Confrérie Pourpre c. Thorgrask

Confrérie Pourpre c. Thorgrask

Post by Lenne Vespari, CP - October 28, 2008 at 5:19 AM

CONTRÉES D'ENRYA
ARCHIPEL DE SYSTÉRIA
TRIBUNAL DE SYSTÉRIA


REQUÊTE INTRODUCTIVE D'INSTANCE

La Confrérie Pourpre (Lenne Vespari)
DEMANDERESSE

c.

Thorgrask le demi-orque
DÉFENDEUR


Faits allégués

(1) Tel que soutenu par la copie du rapport du Magistère Glâneduc (Voir annexe P-1), un golem de plasma s'est attaqué à la cité dans les parages de l'ancien emplacement du campement gitan, il y a de cela quelques jours avant le couronnement de l'ancienne Impératrice Mala de Systéria.

(2) Une vingtaine de braves de toutes les guildes et même des indépendants ont unis leurs forces. Des membres en règle de la Confrérie Pourpre, dont le magistère Glâneduc lui-même, étaient présents pour éradiquer cette menace.

(3) La créature a été vaincue. Le demi-orque Thorgrask a été vu en train d'arracher des parties du golem alors que son corps tombait encore et il s'est enfui rapidement avec ces objets.

(4) Le demi-orque Thorgrask a accepté de remettre à la Confrérie Pourpre, sur demande de cette dernière : 1- Du plasma 2-Un cristal de plasma.

(5) Le demi-orque Thorgrask refuse de céder ces objets à la Confrérie Pourpre, alors que son propre droit de possession sur ceux-ci est douteux. Il a verbalement été mis en demeure d'obtempérer et il a refusé.

(6) Le demi-orque Thorgrask prétend posséder aujourd'hui ou éventuellement plusieurs autres objets magiques qu'il cachera à la Confrérie Pourpre.

Droit invoqué

(7) La Constitution donne un mandat très large et très clair à la Confrérie Pourpre :

Art. 107

A la Confrérie Pourpre, Sa Majesté Impériale donne plein pouvoir pour contrôler, réguler, et même légiférer la magie, afin que les érudits et les mages qui la composent usent avec sagesse du savoir et des connaissances qu’ils possèdent.

L’Empire reconnaît que la Confrérie comme le seul organe gérant et légifiérant la magie apte à accomplir une telle mission et lui reconnaît le monopôle total de tout ce qui touche de près ou de loin au savoir, comme il en décidé au temps de Justinius Evereth.

(8) En raison de ce texte de loi - qui ne fut jamais limité ou atténué par aucun autre texte légal ou décret impérial, au contraire - la Confrérie Pourpre possède un droit sur tous les objets magiques qui se retrouvent sur les landes sur lesquelles son influence s'étend.

(9) Ce droit s'explique clairement par le danger éventuel que représentent ces objets ou alors par l'accroissement du savoir que peuvent représenter leur utilisation ou leur étude. Tout l'Empire bénéficiant du rayonnement et/ou de l'apport de tels avancements, il est clair que l'intérêt d'un particulier doit céder face à l'intérêt impérial.

(10) Puisque monsieur Thorgraks refuse de céder la propriété des biens concernés précités (1-Le plasma 2-Le cristal de plasma) actuellement détenus de consentement par la demanderesse, la Confrérie Pourpre passe par les moyens légaux pour en réclamer leur possession.

(11) Leur caractère magique et leur nature surnaturelle est clairement prouvée à la face même de la situation par les biens en eux-mêmes. Pour ces raisons, ils tombent sous le mandat de la Confrérie Pourpre et doivent lui revenir. Néanmoins cet argument n'est pas le seul, puisque monsieur Thorgrask, de par son attitude fautive (sa fuite) après avoir sournoisement arraché de objets de la créature qui avait pourtant été vaincue par le groupe, ne détient même de droits sur lesdits objets.

(12) Néanmoins le litige ne s'arrête pas là. En invoquant l'intention d'entraver à l'avenir le travail de la Confrérie Pourpre en lui cachant des objets magiques et en ne coopérant pas avec elle, monsieur Thorgrask risque de compromettre la mission impériale de la Confrérie Pourpre.

