[Rapport] Miroir
Post by Feydanith, dit la Carpe - January 11, 2007 at 5:28 PM
Le rapport fût laissé au bâtiment de la légion par une apprentie mandée par la jeune demi-elfe. L’écriture est donc féminine et soignée, les lettres bien arrondies à l’encre noire.
Comme la nouvelle a dû se répandre, le miroir qui avait été dérobé à la Confrérie a donc bel et bien été récupéré en basse –ville. Voici le récit des événements qui entourent cette découverte.
Nous sommes arrivés en basse-ville après qu’une mercenaire répondant au nom de Sylveria ait averti l’un de ses supérieurs que des hommes voulaient pénétrer par effraction dans une demeure. Arrivé sur place, d’après les descriptions de ma Sœur, il y avait quatre à cinq hommes, aucun ne portant de couleurs de l’Ordre, de la Confrérie ou des mercenaires, excepté ceux avec qui nous étions venu, à savoir les mercenaires Maal, Sylveria et Daskeil.
Certains des hommes déjà présent, se faisant appeler les « Paladins de sanguine » voulaient enmené de force un elfe accusé de Nécromancie aux quartiers de l’Ordre devant l’Archevêque. Je crois qu’il est à rappeler le cas présent que la basse-ville est sous la juridiction de l’Armée des Mercenaire et non de l’Ordre, de plus, l’homme était uniquement accusé de Nécromancie et non d’hérésie, ce qui veut dire qu’il entrait directement sous la législation Pourpre. S’en suivit donc une discussion assez houleuses sur ce qui allait être fait du nécromant après que celui-ci ait avoué pratiquer cet art occulte. Nous parvenions enfin à un accord avec le Mercenaire Maal : le nécromant serait emmené dans les geôles de l’armée jusqu’à ce qu’une délégation Pourpre vienne le chercher, n’étant pas moi-même en mesure d’assurer sa mise en détention.
Echappant à la vigilance des personnes présente, le nécromant se substitua aux hommes qui le retenaient et pris refuge dans son domicile. Nous avons donc pénétré dans la demeure par effraction pour y découvrir avec stupéfaction le miroir ainsi que de multiples effets se rattachant aux magies, dont notamment un uniforme de la Confrérie, le nécromant avait quant à lui disparu. Quelques instants après, il reparut sous une forme altérée, toujours d’après les description de ma sœur, et mis à mal les six guerriers présents sans que ceux-ci ne puisse lui infliger de dommages majeurs. Effectivement, se dernier manipulait avec dextérité les pouvoirs du miroir, passant d’un côté à l’autre de ce dernier, uniquement pour lancer ses sorts. Il est à noter ici que le nécromant pratique également la sorcellerie à haut niveau.
Alors que les guerriers commençaient à s’essouffler, ma sœur et moi-même qui nous étions jusqu’alors tenu à l’écart décidions d’approcher du miroir. Ayant déjà passé au travers lors de l’incident au laboratoire, j’essayais de troubler sa surface comme la première fois à l’aide de sorts mineurs, mais rien n’y fit. Effectivement, l’un des paladins de sanguine m’apprit que l’essence du miroir avait été modifiée par le nécromant il qu’il fallait à présent disposer d’un mot de passe pour l’activer qui se révéla par la suite être une phrase assez anodine que je prononçais par mégarde. Ce qui eut pour effet immédiat à ma grande stupéfaction de me téléporter de l’autre côté du miroir, privée de la présence de ma sœur et donc d’yeux pour vous conter les quelques instants passé avec le nécromant avec que cette dernière ne nous rejoigne. Ce dernier, pris de panique, décida de prendre la fuite sans en demander plus.
Nous avons donc regagné l’autre côté du miroir où un laps plus long de temps semblait s’être écoulé puisque la demeure était à présent vide. J’expliquais donc en quelques mots aux deux « paladins de sanguine » encore présent, ce qu’il s’était passé et décidait de revenir à la Confrérie avec le miroir, grâce à l’aide de ma sœur.
Le miroir est à présent en sécurité dans un lieu qui n’éveillerait aucun soupçon, et, à moins de retourner chaque pierre de cette cité, je doute qu’on puisse le retrouver sans l’aide de ma sœur et moi-même.
