[Expérience] Veritea Serum

[Expérience] Veritea Serum

Post by Claudius Corvus, CP - May 25, 2011 at 10:26 PM

Expérience Première
Tentative de connaitre la dose léthal

-Instrument-

-Pilon et mortier
-Alembic
-Bruleur
-Éprouvette
-Support métallique
-Creuset

-Matière première-

-Datura Stramonium, 100 plants jeunes (début de floraison)
-Esprit-de-vin très pur
-Eau distillé
-Sucre
-Gras propre

-Cobaye-

-Cafard alpha
-Cafard bêta
-Scolopendre

-Théorie-

Je vais tenté par distillation de purifier 100 jeunes plants de Datura . L'objectif étant d'isoler l'essence de la Datura en quelque goutes, ses goutes purifié de tout reliquat seront la base principale pour comprendre la dose léthale. Chose qui devient nécessaire à l'avancée de l'usage de cette plante dans un serum de vérité. L'essence produite par la distillation devrait être hautement toxique, ce en quoi j'utiliserais d'abord des insectes résistants, soit un scolopendre et deux cafards. Il serait donc inutile de tester l'essence sur ses cobayes, j'irais laver l'essence de la Datura grâce à de l'Esprit-de-vin, ce en quoi je rajouterais du sucre pour piéger les insectes.

-Note de Travail-
Début de l'expérience : 27 Satoul, Nais, 12:55 AM

J'ai distillé à feu doux les plants de Datura, n'ayant pas en ma possession un grand Alembic, j'ai répété l'opération à quatre reprises. La durée total de la distillation fut de 12heures, J'ai changer les plantes dans l'alembic aux 3heures. Les quelque goutes produite par la distillation sont de teinte claire, translucide, elles semblent exempt de tout résidu substantiel. La première partie fut d'une attente interminable, la seconde devra être respecter dans d'extrême précaution. Il me faut produire une substance qui saura définir si oui ou non la dose léthale est encore aberrante.

J'ai plongé une tige d'acier dans le flacon contenant l'essence, une seule goute est plus que suffisante. La première goute fut verser dans un flacon de 1litre d'Esprit-de-vin, une proportion alcoolique 100x supérieur à l'essence de la Datura. La seconde goute fut fut soumis à deux manipulation. Elle est d'abord immergé dans de l'eau distillé, un flacon de 500ml d'eau ensuite j'ai rajouté l'équivalent de 500ml d'esprit-de-vin. Je considère la proportion de l'essence, qui est prêt d'1% suffisament haute pour être encore nuisible. Le flacon A et le flacon B sont tous deux brassés durant 20minutes pour s'assurer qu'ils soient parfaitement homogène.

Les insectes, sont de commun spécimen, ils ont été ramasser dans les égouts, sous la ville. Ils ont un comportement des plus typique, s'étant habituer à leur environement, ils sont à ce jour captif depuis 2semaines et leur vivarium est resté à l'obscurité. Ils sont donc, il me semble en parfaite santé et ne présente aucune anomalie. La taille du cafard A est de 3cm, la taille du cafard B est de 5cm, celle du scolopendre environ 15cm. Ces insectes démontrent naturelement une résistance aux toxines, ils sont donc de parfait candidat pour tracer les lignes de la dose léthale.
Notice : Les expérimentations ce font du flacon A vers le cafard A, du flacon B vers le cafard B.

Il me faut motiver l'intéret des insectes vers la substance, ainsi je dépose un dé a coudre de sucre dans le vivarium A, Grâce à une seconde tige d'acier j'humecte le sucre de la substance riche en esprit-de-vin. Je fais de même pour le vivarium B. Les cobayes n'ont pas été sorti de l'obscurité afin de ne pas les troubler et donc retarder leur réaction. J'observe leur réaction grâce au Ô combien pratique sort : In Lor. La réaction n'est pas rapide, les cafards semblent d'abord ce méfier de ce nouvel élément, puis très lentement, avec précaution ils s'y avancent. Le cafard A consomme la substance, tandis que le sujet B semble quand à lui désintéresser, il tourne autour du dé. Au bout de 3minutes le cafard A perd le controle de ses jambes, il s'effondre, sa tête bouge légérement quelque instant, puis elle s'effondre aussi. Le cafard A est mort. Le cafard B quand à lui c'est totalement désintéressé du dé à coudre.

