[Rites et rituels] Les bénédictions Thaariennes

[Rites et rituels] Les bénédictions Thaariennes

Post by Archiviste de l'Ordre - June 17, 2009 at 12:14 AM

Depuis son arrivé en Systéria, le vieil homme n'avait pas eu l'occasion de socialiser comme il l'aurait souhaité. En fait, son arrivé l'avait réellement perturbé. Il était étonnant de voir combien le clergé était désorganisé et ne respectait que trop peu les traditions, se pliant au jugement et comportement populaire. C'est ainsi, que dans un vent de tradition, Télésphore publia ces écrits. L'Homme sortit tout droit de Brégunia, il publia d'abord le premier rituel que doit exécuter un futur membre de la famille pour entamer sa vie Thaarienne. Décrit dans ces moindres détails, il serait toujours possible de modifier certains côtés, plus superficiels, dans le but de satisfaire le clergé et la population. L'avis de tous étaient, naturellement, désirés.

Telcontar, signifiant Grand Pas en langage ancien, est le premier pas d’un jeune croyant dans la vie Thaarienne. Le Telcontar ne suffit pas pour devenir un Thaarien, il s’agit simplement de l’initiation de ce dernier. En acceptant de recevoir le Telcontar ou en le recevant à la naissance, on se donne entièrement à Thaar, tout comme le Bon se donne entièrement à nous, car Thaar est bonté et amour, justice et pureté. Il rend le sujet pleinement enfant de Thaar et le fait ainsi entrer dans la grande famille de Thaar, Thaar qui est Notre seul rédemption à la perversion. Il n’y a ni âge, ni race, ni aucune autre condition pour recevoir le Telcontar, car Thaar aime tous et chacun comme il se doit, pécheur ou non. Il revient à l’Homme de décider s’il rend son amour inconditionnel au Juste. Concernant ceux dont la perversion et le Mal ont scellé leur cœur et leurs oreilles, ceux dont la vue est couverte par un voile épais de rancœur et de haine, un grand châtiment les attend. Il s’agit de ceux ayant reçu le Telcontar, jurant d’aimer et de croire en Thaar alors qu’il n’y croit pas, cherchant à tromper Thaar et les croyants. En fait, ils ne trompent qu’eux-mêmes et ce, sans s’en rendre compte. Il y a dans leur cœur des maux, le doute et l’hypocrisie, et Thaar les laissent croître. Ils auront un châtiment douloureux pour avoir menti, au moment venu. Bien que Thaar aime tous ces enfants, il faut avoir reçu le Telcontar pour bénéficier de sa grâce sans quoi nos âmes errantes seront repêchées dans l’Éternité pour rejoindre les profondeurs des abysses, au côté du Vilain, le Prince Noir. Sans la grâce octroyée par le Miséricordieux, il est impossible de se laver de ss péchés et de mener une vie lumineuse.

Soulagement de l’esprit

Un esprit damné et perturbé ne peut recevoir Thaar en son sein. Thaar est lumière et pureté et doit, de par sa compassion et son immense sagesse, purifier l’âme du pécheur avant de l’accueillir dans sa famille. Il est donc obligatoire pour l’individu souhaitant recevoir le Telcontar de se confesser auprès d’un homme de Thaar afin de purifier son âme et de reprendre une nouvelle vie vertueuse. Par la suite, il sera apte à franchir le seuil de la famille Thaarienne, mais devra, comme tous, entretenir cette pureté par le biais d’une confession régulière.

Libération de l’esprit

La route qui nous mène aux côtés de Thaar n’est pas sans embûches. L’Homme respire la perversion et est entouré d’âmes des plus damnées. Nos démons nous guettent à tout moment, peu importe l’endroit. Il est donc possible que l’individu s’accable d’un péché entre le Soulagement de l’esprit et le début de la cérémonie du Telcontar. Il est alors important de se confesser de nouveau le jour même de la cérémonie, juste avant le début de celle-ci. Le sujet doit respirer la pureté et libérer son esprit de ses démons intérieurs, vider son esprit afin que ce dernier ne se heurte à aucun obstacle qui pourrait le ternir. Une mauvaise pensée, un souvenir rancunier, toutes ces pensées et gestes suffiraient pour noircir l’âme de l’Homme et ainsi faire échouer le Telcontar.

