Un bref rapport sur la mort de Kalidor
Post by Saevan Al Kazar, AdM - September 9, 2008 at 4:56 AM
Voici tout ce qui c'est passé de mon point de vue :
Tout a commencer cette nuit la a l'arène avec un membre de la garde et Vitold, nous avons entendu un son de cloche étrange.
Le membre de la garde est partit seul vérifier et j'ai aussi décider de chercher la source de se son intriguant, je suis donc allez voir a l'hopital Saint-Elisa, cependant tout ne c'est pas passé comme prévu.
Lors de mon approche de l'hopital j'ai trouver bien plus qu'un son de cloche, mais une dague me taillant le cou, j'avais été pris par surprise sans gorgerin, mais je n'était pas mort sur le coup heureusement, mes reflexes avait fait manqué son coup a l'assassin et je me suis aussitot précipiter vers Saint-Elisa en fesant bien attention de ne pas être suivis.
C'est la main rouge de sang plaqué sur mon cou qui a fait réagir le personnel, on ma alors dis ou je pouvait trouver dame Saralonde, je suis descendu au sous-sol et j'y ai trouver le haut paladin Balgor ainsi que le templier Brehan, ceux-ci ayant réussis a atténuer ma blessure grace a leurs magie, mais j'en garderai surement des marques. J'ai ensuite découvert que Kalidor était gardé ici et quand j'ai raconter mon histoire nous avons vite sauter a la conclusion :
L'ange noir rodait, il voulait Kalidor.
Moi ainsi que Mathéo avons fouillé l'intérieur de l'établissement et n'avons trouver personne, c'est alors que nous avons appris que Kayla était dans la foret qui entoure la batisse grace a l'information de Koenzel, voyant que elle aussi pouvais subir une attaque comme la mienne a tout moment, moi ainsi que Brehan sommes sortit dehors alors que Mathéo et Saralonde était resté avec Kalidor.
Nous l'avons trouver saine et sauve, et nous sommes resté de garde au portes de Saint-Elisa.
Après un long moment qui était trop calme a mon gout, une meute de gens de l'ordre sont accouru ici, je ne connaissait pas la raison jusqu'a ce que je voit l'Ange noir sortir de Saint-Elisa avec Kalidor comme otage.
Pourpre, garde, paladin.. Nous étions tous déchirer et notre réaction fut humaine certe, mais qui peux donner des remords.
Nous leurs avons ceder le passage et ils sont partit par la caravane de secours, certains on essayer de les suivre par la suite mais en vain.
Le corps de Kalidor fut trouver sur la plage quelque temps après.
Conclusions :
Je n'y comprend rien, nous avons fouillé l'intérieur ET l'exterieur, nous étions très étanche et Kalidor était gardé par au moin deux personnes tout ce temps, mais il a quand même réussis son coup.
Je ne peux que constater notre impuissance face a tout cela.
Saevan Kazar
Recrue impérial
Post by Thomas Bolton, Emp - September 9, 2008 at 11:47 AM
Un rapport fut ajouté au dossier sur la mort de Kalidor par l'Intendant. L'écriture originale n'était néanmoins pas la sienne mais celle du Haut-Paladin Balgor.
Rapport sur la mort de Kalidor
Par Mathéo Balgor
En date du : 8 Manil du mois de Rougis de la 3ème ère.
