Une lettre se posa sur le bureau du Magistère Glâdenuc
Post by Bel'labress Mel'Viir - June 11, 2009 at 8:22 PM
Magistère Glâdenuc,
Je vous écris du temple de l'Ordre du Soleil qui se trouve à proximité du Manoir Mel'Viir. Cela fait un moment que je ne donne pas de signe de vie. En allant cueillir des ingrédients, je me suis fait mordre par un serpent. La blessure n'était pas trop grave, jusqu'à ce que, quelques jours plus tard, j'aie des épisodes de fièvre. Il semblerait qu'une infection se soit accaparée ma jambe. Je dus rester cloîtrée dans ma chambre, incapable de marcher. Mère ne savait rien, jusqu'à la dernière lune. Elle me procura de maigres soins en attendant ceux de la Médecin Taur'Amandil. Je me sens déjà un peu mieux, assez pour être capable d'aller acheter un parchemin pour pouvoir vous écrire, en prenant appui sur un bâton.
Je ne sais pas pendant combien de temps encore je resterai absente. Je suis navrée pour ce manque d'implication que ma blessure me cause.
Respectueusement,
Bel'labress Mel'Viir
Post by Galgarad, CP - June 11, 2009 at 8:46 PM
Initiée,
C'est avec regret que je prends connaissance de votre état de santé. Je comprends tout à fait que vous vous soyez absentée pour soigner ces maux, et vous remercie de m'en avoir fait part aussitôt que vous vous en êtes sentie capable. Prenez le temps qu'il vous faudra.
Bien à vous,
Magistère Glâneduc
Post by Bel'labress Mel'Viir - June 18, 2009 at 4:16 AM
Monsieur Glâdenuc,
Je suis ravie de pouvoir vous informer que je pourrai reprendre mes activités au sein de l'Académie Pourpre. Mon état de santé est rétabli et après l'examen de ma jambe par Monsieur Esmeral, il en est venu à la conclusion que la cicatrisation avait bien évolué. Par conséquent, reprendre le travail ne posait pas problème.
Je vous remercie du délai que vous m'avez accordé pour mon rétablissement.
Cordialement,
Bel'labress Mel'Viir
Post by Galgarad, CP - June 18, 2009 at 5:57 AM
Initiée,
Il fait bon de vous savoir de retour parmi nous. Puissiez vous être plus chanceuse à l'avenir!
Bien à vous,
Magistère Glâneduc