J’aimerais ajouter quelques notes et impressions personnelles aux faits :
Nous avons effectivement été aidé par un groupuscule appelé les « Paladins de sanguine ». Cependant j’aimerais attirer votre attention sur plusieurs points. Ce sont des dissident de l’Ordre du Soleil, c’est un dire un groupuscule sans la moindre autorité qui se permet de faire justice lui-même. A ce fait, j’ajouterai le port d’arme illégal d’arme dans la cité, le refus d’obtempérer avec l’Armée en charge de la basse ville, tentative d’effraction chez un « présumé » coupable, menace ouvertes à main armée et entrave à une investigation de l’Armée et de la Confrérie par leur comportement belliqueux lors de la confrontation avec le nécromant.
De ce fait, je demanderais que les « justiciers » soient jugés pour toutes les infractions commises. Il est évident qu’il faut faire exemple, sinon nous créerions un antécédent qui pourra justifier l’action d’autres justiciers sans même un égard à la loi, ce qui plongerait à terme la cité dans le chaos le plus total.
Umrae Shal’haen.
Post by Feydanith, dit la Carpe - January 11, 2007 at 5:46 PM
La lettre sous enveloppe scellée à la cire fût remise à la demeure de l’Ancien dans les plus brefs délais.
Estimé Maître,
Par la présente, j’aimerais vous apporter quelques détails supplémentaires quant à la récupération du miroir dont vous avez sans doute pu lire le récit, le cas échéant, je vous y joins une copie du dit rapport.
Le premier point concerne le nécromant et la manière dont j’ai fauté. Effectivement, moi-même et ma sœur, sommes passées de l’autre côté du miroir. Cependant, le nécromant n’a pas fuit comme je l’ai précisé dans le rapport sous l’excuse de distorsion temporelle, mais nous avons pu bel et bien le rencontrer. Ce dernier nous a menacé de porter directement atteinte à notre vie. Essayant de calmer le jeu, je réussis à l’amener dans un lieu plus éloigné du miroir pour le mettre en confiance, car il craignait que nous fuions. Après une brève discussion il m’a remis la clef de sa demeure et avoué comment il s’était procuré l’uniforme Pourpre ainsi que le miroir, ce qui fera l’objet du second point. En contrepartie je dû lui offrir une échappatoire sous condition que ce dernier ne reparaisse pas dans l’enceinte de la cité. C’est ici que j’ai fauté, en me rendant complice de sa fuite et je comprendrais que vous preniez des mesures à mon égard pour cela. Néanmoins j’aimerais tout de même justifier cet acte. Il nous a en effet permis d’obtenir certaines informations concernant la sécurité de la Confrérie ainsi que d’épargner nos vies, à moi et ma sœur, ainsi que sans doute celle des guerriers se trouvant de l’autre côté du miroir.
Le second point que j’aimerais aborder se raccroche directement à la sécurité au sein même de la Confrérie. Il se pourrait que nous ayons des traîtres au sein de nos rangs puisque comme l’a avoué le nécromant, le miroir lui a été vendu par « une amie ». De plus, j’ajouterais que Sylveria Merania a avoué avoir dérobé uniforme à la Confrérie ainsi que plusieurs autres chefs d’inculpations pour lesquels je puis vous quérir plus amples informations auprès des Mercenaires si vous le désirez.
Il reste peut-être un dernier point à souligner. Sylveria Merania a avoué être la disciple de ce nécromant et je doute que ce dernier tienne sa parole de ne plus paraître dans la cité. Une action du nécromant n’est pas à exclure, visant certainement à libérer sa disciple et lui épargner une mort certaine au vu de ses avoeux..
Mes respects,
Umrae Shal’haen, votre disciple.
Joint dans l’enveloppe, le rapport sus-mentionné.
Comme la nouvelle a dû se répandre, le miroir qui avait été dérobé à la Confrérie a donc bel et bien été récupéré en basse –ville. Voici le récit des événements qui entourent cette découverte.
Nous sommes arrivés en basse-ville après qu’une mercenaire répondant au nom de Sylveria ait averti l’un de ses supérieurs que des hommes voulaient pénétrer par effraction dans une demeure. Arrivé sur place, d’après les descriptions de ma Sœur, il y avait quatre à cinq hommes, aucun ne portant de couleurs de l’Ordre, de la Confrérie ou des mercenaires, excepté ceux avec qui nous étions venu, à savoir les mercenaires Maal, Sylveria et Daskeil.