(13) La seule manière d'assurer que la mission de la guilde puisse être remplie est d'effectuer des vérifications routinières des avoir de monsieur Thorgrask, dans ce qu'il porte, dans ses effets bancaires et dans son domicile, s'il y a lieu, afin de déceler les objets magiques pertinent qu'il pourrait tenter de cacher pour nous nuire, comme il l'a dit devant témoins (monsieur Rimostra, madame Ascyla Scyre, monsieur Mirddyn Emrys furent présents à un moment ou à un autre de l'échange litigieux et pourront corroborer ces faits en tout ou en partie). Les objets pertinents devront passer sous notre droit de propriété, comme nous le permet la Loi.

(14) Il est vital que le tribunal consacre dans cette affaire la législateur actuel, sans quoi la mission de la Confrérie Pourpre, pourtant fixée par Ses Majestés il y a bien longtemps, se verrait grandement affaiblie et toute la nation subirait les désagréments d'une telle limitation, ne serait-ce qu'éventuellement en cas de danger ou au niveau du prestige international de l'organisation.

(15) Le tribunal doit offrir la sanction légale à notre demande, puisque la loi rend notre démarche légitime.

Dispositif souhaité

Pour ces motifs, la demanderesse prie le tribunal de :

-TRANSMETTRE la propriété du cristal de plasma et du plasma à la Confrérie Pourpre.
-DÉLIVRER un mandat pour permettre à la Confrérie Pourpre d'examiner sur une base ponctuelle semi-régulière les avoirs (sac à dos, coffre de banque, domicile) du demi-orque Thorgrask afin de noter les éventuels objets magiques qu'il cacherait et confisquer ceux d'entre eux qui se révéleraient pertinents.

Maître Lenne Vespari,
Sage Pourpre,
Confrérie Pourpre.

ANNEXE
DOCUMENT P-1

Rapport d'évènement, par le Magistère Galgarad Glâneduc

Lieu : Ancien camp des gitans, près du lac.
Date : An 1 de l'ère Mala, quatorizième jour.
Heure : Peu après la prière du soir
Personnes présentes : En premier lieu, Galgarad Glâneduc et Anton Berret. Une horde de guerriers se sont joints à nous par la suite.

Récit :

Le tout à commencé alors que j'attendais la Baronne Minh Yu, au coin chaud. Mon attente fut brusquement interrompue par le Soldat Berret, qui vint m'annoncer une nouvelle pour le moins étrange. Alors qu'il était aux prises avec des brigands, il vit tomber plusieurs éclairs, étrangement près les unes des autres, autour de l'endroit où il se trouvait. Apeuré par les décharges et le bruit ahurissant du tonnerre, le brave homme dut battre en retraite. C'est alors qu'un cristal d'une taille imposante apparut sous lui, le faisant immanquablement tomber à la renverse. Il vit alors surgir "une énorme chose mauve", qui s'avérait en fait être un Golem d'une puissance phénoménale. Alors que la chose fonçait sur lui, il tenta bien, mais en vain, de la terrasser. Il vint alors quémander mon aide, en tant qu'expert en phénomènes magiques, pour analyser la situation.

Nous partîmes alors en direction du Golem, guidé d'une part par le soldat , et par les incroyables perturbations des flux magiques d'autre part. J'invoquai alors deux élémentaux de Terre, croyant à tord que l'étrange Golem serait facilement vaincu. [...] Je me réveillai alors, adossé à une croix, de l'autre côté de la rivière. Cette abomination, selon les dires du Soldat, avait d'un simple geste du bras écarté mes deux invocations et foncé sur moi. Les Gnomes n'était pas reconnus pour leur résistance physique, je dut être transporté, inconscient, en sécurité par mon acolyte alors que le Golem rebroussait chemin vers le cristal. Nous prîmes alors quelques instants pour me remettre sur pied.

