[projet] Musée de l'histoire systérienne

[projet] Musée de l'histoire systérienne

Post by Ärold, AdC - December 20, 2010 at 1:53 AM

Avis aux membres,

Je vous présente le dossier du musée de l'histoire systérienne, comme convenu. Il présente les démarches qui ont été faite, les travaux et réaménagements établis, les oeuvres que l'association possède désormais ainsi que ce qu'il reste à finir. Je vous souhaite une bonne lecture.

Ärold.

Rapport sur le musée des thermes.

Les travaux ont enfin été terminé, ils comprennent:

Le réaménagement a été fait selon les périodes historiques, un étiquetage précis des oeuvres a été fait ainsi qu'un nouvel aménagement de l'exposition. Certaines ont été entreposés, en sécurité au bâtiment principal du conservatoire et ne seront pas exposés, car elles ont été sujettes à des dégradations.

Une annonce sous peu sera faite afin de signifier à la population, l'ouverture nouvelle du musée des thermes, nouvellement nommé: Musée sur l'histoire de Systéria.
Rapport fait par Ärold Lidenslavsky,
Emissaire et Créateur du Conservatoire des Arts et des Lettres.

L'archive allait commencer à être remplie des anciens dossiers de La Fraternité afin de ne pas entâcher les projets à venir.

Symbolique des couleurs :

Domaine militaire : Rouge
Domaine sculptural : Bleu
Domaine pictural : Vert

Rez-de-chaussée :

- Entrée :

Canon : Vieux modèle de canon dit « Pilon du Démon », souvent utilisée par les armées Brégunien pour assiéger des cités fortifiées. Ce dernier a été retrouvé après une bataille où les Systériens furent gagnant, mais de peu. Etant donné son âge, il ne peut plus servir, les mécanismes étant rouillés et mal entretenus. Cependant, il a été gardé par les miliciens de l’archipel qui lui ont donné une symbolique de victoire. Souvent, on l’emmenait au cours des grandes batailles où il était installé près de la tente de l’Empereur. Il garantissait une victoire écrasante et une force surhumaine à tous les combattants de la liberté.

Statue inachevée : Vieille statue inachevée, datant de l’époque pré-brégunienne. On pense qu’elle aurait été réalisée par une des tribus natives de l’île. C’est au moment où la colonisation a commencé qu’elle aurait été sculptée en l’honneur des divinités dite païennes. Certains soldats ont souvent raconté que le village fut attaqué au moment où cette idole prenait forme et que l’indigène, pressé par le temps, du prendre les armes pour aller combattre l’envahisseur.

Sabre : Arme ancienne, toujours utilisée de nos jours par les soldats de l’armée de l’Archipel T’Sen. Ce sabre a été offert par le prince Jao X’yan au fils du premier empereur Systérien, en gage de paix mais aussi de neutralité. T’Sen a toujours voulu rester neutre et a toujours œuvré en ce sens pour maintenir le calme sur Enrya. Elle fut transmise au musée il y a une dizaine par la famille impériale et l’Empereur Maemor II pour montrer à tous les citoyens les liens de quiétude et d’attitude solennelle entre les deux nations. Lame en acier, fourreau orné du blason de la famille princière de T’Sen, un dragon et un chrysanthème entrelacés.

Peinture : « Femme à la Robe Verte », un nom sans équivoques et clair, peint par Julien Jhertenbrie, peintre estimé de la Cour Systérienne. Il représente une femme à la beauté stupéfiante mais arborant un air visiblement triste et maussade. La légende raconte que le peintre aurait croisé cette femme lors d’une de ses promenades près du camp gitan. Il n’a jamais pu la retrouver – fait étonnant soit dit en passant – mais son souvenir s’est figé dans sa mémoire. Le portrait est un aboutissement de ses souvenirs.

Peinture : « Mariella De Systéria », la sœur de l’Empereur Maemor Ier, ancien gouverneur Brégunien. A ne pas confondre avec Maemor II. Malgré son statut de princesse, elle réussit à obtenir de nombreux titres de noblesse, dont celui de duchesse. Son portrait a été réalisé par Xi Han, peintre de l’Archipel T’Sen, connu pour son sens de la finesse et pour la beauté de son trait. La Duchesse Mariella disparu mystérieusement au cours d’un voyage au sud du pays. Nul ne connaît les raisons de son voyage et son corps n’a jamais été retrouvé et ce ne fut pas la faute de l’Empereur qui envoya souvent des expéditions dans les jungles de l’île.

