Réforme de l’éducation Systérienne

Réforme de l’éducation Systérienne

Post by Sinriia Mel'Viir - March 29, 2008 at 6:29 AM

Réforme de l’éducation Systérienne

Enseignement de premier cycle :

Tout enfant natif de Systéria âgé de huit à douze ans devra obligatoirement s’instruire sur les bancs d’école afin de parfaire ses connaissances de la langue, des calculs de base, ainsi que pour se faire initier à l’histoire du peuple Systérien et à la géographie de l’île. Un prêtre de l’Ordre du Soleil se chargera de leur enseigner les préceptes et les dogmes de Thaar.

Programme d’étude primaire :

Tout parent a pour obligation d’inscrire ses enfants annuellement au coût de cent écus par rejeton, sous peine de recevoir une amande de mille écus par enfant non inscrit annuellement. Les orphelins et les citoyens incapables de payer les inscriptions pourront compter sur la fondation Vonbrochert ou tout autre organisme de charité afin de répondre au besoin.

Les élèves ayant terminés le programme sont libres de poursuivre leur éducation au second cycle ou retourner auprès de leurs parents.

Lieux d’apprentissage :

Enseignement de second Cycle

Les adolescents âgés de treize à dix-huit ans sont invités à approfondir leurs études générales avec le choix d’une spécialisation particulière dans le but de préparer leur carrière future.

De ce fait, l’empire engagera par contrat des professeurs de toutes les guildes afin que ces derniers préparent l’avenir de chaque jeune dans la voie qu’il désire.

Programme général d’études secondaires :

Programmes d’éducation professionnelle disponibles :

L’enseignement de second cycle n’est nullement obligatoire. Les citoyens désirant instruire leurs enfants devront payer cent cinquante écus par an pour le programme général et trois cent pour le programme professionnel.

Si l’élève n’est pas réinscrit au début de l’année suivante. Il ne serra plus en mesure de poursuivre ses études aussi longtemps que son inscription n’aura pas été renouvelée.

Un élève bénéficiant de l’enseignement professionnel d’un enseignant reconnu par la chancellerie et par la guilde concernée sera considérer par la dite guilde du même rang qu’un individu n’ayant pas sa citoyenneté venant de la rejoindre.

Après les examens finaux de la dernière année, l’Université et la guilde reconnaîtront le finissant comme membre à part entière de la guilde qui lui a prodigué ses enseignements. Les diplômés n’auront donc pas besoin de recevoir à nouveau la formation primaire de leur guilde.

Aucun étudiant ne serra payé au cours de sa formation. Si l’enseignant juge que le travail de l’étudiant est exemplaire et mérite récompense, l’étudiant recevra une bourse d’étude avec l’accord de la chancellerie.

Lieux d’apprentissages :

Tous les étudiants de second cycle suivront leur cours généraux à la salle de classe de la bibliothèque impériale. Qu’ils soient bourgeois, nobles ou habitants de la basse.

Les enseignants de programmes professionnels sont libres de donner leurs cours à l’endroit qu’ils désirent, s’il y a assurance qu’aucun étudiant ne soit en danger.

Contrat d’enseignement :

Chaque professeur sera nominé par leur dirigeant de guilde familière et devra être évalué pour ses compétences par la chancellerie. Un contrat d’un an ou plus peut être signer pour chaque enseignant qui recevront un salaire annuelle de mille deux cent Écus en plus de leur salaire de guilde.

Le chancelier se réserve le droit en tout temps de briser le contrat si l’enseignant fait preuve d’incompétences ou d’erreurs flagrantes nuisant au bon déroulement de l’apprentissage des élèves. Des amandes de cent à mille écus seront versés pour les infractions mineures.
Enseignement de troisième cycle

L’éducation de troisième cycle correspond aux attentes demandées pour atteindre les rangs de fonctionnaire de l’empire. Un âge mature est requis pour faire la demande. Le futur fonctionnaire peut suivre ses cours gratuitement tout en débutant sa formation dans la branche qu’il désire, si jamais celle-ci manque de personnel.

