Deux lettre affichées dans le hall de la Confrérie
Post by Lenne Vespari, CP - May 3, 2009 at 9:20 PM
Madmoiselle Syre,
Vous avez reçue il y a quelques jours une invitation pour une fête qui se tiendra au Palais impérial. Cependant après vérification, il semblerait que vous vous êtes glissée sur la liste par l'inadvertance d'une diplomate, moi en l'occurrence.
Malheureusement votre dossier criminel dans l'empire est trop étoffé pour que nous puissions vous permettre d'être parmi nous, alors je vous annonce que vous êtes retirée de la liste. Je sais que vous êtes sans histoire depuis des années, mais l'empire Systérien préfère ne prendre aucun risque.
Puissiez-vous rester dans le droit chemin que vous avez déjà emprunter et ne pas m'en vouloir pour cette malheureuse erreur.
Sarälondë Taur'Amandil Balgor
Diplomate
Diplomate Taur'Amandil.
La Confrérie Pourpre est une instance avec une branche militaire reconnue au sein de l'Empire qui s'occupe, entre autres choses, de faire respecter la loi et de vous protéger des fléaux magiques qui s'abattent si régulièrement sur la cité.
La demoiselle Ascyla Scyre est membre respectée des rangs de la légion. À ce titre, les supérieurs de la Confrérie - que ce soit les magistères ou l'Ancienne - ont donc jugé qu'elle était apte à faire respecter la loi, et forcément à en être une juste représentante. L'Empire veut-elle nous dire que le jugement que nous avons fait de nos membres que nous habilitons à agir sous notre bannière dans les rues est erroné alors qu'il ne connait l'individu que sur un bout de papier ancien ?
Comme le nom de notre guilde semble le suggéré, nous sommes une Confrérie, et à titre de confrères, insulter de la sorte l'un des nôtres qui a prêté serment - et qui l'honore - se retourne contre chacun des membres de la Confrérie Pourpre de façon personnelle.
Je vous recommande de revenir sur votre position, sans quoi notre prochaine lettre sera moins conciliante et davantage teintée de représailles futures.
La Confrérie Pourpre.
« Le cas de la demoiselle Scyre n'est pas la seule chose qui me préoccupe - quoi qu'une telle décision des impériaux m'apparait particulièrement incohérent en considérant qu'elle est une légionnaire investie d'un pouvoir exécutif pour faire respecter la loi -.
En lisant les dernières lettre du diplomate Morvan et les requêtes de l'État Major, il m'apparaît que l'Empire tente d'empiéter un peu trop sur notre guilde.
Notre pouvoir est réel, entier, et impossible à contrôler ou à maîtriser pour tous ces bureaucrates qui n'y ont aucune expertise.
Je vise à leur faire comprendre que nos décisions sont pleines et entières, et qu'ils doivent les respecter - que ce soit de garder un rapport pour nous ou de décider qui est digne d'être représentant de la loi ou non dans notre institution. »
Post by Galgarad, CP - May 4, 2009 at 3:29 AM
- "J'ai moi-même eu maille à partir avec le diplomate Morvan, pendant la crise de colère qui a secoué Systéria. Non pas qu'il ne m'ait imposé un code de conduite, mais il a insisté pour que je produise un rapport détaillé sur les évènements. Sans vouloir m'offenser, il m'a tout de même rappelé que le Surintendant en personne désirait voir ce rapport. Je n'ai agi que sous la demande incessante du Surintenant, et lui ai finalement remis un rapport complet et détaillé sur les évènements. Je crois que l'Empire tente un peu trop de se mêler de choses qu'elle n'est pas à même de comprendre, et vous serez d'accord avec moi pour dire que moins les gens sont au parfum des méthodes noires employées pour créer des Malédictions, mieux la cité se portera. Je demande donc à notre vénérée Ancienne d'aider notre cause et de remettre ce prétentieux ministre à sa place.. sans quoi nous serons bientôt obligé de dévoiler sans aucune retenue nos plus redoutables secrets..
Je serais curieux d'entendre l'avis de nos membres sur le sujet.."
Post by Ascyla Syre, CP - May 5, 2009 at 7:07 AM
J'ai cru également remarquer la tendance qui se tient depuis quelques semaines.
Merci Lenne, et ne vous gênez pas d'ouvrir mes lettres surtout, j'ai parfois l'oublie d'ouvrir ma boîte aux lettres.