[Instruction] Empire c. Garibald Adalard
Post by Thomas Bolton, Emp - May 20, 2010 at 9:51 AM
Un ensemble de documents fut déposé dans les archives du Tribunal Impérial. Une note du Surintendant, la copie d'une annonce d'appel à témoin et un témoignage. La Juge Vespari était citée.
Juge Vespari,
Par la présente, je vous confie la gestion de ce dossier. Il s'agit d'une affaire opposant l'Empire à Garibald Adalard. Hier au soir, alors que j'officiais à l'hôpital Sainte-Elisa, des infirmiers ont amené le dénommé Ärold Lidenslavsky, décoré de la Palme d'Honneur, dans la salle d'opération. Ce dernier, couvert de sang, a été criblé de flèches. Une fut plantée dans la cuisse, une autre dans le mollet et les deux dernières dans les flancs.
Malgré la perte de sang et la gravité des blessures, le dramaturge s'en est tiré. Je l'ai moi-même opéré pour soigner ses plaies au flanc, plus sérieusement infectée que les autres. Le patient se trouve actuellement à l'hôpital où il reçoit des soins quotidiens. Sa blessure intervient après son renvoi de la Fraternité du Chêne par Garibald Adalard.
J'ai alors lancé un appel à témoins pour recueillir divers témoignages. Au vu du premier, il semblerait que ce soit monsieur Adalard qui soit à l'origine de cette agression. Vous trouverez les pièces à la suite, dans le dossier. J'attends d'autres témoignages dans la journée pour confirmer l'implication de monsieur Adalard.
Je veux que vous instruisiez cette affaire avec l'habileté qui vous caractérise.
Avis à la population,
La nuit dernière, monsieur Ärold Lidenslavsky a été sauvagement agressé. Le dramaturge, ancien membre de la Fraternité du Chêne, a été criblé de flèches.
En vertu des lois systériennes, un tel acte ne peut rester impuni. Toute personne ayant des informations à ce sujet est priée de contacter au plus vite le Tribunal de l'Empire.
Communiqué de la Haute Cour de Justice.
Monsieur le duc,
Avant toutes choses, j'espère que la vie d'Arold n'est pas en danger, il a beau être un géant, ses vœux de non-violence en font une cible hélas facile.
Le responsable cette agression est le Guide des Cinq Sens, Garibald Adalard.
A la suite de sa décision de nous expulser tout deux de la Fraternité du Chêne, Aröld a voulu protester et le rencontrer de vive voix.
D'après les dires des rôdeurs et autres membres de la Fraternité, l'altercation a eut lieu devant la banque du quartier druidique, je n'ai pas les détails exacts de la conversation mais il est confirmé qu'à aucun moment Aröld n'a fait montre d'une attitude agressive, il aurait simplement chercher à sortir calmement de la banque, en marchant, et le Guide l'aurait alors criblé de flèches.
Sachez, même si cela est de moindre importance, que je suis profondément navré de voir une telle conclusion à nos efforts, et j'apprécie à sa juste valeur cette citoyenneté que vous nous accordez.
Respectueusement,
Samael Sengir
Post by Lenne Vespari, CP - May 20, 2010 at 2:35 PM
Ce serait donc le Juge-Magistère qui s'occuperait du destin de Garibald Adalard. L'ironie l'enivra brièvement...
Messire Bolton,
Je réfléchissais à la façon de procéder et il m'est difficile de cautionner une situation où un juge s'occupe aussi de préparer le dossier d'accusation ; il y a une partialité criante. Devant cet état de fait, soit quelqu'un s'en occupe (vous ou un procureur quelconque, voire la victime elle-même), soit nous décidons que je puisse à la fois construire le dossier de poursuite et en juger sa validité.
Puisqu'il s'agit d'une décision de nature administrative qui n'est pas codifiée dans la loi, je vous laisse le soin de la prendre avant de m'occuper de cette cause sous l'article 12 a ou b du Codex de Systéria.
Post by Thomas Bolton, Emp - May 20, 2010 at 4:17 PM
La note fut prise en compte. La réponse ne se fit pas attendre.
Madame Vespari,
Dans un souci de respecter l'impartialité inhérente à la fonction de juge, je prends bonne note de votre notification et l'approuve.
Aussi, je vous confirme dans votre rôle de juge. Vous instruirez l'affaire.
En temps normal, j'aurais saisi madame le juge Sinriia Mel'Viir pour assurer le rôle de procureur, mais elle est actuellement à la guerre. Aussi je décide de confier ce rôle à Cassandre d'Estré.
Je resterai à votre disposition si un autre point reste à définir.
Post by Thomas Bolton, Emp - May 21, 2010 at 8:37 AM
Le dossier fut mis à jour. Il contenait l'ordre officiel lancé à Cassandre d'Estré et une note du Surintendant.