Notre quiétude fut bientôt brisée, alors qu'une vache fut lancée en notre direction, par le Golem. S'en suivit alors un taureau, puis un arbre. Peut-être est-ce dû à l'adrénaline, mais mes jambes qui refusaient jusque là de me porter m'obéirent alors à nouveau, et nous rebroussâmes chemin jusqu'en ville. Je fit alors regrouper les meilleurs éléments de notre cité devant la taverne, et leur apprit qu'une créature d'une force légendaire menaçait la cité. Ces combattants toujours enclin à l'aventure me suivirent immédiatement. Nous repartîmes donc, fort d'une vingtaine de guerriers, en direction de la bête. Nous vîmes alors un amoncellement de corps de brigants, certains morts, d'autres toujours en vie, qui avaient été lancés par le Golem, de l'autre côté de la rivière. Alors que certains s'affairaient à aider les survivants, la majeure partie du groupe se dirigea vers le Golem, en contournant le lac (le pont avait effectivement été détruit par l'étrange être). Une bataille qui dura facilement une demie heure fut engagée avec la bête. Les Systériens sortirent, au prix de nombreuses contusions et coupures, mais sans morts, victorieux de l'affrontement.

À ce sujet, le dénommé Thorgrask est recherché pour avoir dérobé des morceaux de corps de ce golem. Je n'ai pu récupérer que la tête, qui me fut confiée par Lidenbrock. Je demande donc à la recherche de se pencher sur ce phénomène, et d'analyser la tête afin d'en déterminer la substance, et la provenance. Elle devra ensuite, si elle est jugée non dangereuse, être remise à son propriétaire. Le lieu où se trouve le cristal doit aussi être examiné.

Fin du rapport d'évènement


Post by Lenne Vespari, CP - October 29, 2008 at 9:57 PM

DOCUMENT P-2

**Échange de correspondance entre les parties au litige. **

Bonjours Lenne, je n'ai aucunement l'idée de comment et où, ni quand je dois me présenter. Et je tennait à vous aviser que selon moi vous n'avez réellement pas bien regarder ou même poser les bonne question au bonne personnes. Puis-que le famueux cristal de plamas à belle et bien déjà été remis à la confrérie pourpre, d'autre part je tenais à vous informer que je ne dispose d'aucun objects magiques pour le moment que la confrérie n'a pas eu la chance de voir. Dautre part que, comme vous avisez dans la lettre précédament envoyer, monsieur Galgarad avait déjà été mis au courant de mes actions ainsi que de mes volontés du à vos ''perquisition'' déjà mentionner.

Sur ce, il serait aimable de m'indiquer CLAIREMENT, cela veux dire AUCUN mots compliquer, ni de fasson abstrecte de dire, là et l'heure ainsi que la journée que je dois me présenter.

Donc, merci et pas au plaisir de vous revoir.

Messire Thorgrask,

Si vous n'êtes pas en mesure de vous défendre, vous devez vous trouver un avocat qui le fera pour vous. Il présentera une défense écrite (s'il y a lieu d'en présenter une, ce dont, en l'espèce, je doute) et la Cour pourra rendre jugement selon les deux actes de procédure (l'accusation et la défense).

Notez bien que la procédure demande le transfert clair et officiel du droit de propriété, et non pas de l'objet en soi qui est effectivement, comme la requête l'indique, détenu par la Confrérie Pourpre.

La seconde requête déposée au tribunal vise à protéger la Confrérie Pourpre (et donc la nation dont elle protège les intérêts magiques et de connaissance) de vos futures entraves et de votre éventuel manque de coopération dont vous avez indiqué avoir l'intention de faire preuve.

Maître Lenne Vespari,
Sage Pourpre,
Confrérie Pourpre.

Vespari,

Le néophyte Thorgrask m'a demander de jetter oeil dans ses affaires ainsi que de l'épauler. Donc, je me permet de t'écrire à son nom.

J'ai vérifier de long en large les missives envoyer entre vos deux personnes. Je constate présentement, qu'il y à un conflit d'intérêt à la base des signatures. Puisque le plaignant principale semble en toute mesure la Confrérie Pourpre représenter par toi en occurence. Qui représenterait les décisions du tribunale impériale.

Pour l'heure, je désirais ainsi que Thorgrask, savoir exactement de quoi il est accusé, de quoi le tribunal juge qu'il puisse être possiblement coupable. Il n'est pas pertinent pour l'heure de savoir de quoi la Confrérie Pourpre l'accuse avant que le tribunal n'est accepter les closes pouvant mener à un procès.

Pour le moment, nous attenderons la décision finale du tribunal, d'un Juge. En se qui concerne les tords commis par Thorgrask envers le codex de la Confrérie Pourpre. Avant de se défendre.