Les lieux
L’hôpital de Sainte Eliza
Personnes témoins ou impliquées
Le Haut-Paladin Mathéo Balgor
La Directrice Adjointe de Sainte Eliza Sarälonde Taur’Amandil
Le Médecin Koenzell Pandora
La recru de la Garde Impérial Saevan Kazar
La Page Nikita
La Servante Juliette
Le Templier Brehan de Nogar
La pourpre Kayla
Ainsi que tout le personnel de Saite Eliza et les civils d’on j’ignore le nom
La victime
L’ancien membre de l’Ordre et protecteur des vertus Kalidor Majere
L’attaquant
Halik l’ange noir
Guilde « possiblement impliquée » dans le drame
L’armée des mercenaires
Rapport
Tout commença quand la Directrice Adjointe de Sainte Eliza Sarälonde Taur’Amandil demanda du renfort auprès de l’Ordre en vu de l’arrivé de plusieurs mercenaires. Ils étaient venu pour faire soigné un de leur membres qui après examen n’avait absolument rien, même qu’il tenta de s’enfuire. Venu faire perdre le temps préciser de Sarä pour des stupidités, le Templier de Nogar ordonna aux mercenaires de partire seconder par ma personne pour libéré l’hôpital de leur trop plein de stupidité. Une fois le calme plat enfin, Sarä nous convoqua moi, Brehan et Koenzell dans son bureau. Elle nous révéla la présence de Kalidor dans le sous sol, amener ici pour avoir été torturer par les mercenaires. Ces derniers ne l’auraient pas nourris ni abreuver durant deux jour et l’aurais forcer a miner sans cesse. Il était donc très faible et devait absolument se reposer sinon quoi il risquait de mourir. Nous sommes donc descendu lui rendre visite ou très faible, Kalidor tentait de nous convaincre de le remettre aux mercenaires, chose inconcevable dans son état. Tout portait a croire que les mercenaires étaient venu en Saite Eliza que pour vérifier si Kalidor y était toujours. Une longue discutions s’en suivie, où nous parlions des risques que Kalidor nous emmènerait si l’armée décidait de prendre d’assaut l’hôpital. Il fut donc convenu que Kalidor serait amener ailleurs une fois rétabli, soit rendu aux mercenaires soit confiner au temple le temps de son procès devant le tribunal ecclésiastique. Mais hélas son destin était déjà en marche et il rôdait dans la forêt.
Plus tard, la recru de la Garde Impérial Saevan Kazar est arrivé d’urgence à l’hôpital. Il avait été attaqué et blessé par un assassin bien connu et recherché depuis des années, l’ange noir. Tout de suite nous avons mis en branle la protection de Saites Eliza et de ses patients. Je savais que si l’ange rôdait, qu’il y avait quelqu’un qui allait tomber ce soir, je devait impérativement le débusquer. Je savais aussi que le chercher dans les bois était inutile contrairement a ce que l’inexpérimenté Saevan croyait, car il était déjà sans doute dans l’hôpital à attendre son heure. J’ordonna à Brehan de rester auprès de Sarä et de Kalidor pendant que moi et Saevan nous regardions dans l’hôpital avec Koenzell. A notre retour, moi et Saevan avons garder la porte de Kalidor durant une bonne heure encore. Rien autour me semblais-t-il. Rien, pas un son, pas une odeur, par un souffle. C’est ce qui est effrayent chez cet assassin, on ne le ressent et ne l’entend jamais, mais je restais sur mes gardes. Koenzell est venu nous prévenir que la dame Kayla, membre des pourpres arrivait ici en toute hâte, étant poursuivie par on ne sait quoi. Tout de suite j’ai envoyé Brehan, ayant un cheval il aurait été beaucoup plus rapide que moi, pour accompagné Koenzell. Je suis donc rester avec Sarä et Kalidor. Mais au moment où je suis entrer dans la chambre, Halik était entrer et avait empoigner Sarä pour lui mettre dague au cou. Je lui ordonna de la lâcher plusieurs fois mais il n’écouta pas et répliqua que si je ne sortais pas il turait Sarä. Je savait qu’il l’aurait fait, je savais qu’il l’aurait tuer de sang froid sans problème et le choix que j’eu prit fus délicat. Car je savais maintenant pour qui il était venu. J’obéis et sortis, puis il relâcha Sarä comme prévu, laissant Kalidor seul avec lui. Brehan arriva enfin, je lui ordonna de rassembler des gens apte a tuer l’ange, n’importe qui de fort et de rapide pour sauvé Kalidor et Sarä barra a clé la chambre pour