Peinture : « Maemor Ier de Systéria », le premier gouverneur brégunien, celui-là même qui devint Empereur et conféra l’indépendance au pays. C’est grâce à lui que la « Petite Sœur » est devenu un Empire et a réussi à briser les liens avec l’oppresseur d’Egador, le Continent Ouest. Connu pour ses qualités administratives, il redressa l’économie et mit en place des réformes agraires qui permirent au pays d’être autosuffisant. L’autarcie protectrice fut un succès, même si aujourd’hui elle tend à être rompue : avec une économie forte et une étonnant diversité culturelle, Systéria est prête à s’ouvrir au monde.

Armure : Tunique de cuir berguenoise, réalisée par les tanneurs du Bastion. Ce sont les meilleurs utilisateurs du cuir, le travail qu’ils effectuent le rang presque impénétrable. Cette tunique a été réalisée spécialement pour le musée il y a vingt ans par les artisans berguenois. L’Empire Systérien voulait montrer à ses citoyens la qualité d’exécution des tanneurs du Continent Est, Verte-Colline. Elle est souvent utilisée lors des raids pour se défendre contre les envahisseurs d’Udossta Thac’Zil. Parfois, les prêtres de Thaar les bénissent pour aider les combattants à repousser leur noirceur grâce à la lumière divine.

Peinture : « Hildegarde Asfridson », peint par un célèbre peintre berguenois, Leif Varandson. Il représente la célèbre reine guerrière, qui, dit-on, permit au Bastion d’élargir ses frontières et d’établir la paix au sein de leur territoire, rassemblant ainsi les différentes tribus qui pullulaient autrefois sur les terres berguenoises. On dit que lorsque les jours seront devenus sombres et que lorsque la division règnera sur les peuples, elle reviendra du ciel, guidée par Thaar, pour restaurer l’Ordre Ancien. Le moment n’est pas encore venu, étant donné que sous le règne d’Aldarik IV le Puissant, le royaume est tenu d’une main forte.

Arcs : Arcs longs composites de la famille El’Randir, d’Arnad’Idhren, le Royaume des Sages du continent sud. Nul ne sait comment ces arcs se sont retrouvés en possession des Systériens, mais ils sont bels et bien là. Ils appartiennent à une des quatre grandes familles de la noblesse elfique et ont été réalisés par les meilleurs artisans du royaume. On raconte qu’une flèche lancée grâce à ces arcs percerait n’importe quel obstacle entre l’archer et sa cible. Personne n’a jamais été vérifié la légende. Une chose est sûre : ce sont de véritables armes de guerre, malgré leur allure d’apparat.

- Partie Est ou Secteur Edgar Ferfin, en l’honneur de l’artiste :

Armure de cuir cloutée : Armure brégunienne antique appartenant au Lieutenant Epidus Malutis. Ce dernier appartenait à la cinquième légion de l’Empire Brégunien, une des premières qui a posé le pied avant les vaisseaux qui serviront plus tard à coloniser l’archipel. L’officier supérieur mourut au cours de la « Bataille des Lys », nommée ainsi en raison des fleurs blanches qui parsemaient le champ de bataille. Le Lieutenant Malutis reprit le commandement avec une fougue et une ferveur sans pareil, permettant ainsi de sécuriser la zone où débarqueraient les colons. C’est un peu grâce à lui si l’Empire Systérien existe. Il s’illustra ensuite lors de la guerre civile, pour libérer l’île et dévoua le reste de sa vie à la création et l’accroissement de Systéria, servant au côté du Gouverneur.

Statuette : Vieille figurine sainte à deux visages représentant Eunylap, l’Artiste aux Milles Facettes. C’est une création des artistes Landais – Landes Unies, Continent Est – qui fut offert comme présent au premier dirigeant de Systéria, à l’époque ou Brégunia régnait encore sur l’île. Au moment où la Petite Sœur devint officiellement indépendante, les légions de Brégunia embarquèrent les objets de valeurs pour les ramener sur le continent. Un petit contingent de mercenaires réussit à attaquer les soldats avant que le bateau n’appareille et récupérèrent plusieurs tableaux et sculpture, donc cette statuette. Avec le temps, le nom de son auteur a été oublié.

Figurine : Fine statuette représentant Thaar, la Lumière Eternelle, en or massif. A été réalisé par un artiste de la Cour Systérienne en l’an Deux de la Troisième Ere, Edgar Ferfin, connu pour son apport inégalé à l’art de l’archipel. Au début, elle fut montrée à la vue de tous dans la Cathédrale, en Moyenne-Ville. Elle a finalement été offerte à la Couronne par l’Archevêque en poste à l’époque, Sire Eldaan Megart, au moment où l’Empereur confirmait la toute puissance de la religion Thaarienne sur l’archipel et le reconnaissait encore une fois, perpétuant la tradition, comme religion de la famille impériale.

