Après un long repos
Post by Anonymous - November 1, 2008 at 4:48 AM
Samuel d'Arosa se présenta sur les marches du Temple.
- Mes fils... Désolé de ne pas avoir parlé plus tôt... J'ai dû me refaire le plein d'énergie et réfléchir un peu... Je vous ai tous déçu en couronnant Mala... Voilà pourquoi je serai ouvert aux questions...
Le regard toujours cerné de Samuel se posa sur chacun de ses membres...
Post by Théodore de Lagarde, AdM - November 1, 2008 at 6:43 AM
L'absence de Christian pu être remarquée, car Christian avait autrefois bien l'habitude de se faire informer des dernières nouvelles rapidement et de se présenter aux événements important. Mais cette fois, rien de sa part? Peut-être les autres en sauraient davantage...
Post by Anonymous - November 2, 2008 at 9:57 AM
Séverin réfléchit bien longtemps avant de parler. Chacun de ses mots pouvant être considéré comme une hérésie.
Et comme aucune de ses collègues n'osait même dire un seul mot, il sera le bouc émissaire. Un silence complet de tout l'ordre comme réponse ne ferait que l'inquiéter d'avantage donnant l'impression que son ordre se fiche de lui.
Il dicta ses paroles d'une voix très monotone et sans vigueur.
Si vous vous addressez ainsi c'est que vous êtes le premier à être déçu. En tant que personne plus sage que moi vous savez très bien vos fautes et je n'ai pas à vous corriger.Vous n'avez pas attendu que l'on vous condamne.
Enfin heureux que Mala la sanglante, vous ais épargné tout comme moi et beaucoup de nos frères. C'est une bénédiction que je j'accepte avec joie.
De notre coté nous n'avons pas vraiment à être fier de toute façon. Mis a part l'assaut final contre Mala, nous avons été fade et dissout deux fois. L'ordre a été très divisé.
J'ai en effet quelques questions pour vous sentez vous libre d'y répondre ou non. Vous n'avez de compte a rendre à personne sauf a Thaar lui même.
Premièrement pourquoi l'avoir courroné alors qu'aucune loi ne vous l'obligeait.Et je crois que vous être très conscient du symbolisme que représente un courronnement. C'est vous qui dites que Thaar accepte que cette souveraine dirige le peuple. Nous sommes une monarchie de droit divin. Vous avez dit au peuple qu'une despote était souveraine légitime.
Deuxièmement pourquoi tout se mustisme de votre cellule. VOus auriez bien pus écrire du courrier ou donner vos instructions à Saralondë qui avait droit de visite.
Que comptez vous faire pourque cela ne se reproduise plus.
Avez vous toujours la confiance de sa Majesté et du conseil impérial.
Lorsqu'il termina ses question, sa tête regardait ses pieds, ses mains elles accrochées faiblement a son chapelet dans une prière silencieuse.
Post by Anonymous - November 2, 2008 at 6:11 PM
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Il y avait certaines lois qui me poussaient à la couronner premièrement. Avec l'absence du Prince et de Sa Majesté, Mala se voyait automatiquement attribuer la couronne, que je le veuille ou non. La loi n'autorisait pas le Conseil Impérial de choisir la future "gouvernante", le tout revenait à la famille Royale dont Mala faisait parti. Je me suis donc vu obligé de la couronner. Selon l'article 62 à 67 de la constitution, rien n'indiquait que c'était au Conseil de choisir le successeur au trône et Mala étant, malgré tout, de sang royal compliquait aussi les choses. Son courronnement était inévitable.
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Mon mutisme dans ma cellule? J'étais surveillé par les gardes, de très près même, accusé de traitrise je devais m'estimer chanceux, je présume, d'être toujours en vie. Je voulais éviter à Sarä et à l'Ordre des ennuis en lui donnant des directives devant des gardes Impériaux, chose qui était très risquée. C'était déjà une chose que Thomas autorise la Médecin de l'Ordre de venir me voir dans la cellule, je ne voulais pas que ses efforts aillent servis à rien. Et cela n'a pas pris de temps avant que Mala coupe les droits de visite, me donnant encore moins l'occasion de donner des directives. J'étais pris entre l'épée et le mur, je ne pouvais me permettre un faux pas et attirer tout l'Ordre avec moi, même si vous avez vécu difficilement quand même.
Post by Sarä Taur'Amandil, OdS - November 2, 2008 at 9:58 PM
Sarälondë gardait un silence parfait alors que ses confrères questionnaient le grand maître. Le médecin en chef de l’Ordre avait déjà visiblement réponse à toutes ces questions… Son implication personnelle dans toute cette histoire de régence faisait d’elle une personne informée.
Cependant elle était bien curieuse d’entendre l’avis des autres. La situation avait tellement créé de remouds et de discorde…
Post by Mathéo Balgor, AdC - November 3, 2008 at 3:43 AM
Dans le fond de la pièce, assis sur le tout derniers siège de la table, les bras croisé, Mathéo écoutait en silence les dires. Depuis qu’il avait renoncé a son titre de Haut-paladin, il n’avais plus rien dis à personne dans l’ordre. Aussi muet qu’une bûche de bois, il restais là, les yeux a demi clos et fixait soit la table soit sa douce mais jamais il ne parlait. Des racontars aurais sans doute dis que Mathéo faisait veux de silence, d’autre que la honte lui aurait arracher la langue en présence des autres paladins. Il était comme un hollandais volant voguant dans le néant, malheureux. Son regard durant la réunion se faisais absent et placide mais il se,mblais toujours écouter cependant ce que les autres racontait.
Post by Brehan de Nogar, OdS - November 3, 2008 at 5:13 AM
Tenant une posture parfaite, le paladin de Nogar semblait bien heureux de voir Samuel d'Arosa finalement revenir au temple. Lorsque le grand maître eut répondu à Séverin, Brehan profita du silence pour prendre parole à son tour, d'un ton ferme et confiant:
-Je tiens simplement à vous souhaiter bon retour au temple. Vous pourrez constater que les choses ont bien changées depuis le début de votre emprisonnement. Pour le moment, je n'ai pas de question à vous poser, mais je viendrai m'entretenir avec vous dès que vous serez un peu plus reposé. N'hésitez pas à venir me voir, si vous avez quelconque questionnement, ou si vous désirez un rapport concernant quelque chose en particulier.
Il fit un signe de tête respectueux vers d'Arosa, cédant ainsi parole à ses confrères.