-La Fin-
Post by Agonie - November 29, 2007 at 5:38 PM
Un murmure dans un labyrinthe, le dédale d'une âme en perdition, l'arme de celui qui en connait les recoins, il vole, il plane le chuchottement se fait oiseau d'augure...
Livrons notre repaire à nos ennemis le temps que la poussière retombe, trop d'entre nous sont les chasseurs d'autres chasseurs...
Si nous donnons une méduse, bien qu'elle ne soit pas et qu'elle soit à la fois, la lumière se répendra à nouveau, attend qu'elle crée de nouvelle zone d'obscurité, mais comment?
Quels secrets nous souffleront les échos et le passeur ?
Post by Mai-tat ' Nilat - November 29, 2007 at 10:57 PM
- Une voix douce, légèrement chantante où perce une note dérangeante de folie se glisse plaisante et troublante en réponse.*
- Nos couloirs aux sombres raisonnances, trop souvent subirent le joug de la lumière arrogante de ses soudards à la morale étriquée.
Qui a trahi nos rangs dévoilant les mots ténébreux oblitérant l'entrée ma demeure ? Qui a ouvert la brèche de notre nouvelle antre ?
Soyons lucide, notre mouvement se meurt dans une lente agonie soporifique. Nul action de votre part, juste un fatalisme voulant démembrer une autre fois notre monde.
Si vous voulez livrer un lieu offrez votre demeure en pâture et non la mienne.
Alors maintenant je pose des questions à ceux sensés être nos oreilles.
Qui nous a trahi ? Que savent nos ennemis ? La chute est-elle proche ?
A ceux chargés de nous défendre de leur lame je demande.
Qu'avez vous fait ? Où sont nos défenses ?
Répondez à cela et ensuite nous verrons à livrer ce couloirs qui vous sont si peu cher.
Post by Agonie - November 29, 2007 at 11:25 PM
Plus qu'un souffle, une brume, une tempête et des mots plus froid encore que la mort qui se glisse dans l'antre des Abysses...
- Tu n'es peut-être pas en cause, mais nous sommes épiés, ton nom est connu, l'aveugle a parlé... Pour ce qui est de nous, trop se doutent et le doute ammène l'homme parfois à des certitudes.
Certains ici tiennent à la vie plus que toi, choisis tes ombres mais jamais je n'accepterai de mourir pour que tes projets arrivent à terme.
La patience est une arme dont nous devons nous servir, l'illusion de notre mort serait une bonne chose, les charniers amène les charognards, l'ordre trouvera son plaisir et goutera au festin mortel.
Donnons l'illusion d'une mort de notre regroupement, une cérémonie tournant au désastre, ainsi nous ne serons plus.
Le déchu est déjà entré jadis par je ne sais quel moyen , il en avait même les clefs, s'il connait le lieu, nous devons le lui donner, il trouvera l'apaisement.
Quand à nous, recomençons sur des bases solides, nous sommes trop éxposés pour le moment.
Je ne dis pas que c'est la solution, mais c'est une solution...
Amusante ta phrase sur la lucidité ... Soyons plutôt réalistes...
Post by Mai-tat ' Nilat - November 30, 2007 at 12:57 AM
- Un léger rire raisonne.*
Mon nom raisonne et chante dans leur âme mais elle n'est pas connue nul n'épie ses pas. Les miens sont si intangible dans leur monde.
Un mot n'est pas la chose, la chose n'est pas le mot.. nul apparence sur ce mot.
Je le répète ses lieux sont les notre. Offrez leur autre chose que notre demeure.