Madame d'Estré,
Par la présente, je vous annonce que vous avez été choisie pour occuper le rôle de procureur dans un dossier d'instruction qui vient d'être créé.
Vous êtes priée de vous rendre au Tribunal afin de prendre connaissance du dossier "Empire c. A.G.". Vous serez chargée de constituer un dossier à charge à l'encontre du prévenu.
La Juge Vespari est en charge de l'affaire. En cas d'indisponibilité de votre part, veuillez m'en informer sous vingt-quatre heures, sous peine de radiation du bureau.
Madame le Juge,
J'ai rencontré hier au soir mademoiselle Taräsilmë Balgor, qui assiste souvent monsieur Lidenslavsky dans ses projets. Cette dernière m'a affirmé que c'était bel et bien monsieur Adalard qui avait agressé monsieur Lidenslavsky.
Il semblerait que cette agression soit à l'origine d'un différent concernant les clés de la demeure de l'artiste que ce dernier, pour une raison qui m'est encore inconnue, ne voulait rendre au Guide de la Fraternité.
J'attends le témoignage écrit et signé de mademoiselle Balgor. A madame le procureur d'établir les chefs d'accusations afin qu'un mandat d'arrêt soit émis le plus rapidement possible.
Post by Cassandre D'Estré, Cp - May 21, 2010 at 2:42 PM
Un accusé de réception ainsi qu'une brève note furent remis aux greffes à l'intention du Surintendant
Messire Bolton,
Je suis fort honorée du choix de ma personne pour m'acquitter du rôle de procureur dans l'affaire opposant l'Empire à Garibald Adalard. Je ferais de mon mieux pour justifier la confiance placée en mes capacités.
Cassandre D'Estré.
Post by Thomas Bolton, Emp - May 21, 2010 at 10:11 PM
Le dossier fut complété par un témoignage et un échange de lettre, le tout précédé par une note du Surintendant.
Madame le Juge, Madame le Procureur,
Vous trouverez ci-joint :
- le témoignage de mademoiselle Taräsilmë Balgor, sous serment.
- un échange particulièrement houleux entre les deux individus que j'ai pu obtenir de la jeune femme
T.H.B.
Moi Tarasilmë Taur'Amandil Balgor, jure sur l'honneur que Arold ma dit, après l'avoir retrouvé en sang a l'hôpital Saint Élisa s'être fait transpercé par des flèches provenant de Garibald Adalard. Le protagoniste aurait, selon Arold, utilisé ses flêches pour décrocher la besace contenant les clefs de la guilde (source du litige) chose des moins communs pour dérober un tel objet dans un tel endroit.
Je jure aussi sur l'honneur que toute les copies données si présente sont réels et prises directement au logis de Arold avec son consentement, les dires de Sam sont cependant du bouche a oreilles au sein e la Fraternité.
Tarasilmë T'aur Amandil Balgor.
Aröld, Sam,
À votre prochaine rencontre d'un Guide, d'un Frère ou bien d'une Soeur. Vous leurs remetterai les clées que vous possédez sur la Guilde. Vous êtes renvoyez et vous êtes remercier de vos fonctions dans la Fraternité du Chêne.
Pour cause de corruption lié à son avenire, arrogance, non respect de ses moeurs et de sa hiéarchie et pour baffouage lié à ses membres.
Il est peu dire que le minimum qui aurait pu être, aurait été de conserver un respect aux membres de la Fraternité du Chêne. Après l'horrible action que vous avez commis.
Rien ne vous empêchera, dans un temps définis. À savoir si Cybelle nous obligera oui ou non à nous séparer selon Votre conception des nouvelles Guildes, de postuler en celle si. Ou encore dans les nouvelles Guildes qui représenteront les vraies vocations des membres de la Fraternité du Chêne.
Que la Trinité garde un oeil sur vous.
Garibald Adalard
Guide des Cinq Sens
Garibald,
Rien ne sert de rejeter la faute sur Sam. Il était sous ma responsabilité en tant que néophyte. Il n'y aura donc qu'un seul fautif dans cette histoire.
Je remettrai mes clés à un guide, si j'en vois un un jour.
Ärold.
Garibald,
Après maintes réflexions, je ne remettrai pas les clés de guilde. Tout simplement car on ne renvoie pas quelqu'un par missive, mais par démocratie, chose dont tu n'as pas fait preuve.
Je te remercie de ta compréhension.
Ärold.
Aröld,
Conserver les clées de la Guilde fera de toi un fraudeur. Sans titre de citoyens, il sera très aisé de te pénaliser très aisément.
À toi d'y voir.
Garibald Adalard
Garibald,
Je prend bonne notes de tes menaces, et de ta tentative de me mettre dans une mauvaise situation. Pour quelqu'un qui n'apprécie pas les manipulateurs, te voilà pourtant dans un rôle parfait. Je me doutais bien que tu faisais tout ce manège pour me virer, mais je suis navré de te décevoir, tu ne m'obligera pas à quitter la guilde. Je refuse ton message de me virer car tu n'es pas un guide pour moi.