Purification des lieux

«Là où lumière est, ombre n’est pas loin.» C’était les paroles d’une grande femme… Même si le lieu de cérémonie du Telcontar est habituellement un temple Thaarien ou un monastère, le maitre de cérémonie se doit de purifier les lieux avant l’entrée de celui qui recevra le Telcontar. Pour purifier l’endroit de la cérémonie, le Prêtre doit simplement s’y recueillir et implorer La Lumière Immortelle de chasser tout mauvais anges et esprits coquins afin de préserver la pureté et l’innocence de celui qui s’apprête à rejoindre les leurs. Une fois que le tout est fait, les invités et le sujet peuvent entrer dans les lieux. Ce dernier est emmené à part pour revêtir une toge de la famille représentant le début de sa nouvelle vie et la libération de tous ces fardeaux spirituels. Il doit aussi revêtir des sous-vêtements blancs représentant la pureté et la promesse de s’abstenir de succomber au péché charnel jusqu’au moment du mariage.

Discours d’introduction

Alors que les invités sont déjà en place et que le maitre de cérémonie est prêt, le sujet peut faire son entrée dans la salle de cérémonie. Par la suite, le maitre de cérémonie récite son discours et les prières nécessaires à la réussite du Telcontar.

La connaissance vertueuse

Alors que l’homme est au milieu du Soleil à huit pointes, nul être vivant ne doit aller le rejoindre. Chaque rayon du soleil pointant en direction d’une bougie, chacun symbolisant les huit vertus thaariennes, le croyant doit allumer chacune d’elles en promettant devant Thaar de faire de ces vertus ses principales valeurs dans la vie et de les défendre au prix de sa vie, fragile présent offert par le Juste. Il doit répéter son serment à chaque bougie qu’il allume, prenant le temps de laisser la bougie se consumer pour respirer l’essence de Thaar et laisser ainsi le Pardonneur pénétrer son corps.

La conduite vertueuse

Les bougies allumées et Thaar ayant entré dans l’esprit de l’homme qui reçoit le Telcontar, le Maitre de Cérémonie entrera par la suite à l’intérieur du soleil. Thaar faisant déjà partie entière du sujet, il n’y a plus aucun risque de perversion ni de ternissement de l’âme. Ainsi, il récitera les neufs préceptes qu’un croyant doit absolument respecter pour se voir accorder la grâce nécessaire à la vie éternelle au milieu des cieux, à la droite du Père. Avec ferveur et honnêteté, l’homme doit répéter les préceptes et jurer de les respecter avec droiture et discipline sans quoi il se montrera indigne de la compassion du Seigneur. Par la suite, l’homme devra boire de l’eau bénite dans la coupe sacrée du Telcontar. Malgré la fumée des bougies ayant emmené Thaar dans son esprit, ouvert ses yeux à sa Bonté, animé ses oreilles à ses sages paroles et purifié sa langue de viles paroles, le cœur de l’homme reste toujours vulnérable aux forces maléfiques. Ainsi, avec l’eau bénite, Thaar saura entrer entièrement dans son corps et rejoindre son cœur pour ainsi faire de lui un fier croyant, à la foi inébranlable et à la servitude infaillible.

Remise du chapelet béni

Une fois toutes ces étapes passées, le Maitre de Cérémonie remet au nouveau venu un chapelet bénit, preuve de son amour pour Thaar. Tel le mari qui porte fièrement son amour, le chapelet est le symbole de la nouvelle union entre l’individu et le Tout-Puissant, Thaar.