Certains des hommes déjà présent, se faisant appeler les « Paladins de sanguine » voulaient enmené de force un elfe accusé de Nécromancie aux quartiers de l’Ordre devant l’Archevêque. Je crois qu’il est à rappeler le cas présent que la basse-ville est sous la juridiction de l’Armée des Mercenaire et non de l’Ordre, de plus, l’homme était uniquement accusé de Nécromancie et non d’hérésie, ce qui veut dire qu’il entrait directement sous la législation Pourpre. S’en suivit donc une discussion assez houleuses sur ce qui allait être fait du nécromant après que celui-ci ait avoué pratiquer cet art occulte. Nous parvenions enfin à un accord avec le Mercenaire Maal : le nécromant serait emmené dans les geôles de l’armée jusqu’à ce qu’une délégation Pourpre vienne le chercher, n’étant pas moi-même en mesure d’assurer sa mise en détention.
Echappant à la vigilance des personnes présente, le nécromant se substitua aux hommes qui le retenaient et pris refuge dans son domicile. Nous avons donc pénétré dans la demeure par effraction pour y découvrir avec stupéfaction le miroir ainsi que de multiples effets se rattachant aux magies, dont notamment un uniforme de la Confrérie, le nécromant avait quant à lui disparu. Quelques instants après, il reparut sous une forme altérée, toujours d’après les description de ma sœur, et mis à mal les six guerriers présents sans que ceux-ci ne puisse lui infliger de dommages majeurs. Effectivement, se dernier manipulait avec dextérité les pouvoirs du miroir, passant d’un côté à l’autre de ce dernier, uniquement pour lancer ses sorts. Il est à noter ici que le nécromant pratique également la sorcellerie à haut niveau.
Alors que les guerriers commençaient à s’essouffler, ma sœur et moi-même qui nous étions jusqu’alors tenu à l’écart décidions d’approcher du miroir. Ayant déjà passé au travers lors de l’incident au laboratoire, j’essayais de troubler sa surface comme la première fois à l’aide de sorts mineurs, mais rien n’y fit. Effectivement, l’un des paladins de sanguine m’apprit que l’essence du miroir avait été modifiée par le nécromant il qu’il fallait à présent disposer d’un mot de passe pour l’activer qui se révéla par la suite être une phrase assez anodine que je prononçais par mégarde. Ce qui eut pour effet immédiat à ma grande stupéfaction de me téléporter de l’autre côté du miroir, privée de la présence de ma sœur et donc d’yeux pour vous conter les quelques instants passé avec le nécromant avec que cette dernière ne nous rejoigne. Ce dernier, pris de panique, décida de prendre la fuite sans en demander plus.
Nous avons donc regagné l’autre côté du miroir où un laps plus long de temps semblait s’être écoulé puisque la demeure était à présent vide. J’expliquais donc en quelques mots aux deux « paladins de sanguine » encore présent, ce qu’il s’était passé et décidait de revenir à la Confrérie avec le miroir, grâce à l’aide de ma sœur.
Le miroir est à présent en sécurité dans un lieu qui n’éveillerait aucun soupçon, et, à moins de retourner chaque pierre de cette cité, je doute qu’on puisse le retrouver sans l’aide de ma sœur et moi-même.
J’aimerais ajouter quelques notes et impressions personnelles aux faits :
Nous avons effectivement été aidé par un groupuscule appelé les « Paladins de sanguine ». Cependant j’aimerais attirer votre attention sur plusieurs points. Ce sont des dissident de l’Ordre du Soleil, c’est un dire un groupuscule sans la moindre autorité qui se permet de faire justice lui-même. A ce fait, j’ajouterai le port d’arme illégal d’arme dans la cité, le refus d’obtempérer avec l’Armée en charge de la basse ville, tentative d’effraction chez un « présumé » coupable, menace ouvertes à main armée et entrave à une investigation de l’Armée et de la Confrérie par leur comportement belliqueux lors de la confrontation avec le nécromant.
De ce fait, je demanderais que les « justiciers » soient jugés pour toutes les infractions commises. Il est évident qu’il faut faire exemple, sinon nous créerions un antécédent qui pourra justifier l’action d’autres justiciers sans même un égard à la loi, ce qui plongerait à terme la cité dans le chaos le plus total.
Umrae Shal’haen.