Figurine : Statuette difforme, représentant Yaghshul le Prince Noir, sculptée dans le cuivre par Edgar Ferfin. Elle possède les attributs d’un ange, mais son visage est grossier, le corps est tordu, ce qui est sensé représenté le visage du mal : « une forme attrayante de loin mais une horrible corruption dans le fond et de près. » Ce sont du moins les mots et les paroles de l’auteur de cette œuvre d’art. Elle a beaucoup fait jaser, considérée comme un éloge à la noirceur, alors que c’est tout le contraire. Première œuvre d’artiste engagée, à la fin de la Deuxième Ere [date exacte inconnue].

Peinture : « Ysgelia De Mertancourt », peint par un des rares artistes de la Ligue de Zanther, Xerun Mosophon. Ysgelia fut la femme du Gouverneur de Systéria, qui mourut lors de la guerre civile pour l’indépendance du pays lors d’une émeute au palais. Son dévouement envers son mari est connu de tous. Cette œuvre est sombre, utilisant des couleurs froides, comme les aiment les artistes Zantheriens. Cette femme aurait pu être la première Impératrice de la « Petite Sœur » mais le destin en a décidé autrement. Malgré l’amour porté à sa seconde femme, on dit que le Gouverneur ne cessait de déplorer la perte d’Ysgelia. Cela fait partie de la légende, nul ne peut le confirmer, hormis les principaux intéressés. Elle fut nommée Princesse Impériale à titre posthume.

- Partie Centrale ou Secteur Lathàn :

Peinture : « Autoportrait sur fond d’arbres », une pièce d’une extrême rareté, réalisée par Ekaterina Vedamek, artiste gitane morte il y a une dizaine d’années de la petite vérole. Son art de prédilection était le théâtre et la danse mais elle se laissait parfois tenter par l’usage du pinceau. Ce qui fait de cet autoportrait une des rares œuvres qu’elle nous ait laissé. Les couleurs sont vives, chaudes et font de ce tableau un des plus chers : à la fois pour la technique utilisée (peinture à huile) mais aussi pour la cherté des pigments de l’époque.

Buste : « Rik’Urbar le Quinzième ». C’est un buste du quinzième Roi du Commerce de Kar Bed’Joul – impossible de le dénommer autrement que par le titre Rik’Urbar, pour plus de détails, se référer aux encyclopédies géographiques de la bibliothèque – offert lors de la création de Systéria en tant qu’ Empire indépendant. Le dirigeant du royaume désertique souhaitait renforcer nos relations pour intensifier le commerce et s’assurer un monopole intouchable. Force est de constater qu’il ne réussit pas – se référer à la description de la peinture de Maemor Ier. Le cadeau a été conservé et donner au musée il y a quelques années de cela par Maemor II.

Fresque tribale : « Ode à Vaerdon ». C’est une ancienne fresque retrouvée sur un site archéologique à l’ouest de l’archipel. Les archéologues souhaitaient mettre à jour la culture indigène pré-brégunienne, c’est désormais chose faite. Cette fresque, grâce à une gravure élaborée pour l’époque, représente un des trois principes créateurs foudroyant les ennemis de la nature. Des inscriptions appellent Vaerdon à protéger ses fidèles et à détruire tous ceux qui briseraient le Cycle Naturel.

- Partie Ouest ou Secteur Léonard de Briganne, en l’honneur de l’artiste :

Statuette : « Monture divine », sculptée par Léonard de Briganne, artiste, inventeur et ingénieur mondialement connu. Cette petite statue est faite en marbre gris provenant des carrières Zanthérienne. Très difficile à obtenir mais surtout à travailler, c’est une œuvre unique et exceptionnelle. Elle représente la monture de La Lumière Eternelle, Thaar, dotée de puissantes paires d’ailes. Ce serait sur cet animal que le dieu descend de son royaume céleste pour aller punir les infidèles et faire régner l’ordre et la justice sur le monde.

Statuette : « Dame aux Cheveux Blancs », sculptée par Léonard de Briganne, sur du granit argenté extrait dans les montagnes Berguenoises. Même si le matériau est utilisé couramment par les artistes, c’est la précision avec laquelle a manié ses outils qui surprennent l’amateur d’art. De la justesse du drapé aux détails du visage – pourtant minuscule – rien n’est laissé de côté, tout est travail avec un soin extrême et professionnel. Cette statuette a été retrouvée dans la Salle du Coffre de l’Association des Commerçants. Le père de la Duchesse d’Orbrillant l’a offert au musée, prouvant ainsi son amour pour l’art et les belles choses.