Non seulement il doit apprendre ses futures tâches à la lettre en plus de les exécuter, mais il doit également suivre une formation rigoureuse hors des temps de travail afin d’approfondir ses connaissances générales.

Programmes d’éducation professionnelle offerts par l’empire :

Programme Universitaire supervisé par le Chancelier:

Le programme général est obligatoire pour tous les fonctionnaires impériaux. Les nobles ont droit de suivre les cours tout comme la garde impériale, mais n’y sont pas obligés. Les cours seront donnés à la bibliothèque impériale.

Nul salaire supplémentaire n’est accordé aux formateurs et aux enseignants de troisième cycle. Cette tâche fait déjà partie de leur travail quotidien.

Première réforme de l’éducation Systérienne écrite par la chancelière Sinriia Mel’Viir.


Post by Sinriia Mel'Viir - March 29, 2008 at 6:31 AM

Convention des Enseignants :

Article 1 : Contrat

1.0 – Tout enseignant désirant enseigner dans l’enceinte de la citée de Systéria devra avoir l’approbation du chancelier des Universités afin d’être reconnu comme enseignant officiel.

Tout contrevenant recevra une amande de trois mille écus. Les récidivistes perdront le droit à jamais d’enseigner sur les terres de l’empire.

1.1 – Afin qu’un membre d’une guilde puisse accéder au rang d’enseignant d’un programme professionnel de second cycle, ce dernier devra avoir été référé par son supérieur de guilde pour ses connaissances irréfutables dans la matière et son tempérament exemplaire. Le chancelier se réserve le droit d’évaluer le candidat avant de signer le contrat d’engagement.

1.2 – Les enseignants de troisième cycle doivent être reconnus officiellement par le chancelier et par son ministre attitré selon sa vocation. Le ministre peut se charger lui-même de la formation des aspirants de sa branche. Un membre de la noblesse ayant fait ses preuves dans le domaine auparavant aura droit d’enseigner avec l’accord du ministre et du chancelier.

1.3 – Après leur évaluation, tout enseignant devra signer un contrat stipulant qu’il prend la charge officiel de son programme et devra mener à terme ses engagements dans l’éducation de ses élèves selon leur degré avant la fin de l’année scolaire. Ce dit contrat est renouvelé à chaque année scolaire.

1.3.1 – Les enseignants de premier cycle disposeront d’un salaire de huit cent écus annuellement.

1.3.2.1 – Les enseignants de programme généraux de second cycle disposeront d’un salaire annuel de mille écus.

1.3.2.2 – Les enseignants de programmes professionnels toucheront une rémunération annuelle de mille deux cent écus.

1.3.3. – Les enseignants de troisième cycle seront non rémunérés puisque cela constitue leur travail quotidien de former les apprentis. Les membres de la noblesse qui ne sont pas déjà employés par la Couronne recevront une prime annuelle de mille cinq cent écus.

1.4.0 – Le chancelier a le droit de briser le contrat de l’enseignant à tout moment s’il y a accumulation d’infractions mineures ou majeures contre lui.

1.4.1 - Les ministres en rapport avec leur branche familière et le chancelier peuvent briser le contrat d’un enseignant qui se démontre non qualifié pour présenter la matière qui doit être donnée.

Article 2 : Programme d’enseignement

2.0.0.0 – Tout enseignant nouvellement engagé sous contrat à la tâche de bâtir le programme annuel de son cour et de le présenter au chancelier afin de le faire approuver.

2.0.0.1 - Dans le cadre de l’éducation universitaire, les ministres auront droit de modifier ou rejeter tout programme attitré à leur branche tout comme les cours généraux des trois premiers cycles avec le consentement du chancelier.

2.0.1 – Après le départ d’un enseignant qui ne renouvelle pas son contrat. Son successeur est libre de reprendre et d’appliquer le même programme que son prédécesseur ou de le modifier selon ses intérêts. Il devra cependant faire approuver toutes modifications ou la création de son nouveau programme au chancelier.