emparer Kalidor et Halik. Notre plan aurait marcher, seulement Halik, futé, répliqua a notre manège que si nous leur ouvrions pas, il tuerait Kalidor et s’enlèverait la vie, là, dans l’hôpital. Sacrifier Kalidor, en avais-je vraiment le droit? Avais-je vraiment pouvoir de vie ou de mort sur lui? Non, je ne le pouvais pas. J’ai donc dis a Sarä d’ouvrire la porte et de le laisser allez, Kalidor en otage. Je savais pertinament que si j’attaquais Halik et ratais mon coup, que la victime ne se délimiterait pas qu’à une, mais a la totaliter de l’hôpital. Pouvais-je vraiment mettre en danger de mort les quelque 100 personnes de l’hôpital ainsi que Sarä? Non, je ne pouvais pas. Halik est donc partie, Kalidor avec lui. Pendant ce temps dehors, Brehan avait organiser une riposte digne de ce nom, Pourpres, Ordre et civil étaient prêt a attaquer Halik. Mais quand Halik sorti, moi a ses trousse il m’ordonna de rester a l’intérieur sinon il tuerait Kalidor. Je ne sais donc pas ce que Halik a dis aux courageux volontaire une fois sortis. Chose sûr, le dialogue fut long et déchirant. Halik partit avec Kalidor par la diligence d’urgence, personne n’attaqua… Je suppose qu’ils avaient eu le même dilemme que moi, à savoir si Kalidor ou non serait tuer et si Halik se vengerait ensuite. Plus tard, le corps de Kalidor fut retrouver, sur la plage, mort…
Peut-être aurais-je pus tuer Halik, peut-être aurais-je vraiment sauvé Kalidor mais je ne regrette pas le choix que j’ai pris en voulant protéger l’hôpital et ses vies. J’estime avoir accomplis mon devoir de paladin malgré la perte tragique d’une vie. Je porterai bien sur le blâme entièrement si jamais le Grand Maître songerait à punir quelqu’un, car celui qui a prit en charge la situation c’était moi, et par concédant je juge que nul autre que moi dois être punis pour avoir laisser Halik partir. Je tien à souligner l’ extraordinaire travail de Brehan qui devrait être récompensé et le très grand sang froid de Sarä aussi. Et je tien a souligner l’efficacité de Saevan et l’aide précieuse de Koenzell sans qui un drame aurait pus survenir. Je voudrais dire aussi que l’armée des mercenaires est possiblement à l’origine de la venu de Halik, étant corrompue nous ne serions pas surprit si un jour on entend dire qu’un membre de l’armée aurait vendu des information à l’ange au sujets de Kalidor.
Post by Anonymous - September 9, 2008 at 12:11 PM
Félix lu le rapport avec intérêt surtout la liste des témoins.
Décidément son frère Mathéo avait fait de l'excellent travail dans se dossier.
Post by Anonymous - September 9, 2008 at 11:59 PM
Premièrement recrue Kazar je n'ai aucun souvenir d'un son de cloche, de plus je ne connais même pas de Vitold.Je vous demande donc d'éclaircir un peu votre rapport pour qu'il convienne a la réalité ou que vous me présentiez se Vitold pour que ma mémoire me revienne.
Voici tout les rapports que l'Ordre m'a envoyé.
Rapport sur la mort de Kalidor
Par Sarälondë Taur’Amandil
Tout commença lorsque je me rendis à la caserne des mercenaires pour juger de l’état de santé de Kalidor Majère récemment incarcéré pour des raisons qui m’ont semblées obscures et surtout dissimulés malgré que je sois rattachée à l’Ordre du Soleil. J’ai trouvé dans a cellule l’ancien membre de l’Ordre inconscient, fiévreux et dans un état critique de déshydratation. Les mercenaires ne semblaient pas savoir depuis quand il était ainsi. Pour la sécurité de monsieur Majère, les mercenaires l’ont transféré à Sainte-Élisa sous mon ordre.
Une fois à Sainte-Élisa, j’ai offert les premiers soins à Kalidor Majère. Les mercenaires sont restés dans les corridors, sans doute pour monter la garde. Durant mon auscultation, j'en ai déduis que Kalidor Majère avait été mal traité par l'Armée des Mercenaires. Au bout de plusieurs minutes je suis enfin sortit leur donner des nouvelles de l’homme. Dans l’empressement de les voir partir pour pouvoir faire quérir l’Ordre du Soleil rapidement, vu mes doutes à propos du traitement qu’il avait fait subir à leur prisonnier, j’ai demandé à ce qu’ils quittent les lieux, choses qu’ils ont fait sans broncher.
