[Rapport] Xiafia.

[Rapport] Xiafia.

Post by Roland de Courcy, OdS - October 25, 2006 at 6:41 PM

Une rapport avait été rédigé, et déposé en la commanderie du soleil, a disposition de ses supérieurs. L'écriture était propre, sans être digne de celle d'un enlumineur ou d'un scribe

Moi, Roland de Courcy. Vous, serviteurs de Thaar, et membres de l’ordène du soleil, salut.

Sachez qu’il y a eut, le vingt troisième jour d’octobre, à heure de vesprée, une echaffourée en l’auberge, dont je fus victime.

C’est au nom de Dieu, qui est une personne et un vrai Dieu qui vit et règne toujours, que nous avons pour patron de toutes nos actions et aussi pour nous soyons plus fort, nous et ceux qui descendront de notre lignage, ainsi que pour restaurer une autorité perdue, que je vous demande de prendre le temps de lire ce récit qui sera peut être long et fastidieux.

Tout a commencé le vingt troisième jour d’octobre. J’étais en l’auberge lorsque messire Mathéo est arrivé. Il a courtoisement enjoint, à une femme de la horde, de se mieux vêtir puisqu’elle avait le ventre nu. Suite a cela, il y eut en l’auberge, une sorte de rébellion de masse, dont le conduiseur était un certain Clavius, et appuyé par « Maal ». Ils se dévêtir tout deux, suivit de quelques autres… Inutile que nous n’étions point nombreux en suffisance, et trop peu aduré aux armes pour imposer la loi…

Le jour suivant, en entrant dans l’auberge, j’ai croisé Maal. Il était d’humeur a se truffer de l’ordre, et me voulait courroucer, par simple plaisance de m’ouïr, car, en verité, il aime mon ose et il lui plait d’avoir, semble t-il, un ennemy able en parleries.

Après avoir mal parolé a plusieurs reprises sur l’ordène, en affirmant que nous étions des sots inutiles, et qu’il n’avait pas une once d’estime et respect pour les gens de notre ordre, sauf peut être Sire Kalidor et ajouta aussi qu’il était plus puissant que notre ordre désuet, allant même jusqu'à affirmer que certains gens de l’ordène se voudraient joindre aux mercenaires…

Je lui ai courtoisement fait savoir qu’il était une mauvaise gens et que eviter d’inutiles effusions de sang, il était plus sage que nous cessions de nous échanger ne serait-ce que des salutations, même en bonne et due forme. Il me parait ici important de citer la présence de messire Arthur, ainsi que de Dame Akhana, qui furent les témoins de ces échanges.

Puis, alors que nous allions nous quitter, Xiafia arriva. Fort de cette nouvelle présence, Maal m’enditta de l’état de son armée, en affirmant, non sans fierté, qu’il venait de recruter celle-ci en son armée. Puis, Xiafia prit la parole, en riant ; elle voulait nous encolérer et dit : Je ne suis qu’une recrue, mais je monterai vite en grade, puisque je suis une bonne guerrière, et, nous ne sommes pas, nous, comme les gens de l’ordre du soleil : Nous n’arrêtons pas les honnêtes gens, et ne laissons pas les malandrins en paix.

Je n’ai pu conservé mon calme devers une semblable insulte : Insultes envers les gens de notre ordre, mais également envers les préceptes de la chevalerie et nos aïeux qui ont voué leur vie pour que le bien prévale sur le mal. Aussi, ai-je répondu a celle qui que son ascension en l’armée des mercenaire sera véloce, puisqu’elle est une femme ouverte… … De toute part.

Inutile de vous dire que, suite a cela, elle fut moult courroucée et qu’en l’auberge, elle tira de son fourreau un baselard, sorte de grand couteau a la lame ondulée, et qu’elle me planté icelui en le bras senestre. Une navrure profonde, et que me cuit aujourd’hui encore.

Après avoir recordé a Sire Swan, par le menu, cette déconvenue, nous partîme en quête de la dite protagoniste de notre affaire, seulement, craignant d’être engeôlée, elle disparu deux jours durant de la ville et quand enfin il réapparu et que Sire Swan lui enjoignit par six fois de se rendre, elle prit la fuite, sans que n’ayons pu nous lancer a sa ressuite aussi vélocement que nous l’eûmes souhaité.

Je n’ai pas les compétences nécessaire a faire céans l’énoncé de ses forfaits, aussi vous laisserais-je faire, en demandant simplement de faire de cette femme un exemple, qui nous aiderait a faire remirer notre ordre.

Et de ceci vous mandons délivrer ce présent rendu avec mon sceau de plomb attaché auquel est inscrit mon nom. Donné en la très noble cité de Systéria, le vingt cinquième jour d’octobre, ère de mil quatre cents et sept ans.


Post by Arthur de Diaoc, OdS - October 26, 2006 at 6:01 PM

Une feuille manuscrite avait été placé en dessous du dit rapport, y figuré ces quelques lignes.

Moi, Arthur de Diaoc, vous salut, membres de l'ordène saint.

Je tiens a completer et alourdir ce rapport, en vue des faits survenus le vingt cinquième jour de ce même mois.
Alors que j'était en train de paroler avec une résidente, messire Roland entra en taverne. S'en suit très vite l'arrivé d'une silhouette féminine, harnaché de fers et d'une lame ondulé, apparante à un Kryss. Cette dernière charga aussitôt Roland, lui occasionnant navrures sévères. Ce dernier tomba au sol, alors que l'assaillante pris la fuite avant même que je n'eut le temps de l'en arreter.

Il n'y a nul doute que cette silhouette était Xiafia Nilium, elle seule aurait eu raison de tenter l'occision du sire Roland.

Je demande à ce que sanctions sévères soient appliqués afin d'outre punir cette fugitif, tentatrice d'occision !
L'heure est grave, si nous ne faisont pas de cette femme un exemple, nous n'auront plus jamais l'occasion de montrer aux citadins ce qu'ils encourent pour de pareilles actes !!

Je m'en remet donc à vous, mes commandeurs, faites de notre ordène un ordène sans relache, et ne relaxant en rien les criminels !


Post by Gannd Auréalis , OdS - October 27, 2006 at 2:50 AM

Kalidor , lorsque appercu Acolytes et tout membres de L'Ordènne leurs dicta la requête suivante.

Xiafia ayant causé blessures sur le Vigil Roland et tenter par deux fois de L'occire devra être arrêter a vue.Engeoler et se tant et aussi longtemps que temps le faudra.Cette femme paiera de ces crimes , devant Thaar elle sera juger et chatier!