul quelques mots changeait.

Notament, pour le Major :

''.. J'aimerais être en permission jusqu'a son enterrement..''

Et une autre personne qui comme lui, avait franchis les époques :

''..Domilixia, ton amitié compte plus pour moi que tu ne peux l'imaginer..''

Mais pas de larmes pour le Chevalier, il les avait déja toute versé..


Post by Adalard Dranem A.K, OdS - February 29, 2012 at 4:46 AM

Saevan,

Je suis assez bien placé pour savoir qu'aucune condoléances n'enlèvera la douleur dans notre coeur, mais je dois vous voir. Saeril n'est pas parti sans rien vous laisser.

Adalard.


Post by Shérazade Al'Kazar, AdM - March 1, 2012 at 4:04 PM

Perchée au sommet d'une falaise, surplombant l'horizon marin, Shérazade serrait entre ses mains une missive. Ni l'air humide de l'océan, ni la pluie fréquente de ces derniers jours ne l'avait humidifé, mais ses larmes incessantes - celles provoquées par la brisure d'une partie de soi.

Aucune réponse ne parvint, pour l'instant.