Une enquête débutait

Une enquête débutait

Post by Victor Frentchek, Dissparu - June 7, 2009 at 6:19 PM

L'enquête débutait de son plein...La consule Mel'viir avait confier au première classe la mission de décourire d'où viennent ces envahisseurs subits qui ont ôser reprendre le camps qui fut quelques temps plus tôt pris par l'armée ? Comment avait-ils pu faire pour pénétrer les défences militaires ?

Victor touna plusieurs fois autour du même pot. Comment allait-il procédé pour aboutir a un rapport des plus détaillé sur cette enquête qui ne lui paraissait pourtant pas si complexe qu'elle ne pouvait le laisser croire. Les heures passèrent et il cherchait toujours un endroit par où débuter. Cela l'embêtait au plus profond.

Mais soudainement, un brin de lumière vint effleurer son esprit. Il se rappela que le chef Baléor était toujours détenu en cellule provisoire de la caserne, il se dit qu'il pourrait peut-être aller voir son grand copain...

Une fois devant ca cellule, le chef dormait paisiblement, quelque peu amaigrit par les mauvais traitements que l'on lui offrait a la caserne, surtout par Victor. Il en avait fait son jouer, son rat de laboratoir pour tester ses nouvelles tortures. Or donc, c'est donc tout aussi pésiblement que Victor vint tenter de réveiller le gentil chef brigand d'un tout petit coup de poing dans le ventre.

-Debout mécréant ! Faut qu'on cause toi et moi...

Victor fixa le criminel désormais réveillé d'un regard plus qu'intimidant et se frappais dans les mains question de paraitre encore plus intimidant.


Post by Victor Frentchek, Dissparu - June 7, 2009 at 8:34 PM

***BAM !*Un coup de poing se fesait recevoir de la part de Victor au visage du chef des brigands...

-A ta place je parlerais...Parce que t'es copains, ils vont tous finirs charcuté de toute facon ! Et puis si tu parles...Je peux m'arrenger pour que ton séjour se fasse des plus agréable en notre charmantes caserne...Et cela implique donc plus aucun coups.

Le chef soupira profondément et afficha un air désèspérer, visiblement, il n'était plus au courant de rien de se qui se passa a son ancien camp. Il n'avait plus aucun lien apparant avec cette bande de bras cassés.

-J'aimerais bien tout vous dire s'savez ? Mais je n'ai plus rien à voir avec eux ! Vous m'avez déja tout pris ! TOUT ! Et pour ce qui est du camp, cela regarde que le nouveaux chef ! Vous savez, nous les brigands ne sommes ni une guilde, ni une fratèrnitée. Nous sommes un regroupement d'honnêtes gens désirant prendre l'or des mauvaises personnes qui se disent "bonne" ! En quoi cela est-il mal de prendre se qui nous revien de droit ?!

Ohhh les dèrnières paroles du chef avaient mit l'eau a la bouche de la première classe, il le regarda avec un sourire en coin avant de le projeter une nouvelle fois sur le grillage de sa cellule, se qui provoqua ensuite une lésion a son front laissant couler son sang, preuve d'une bagare apparante.

-Tu comprends pas le prinper avouer toi hein ?! T'en veux encore ?! D'où ils viennent ces brigands ?!

-Mais on est pas organisés ! Il suffit qu'un plus malin que les autres ai rassemblé les survivants plus au nords et ai décider de prendre la relève ! C'est tout ! Il y aura toujours des brigands ! C'est une profession qui n'aura jamais de fin ! Le chef courant a du amadouer les survivants en tentant de leur redonner espoir et on lancer une attaque directe sur vos pitoyables hommes...Se qui semble avoir marché d'ailleur !

Dans toute son arrogance impitoyable, le chef poussa un rire d'amusement face a la situation que vivait les mercenaires...Ainsi se faire battre par une poignée de rescapé brigands. Cela fit aussi sourire le première classe, il semblait avoir se qu'il voulait. Ceci lui semblait totalement plausible comme version puisqu'il avait fouiller l'archipel de fond en comble la veille a la recherche d'un possible fort brigands ou un centre de ravitallement. Il laissa donc le chef dans sa cellule non sans lui souhaite une bonne nuit et lui arsener un coup qui l'assomerais tout bonnement comme si cela serait désormais la nouvelle routine pour lui de se faire assomer par Victor.

-Alors ces idiots ont un sens du courage hein ? Il faut vraiment qu'ils y tiennent à leur camp pour oser attaquer l'armée ainsi.

Puis le première classe se dirigea directement vers la salle des archives, où il y rédigera son rapport sur l'affaire.