Je sais maintenant qu'une proportion éqivalent à 1% de la plante est encore mortelle. La seconde expérimentation sera sur le scolopendre, cette fois je tenterais une méthode apparenté aux pommades en épendant quelque goute du flacon A sur du gras froid. Je fais bouillir le gras dans un petit chaudron, puis je verse le tout dans un creuset afin qu'il refroidisse. Avant que le gras ne fige j'épend minutieusement trois goute, diagonalement sur le gras.Il ne reste qu'à attendre que le gras ne fige en s'assurant d'avoir bien brassé le composé. La manipulation prend en tout 45 minutes. Pendant ce temps je fais bouillir de l'eau sucré pour appater l'interet du scolopendre quand à la pommade.
Notice : En épendant les goute du Flacon A le concentré de l'essence devrait être fortement diminué

Introduction de la pommade glacé de sucre. Le scolopendre réagit à l'introduction du nouvel élément dans le vivarium. Il tourne quelque peu autour de la pommade, le centipede ce dresse ensuite sur ses pattes arrières et va plonger ses forcipules dans la pommade. Il consomme de la pommade. Réaction violente, le sujet ce retire rapidement de la pommade, il erre quelque peu, puis s'enroule sur lui même. Les antennes du scolopendre répondent au stimuli externe. Il n'est pas mort, il semble endormi mais dans l'incapacité de ce réveiller.
Notice : Mettre en suspens l'observation du scolopendre, possibilité de survie.

-Conclusion-

L'essence vitae de la plante s'avère hautement toxique comme je le croyais. Il serait possible d'en soustraire une susbtance non-mortel, cette substance en vue de ses propriété sédatives et toxique semble tout approprié comme élément premier dans la confection d'un serum de vérité. La dose est encore léthal à 1%/ml, en pommade elle s'avère potentielement intéressante, poussé les futurs recherches à une quantité de 0.25%/ml

Le cafard A n'a pas survécu, il est mort foudroyé par la toxine.
Le cafard B a survécu mais n'a pas touché à la substance. Je suspecte l'eau distillé d'avoir altéré l'odeur du sucre à celle de la toxine. L'insecte s'en serait ainsi désintéressé.
Le scolopendre a survécu, jusqu'à maintenant, il repose dans ce qui semble un sommeil.

Possibilité futur d'observé les effets de l'usage externe d'une pommade sur le corps. Les vertus sédative pourraient possiblement altérer l'inconfort suite à l'ingestion des autres toxine nécessaire. Il serait précaire de parler de réussite ou d'échec, je catégorise cette expérience comme préliminaire aux futurs travaux.

Fin de l'expérience : 28 Batil, Nais, 02:03 AM

Claudius Corvus


Post by Claudius Corvus, CP - June 14, 2011 at 8:37 AM

Expérience Seconde
Isoler la substance sédative

-Instrument-

-Pilon et mortier
-Alembic
-Bruleur
-Éprouvette
-Support métallique
-Creuset

-Matière Première-

-Essence de Datura Stramonium
-Pommade de Datura Stramonium
-Fromage
-Esprit-de-vin

-Cobaye-

-Scolopendre
-Rat A
-Rat B
-Rat C
-Rat D

-Inter-notice-
Le scolopendre de la première expérimentation a survécu. Il c'est réveiller le 30 Ludis entre 3h et 5h30 PM.

-Théorie-

Les études préliminaire m'ont permis d'envisager le degré de toxicité de la substance. Je vais tenter dans cette expérience de soumettre 4 sujets mammifères à une quantité d'essence de Datura inférieur à 0.20%/ml. Le dernier rat sera badigeonné de la pommade de Datura. Je pourrais considérer l'expérience comme une réussite si l'un des sujets survit au traitement. Le but étant de trouver la dose léthal chez un mammifère de constitution inférieur à l'être humain. Après quoi il sera possible d'effectuer les recherches sur des sujets humanoïdes sans risquer de soumettre le sujet à une dose léthale.

-Note de travail-
Début de l'expérience : 2 Varos, Solun, 4:05 PM

La substance première, l'essence de Datura Stramonium étant déjà produite lors de la première expérimentation je n'aurais pas besoin de la reproduire. L'essence utilisé est à un pourcentage de 1 pour cent. Dans ma conclusion préliminaire je mentionnais d'utiliser un pourcentage de 0.25%, toutefois à bien considérer elle resterait encore hautement active pour un mammifère. Les spécimens seront donc soumis à un serum de 0.15%, 0.10,0.05% et le dernier à la même pommade utilisé sur le scolopendre.

