Poussières et parchemins pour une Sainte.

Poussières et parchemins pour une Sainte.

Post by Anonymous - September 5, 2008 at 10:50 AM

Séverin était souvent enfermé dans la bibliothèque à tradruire des parchemins qu'il avait ramené de Brégunia. Il rédigeait une version en commun et large public la biographie de la Sainte Vestale Vera.Ne faisant pas cela pour la gloire, son bouquin était disponible à la vue de tous avant même qu'il soit fini. Les gens pouvait donc y laisser leur commentaire au fur et à mesure.

Les Grands Récits Bibliques

Les Grands Saints Thaariens.

La Sainte Vestale Vera

Vera, officiellement baptisé Vera Fadre, est née dans un Duché rural de Brégunia, nommé la Vallée d’Or, pour son blé d’une exceptionnel qualité.Ses parents, très croyants étaient d’humbles fermiers. Elle était l’aîné d’une famille de 8 enfants. Vera reçu une éducation Thaarienne, donné par l’abbaye de la région, alors sous la tutelle du frère Abbé Levinius Ducal. Elle reçue une éducation destinée à la mener à la prêtrise. Sa maîtrise des vertues sur le plan pratique était indéniable mais l’abbaye, très conservateur, avait de nombreux examens écrits, obligatoire. Hors malheureusement pour elle, Vera n’avait pas le don pour les lettres et échoua la plupart de ses examens. Elle fut donc renvoyée à sa famille, déshonnorée, humiliée.Louangeons notre Seigneur par contre puisqu’elle su lui rester fidèle. Vera savait que justice viendrait pour ses talents. Mais une fois à la maison, ses parents lui dire qu’elle était assez âgée pour partir en ville se trouver un mari et fonder sa propre vie. Le coeur lourd, elle partit pour Brégunia. Son chemin fut sans embûches et empreint des longues et plaisantes discutions qu’elle eue avec de charmants inconnus, devenus pour cet instants, des compagnons de voyage. Ils échangèrent longuement durant ce voyage jusqu’a se que que le clocher de l’immense cathédrale de Brégunia perce le ciel, annonçant, salvateur, la fin du voyage.Ses cloches sonnèrent, des lieues à la ronde, annonçant un mariage, un baptême, un courronnement ou simplement l’heure. Mais elles sonnèrent à des lieues et des lieues et surtout, dans le coeur des voyageurs, dont le pas en fût alléger. La plupart du groupe se dirigea vers la taverne pour se remplir la panse et laisser derrière les tourments d’un voyage souvent trop difficile. Mais Vera elle avait un vide, un vide énorme qu’elle devait absolument combler.