Une nouvelle fin
Post by Anonymous - March 4, 2008 at 1:45 AM
Révendo Norvek, tel était son nom.
Ramené d'entre les morts contre son gré, dans son autre vie il avait été un homme respectable. Aimé de tous, un Archevêque digne de ce nom. Le meilleur de sa contré d'ailleurs. Droit, juste, le coeur gros comme jamais, il adorait la vie et prônait Thaar comme jamais...
Jusqu'au jour où on frappa à sa porte. Le son se fit entendre partout sur ses terres.
- Oui?, avait-il alors dit.
Des étrangers, encapuchonnés et vêtu noirs comme la nuit. Des prêtes du Dieu sombre? Des êtres diaboliques. Que venaient-ils faire?
Un paladin, qui veillait toujours sur lui, s'approcha de l'entré.
- Que se passe-t-il monseigneur?
Révendo désigna les êtres.
- Que voulez-vous?, lança brusquement Révendo. Le Paladin, connu comme Jurek, attendait patiemment.
- Nous voulons le secret., avait dit le plus grand d'entre eux.
Le secret? Comment pouvait-il être au courant? Ce secret, donné d'Archevêque à Archevêque... Non, tu dois nier le tout, comme tous les autres.
- J'ignore ce dont vous voulez parler.
Ils devaient penser qu'il était ici, dans sa maison. Le plus grand d'entre eux fonça sur Révendo, plantant sa dague dans son ventre. Le paladin fut rapidement maîtrisé par un esprit de lames, l'un d'entre eux étant sans doute mage. Révendo était désormais mort, le couteau l'ayant tué dans sa main, la scène masquée comme un suicide. Une fausse lettre d'adieux laissée sur la table, et le reste de la ferme qui se mis lentement à brûler.
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Cette vie n'était plus celle qu'il avait connu. De plus, par l'annonce de son bannissement des terres Impériale, bien que le fameux Samien d'Arden n'était là que de corps, Révendo ne se sentait pas d'attaque pour continuer ce périple interminable... Cette lutte sans fin entre le bien et le mal. Révendo tâta la corde du bout des doigts, debout sur son lit, et il fit un pas vers l'avant, se retrouvant rapidement dans le vide, une corde autour du cou.
Révendo Norvek venait à nouveau de rejoindre le royaume des morts... Et ce geste marqua la fin de la vie de Samien d'Arden, son âme qui était en fait endormie en lui depuis tout ce temps.
Post by Feu, Arthas Menethil - March 4, 2008 at 3:31 AM
Dans son bureau, le paladin veillait asser tard afin de remplacer un frère qui avait visiblement bien plus à faire, sa femme venant de tombée enceinte, Arthas lui proposa donc de prendre congé et de s'occuper d'elle et lui signala qu'il allait le remplacer.
Ce soir là, tout était calme, les gardes de nuit patrouillaient sur les toits de la casernes comme à l'intérieur. La fatigue s'installait brusquement chez Arthas qui était après remèdier sur les divers corvées qu'il devrait accomplire futurement et prévoir comme si il parait pour 20 ans en voyage. Il travaillait surtout sur les dossiers d'arrestation, voir les crimes que les gens pouvaient commettre, étrangement, le gardaient éveillé mais lorsqu'il entendu le bruit provenant de la chambre de celui qui habitait le corps de l'archeveque, il se leva d'un bond comme si le feu était pris et se dirigea à grande enjambée vers la chambre de ce dèrnier.
Rendu devant le seuil de la porte, il y cogna trois fois en invoquant le nom de Révendo Norvek, lorsqu'il n'y eu aucunement réponse, il prit donc son trousseau interminable de clés et ouvrit lentement la porte. Se qu'il vit lui retroussa le coeur par trois fois. Restant planté de marbre pendant une dixaine de minute, fichu de ne rien faire et la fatigue dans le corps. Il reprit tout de même ses esprit et dégaina rapidement sa lame afin d'y couper la corps raide afin d'au moin, tenter de laisser le corps en bon état pour le retour de son véritable hôte.
Dépose le corps inerte sur le lit, il appela des vestales sur le champ et leurs expliqua les faits suite à cette macâbre découverte. Il quita ensuite la scène, laissant le corps inhabité du Duc D'Arden au soin des vestales et s'en retourna au boulot...
Décidément il fallait retrouver l'âme de sa saintetée le plus tôt possible.
Post by Anonymous - March 4, 2008 at 3:48 AM
Une vestale arriva à toute vitesse.
- Il était en vie il y a à peine vingt minutes sieur!
La vestale observa le cou puis poussa un long soupir.
- Le cou a subi des blessures irréparables. La corde était trop rude, elle a coupé une partie de la gorge et du sang s'en est échappé... Le corps est foutu.