Les rats ont été capturé à l'état sauvage dans le systême d'épuration d'eau. Les rats y croissent en grand nombre hors donc leur capture ne changera rien à la prolifération Muridea sous la ville. Ce sont tout les quatres des rats noirs aussi appeler '' Rattus Rattus''. Les spécimens mesurent environ 40 centimetre du museau à la queue. Ils ont été conservé dans un vivarium, le susbtrat est constitué de déchet et de limon trouvé dans leur milieu naturel. Les rats semblent tous en bonne santé bien que souffrant d'une mutation de type albinos. Les rats tout comme les sujets précédants furent confiné dans la noirceur afin de ne pas nuire à leur habitude et ainsi augmenter considérablement le niveau de stress.

Tout comme chez les cafards je vais devoir excité l'intérêt des rats envers la substance. J'ai acheter plus tôt dans la journée un fromage fortement vieilli, l'odeur qu'il dégage pourra aisément camoufler l'odeur du serum. Afin de réduire au minimum l'odeur du serum le fromage est découpé en 3 part, chacunce des parts est fondu et ensuite le dosage adéquat sera ajouté. La substance A sera dosé à 0.15% d'essence de Datura, la substance B sera dosé à 0.10% et la substance C sera de 0.05%.
Notice : Les Rats A-B-C seront soumis à la substance A-B-C. Seul le rat D sera soumis à la pommade.

Il est exactement 6:27 PM, les fromages sont prêt à être déposer dans les vivariums, tout comme pour les cafards j'utiliseraient le sort In Lor pour ne pas déranger à leur milieu de vie. À l'aide de pince je dépose les fromages dans les vivarium. Les sujets sont d'abord intimider par la présence de la pince dans leur vivarium mais ils semblent oublier rapidement à la vue de l'appât. Je ne remarque aucune crainte marquable contrairement aux cafards, les rats après quelques minutes d'attente ce dirigent vers leur pitance. L'appât fonctionne, chacun des rats s'en nourrie. Le sujet A est le premier à s'effondrer comme selon ce que je prévoyais toutefois son corps est couvert de spasme, la substance semble encore nocive pour un organisme au sang chaud. Le sujet B s'effondre rapidement aussi, toutefois les spasmes ne surviennent que lors des premiers instants, ils sont situé au niveau des globe occulaire, une probable activité onirique importante. Quand au sujet C il s'effondre, aucun spasme perceptible, il semble simplement endormit.

La deuxième parti de l'expérience sera porté sur la friction de la pommade sur le dernier sujet. Cela consiste à base d'une pommade de suif et d'essence de Datura d'y enrober le rat. L'usage d'une serviette sur laquelle la pommade a été appliqué servira a badigeonné le rat. Après l'application de la substance le rat affichait tout les syndrome d'un stress, il reste dans un coin de la cage, refrogné sur lui même. À première vue la pommade semble inneficace toutefois au bout de quelque minute le rat ce détend, son rythme cardiaque semble avoir diminuer mais il ne c'est pas endormit. La pommade semble trop peu efficace dans l'optique d'un serum de vérité.
Notice : Possibilité d'usage médicale de la pommade de Datura pour apaiser les tensions musculaire.

-Conclusion-

Je crois approcher d'une substance sédative intéressante. Les résultats du sujet B et C ce sont trouvé concluent, dosé à 0.10% d'essence de Datura la substance ne cause pas le décès mais provoque une forte activité mentale. Le résultat du sujet C s'apparente plus à un simple somnifère quand à la substance A pourrait s'avérer encore nocive à un humanoïde

Le sujet A est mort, une crise cardiaque induite par une intoxication semble être la cause.
Le sujet B c'est stabiliser, une forte activité au niveau des yeux est toujours perceptible. Les spasmes ont cessé.
Le sujet C est endormit, la substance semble trop peu active pour trouver suite dans les travaux futurs.

À cette étape j'en conclus qu'a elle seule, la Datura ne serait pas suffisante pour l'élaboration du serum. Le sédatif pourrait servir dans l'inoculation de la 2eme substance, l'usage d'un psychotrope : Champignon hallucinogène commun, ergot de seigle?. Isoler la substance active dans un psychotrope sera la prochaine étape. Il faudra pour cela tout comme pour l'essence de Datura ce débarassé du reliquat.
Notice : La substance psychotrope inoculé avant le sédatif forcerait l'esprit a perdre de sa volonté, son sens de la réalité, rajouté aux effets sédatifs la sensation forcé d'apaisement, de légereté pourrait induire l'état de confiance recherché.

Fin de l'expérience : 2 Varos, Solun, 10:30 PM

Claudius Corvus