Lettre de Motivation - Edalimar Ysanir - Pour Magistère Vesp
Post by Hakubo, Maeda - July 20, 2009 at 9:33 AM
La lettre avait été déposé dans la boîte aux lettres de la Magistère Vespari. Bien qu'il ne l'avait jamais rencontré encore, Edalimar se doutait bien que ce poste promettait probablement un grand ramassis de divers missives de tous les genres... Le vieux télépathe espérait donc que sa lettre soit lu par la magistère sans se perdre dans la montagne de dossiers qui se trouvaient probablement sur son bureau...
Magistère Vespari,
Après quelques semaines passé dans notre noble guilde, après avoir lu plus d'une centaines de livres de cours que possèdent la bibliothèque accessible par les aspirants, après avoir fait, de manière plus approfondie, connaissance avec mes pouvoirs, après avoir compris quel était mon devoir de Confrère, je me sens prêt à passer à l'étape supérieur. Je remet donc ma candidature, par cette lettre de motivation, pour le poste d'Apprentie de la branche de recherche de la Confrérie Pourpre de Systéria.
En tant qu'apprentie, je ne cesserai pas d'être alerte à tous les dangers. J'errerai toujours la bibliothèque, m'assurant que tous les livres sont rangés aux bons endroits, je continuerai à m'informer sur mes dons, les améliorants du même coup tous les jours. En tant qu'apprentie, je jure de protéger Systéria de ma vie contre les menaces de magie sous toutes ses formes. Je jure d'accomplir mon devoir de membre de la branche de recherche.
J'ai déjà contacter l'Érudit Rimostra, qui est d'accord pour me prendre en tant qu'apprentie officiel et me démontrer plus en détail ce qu'un membre de la recherche se doit de faire.
Avec tous mes respects les plus sincères,
Aspirant Edalimar Ysanir
Post by Hakubo, Maeda - July 25, 2009 at 6:25 AM
Un courtois rappel fut envoyé
Post by Lenne Vespari, CP - July 25, 2009 at 8:12 AM
*Il était de notoriété générale que la magistère des recherche était une femme particulièrement étrange. Aussi, il ne fallait pas s'étonner qu'elle ne traite pas ses dossiers comme l'aurait fait une bureaucrate attentionnée. On racontait même qu'elle ne lisait que les lettres les plus uniques, qui savaient capter son attention.
Dans ce cas, par exemple, le rappel autant que le courrier initial terminèrent leur existence au milieu d'un amoncèlement de lettres et de documents, dans des papiers de toutes les natures et de toutes les origines, au milieu d'un bureau sombre.
Ils ne seraient jamais lu.
Heureusement, néanmoins, Rimostra Mirano avait toute les prérogatives nécessaires à prendre un apprenti sous sa tutelle, aussi l'aspirant fut gradé du même coup à titre d'apprenti de la branche des recherches.*