Garibald Adalard

Messire Adalard,

Le présente poursuite a été déposée au Tribunal et un juge sera appelé à rendre une décision dans son cadre sous peu. Il n'est pas question de conflit d'intérêt ; la Confrérie pourpre que je représente y est demanderesse et le décideur sera un membre de l'administration impériale.

Vous n'êtes pas avocat, aussi ne pouvez-vous pas déposez vous-même la défense de votre client au dossier de la Cour. J'ajoute que je ne crois pas que la Loi vous permet de le représenter sans le titre.

Néanmoins, parce que je souhaite en finir rapidement avec ce litige, je vous offre de m'occuper d'apporter votre défense au dossier de la Cour afin qu'elle puisse rendre jugement immédiatement. Aussi attendrais-je que vous produisiez celle-ci, rapidement.

Les faits reprochés et les conclusions demandées par la Confrérie Pourpre sont explicités dans l'acte de procédure qui vous fut signifié. Relisez la pour comprendre ce que nous voulons et ce que nous reprochons.

Maître Lenne Vespari,
Sage Pourpre,
Confrérie Pourpre.

DÉFENSE DU DÉFENDEUR

CONTRÉES D'ENRYA
ARCHIPEL DE SYSTÉRIA
TRIBUNAL DE SYSTÉRIA


Défense de Thorgrask le demi-orque

Rédiger et aider par Garibald Adalard avec la permission de Maître Lenne Vespari.

Une parcelle des écrits de Lenne suivait.

Néanmoins, parce que je souhaite en finir rapidement avec ce litige, je vous offre de m'occuper d'apporter votre défense au dossier de la Cour afin qu'elle puisse rendre jugement immédiatement. Aussi attendrais-je que vous produisiez celle-ci, rapidement.

Les faits reprochés et les conclusions demandées par la Confrérie Pourpre sont explicités dans l'acte de procédure qui vous fut signifié. Relisez la pour comprendre ce que nous voulons et ce que nous reprochons.

Maître Lenne Vespari,
Sage Pourpre,
Confrérie Pourpre.

(1)\tTel que soutenu par la copie du rapport du Magistère Glâneduc (Voir annexe P-1), un golem de plasma s'est attaqué à la cité dans les parages de l'ancien emplacement du campement gitan, il y a de cela quelques jours avant le couronnement de l'ancienne Impératrice Mala de Systéria.

(2)\tUne vingtaine de braves de toutes les guildes et même des indépendants ont unis leurs forces. Des membres en règle de la Confrérie Pourpre, dont le magistère Glâneduc lui-même, étaient présents pour éradiquer cette menace.

(3)\tLa créature a été vaincue. Le demi-orque Thorgrask a été vu en train d'arracher des parties du golem alors que son corps tombait encore et il s'est enfui rapidement avec ces objets.

(4)\tLe demi-orque Thorgrask a accepté de remettre à la Confrérie Pourpre, sur demande de cette dernière : 1- Du plasma 2-Un cristal de plasma.

(5)\tLe demi-orque Thorgrask refuse de céder ces objets à la Confrérie Pourpre, alors que son propre droit de possession sur ceux-ci est douteux. Il a verbalement été mis en demeure d'obtempérer et il a refusé.

Suite à cela, il est vrai que Thorgrask refusa à la première demande, le temps de réfléchir et de faire le point. Pour finalement remettre les objets, comme dis à l’article 4 à un membre de la branche recherche de la Confrérie Pourpre.

(6)\tLe demi-orque Thorgrask prétend posséder aujourd'hui ou éventuellement plusieurs autres objets magiques qu'il cachera à la Confrérie Pourpre.

En deuxième lieu, les objets posséder par Thorgrask fut acheté en grande majorité à un chercheur Pourpre du nom de Rimostra, un sois disant enchanteur. Ainsi, le demi-orque démontre sa bonne conduite en démontrant qu’effectivement il possède des objets magiques. Pour la grande majorité, provenant de la Confrérie Pourpre.