Discours final et prière finale

À la fin de la cérémonie, tous se recueillent et implorent Thaar de nous préserver des maux qui rongent cette terre et demandent au Bienfaiteur de mener le nouveau membre de la famille dans les sentiers qui saura le porter dans la voie lumineuse.


Post by Archiviste de l'Ordre - June 17, 2009 at 6:50 AM

Un autre écrit de la sorte vint rejoindre la salle des conclaves. Placé à la suite des écrit sur le Telcontar, les écrits sur le Laar suivait l'ordre chronologique des rituels qu'un croyant doit effectuer pour mener une sainte vie.

Laar, dérivé du mot Glawar signifiant lumière du soleil, éclat, lumière dorée en langage ancien, est le rituel qui suit le Telcontar. Le Telcontar servant uniquement à initier le sujet à la vie Thaarienne, tous peuvent le recevoir. La seconde étape à l’épanouissement au bras de Thaar passe par cette étape. En reçevant de la part d’un homme de foi le Laar, le sujet promet devant l’Éternel d’user de la violence et des armes que dans le but de promouvoir le Bien. Le Laar est comparable à l’anoblissement d’un Saint-Chevalier, le croyant se plie au fait qu’il ne devra se battre que pour le bien. Cette pratique n’étant nullement réservée aux Paladins ou aspirant de la branche martiale de la Très Sainte Ordre, elle concerne tous ceux qui veulent prêter leur bras et lever leurs armes pour des valeurs similaires à celle de la Lumière Immortelle. Bien que les âmes des sujets soient liées au Seigneur par le Telcontar, si leurs armes et leur bras ne le sont pas, toutes actes de violence enfreindra les préceptes de Thaar, que ce soit dans un but valeureux ou non. Le Grand Seigneur avait dit : Tu ne tueras que si je ne te laisse d’autres choix. Cette liberté de jugement s’acquiert qu’avec le Laar, sans ce dernier, toute acte allant à l’encontre de ce précepte est considéré comme un péché et ternit l’âme de l’acteur de cet acte. Mercenaires, pourpres et toutes autres personnes éprouvant le désir de combattre les Forces du Mal sont aptes et dignes de recevoir cet honneur de Thaar. Croyant ou non, pécheur ou non, Il n’en prend point considération, car Thaar est reconnaissant et omniscient. Même si l’individu n’est pas croyant, s’il prend ces derniers comme alliés, il est considéré comme enfant de Thaar, au même titre que les croyants. En ce qui concerne les mécréants, ces hypocrites seront, certes, au plus bas fond des Ténèbres et ne trouveront jamais secoureur, sauf ceux qui se repentent, s’amendent et s’attachent fermement au Miséricordieux.

Expiation des mains

Avant que le croyant commence la cérémonie du Laar, ce dernier devra purifier ces mains de tout vices et atrocités commises dans le passé. Plongeant ces mains dans l’eau bénite et implorant le Purificateur d’expier ces mains des indignes actes qui la composent, il récitera la prière du Pardon. Une fois ces mains vierges de violence et de sang, il essuiera ces mains d’un tissu de lin blanc, encore signe du commencement d’une nouvelle vie dans la seule voie bénéfique à l’Homme.

Sacrifice

Par la suite, le Maître de Cérémonie fournira au futur combattant du bien une poche remplis de minéraux. Ces minéraux serviront à la création d’une épée, symbolisant la puissance indéniable et la justice divine de Thaar. Traînant cette dernière sur son dos, il devra parcourir un itinéraire dans le Saint Quartier en fonction de ces compétences physiques, car Thaar n’impose à aucune âme une charge supérieure à sa capacité. Elle sera récompensée du bien qu’elle aura fait et punit du mal qu’elle aura fait. Le sujet parcourra donc l’itinéraire, poche sur le dos, avant de revenir au Temple, prouvant ainsi dans la détermination et dans la difficulté son désir de servir une cause juste et honnête. Ceux qui échoueront et abandonnerons cette épreuve seront indignes de l’amour et de la compassion du Divin. Les abysses seront à leur trousse. Ce qu’ils auront acquis ne leur servira à rien, ni ce qu’ils auront pris comme protecteurs, en dehors de Thaar. Ils auront un énorme châtiment pour cet abandon.