Peinture : « La Dame à l’hermine », sculptée par Léonard de Briganne. On pense que l'œuvre représente Hildegarde Galienne, la maîtresse de Gisbert Montbrisé, duc et Garde des Sceaux de Systéria. La peinture a été acquise par le musée grâce aux dons de Sire Saule d’Aristos, Ancien de la Confrérie Pourpre. Le Duc Montbrisé aimait tant sa tendre amante qu’il a tout fait pour se payer les services de Monsieur de Briganne. Sa fortune en a fortement pâtit, mais le souvenir de sa maîtresse est gravé dans toutes les mémoires, désormais. Le portrait a souvent été malmené mais a réussi à être restauré grâce aux bons soins des artisans de l’Association des Commerçants.

- Etage :

- Partie Ouest ou Secteur Ancien :

Tapisserie : Cette tapisserie a été réalisée par les meilleurs cartographes de Systéria et les tisseurs de la famille impériale. C’est une carte d’Enrya, rassemblant les continents et les archipels. Toutes les informations ont été soigneusement vérifiées grâce aux nombreux explorateurs nationaux et internationaux. Aucune terre n’y manque, si l’on en croit ceux qui l’ont réalisé. Elle fut à l’origine commandée par l’Empereur et finit par être offerte au musée lors de l’expansion culturelle de notre pays.

Tapisserie : Sombre tapisserie de la Ligue de Zanther représentant la cité de Xerdonia, construite en l’an 877 de la Première Ere. Scène nocturne où l’on voit les hauts bâtiments de marbre de la Haute-Ville illuminés par la lumière de la lune. Au loin, on peut admirer la grande forêt des brumes, zone mystérieuse, tirant son nom du brouillard quasi-permanent dans lequel est plongée la forêt. Acquise lors d’une attaque de vaisseau brégunien au moment de l’indépendance Systérienne. Nul ne sait quand l’Empire de Briganne a obtenu la tapisserie.

Boucliers : Les boucliers accrochés sur les murs ont plusieurs origines. Ceux en argent sont des protections utilisées pendant le combat, forgé en fer, par les sauvages qui peuplaient autrefois Systéria. Ils ne sont pas très résistants par rapport aux nouvelles réalisations de nos forgerons, mais les dessins ciselés dans le métal montrent la maîtrise des arts de la forge par ce peuple que nous connaissons mal. Accompagnés d’une épée de guerrier barbare dont le pommeau est orné d’un dessin d’ours et de loup. Le bouclier d’or et d’argent est un bouclier d’apparat de l’Ordre du Soleil : l’or est bien trop mou pour être utilisé en combat. Il rassemble les armoiries du Clergé mais aussi les symboles de l’Empire. Une pièce courante, mais finement ouvragée.

Statuette : La figurine féminine est faite en chêne. Souvent, les indigènes Systérien offraient ces cadeaux lors des cérémonies d’union pour favoriser la fertilité des femmes. C’est une représentation de Mélurine dotée d’attributs féminins exagérés. Les femmes sont censées venir lui porter des offrandes diverses… Celle-ci date de la période où le Seigneur de Briganne mit le pied sur la Petite Sœur pour être colonisé. Personne ne sait si elles sont nouvelles ou anciennes dans l’histoire artistique de ces tributs où si elles relèvent d’un nouveau courant religieux.

Statuette : Figurine masculine réalisée en if. Ce bois est un symbole de longévité mais aussi de mort. Elles étaient placées par les indigènes sur la tombe de leurs défunts pour aider leur âme à rejoindre le royaume des morts. Elle était bénie par les chamans et les druides. Avec l’arrivée des colons Bréguniens et les grandes batailles qui suivirent, le nombre de ces statuettes n’a fait qu’augmenter avec le temps, au grand dam des indigènes. Retrouvée lors de la découverte de catacombes par de jeunes soldats en l’an 1985 de la Deuxième Ere.

Gravure : Symbole païen retrouvé dans un temple enfoui dans le désert, cinquante années après l’accession au pouvoir par le gouverneur brégunien et la création de Systéria. Les peuples du désert vénéraient les dieux, certains sont encore priés, comme la Trinité druidique, mais beaucoup ont disparu des mémoires. Le symbole ici présent appartient à un dieu inconnu. Il a été gravé dans le cuivre qu’on extrait près des grandes montagnes désertiques de l’archipel. Certains y voient un lièvre ou un lapin, gibier salvateur dans une partie aussi aride de l’île. Mais les experts sont sceptiques.

