Demande au Trésorier
Post by Acturus Polymaro, Mort - February 23, 2010 at 10:44 AM
Messire Phydias,
Il existe une maison en moyenne nommé C28. Cette demeure appartient aux Minh Yu mais ces derniers ne m’on toujours pas répondu. J’aimerais donc savoir si vous pouviez lancé le processuce de perquisition pour que mon époux puisse se la procurer? Il désire y déménager son atteler actuellement donc c’est en transfère de commerce. Sans réponse de leur part, je suppose que je peux vous le demander?
Je vous remercie d’avoir pris le temps de la lire.
Avec respect,
Astria Polymaro
Cette lettre avait été placée sur le bureau du trésorier en évidence. Une note y était ajouté de la part du bègue.
Monsieur le Trésorier, mes salutations.
J'aimerais que vous occupiez cette demande. Je préfère rester à l'écart de cette affaire qui pourrait être envoyé au tribunal pour un soucie de conflit d'intérêt et d'intégrité.
Je vous remercie à l'avance et j'aimerais rester bien au courant.
Sincèrement,
Acturus Polymaro, Seigneur Marchand de l'Association.
Post by Phydias Shaytan, CP - February 23, 2010 at 2:42 PM
Cependant, le Trésorier n'était pas plus intègre ou sans intérêt. Et avec toutes ces rumeurs qui tournaient autour de la famille Minh Yu, il préférait ne pas s'en mêler.
**S**eigneur Marchand Polymaro,
**E**tant donné qu'aucune loi ne force madame Minh Yu à répondre à madame Astria, que nous savons pertinemment bien que cette demeure lui appartient et qu'elle n'est ni disparue ni morte, je ne vois aucune raison de donner suite à cette demande. Je vous remercie de l'annoncer poliment à l'intéressée.
**C**ordialement,
Phydias Shaytan.
Post by Acturus Polymaro, Mort - February 24, 2010 at 1:13 AM
En lisant la lettre le bègue fut surpris. Le trésorier lui-même qui ne prends pas cette chance de perquisitionner? Il était peut-être bègue mais il savait reconnaître les choses qui sorte de l'ordinaire. Néanmoins, il lui renvoya une autre missive...
Monsieur le trésorier, mes salutations.
Je vous laisse savoir par cette missive que je l'annoncerai à ma femme. Néanmoins, je vous laisse savoir que je suis tout de même surpris de votre décision. Vous qui ne manqué jamais une occasion de perquisitionner une demeure dès que cela est possible.
Il serait sans doute impoli de vous citer le codex de l'Association. Nous somme en droit de perquisitionner dans l'art des procédures les bâtiments que le propriétaire soit vivant ou mort, connu ou non.
Nous allons donc trouver un autre emplacement.
Sincèrement,
Acturus Polymaro, Seigneur-Marchand de l'Association des Commerçants.