Saralonde, Lenne, Galgarad
Post by Garibald Adalard, Ad - September 6, 2011 at 5:47 PM
Une missive fut laissé aux trois planaires, cette guilde qui semblait désormais mise aux oubliettes depuis un temps déjà...
Mes salutations,
Cette missive rejoins Lenne et Galgarad. De mes connaissances vous êtes les mages les plus habiles et puissants à qui je peu remettre ma confiance. Elle ne concerne nullement les planaires. Mais je profite du contacte qu'offre notre groupuscule pour allez quérir une aide.
De se fais à la lecture de cette lettre, je vous demande toute la discrétion possible. Tel il en fut avec le serment prononcer lors de votre intégration à cette Guilde, qu'il vous intéresse ou pas d'offrir votre aide. Il en va de la bonne santé et de la vie d'une personne.
J'ai rencontré l'une de mes semblables en provenance de Nguelundi. Elle se prononce comme la servante d'un Zanthérien au nom d'Abellion Lunenoir. Son nom étant Adjakyee. Ces deux gens nouvellement arrivé. Cette femme me semble en tout point être considérer et traiter tel une esclave. Elle se dit être sous le joug de son maître, par des moyens magique réserver dans un collier qu'elle porte à la nuque. Une chaîne tenu par le Zanthérien. Cet objet magique de se que j'ai pu constater, permettrait à son maître d'user de la femme telle une marionnette de son bon gré sous force de torture, voir pire.
Adjakyee m'a sommer la plus grande discrétion. Craignant une réaction exagérer de son maître, advenant une arrestation pour possession d'esclave illégale dans notre Empire. Se qu'elle désire est de se débarrasser de l'objet magique qui la tiens captive à l'individu qui la maltraite.
Elle a déjà demander l'aide de certains mages dans la ville. Mais aux personnes énoncer par celle si, je crois d'avantage en vous deux, pour brisé le sortilège.
Si vous croyez juste d'y porter attention. Tenez moi informer. J'irai vous faire rencontrer cette femme. Autrement, je demanderai de conserver le secret de cette lettre.
Garibald Adalard
Et une missive rejoignant plus de précaution fut envoyé à Saralonde.
Mes salutations, Saralonde,
Si le temps te permet, je désirais te rencontrer pour discuter avec toi. Ne t'inquiète pas, il n'en concernera pas le mariage avec l'une de tes enfants. Néanmoins, il en touche un sujet qui m'apparait important et juste d'être prononcer de vive voix.
Mes horaires sont tiennes.
Garibald Adalard
Post by Garibald Adalard, Ad - September 10, 2011 at 6:08 PM
Une bref note fut envoyé, les remerciements tout de même. Et que la situation fut régler.