Droit invoqué

(7)\tLa Constitution donne un mandat très large et très clair à la Confrérie Pourpre :

Art. 107

A la Confrérie Pourpre, Sa Majesté Impériale donne plein pouvoir pour contrôler, réguler, et même légiférer la magie, afin que les érudits et les mages qui la composent usent avec sagesse du savoir et des connaissances qu’ils possèdent.

L’Empire reconnaît que la Confrérie comme le seul organe gérant et légifiérant la magie apte à accomplir une telle mission et lui reconnaît le monopôle total de tout ce qui touche de près ou de loin au savoir, comme il en décidé au temps de Justinius Evereth.

(8)\tEn raison de ce texte de loi - qui ne fut jamais limité ou atténué par aucun autre texte légal ou décret impérial, au contraire - la Confrérie Pourpre possède un droit sur tous les objets magiques qui se retrouvent sur les landes sur lesquelles son influence s'étend.

Ici, l’Art. 107 dit clairement que la Confrérie Pourpre à en effet plusieurs droits sur la magie. Mais n’ont pas nécessairement l’entière droit de pouvoir demander d’acquérir toutes possessions magiques et de les conserver sans raison valable. Il est écrit nulle part dans l’Art. 107 que la Confrérie puisse prendre et conserver des objets magique aux caractéristique bien entendu non néfaste. Ce qui à attrait à la Nécromancie et au Démoniste.

Je rajoute : Constitution Art. 12 : Celle si dicte que les citoyens (Se qui est le statut de Thorgrask) on droit à leurs propriété privé. Sans exclure les objets magique.

(9)\tCe droit s'explique clairement par le danger éventuel que représentent ces objets ou alors par l'accroissement du savoir que peuvent représenter leur utilisation ou leur étude. Tout l'Empire bénéficiant du rayonnement et/ou de l'apport de tels avancements, il est clair que l'intérêt d'un particulier doit céder face à l'intérêt impérial.

Comment, la Confrérie peu elle vendre des objets créer par leurs Guildes, pour ensuite les confisquer dans le but d’observer l’ampleur magique des objets ? Il s’en résulterait à du vol, puisqu’au préalable l’Enchanteur de leurs Guilde doit connaître les attributs magiques qu’il rajoute au dit objet. Et s’assurer qu’il ne représente aucun danger par la suite.

(10)\tPuisque monsieur Thorgraks refuse de céder la propriété des biens concernés précités (1-Le plasma 2-Le cristal de plasma) actuellement détenus de consentement par la demanderesse, la Confrérie Pourpre passe par les moyens légaux pour en réclamer leur possession.

(11)\tLeur caractère magique et leur nature surnaturelle est clairement prouvée à la face même de la situation par les biens en eux-mêmes. Pour ces raisons, ils tombent sous le mandat de la Confrérie Pourpre et doivent lui revenir. Néanmoins cet argument n'est pas le seul, puisque monsieur Thorgrask, de par son attitude fautive (sa fuite) après avoir sournoisement arraché de objets de la créature qui avait pourtant été vaincue par le groupe, ne détient même de droits sur lesdits objets.

Ici l’on ne peu accusé Thorgrask de délit de fuite. Les objets n’appartenant à personnes, il pu très bien après le combat récupérer des items puis se retirer pour prendre du repos. Se qui fait de lui le légale propriétaire à partir du moment ou les objets d’appartenance à nuls autres provinrent dans ses mains.

Par ailleurs je rajoute, que si aucuns des gens présents ne possédaient de permis naturel. Nul autre que les membres de la Fraternité du Chêne, en occurrence Thorgrask. N’aurait pu fouiller et retirer des matières naturelles ou dite première du corps.

Art. 5.0 (Tirer du Codex de la Fraternité)

Le permis pour exploiter une ressource naturelle est obligatoire.

Ce qui vient prouver la totale légalité des actes du Néophyte.
(12)\tNéanmoins le litige ne s'arrête pas là. En invoquant l'intention d'entraver à l'avenir le travail de la Confrérie Pourpre en lui cachant des objets magiques et en ne coopérant pas avec elle, monsieur Thorgrask risque de compromettre la mission impériale de la Confrérie Pourpre.

Si je peu me permettre de se sarcasme : Si un seul individu refuserait réellement de coopérer avec la Confrérie Pourpre, je doute fortement qu’il irait à lui seul compromettre la mission Impériale dédier à la Confrérie.