Post by Ex-Mélodie - January 12, 2007 at 6:27 AM
L'ecriture semble fatigué, visiblement l'Ancien etait epuiser quand il ecrivit cela.
Disciple
Concernant le mirroir, gardez le proteger dans vos affaires personnels, que personne sauf vous et moi sachions ou il se trouve . Cette mesure ne sera pas permanante.
Concernant ce necromancien, J'aimerai savoir depuis quand la confrerie negocie avec des necromancien ?. Vous allez devoir prendre les legionnaires, retourner a cette maison, detruire le moyen d'echapatoire que vous avez fait, capturer ce necromancien, vivant, et ceci afin qu'il puisse etre couper de toute trace du mal. Attention cet homme est dangereux et est l'ancien vengeur Ilmertus Syronie de l'Ordre, son ame a ete souiller par un artefact tres puissant et inconnu. ne l'approchez pas a la legere.
Concernant son eleve, Confirmez ou infirmez sa pratique de la necromancie. Si elle est effectivement pratiquante, alors enfermez la. Prenez garde aussi, car elle est une des guerrieres les plus puissantes du royaume, mit a part les gardes imperiaux.
Concernant ces paladins de Sanguines, je vous conseille d'en referer a l'Ordre du soleil afin de regler cette affaire.
Saule d'aristos
Etrangement, aucune formule de politesse, ce qui est tres inabituel pour l'Ancien. Toutefois c'est bel et bien son ecriture car les lettres luisaient de magie, comme a chacune de ses lettres.
Post by Feydanith, dit la Carpe - January 12, 2007 at 10:28 PM
Et la suivante fût remise à la demeure de l'Ancien.
Respecté Maître,
Concernant l'échappatoire, il s'agissait d'un simple portail ne laissant aucune trace. Cependant, je suis retournée à la demeure accompagnée de légionnaire dès que le miroir fût mis en place et c'est à grand regret que je dois vous annoncer que cette dernière a été pillée non seulement par les presonnes présentes lors de la récupération de l'artefact, mais également après notre départ. Il semblerait qu'une pierre de couleur rouge ait été dérobée par un certain Zarthax.
Sa disciple, la Teifling Sylveria Merania se trouve déjà dans les geôles de l'armée. Cependant, il semblerait qu'une complice supplémentaire et pratiquant la magie arcanique sans permis, Anna-Maria, dispose de runes pour cet endroit. Sa pratique de la nécromancie reste toujours à confirmer, mais je m'attèle auprès des mercenaires pour en savoir plus quant à son état ( si elle est toujorus en geôle ) et à ses avoeux.
Au sujet du point précédent et de l'arcaniste Anna-Maria, me doutant qu'elle aurait pu marquer des runes de l'autre côté du miroir, je me suis permis de faire imerger ce dernier dans sa cachette, afin de noyer toute tentative de passage si vous me permettez l'expression.
Je me permets d'insiter sur le point des runes qui peuvent être un élément dangereux. Peut-être faudrait-il prendre des mesures pour empêcher tout téléport ou ouverture de portail au sein même de l'Académie.
Enfin, pour répondre à votre question, je me suis permise de négocier avec le nécromancien afin d'épargner des vies dont la mienne et celle de ma soeur, mais également celle des personnes de l'autre côté du miroir lorsqu'il aurait voulu en sortir. Des morts inutiles nous auraient affaiblies et ne nous auraient point permis de récupérer l'artefact. Néanmoins, j'essayerai de me montrer à la hauteur de réparer cette erreur si vous m'en donner l'autorisation.
Veuillez agréer mes plus sincères salutations,
Umrae Shal'haen, votre disciple.
Post by Kyrina Ind - January 18, 2007 at 11:41 AM
Une main d'écriture fine traca ses quelques lettres
Bien avec tout le respect que je porte a la si belle hyérachie de la confrérie, je trouve très bizard que cette affaire n'avance pas plus vite étant donner la valeur de cette artifact au yeux de la confrérie. Il est a présent entre les main de Dame Umrae qui la mit en lieu sur. Mais cela est t'il assé sur! La confrérie se doit au plus vite de prendre la décision la meilleur pour elle et de rammener cette artifact dans ses locaux. Cela va de sois que c'est mon opignon , mais il ne faut pas fermer les yeux sur un objet d'une telle puissance et d'une telle valeur. Alors je porte le message au haut dirigent pour qu'il agisse au plus vite.