2.1 – Tout programme scolaire doit être subdivisé en plusieurs degrés selon l’âge du candidat. Les deux premiers cycles étant divisés en cinq années (degrés).

2.1.2 – À la fin d’une année scolaire, l’enseignant doit faire passer un ou des examens complets qui englobent toutes notions qui furent enseignées au cours de l’année. La pondération globale des examens est à la discrétion de l’enseignant.

Un bulletin des résultats de l’élève doit être envoyé au chancelier afin de compiler les notes dans son dossier tout au long de sa formation.

2.1.3 - Suite à un échec, l’élève aura la chance de reprendre l’examen au cours de l’année suivante en suivant des cours de rattrapage, ou devra reprendre l’année au complète si l’enseignant ou le ministre le juge nécessaire.

2.1.4.0 - Après la compilation de la moyenne générale des notes des différents cours de chaque étudiant de premier et second cycle. Le chancelier jugera si l’élève sera gradué au prochain niveau, ou recalé au même degré.

2.1.4.1 - Après la compilation de la moyenne générale des notes des différents cours de chaque étudiant universitaire. Le chancelier en accord avec le ministre de la branche étudié en question se réserveront le droit de graduer l’élève ou de lui faire repasser les tests ou son année complète s’il y a échecs.

2.2 – Tout programme d’éducation doit respecter les dogmes et préceptes de Thaar. Les programmes ignorant cet article se verront dans l’immédiat refusés ou supprimés.

2.3 – Le chancelier tout comme les ministres se réserveront le droit d’intervenir et de modifier tout programme qui semble inadéquat à la bonne éducation des élèves.

Article 3 : Discipline et sécurité

3.0 – Tout enseignant doit s’assurer que les règles des établissements scolaires ou de visites sont respectées.

3.1 – Chaque enseignant est responsable de sa propre discipline de classe. Il doit se faire respecter tout comme il doit s’assurer du respect de chaque étudiant et du matériel scolaire.

3.2 – L’enseignant devra préparer le bulletin de comportement annuel de chacun de ses élèves et le faire parvenir au chancelier.

3.3.0 – L’enseignant doit s’assurer de la sécurité de ses étudiants en tout temps. Il ne doit jamais les exposer à des dangers réels.

3.3.1 – Les duels de combat ou de magie entre étudiants sont tolérés, s’ils sont règlementés et sécuritaire.

3.4.0 – En cas de blessure sur étudiant ou un enseignant au cours d’un exercice ou d’un examen pratique, l’enseignant en charge devra écrire un rapport expliquant les faits de l’incident.

3.4.1 – Une enquête peut-être menée par le chancelier si le rapport n’est pas concluant ou s’il y a présence de doutes de corruption de ce dernier.

3.5 – Le chancelier peut intervenir ou assister à chaque cours donnés par ses enseignants afin de les évaluer.

Article 4 : Sanctions

4.0 – Les enseignants commentant des infractions mineures recevront au maximum trois avertissements cumulatifs sur deux ans. Suite au troisième, l’enseignant sera suspendu pour une durée d’un an. Il pourra ensuite réintégrer son poste au bon vouloir du chancelier.

Exemples d’infractions mineures : Irrespect envers collègues et étudiants, Absence non justifiée à son cour, vandalisme du matériel scolaire.

4.1 – Les enseignants commettant des infractions majeures seront expulsés à jamais des écoles de Systéria. Passible d’amande de mille à cinq mille écus ou même d’être convoqué au tribunal selon la gravité du cas. Révocation immédiate de la licence d’enseignement.

Exemples d’infractions majeures : Exposer les étudiants à des dangers réels, utilisation de la force excessive de façons délibérée dans un processus disciplinaire, attaque physique sur un collègue, attaque verbale ou physique contre le chancelier, falsification de résultats scolaires.

Première convention des enseignants rédigée par la chancelière Mel’Viir.