Deux missives retrouvées dans les effets de Dias

Post by Simeon, Ind - January 5, 2008 at 1:19 AM

Le première était adressée à toute la Confrérie, l'écriture était bien droite et fine comme à son habitude.

Chers Confrères et Consoeurs,

Si vous lisez ce message, je serai donc probablement mort. Je sentais la mort s'approcher donc j'ai voulu vous laisser un dernier message. Vu tout nos dossiers, vous avez probablement mieux à faire que de lire les mots d'un mort donc je serai court.

Je tient à vous remercier pour m'avoir accepté parmis vous et m'avoir permis de travailler avec certains d'entre-vous. Mes nombreuses années parmis vous furent très agréables et intéressantes. J'espère avoir contribué à faire de la Confrérie ce qu'elle est maintenant.

Plusieurs d'entre vous sont déjà aptes à facilement me remplacer et donc j'ai confiance en votre futur. Je penses entre-autre à nos deux courts confrères Dimble et Galgarad ou bien à Alek, qui ont amplement fait leur preuves, pour ne nommer qu'eux.

Je vous souhaite donc un futur aussi glorieux que le passé et le présent.

Dias Daratia

La seconde qui semblait identique était adressé à Lenne Vespari

Chère Lenne,

Vous avez probablement mieux à faire que de lire mon Blabla mais je tenais tout de même à vous écrire ce mot. Nous avons passé de nombreuses années ensemble, ayant rejoint la Confrérie le même jour, il y a de ca plusieurs années déjà.

Je suis heureux d'avoir fait votre connaissance et d'avoir pu partager plusieurs expériences avec vous. Malgré votre image froide et distante, je sais que vous cachez autre chose, le sachant ou non. Vous recherchez toujours quelque chose, quoi que ce soit, et je souhaite que vous le trouveriez.

J'ai voulu vous comprendre mais à chaque tentative j'étais repoussé par votre bouclier anti-émotion, ouun truc du genre. J'aurais voulu vous aider mais il semble que votre destiné soit de parcourir votre sombre chemin seule. Une fois au bout, j'espère que vous trouverez enfin la chaude lumière qui éclairera vos futur pas.

Peut-être que tout ceci n'aura de sens pour vous mais je tenais au moins à vous en faire part. Peut-être était-ce évident que pour moi mais votre souffrance m'est visible. Mais cela vous convient peut-être et donc je ne m'en fais pour rien...

Je vous lève donc mon chapeau de sorcier tout poussièreux, que vous aimé tant, pour vous saluer une dernière fois.

Dias