[ Urgent ]Aux officiers de l'armée.
Post by Sophonyse, Adm - August 11, 2007 at 1:01 AM
Une note est envoyée à tous les hauts dignitaires.
Lors d'une conversation à la taverne, Zarthax m'a explicité sa demande pour la surveillance de la propriété Zombalèze. Je me suis permis avec respect de le reprendre sur la stratégie adoptée dans le positionnement de nos hommes. Le plan qu'il m'a divulgué ne protégeait que l'entrée de la maison. Cette question lui fut posée: "Si Argon passe par derrière ( à l'opposé des gardes donc) et brise avec discrétion une vitre côté sud, que direz vous à votre hiérarchie ?
Son silence me confirma son erreur.
Zarthax demande en conséquence un rajout de deux fantassins à l'intérieur même de la bâtisse. (le positionne de 2 archers et 2 fantassins restent inchangés). Il m'a aussi précisé que le prix finale pour ces 6 mercenaires devait lui être transmis dans 2 lunes. De surcroît, si le montant est trop élevé il rayera notre accord et s'adressera à l'ordre du soleil...
Post by Mr Trovénère - August 11, 2007 at 1:04 AM
Une note fut laissée par le Sous Officier Gwirrec.
" Caporal, occupez vous de ca."
Post by Saevan Al Kazar, AdM - August 12, 2007 at 8:33 AM
Le prix serait de 8 milles par mois d'occupation, si toutefois les actions ne sont pas stopé par la plainte de la conjointe d'Argon.
Post by Sophonyse, Adm - August 15, 2007 at 2:48 AM
Un simple bout de feuille était joint à la lettre originale fut renvoyé à Saevan
L'ordre a pris en main la requête...
Post by Mr Trovénère - August 15, 2007 at 11:38 AM
*Une copie du réglement ornait maintenant le bas de la page avec une note du sous officier. Le geste était rageur, la main semblait avoir tremblé de colère. *
Mercenaires,
Voici les textes, Evacuez ces ordreux et faites le nécessaire pour placer des gens de chez nous ! Débrouillez vous, mais foutez ces singes dehors !
Sous - Officier Gwirrec.
Art. 1
L’Armée des Mercenaires s’autorise à elle seule la gestion du mercenariat sur tout l’archipel de Systéria selon une discipline stricte et militaire. Elle gère comme cela ses mercenaires mais aussi leur entraînement en échange de quoi elle leur fournit le gîte et le couvert.
Art. 2
Tout acte visant à louer ses services à une tierce personne pour combattre contre de l’argent est prohibé au sein des terres de l’Empire, sauf pour les membres de l’Armée des Mercenaires.
Art. 3
Tout manquement à l’article 2 du codex des mercenaires est passible de sanctions.
Post by Sophonyse, Adm - August 16, 2007 at 2:41 AM
Une réponse fut glissée en dessous de la porte du bureau d'Alec Gwirrec:
Mes respects:
J'ai tenté l'impossible, les arguments n'ont rien changés. Manque de communication...
Voici la copie de sa réponse:
Soldate Sophonyse,
Lorsque je vous ai parlé à la taverne, je vous avais donné un délai de 2 jours et demi pour m'envoyer une réponse avec le prix. Vous demandez 8 000 écus pour six soldats. Sachez que l'Ordre du Soleil a été beaucoup plus rapide que l'Armée des Mercenaires à répondre à ma missive. Et je ne défi aucune Article du Codex Législatif, étant donné que l'Ordre du Soleil ne demande aucun écus pour autant de Soldat. De plus, leurs soldats sont beaucoup plus entraînés et ils utilisent la magie divine. Ce qui est très nécessaire.
Signé
Zarthax Varghax
Écuyer de la Garde Impérial
Post by Mr Trovénère - August 16, 2007 at 12:09 PM
Soldate,
Vous avez les textes de loi, Débrouillez vous pour que l'on récupere cela, fait en appel a l'intendant, vous avez carte blanche, si vous y parvenez vous aurez votre votre part du contrat, si pas vous aurez votre part de corvées.
Sous - Officier Gwirrec.
Post by Sophonyse, Adm - August 16, 2007 at 2:15 PM
Sophonyse hésitait à défendre l'armée auprès d'un intendant dont la profession était de servir l'empire, l'investigateur de cette mission. En même temps elle savait également q'un refus entraînerait une corvée peu réjouissante. A l'inverse si elle réussissait, elle qui était femme de terrain perdrait toute crédibilité en compagnie de l'ordre.
La solution qu'elle dégagea était de rester anonyme, de parler au nom de l'armée car l'enjeu était plus vaste qu'on aurit pu le penser.