Maître Vespari pousse un peu loin sa cause. Je rappel que Thorgrask est un honnête citoyen, les descréminations envers celui si ne sont guère souhaiter.

(13)\tLa seule manière d'assurer que la mission de la guilde puisse être remplie est d'effectuer des vérifications routinières des avoir de monsieur Thorgrask, dans ce qu'il porte, dans ses effets bancaires et dans son domicile, s'il y a lieu, afin de déceler les objets magiques pertinent qu'il pourrait tenter de cacher pour nous nuire, comme il l'a dit devant témoins (monsieur Rimostra, madame Ascyla Scyre, monsieur Mirddyn Emrys furent présents à un moment ou à un autre de l'échange litigieux et pourront corroborer ces faits en tout ou en partie). Les objets pertinents devront passer sous notre droit de propriété, comme nous le permet la Loi.

D’ailleurs comme écrit si haut, aucun droit de propriété n’est conféré à la Confrérie Pourpre. Mais bien un droit de : Contrôler, réguler, et légiférer la magie.

(14)\tIl est vital que le tribunal consacre dans cette affaire la législateur actuel, sans quoi la mission de la Confrérie Pourpre, pourtant fixée par Ses Majestés il y a bien longtemps, se verrait grandement affaiblie et toute la nation subirait les désagréments d'une telle limitation, ne serait-ce qu'éventuellement en cas de danger ou au niveau du prestige international de l'organisation.

(15)\tLe tribunal doit offrir la sanction légale à notre demande, puisque la loi rend notre démarche légitime.

Dispositif Souhaité :

Nous souhaitons à se que la loi sois appliquer et que la justice puisse faire lumière.

Néophyte Thorgrask
Frère Garibald Adalard


Post by Lenne Vespari, CP - October 29, 2008 at 10:39 PM

RÉPONSE DE LA DEMANDERESSE

(3) La créature a été vaincue. Le demi-orque Thorgrask a été vu en train d'arracher des parties du golem alors que son corps tombait encore et il s'est enfui rapidement avec ces objets.

  • Ici les écrits de Maître Vespari demeure douteux. Il est effectivement vrai que le demi-orque retira des objets du Golem, mais la vitesse auquel il su agir ne pu être celle décrite ici. D’ailleurs, il n’est nullement un crime de retirer des ressources d’une créature lorsqu’il n’y a pas de juste propriétaire légale.

Il ne s'agit pas d'une incrimination, seulement un fait. Monsieur Thorgrask a été vu en partant en bateau avec les objets à peine après que soit tombé le golem de plasma. Le tout témoigne de la vitesse et de sa volonté fautive de cacher les biens qu'il possédait.

(5) Le demi-orque Thorgrask refuse de céder ces objets à la Confrérie Pourpre, alors que son propre droit de possession sur ceux-ci est douteux. Il a verbalement été mis en demeure d'obtempérer et il a refusé.

  • Ici rien n’est douteux, hormis l’interprétation de la Confrérie Pourpre. Sans note explicative du pourquoi Thorgrask n’aurait pas pu possèder ces items. Ou encore du pourquoi qu’entre ses mains il s’en aurait révéler douteux.

Le droit de propriété douteux vient de la situation factuelle explicitée au paragraphe 3 de la requête introductive d'instance.

(6) Le demi-orque Thorgrask prétend posséder aujourd'hui ou éventuellement plusieurs autres objets magiques qu'il cachera à la Confrérie Pourpre.

  • L’article 6 accuse le membre de la Fraternité de posséder des objets magiques. En premier lieu, es-ce illégale de posséder des objets magiques ? Non, à moins qu’il est lieu de nécromancie ou de démoniste bien sur.

En deuxième lieu, les objets posséder par Thorgrask fut acheté en grande majorité à un chercheur Pourpre du nom de Rimostra, un sois disant enchanteur. Ainsi, le demi-orque démontre sa bonne conduite en démontrant qu’effectivement il possède des objets magiques. Pour la grande majorité, provenant de la Confrérie Pourpre.