Je suis retourné aux chevets de Kalidor après avoir fait quérir l’Ordre du Soleil et mis Koenzell Pandora, mon médecin le plus de confiance, dans la confidence de ce qui se passait. Alors que j’étais avec le médecin Pandora dans la chambre où reposait Kalidor, les mercenaires sont revenus. Le tapage incroyable qu’ils faisaient, troublant ainsi l’ordre et le calme à Sainte-Élisa me fit monter à l’étage. L’Armée était là pour se faire soigner, mais tout ceci était une mise en scène dont les raisons m’échappent toujours. Celle offerte par le caporal Germund Novitch étant totalement absurde, soit, que ces mercenaires sont des admirateurs de ma personne et qu’ils voulaient se faire soigner par moi.
Les mercenaires devraient se voir exclus de l'enquête concernant Kalidor Majère pour les mauvais traitements suspect qu'il a reçu.
Le rapport de Mathéo Balgor correspond à ma version des faits par la suite.
Rapport rédigé par :
Sarälondë Taur’Amandil
Médecin en Chef de l’Ordre du Soleil
Directrice Adjointe de l’hôpital Sainte-Élisa
Rapport sur la mort de Kalidor
Par Mathéo Balgor
Tout commença quand la Directrice Adjointe de Sainte Eliza Sarälonde Taur’Amandil demanda du renfort auprès de l’Ordre en vu de l’arrivé de plusieurs mercenaires. Ils étaient venu pour faire soigné un de leur membres qui après examen n’avait absolument rien, même qu’il tenta de s’enfuire. Venu faire perdre le temps préciser de Sarä pour des stupidités, le Templier de Nogar ordonna aux mercenaires de partire seconder par ma personne pour libéré l’hôpital de leur trop plein de stupidité. Une fois le calme plat enfin, Sarä nous convoqua moi, Brehan et Koenzell dans son bureau. Elle nous révéla la présence de Kalidor dans le sous sol, amener ici pour avoir été torturer par les mercenaires. Ces derniers ne l’auraient pas nourris ni abreuver durant deux jour et l’aurais forcer a miner sans cesse. Il était donc très faible et devait absolument se reposer sinon quoi il risquait de mourir. Nous sommes donc descendu lui rendre visite ou très faible, Kalidor tentait de nous convaincre de le remettre aux mercenaires, chose inconcevable dans son état. Tout portait a croire que les mercenaires étaient venu en Saite Eliza que pour vérifier si Kalidor y était toujours. Une longue discutions s’en suivie, où nous parlions des risques que Kalidor nous emmènerait si l’armée décidait de prendre d’assaut l’hôpital. Il fut donc convenu que Kalidor serait amener ailleurs une fois rétabli, soit rendu aux mercenaires soit confiner au temple le temps de son procès devant le tribunal ecclésiastique. Mais hélas son destin était déjà en marche et il rôdait dans la forêt.
Plus tard, la recru de la Garde Impérial Saevan Kazar est arrivé d’urgence à l’hôpital. Il avait été attaqué et blessé par un assassin bien connu et recherché depuis des années, l’ange noir. Tout de suite nous avons mis en branle la protection de Saites Eliza et de ses patients. Je savais que si l’ange rôdait, qu’il y avait quelqu’un qui allait tomber ce soir, je devait impérativement le débusquer. Je savais aussi que le chercher dans les bois était inutile contrairement a ce que l’inexpérimenté Saevan croyait, car il était déjà sans doute dans l’hôpital à attendre son heure. J’ordonna à Brehan de rester auprès de Sarä et de Kalidor pendant que moi et Saevan nous regardions dans l’hôpital avec Koenzell. A notre retour, moi et Saevan avons garder la porte de Kalidor durant une bonne heure encore. Rien autour me semblais-t-il. Rien, pas un son, pas une odeur, par un souffle. C’est ce qui est effrayent chez cet assassin, on ne le ressent et ne l’entend jamais, mais je restais sur mes gardes. Koenzell est venu nous prévenir que la dame Kayla, membre des pourpres arrivait ici en toute hâte, étant poursuivie par on ne sait quoi. Tout de suite j’ai envoyé Brehan, ayant un cheval il aurait été beaucoup plus rapide que moi, pour accompagné Koenzell. Je suis donc rester avec Sarä et Kalidor. Mais