Remise de l’épée

Une fois de retour au Temple, glorieux et digne de l’attention du Père, le Maître de Cérémonie lui remettera une épée bénie. Le croyant devra donc réciter les prières convenues et jurer à l’épée d’être son compagnon dans la lutte du Mal jusqu'à ce que Thaar le juge au seul Tribunal qui régie réellement ces terres. Après avoir baiser l’épée, il ne fera plus qu’une avec l’Armée du bien, car l’Armée du bien n’est pas celle de Thaar. Elle est celle de tout les gentilshommes et de tout ceux qui croient au Bien et qui rêvent du Bien. Le tout est suivit d’une prière collective pour souhaiter la bienvenue au combattant et pour l’aider à rester fort et droit dans l’adversité et dans sa lutte perpétuelle.

Immortalisation de la promesse

Fin de la cérémonie. L’individu n’est cependant pas encore porteur des bienfaits du Laar. Le temple se vide et le croyant se retrouve donc ainsi seul. Il devra prendre en main son épée et rejoindre la colline des vertus. Colline bénie par Thaar lui-même, celle-ci sert à honorer tout ceux qui prêtent leurs bras et croisent le glaive en faveur du Bien. Il plantera sa lame dans le sol, bien droite, et laissera son épée avant de se recueillir sur celle-ci. Son nom sera donc immortalisé comme combattant du bien. Pour ceux qui mourreront et qui auront respectés leurs promesse, leur épée restera là à jamais en souvenir de ce brave guerrier. Ayant cru et fait de bonne œuvres, Thaar leur accordera leurs pleines récompenses et y ajoutera le surcoît de Sa Grâce. Et quant à ceux qui auront crachés sur le serment, ceux qui ont eu la morgue et se sont enflés d’orgueil, Il les châtiera d’un châtiment douloureux. Et ils ne trouveront, pour eux, ni allié ni secoureur. Leur épée sera retirée, le sol et son emprise sur celle-ci fragilisée par la volonté du Bon et cette dernière sera fondue par les flammes salvatrices, question de purifier l’Armée du Bien d’un indésirable.

Concernant la colline des vertues, elle n'existe pas mais, j'en glisse un mot à l'Équipe.
N'hésitez pas à créer une version corrigée à temps perdus.
Vos commentaires sont les bienvenues


Post by Archiviste de l'Ordre - June 22, 2009 at 6:37 AM

Après déjà un bon moment, le Disciple eu la chance de remarqué que, selon le registre de la Salle, son dossier avait été consulté maintes fois. Cependant, aucune trace n'était laissée sur ce dernier. Ne s'en faisant guère plus qu'il faut, il publia ces nouveaux écrits sur la confession.