Il s'agit d'un fait, pas d'une incrimination ni d'une accusation. La Confrérie Pourpre se doit, de par cette intention du demi-orque, qui n'est pas niée je tiens à le souligner, s'assurer de maintenir un suivi à l'avenir pour qu'il ne mettre pas en œuvre son avis. Chaque fois qu'il est question de cela dans les procédures ayant précédées, nous spécifions que notre intention concernait uniquement les objets magiques pertinents. Ceux venant d'un enchanteur de la Confrérie Pourpre n'entrent pas sous le joug de notre vérification périodique il va de soi.

Ceci vaut pour toutes les allégations du défendeur qui visent à limiter notre intervention tout au long de sa défense.

(11) Leur caractère magique et leur nature surnaturelle est clairement prouvée à la face même de la situation par les biens en eux-mêmes. Pour ces raisons, ils tombent sous le mandat de la Confrérie Pourpre et doivent lui revenir. Néanmoins cet argument n'est pas le seul, puisque monsieur Thorgrask, de par son attitude fautive (sa fuite) après avoir sournoisement arraché de objets de la créature qui avait pourtant été vaincue par le groupe, ne détient même de droits sur lesdits objets.

  • Comme indiquer plus haut, la Confrérie à droit des les étudiés non pas de les conserver si les objets magiques on déjà un propriétaire à moins d’exception. Tout comme clairement dis, il n’est pas un crime de posséder des items magique.

Ici l’on ne peu accusé Thorgrask de délit de fuite. Les objets n’appartenant à personnes, il pu très bien après le combat récupérer des items puis se retirer pour prendre du repos. Se qui fait de lui le légale propriétaire à partir du moment ou les objets d’appartenance à nuls autres provinrent dans ses mains.

Par ailleurs je rajoute, que si aucuns des gens présents ne possédaient de permis naturel. Nul autre que les membres de la Fraternité du Chêne, en occurrence Thorgrask. N’aurait pu fouiller et retirer des matières naturelles ou dite première du corps.

Art. 5.0 (Tirer du Codex de la Fraternité)

Le permis pour exploiter une ressource naturelle est obligatoire.

Ce qui vient prouver la totale légalité des actes du Néophyte.

Les articles concernés ici ont un caractère magique. Seules les ressources naturelles (bois, minerais, etc) tombent sous la compétence de la Fraternité du Chêne. Les objets sur les créatures vaincues n'ont jamais été de leur compétence ; à cette effet, ils n'octroient d'ailleurs même pas de permis ce qui prouve leur non-volonté à légiférer ce domaine.

Les objets magiques appartiennent à la Confrérie Pourpre et pour accomplir son mandat elle se doit d'avoir tous les pouvoirs nécessaires à l'accomplissement de sa mission. Un jugement différent du tribunal viendrait limiter son pouvoir et son mandat.

Il semble clairement que le mandat de "légiférer, contrôler et réguler" (comme le défendeur le rappelle souvent dans sa défense) tout ce qui est magique ou connaissance, de la Confrérie Pourpre, soit suffisamment large pour englober le droit de s'approprier les objets magiques pertinents.

(12) Néanmoins le litige ne s'arrête pas là. En invoquant l'intention d'entraver à l'avenir le travail de la Confrérie Pourpre en lui cachant des objets magiques et en ne coopérant pas avec elle, monsieur Thorgrask risque de compromettre la mission impériale de la Confrérie Pourpre.

  • Comme dit à l’Article 6 de se document. Thorgrask ne pu cacher ses possessions magiques, en provenance de la Confrérie Pourpre même. D’ailleurs l’article accuse sans fondement le demi-orque. En vertu de quoi qu’il fut déjà dit qu’il remis les deux objets à la Confrérie Pourpre le temps qu’elle fasse ses analyses. Donc la coopération il eu lieux.

Si je peu me permettre de se sarcasme : Si un seul individu refuserait réellement de coopérer avec la Confrérie Pourpre, je doute fortement qu’il irait à lui seul compromettre la mission Impériale dédier à la Confrérie.

Maître Vespari pousse un peu loin sa cause. Je rappel que Thorgrask est un honnête citoyen, les descréminations envers celui si ne sont guère souhaiter.

Encore une fois la présente procédure en justice ne vise pas à forcer le défendeur monsieur Thorgrask à transmettre les biens à la Confrérie Pourpre, puisqu'ils sont déjà en sa détention, mais bien à transmettre la propriété afin qu'ils soient accordés à la Confrérie Pourpre sans contestation.