au moment où je suis entrer dans la chambre, Halik était entrer et avait empoigner Sarä pour lui mettre dague au cou. Je lui ordonna de la lâcher plusieurs fois mais il n’écouta pas et répliqua que si je ne sortais pas il turait Sarä. Je savait qu’il l’aurait fait, je savais qu’il l’aurait tuer de sang froid sans problème et le choix que j’eu prit fus délicat. Car je savais maintenant pour qui il était venu. J’obéis et sortis, puis il relâcha Sarä comme prévu, laissant Kalidor seul avec lui. Brehan arriva enfin, je lui ordonna de rassembler des gens apte a tuer l’ange, n’importe qui de fort et de rapide pour sauvé Kalidor et Sarä barra a clé la chambre pour emparer Kalidor et Halik. Notre plan aurait marcher, seulement Halik, futé, répliqua a notre manège que si nous leur ouvrions pas, il tuerait Kalidor et s’enlèverait la vie, là, dans l’hôpital. Sacrifier Kalidor, en avais-je vraiment le droit? Avais-je vraiment pouvoir de vie ou de mort sur lui? Non, je ne le pouvais pas. J’ai donc dis a Sarä d’ouvrire la porte et de le laisser allez, Kalidor en otage. Je savais pertinament que si j’attaquais Halik et ratais mon coup, que la victime ne se délimiterait pas qu’à une, mais a la totaliter de l’hôpital. Pouvais-je vraiment mettre en danger de mort les quelque 100 personnes de l’hôpital ainsi que Sarä? Non, je ne pouvais pas. Halik est donc partie, Kalidor avec lui. Pendant ce temps dehors, Brehan avait organiser une riposte digne de ce nom, Pourpres, Ordre et civil étaient prêt a attaquer Halik. Mais quand Halik sorti, moi a ses trousse il m’ordonna de rester a l’intérieur sinon il tuerait Kalidor. Je ne sais donc pas ce que Halik a dis aux courageux volontaire une fois sortis. Chose sûr, le dialogue fut long et déchirant. Halik partit avec Kalidor par la diligence d’urgence, personne n’attaqua… Je suppose qu’ils avaient eu le même dilemme que moi, à savoir si Kalidor ou non serait tuer et si Halik se vengerait ensuite. Plus tard, le corps de Kalidor fut retrouver, sur la plage, mort…
Peut-être aurais-je pus tuer Halik, peut-être aurais-je vraiment sauvé Kalidor mais je ne regrette pas le choix que j’ai pris en voulant protéger l’hôpital et ses vies. J’estime avoir accomplis mon devoir de paladin malgré la perte tragique d’une vie. Je porterai bien sur le blâme entièrement si jamais le Grand Maître songerait à punir quelqu’un, car celui qui a prit en charge la situation c’était moi, et par concédant je juge que nul autre que moi dois être punis pour avoir laisser Halik partir. Je tien à souligner l’ extraordinaire travail de Brehan qui devrait être récompensé et le très grand sang froid de Sarä aussi. Et je tien a souligner l’efficacité de Saevan et l’aide précieuse de Koenzell sans qui un drame aurait pus survenir. Je voudrais dire aussi que l’armée des mercenaires est possiblement à l’origine de la venu de Halik, étant corrompue nous ne serions pas surprit si un jour on entend dire qu’un membre de l’armée aurait vendu des informations à l’ange au sujets de Kalidor.
Rapport rédigé par :
Mathéo Balgor
Haut-Paladin de l’Ordre du Soleil
Rapport sur la mort de Kalidor
Par Brehan de Nogar
Kayla rôdait à l'extérieur de Sainte-Élisa, alors qu'elle semblait avoir eu une étrange damnation. Je me suis empêcher de m'informer de la véracité des faits, mais elle ne semblait pas avoir eu de problèmes avec l'elfe noir, mais plutôt avec une malédiction, comme elle m'expliqua rapidement, seuls des membres de l'ordre pouvait l'aider, selon elle, mais le moment était beaucoup plus grave. J'ai demandé a Saevan de la faire rentrer en Sainte-Élisa et de veiller sur elle, et je me suis précipité à l'intérieur de l'hôpital pour rejoindre le haut-paladin Balgor, Kalidor et Saralonde. J'ai bien vu que quelque chose n'allait pas alors que Saralonde et Mathéo étaient à l'extérieur de la place. Mathéo m'ordonna de me rendre en Systéria quérir du renfort, qu'ils tenaient l'ange noir à double tour. C'est ce que je fis.