La confession n’a pas été offerte par le Grand Thaar pour que l’homme soit justifié ou déclaré innocent par le clergé, mais plutôt afin que par ses enseignements nous reconnaissions notre faiblesse et nos péchés et que nous nous tournions vers la Bonté légendaire du Juste pour obtenir de lui le salut. Il ne s’agit pas, contrairement à la croyance populaire, d’un jugement. La confession est simplement une confrontation sereine avec la loi Thaarienne. Le porteur du Telcontar ne doit pas se fier seulement à sa conscience, car celle-ci peut être tordue. Il doit principalement se fier à l’image de Thaar et au mode de vie que ce Dernier souhaite pour nous. C’est la confrontation à cette image qui confère la dimension d’un péché à un acte, une pensée. La faute devient un péché seulement lorsque nous sommes placés sous le regard de Thaar, son regard d’amour et de bonté. Seulement les porteurs du Telcontar peuvent bénéficier de l’absolution et doivent, impérativement, confesser tout leurs péchés, peu importe la nature, la gravité et l’aspect personnel de celui-ci. Le prêtre étant l’intermédiaire entre le Pénitent et le Miséricordieux, celui-ci est soumis à une loi confessionnal. La loi du secret confessionnal est inviolable. Il est interdit pour un homme de foi, reconnu par l’Ordre du Soleil, de trahir un pénitent en divulguant, de quelconque manière et de façon intentionnelle ou non, des informations reliées ou susceptibles de laisser deviner le contenu d’une confession. Les connaissances de péchés acquises lors d’une confession ne doivent, en aucun cas, sortir du confessional. Et ce, peu importe l’atrocité, l’immondice, l’immoralité et l’importance de cette dernière. Aucun Homme sur terre ne peut mener une vie vertueuse sans avoir le besoin de se confesser. Par cela, nombreux sont ceux qu’Il égare et nombreux sont ceux qu’Il guide; mais Thaar n’égare par cela que les pervers et les non-repentis, qui rompent le pacte qu’ils avaient fermement conclut avec Thaar et sèment la corruption en ces terres

Introspection personnelle

Le pénitent doit, avant d’aller voir l’homme de foi, faire une introspection de sa vie et de revoir le souvenir des actes odieux et des égarements de son passé. Cette étape se fait seul, et n’est pas obligé de se faire en une nuit ou une journée. Le désir de se confesser et la hantise de ces souvenirs passés qui durent depuis des semaines est une introspection inconsciente. Nous revenons sur plusieurs chapitres de notre vie, revoyons nos erreurs, regrettons certains actes… Cette démarche doit être sincère et sérieuse… Oui, les malhonnêtes pourront tout de même se repentir et ainsi tromper l’envoyé de Thaar. Cependant, Thaar est intrompable, car Thaar est connaissance omniscience. Il faut que le pénitent ressente cette douleur à l’âme et cette détestation du péché commis avec la résolution de ne plus jamais pécher à l’avenir.

Présentation

Le pécheur doit se dévêtir et se munir d’une toge blanche, se mettant ainsi à nu devant les yeux du Bon. Il est nécessaire de se présenter aux prêtres, présentez-vous, ce que vous faites dans la vie, parlez de votre vie spirituelle, sentimentale, de vos aspirations. Il est important de se rapprocher de l’homme de foi de cette manière, car se rapprocher de ce dernier, c’est se rapprocher de Thaar. Bien que le prêtre soit l’intermédiaire entre les mortels et le Miséricordieux, il est aussi un support et un allié. Bien que Thaar peut vous offrir l’absolution et vous libérer de vos tourments, si certains maux vous rongent, vous ferez de nouveau les mêmes erreurs et bavures qui vous ont écartées de la Sainte Voix. Le prêtre, lui, peut vous aider à la guérison de ces maux et ainsi libérer votre esprit de ces vices et vous permettre de continuer sur le chemin de la vie avec droiture. Se confesser, c’est admettre et assumer la responsabilités de ces péchés devant le Pardonneur. Il est primordial de confier absolument tout ces péchés, même les plus secrets, car le Prêtre ne peut transmettre au Seigneur ce qu’il ignore…

Remerciement au Bon

Avant de commencer sa confession, il faut savoir ceci. Tout est prédestiné. Celui qui s’écarte de la voie lumineuse était en fait testé par le Grand, et il à échoué. Les bons comme les faux pas sont tous orchestrés par Thaar. Ils guident tous ceux qui se montrent digne de son intérêt et si les hommes échouent ces examens, soit Il les pardonne lors de la confession ou les laisse s’enfoncer dans la déchéance et dans la perversion, attendant le jour du Jugement pour les punir d’un châtiment douloureux. Donc, avant d’avouer son échec, il est important de remercier Thaar pour tout ce qu’Il nous à offert et le remercier de l’opportunité de se faire pardonner et de rejoindre de nouveau la Sainte Voix.