Une seule personne qui détient un objet capital ou utile peut effectivement suffire, dans le domaine du magique, à mettre en péril toute la mission de la Confrérie Pourpre de par sa volonté de nuire et dans ses actions néfastes à notre encontre.

(15) Le tribunal doit offrir la sanction légale à notre demande, puisque la loi rend notre démarche légitime.

  • Je crois avoir su défendre pertinemment le Demi-Orque Thorgrask, à fin de le sauvegarder de cette demande ridicule visant une personne. Qui au bout du compte aura procéder dans les mesures de la loi. À porter au questionnement d’ailleurs si cette affaire ne serais pas devenu d’intérêt personnel de la part de Lenne Vespari.

Il semble un peu ironique ici que la défense invoque l'intérêt personnel de la représentante de la demanderesse. L'impartialité est du domaine du décideur ; il semble inévitable et évident que la personne qui fait une demande au Tribunal ait des intérêts à défendre.

En raison de quoi, la demanderesse réitère sa demande au tribunal de:

-TRANSMETTRE la propriété du cristal de plasma et du plasma à la Confrérie Pourpre. -DÉLIVRER un mandat pour permettre à la Confrérie Pourpre d'examiner sur une base ponctuelle semi-régulière les avoirs (sac à dos, coffre de banque, domicile) du demi-orque Thorgrask afin de noter les éventuels objets magiques qu'il cacherait et confisquer ceux d'entre eux qui se révéleraient pertinents.

Maître Lenne Vespari, Sage Pourpre, Confrérie Pourpre.


Post by Lenne Vespari, CP - October 29, 2008 at 10:42 PM

INSCRIPTION AU MÉRITE

Les parties prient le tribunal de bien vouloir prendre en compte :

-La requête introductive d'instance de la demanderesse et les preuve à son appui (P-1)
-La défense du défendeur et les preuves à son appui (P-2)
-La réponse de la demanderesse

Et bien vouloir rendre jugement dans cette affaire.


Post by Lenne Vespari, CP - October 31, 2008 at 7:36 AM

Une lettre à l'intention du juge fut déposée au tribunal après que le verdict eu été rendu.

Votre honneur,

Nous vous remercions de votre verdict rapide, aussi nous plierons-nous à votre volonté.

Cependant, et sans vouloir abuser de votre temps, nous aimerions que votre seigneurie prenne le temps de considérer la seconde requête déposée au tribunal afin de statuer sur celle-ci aussi, que ce soit en faveur ou en désaccord :

-TRANSMETTRE la propriété du cristal de plasma et du plasma à la Confrérie Pourpre.

Comme les procédures le montraient, ces objets, que Thorgrask a arraché seul d'une créature magique vaincue par un groupe nombreux de systériens sans les concerter, sont -détenus- par la Confrérie Pourpre après que ce premier les lui ai confiés, mais le demi-orque prétend un droit de propriété sur ceux-ci. La demande visait à obtenir le droit de propriété officiel sur ces objets.

Comme allégué, en vertu du caractère strictement magique des ces objets, la confrérie pourpre veut utiliser son droit de contrôle, prévu par la loi, pour en faire usage elle-même dans le but d'un projet magique au bénéfice de l'Empire plutôt que de laisser un demi-orque individualiste en bénéficier seul pour décorer sa maison ou faire enchanter une simple arme pour son usage personnel.

Nous vous prions, si possible, de trancher également sur cette question du litige qui vous avait été soumise.

Cordialement,

Lenne Vespari


Post by Lenne Vespari, CP - November 7, 2008 at 11:14 AM

Une dernière lettre parvint au juge alors que le dossier, clos, fut entreposé dans les archives du tribunal. Très formelle, elle ne visait clairement -pas- à soudoyer ou à souligner une quelconque partialité.

À l'honorable Juge Alak'Nar,

Nous vous remercions de votre jugement rapide et éclairé dans l'affaire que nous vous avions soumise et pour le temps que vous avez daigné y consacrer.

Nous sommes soulagés que notre compétence ait été reconnue par votre plume et nous saurons agir avec la sagesse qui nous caractérise.

Respectueusement,

La Confrérie Pourpre