J'ai chevauché sans me retourner en Systéria, une fois arrivé j'ai rassemblé des braves, des membres de l'ordre, des pourpres, même des civils nous ont apporté main forte. Je fus le premier arrivé à Sainte-Élisa. Mais quelque chose glaça mon sang quand je vis l'ange noir passer la porte en tenant la dague sous le cou de Kalidor.
Les renforts arrivèrent rapidement et nous avions cernés l'issue. L'ange noir hurla de nous laisser passer, sinon il trancherait net et sec la gorge de Kalidor et se suiciderait par la suite. Nous avons tenu les rangs devant eux, et je chercha un signe quelconque de la part de Kalidor, c'est alors que l'ancien protecteur des vertus nous ordonna d'obéir, et tout se passerait pour le mieux. La majorité des gens étaient figés, d'autres reculaient. Sans m'en apercevoir, j'étais le dernier qui bloquait encore la route. Kalidor m'ordonna d'obéir, pour épargner de faire couler un bain de sang. Scindé en deux, je pouvais lancer l'attaque et pourfendre ce fléau qu'est Halik, risquant ainsi la vie de nombreux innocents qui nous entouraient. L'ange noir me fit la promesse qu'il ne ferait pas de mal à Kalidor, et qu'aucun sang ne serait versé si nous les laissions passer, et l'ancien protecteur des vertus me pria de lui obéir. À contre coeur, c'est ce que je fis. Impuissant, je les ai regardé prendre la diligence. Mais c'est là que j'ai compris ce que venait de faire Kalidor, il venait de faire l'ultime sacrifice, pour ne pas que nous mettions nos vies en danger, ni celles de ceux nous entourant, car parmi cette foule, il avait sûrement des alliés, et Kalidor devait le savoir.
J'ai élancé ma monture à la poursuite de la diligence, mais ils étaient déjà trop loin, je n'ai pu les rattraper.
Rapport rédigé par :
Brehan de Nogar
Templier de l’Ordre du Soleil
Rapport sur la mort de Kalidor
Par Mathéo Balgor, Sarälonde Taur'Amandil et Brehan de Nogar
En date du : 8 Manil du mois de Rougis de la 3ème ère.
Les lieux
L’hôpital de Sainte Eliza
Personnes témoins ou impliquées
Le Haut-Paladin Mathéo Balgor
La Directrice Adjointe de Sainte Eliza Sarälonde Taur’Amandil
Le Médecin Koenzell Pandora
La recru de la Garde Impérial Saevan Kazar
La Page Nikita
La Servante Juliette
Le Templier Brehan de Nogar
La pourpre Kayla
Ainsi que tout le personnel de Saite Eliza et les civils d’on j’ignore le nom
La victime
L’ancien membre de l’Ordre et protecteur des vertus Kalidor Majere
L’attaquant
Halik l’ange noir
Guilde « possiblement impliquée » dans le drame
L’armée des mercenaires
Post by Saevan Al Kazar, AdM - September 10, 2008 at 4:59 AM
Il se peux que je me sois trompé de personne étant sur le balcon alors qu'eux étaient plus bas, il pouvais s'agir du C.E.M, ou d'un autre membre de la garde.
Je corrigerai cette faute.
Pour ce qui es du son de cloche un grand nombres de personnes pourront témoigner que se son a bel et bien existé.
Le son de cloche a été entendu au travers de la ville et a été fait par un GM
Post by Anonymous - September 10, 2008 at 5:02 AM
Cela va de soit puisque je n'étais pas à l'arène cette journée.
Mais je vous accorde que les cloches ont bel et bien sonné recrue.
Tenter simplement de corriger votre rapport et renvoyez moi le bon nom.
Post by Saevan Al Kazar, AdM - September 10, 2008 at 5:06 AM
Le nom de Félix sur le rapport original avait été remplacer par ''membre de la garde'' pour éviter toute confusion inutile.