Pénitence du confessé

Une fois confessé et une fois que le pénitent est lavé de tout péché, le pardon n’est pas encore totalement reçut pour celui-ci. En effet, ce qui est qualifié comme un péché donne, nécessairement, préjudice à une autre personne. Un vol, un meurtre, un mensonge, peu importe la nature du péché, certaines personnes en furent affectées. Sans le fauteur et son péché, ces individus se porteraient mieux et n’auraient pas un fardeau supplémentaire à porter dans leur vie. Si le pécheur aurait eu la droiture et la virtuosité de ne pas s’écarter de la Lumineuse Voie, ces individus vivraient avec moins de soucis et de tourments. Il est donc du devoir du confessé de tenter de réparer ces erreurs et de corriger ces dernières auprès des gens touchés par sa violation aux Saintes Lois. Par la suite, avant de reçevoir l’absolution complète, le pécheur devra suivre exemplairement La Voie Lumineuse. Thaar le félicitera et le pardonnera officiellement si ce dernier fait ces preuves dans la droiture et la discipline et lui signifiera en lui enlevant tout regret et souvenirs amers dans sa passée du péché pardonné.


Post by Archiviste de l'Ordre - June 25, 2009 at 6:16 AM

Considérant l'absence de commentaires et de réactions quant aux documents présents, Télésphore, ainsi que les membres du clergés présents dans la Salle des Conclaves, conclurent que ce document serait donc valide et que le vote était unanime quant à sa véracité. Les pratiques de ces rituels pourraient donc officiellement commencées. Il est, néanmoins, jamais trop tard pour donner son avis sur le sujet. Après tout, Thaar ne tolère ni le silence, ni les semi-convictions, il faut se donner entièrement à celui-ci.


Post by Archiviste de l'Ordre - July 13, 2009 at 5:25 AM

Suite à plusieurs évènements et à une réponse positive de l'Inquisiteur aux questionnements du vieillard, le dossier était de nouveau ouvert. Tous, principalement le Clerc Dusyel, étaient invités à commenter le tout. Comme dans tout système digne de ce nom, les silences de tous seront interprétés comme un appui. Évidemment, un refus catégorique n'était pas demandé. Il était important de bien élaborer son point de vue sur la question...


Post by Esmeral, Adc - July 13, 2009 at 2:47 PM

Ainsi soit il, un archiviste eu la peine de prévenir le Clerc, le dossier fut à nouveau fermé avec un ordre aux archivistes de ne pas le réouvrir

Une note fut laissé sur le dossier disant au Disciple de ne pas s'impatienter et qu'un suivie de ses textes aurait lieu comme ils l'avaient tout deux convenu*


Post by Archiviste de l'Ordre - July 14, 2009 at 1:19 AM

Le dossier étant de nouveau ouvert, une lettre de l'Inquisiteur lui-même mettait enfin fin au règne autocratique du Clerc sur le Disciple. Le dossier resterait donc ouvert jusqu'a ce que son auteur, l'Inquisiteur ou un gradé équivalant vienne fermer ce dernier.


Post by Archiviste de l'Ordre - July 28, 2009 at 7:01 AM

Un dernier avis, l'ultime, fut envoyé à tous. Sans leurs commentaires, ces documents seront validés peu importe l'opinion, bien que tardifs, des autres...


Post by Esmeral, Adc - July 28, 2009 at 11:15 AM

Le clerc se leva pour rétorquer

A quoi bon changer un rituel qui existe depuis déjà des années dans les traditions Systerienne ? Depuis un moment j'ai vu maint prêtre exécuter ce rituel, en quoi le Baptême ne vous convient-il
pas Sanctifiant ?

Bien entendu plusieurs membres du clergé était d'accord, ce n'était pas les propositions de rituel qui manquait, ce vouloir d'un tel changement était des plus étonnant vu l'approbation de ce rituel au fil du temps