- Partie Est ou Secteur des De Systéria:

Tapisserie : « Visages et Splendeurs des De Systéria », tissée par Anne-Lise Eronia, grande amie de l’Impératrice Elena De Systéria, épouse de Maemor II, mère de Cybelle Ière, actuellement au pouvoir. Cette tapisserie montre les visages de l’ancien Empereur, de son épouse, de ses filles et fils. Ornée de fils d’or et d’argent, cette œuvre est unique et n’existe que dans notre archipel. De nombreux voleurs ont tenté d’en prendre possession mais la pièce est bien trop connue pour être vendue sans problème. Anne-Lise Eronia est aussi connue pour les robes qu’elle offrit à l’impératrice : de somptueuses dentelles, de la soie brégunienne ornée de diamant, etc…

Boucliers : Les boucliers accrochés sur les murs portent les blasons de la famille De Systéria. Celui en or porte les symboles de l’Empire Brégunien et date de l’époque où l’île appartenait encore au plus puissant état de tout Enrya. Il n’est pas exactement en or, c’est de l’acier recouvert de feuilles d’or, ce qui le rend donc autant efficace dans les combats que lors de cérémonies officielles. Les petits sont en platines et uniquement utilisés pour les grandes occasions officielles et portent la marque de l’indépendance Systérienne : ils ont donc été réalisés après que la Petite Sœur eut déclaré son indépendance. Les deux épées les accompagnants sont du même métal et ont été faites à la même époque. Pièces courantes, remises aux membres de la noblesse émérites.

Statuette : Figurine de monstre marin réalisée par Ernest Heugur et offert à l’Impératrice Cybelle Iere lors de la reconstruction du port, pour symboliser l’irréductible résistance de la cité face aux catastrophes naturelles ou surnaturelles. Cette dernière en a fait don au musée pour que ce qu’il représente soit connu de toute la populace : aussi longtemps que la couronne illuminera la Petite Sœur, jamais les citoyens ne baisseront les bras pour protéger leur tendre patrie.

Epées: Epées de Devas forgées par le grand forgeron Berguenois Erkavik Glungen pour répondre à une commande du Prince Edelbert De Systéria, mage à ses heures. Le Devas est un métal de couleur mauve possédant une résistance légère qui ne bloque pas les sorts, le métal agit plutôt comme étant conducteur et non pas répulsif. Cet aspect de conduction est très apprécié par les enchanteurs et mages de tout poil. Le Prince les utilisait lors des batailles pour foudroyer ses ennemis de puissantes décharges de magie, dit-on. Offertes par Maemor II, père de Sa Majesté Cybelle Ière, en l’an 3 de la Troisième Ere.

Peinture : « Maemor II », peint par Léonard de Briganne, le célèbre peintre, ingénieur, etc d’Enrya. Il représente le père de Cybelle Ière à ses vingt deux ans, lorsqu’il accéda au trône. Majestueux, il porte avec lui la couronne impériale dans laquelle est incrusté un diamant et un topaze (en référence à la Lumière Eternelle) et le le sceptre directeur, symbole du pouvoir et de l’autorité. Maemor II est connu pour avoir fait connaître à l’Empire une grande croissance économique. Malheureusement, la fin de son règne fut secoué par l’influence d’une démone, Aldae Zamae qui tenta de conquérir le trône, en vain. Maemor II réussit à se départir de son influence à la toute fin mais il y perdit la vie.

Statuette: Figurine de métal, forgée dans le fer par un artiste de l’Archipel T’Sen dont le nom a été malheureusement perdu. Elle représente un soldat de l’Armée Impériale. A l’origine, une centaine en a été offert à la Couronne, mais seule cette unique pièce a été retrouvée. Ils symbolisent la force et la puissance de l’armée. Ces figurines de fer inanimés sont sensés reprendre vie et aller batailler contre tout danger qui empêcherait Systéria et ses citoyens d’être en paix et en sécurité.

Tapisserie : « Armoiries De Systéria », tissée par Anne-Lise Eronia, grande amie de l’Impératrice Elena De Systéria, épouse de Maemor II, mère de Cybelle Ière, actuellement au pouvoir. Cette tapisserie représente les armoiries et les blasons de la Famille Impériale. On note une nette influence de l’Empire Brégunien, mais avec une touche ronde et aérée propre à l’Art de la Petite Soeur. Ornée de fils d’or et d’argent, cette œuvre est unique et n’existe que dans notre archipel.

Rapport: Musée de l'histoire de Systéria.

ce qu'il reste à faire:

Rapport établis par Ärold Lidenslavsky.


Post by Seigneur Bélial - December 20, 2010 at 3:41 PM

Sieur Lidenslavsky,

C'est du bon travail. Je ferai changer les portes sous peu. Continuez comme cela.

Vath