En revanche, je démissionne.
Ärold.
ps: je rédigerai ma lettre de démission au propre, lorsque j'aurai le temps.
Aröld,
Se ne sont pas des menaces mais des faits. En conservant les clées, ceci fait preuve de haut vol.
J'assume simplement mon poste de Guide. Il y aurait longtemps que sa l'aurais du être fait. Chez les Mercenaires tu serais en cellule, chez les membres du soleil tu serais bannis, chez les commerçants on t'aurait sans doute laver de toute tes biens, à la Confrérie Pourpre on t'aurait mis à la porte bien assez tôt. La Fraternité du Chêne, nous avons été un peu plus patient. Voir même trop de plusieurs mois.
Se qui est juste d'être fait, fut faite.
Garibald Adalard
Soit,
Si tu as le courage de me rencontrer pour que je te donne tout ceci, convenons en comme ça.
Mais les mots de ta première missive sont réellement vu comme une menace, ne crois pas que tout ceci s'arrêtera là.
Ärold.
Aröld,
Rencontrons nous maintenant. À l'Intendance de la Fraternité du Chêne.
Ps : Crois se que tu voudras, mes mots étaient d'avantage un conseil qu'une menace. Tes derniers écrits semble l'être toute fois.
Garibald Adalard
Que ce soit par la tutelle impériale ou par les lois de la Fraternité, Garibald tu n'a aucunement le droit de bannir quelqu'un sur la foi de tes propres caprices.
Tu dit que telle "tolérance" ne serait jamais arrivé dans une autre guilde ? mais crois tu que les supérieurs des autres guildes s'amusent à faire les morts pendant des mois alors que c'est l'avenir de leur guilde qui est en jeu ? dans les autres guildes, quelqu'un comme toi n'aurait jamais obtenu le grade que tu brandis maintenant si fièrement.
Tu parle de tolérance ? pourtant personne ne t'a condamné pour ton absentéisme à ton poste d'emissaire de la guilde, tu t'es bien gardé de signaler que ta paresse a valu à la Fraternité du Chêne d'être la seule guilde de Systéria qui n'a pas été capable de donner ses objectifs à temps, tout ça parce que tu avais apparemment mieux a faire que de transmettre le travail des autres membres.
Parlons en du travail, à quand remonte ton dernier projet pour faire avancer la guilde ? qu'a tu fais pour la Fraternité depuis les six derniers mois à part cracher sur le travail d'autrui ?
La Fraternité s'écroule sur elle même, nous passons pour des imbéciles et des fainéants auprès de toutes les autres guildes, et je ne parle même pas du Collège, ce sont là les valeurs que tu veux défendre Garibald ? peu importe qu'il soit impossible de concrétiser le moindre projet avec la Fraternité, du moment que tu n'a pas de cape verte dans "TON" quartier ?
Tu veux te débarrasser de nous Garibald ? voilà bien toute l'étendue de tes compétences, alors que tu avais obtenu un ultime délai auprès de la Couronne, t'en ais tu servi pour monter un nouveau dossier puisque c'est ce que réclame le collège depuis deux mois maintenant ? Non, bien sur que non, tu attend que ce délai soit passé et comme action constructive pour l'avenir de ta guilde, tu en expulse les deux membres qui ne se rangeait pas à ton avis. Bravo, voilà bien le comportement digne d'un homme qui a à cœur les valeurs d'égalité et de fraternité de sa guilde.
Sur ce, je m'exécute, rend mes clefs puisque tu semble près à nous agresser physiquement si on ne le fait pas, et souhaite bien du courage au reste de la Fraternité.
-Sam'
Post by Lenne Vespari, CP - May 21, 2010 at 10:59 PM
Demoiselle d'Estrée,
Je vous laisse le soin d'assembler ces preuves dans un dossier et des les associer aux infractions dont vous voulez voir messire Adalard accusé.
J'attends également votre demande, entant que représentante de la Couronne, à savoir ce que vous voulez faire de messire Adalard lui-même pendant l'instruction.
Post by Thomas Bolton, Emp - May 22, 2010 at 8:52 AM
Le dossier fut mis à jour : le témoignage le plus important fut ajouté au dossier, celui de la victime.
Mesdames les juristes,
Ne prenez pas en compte la non-citoyenneté de monsieur Lidenslavsky. Lorsqu'il a rédigé son témoignage, il ignorait le décret qui avait été publié peu de temps après son renvoi de la guilde.
J'imagine que l'agression a eu lieu à peu près au même moment, aussi n'en a-t-il pris connaissance que ce matin, après que je le lui ai annoncé.
Monsieur Adalard a été contacté pour le prévenir de son assignation en justice. Il a été invité à fournir son témoignage et à prendre un avocat.
T.H.B.
Pour commencer correctement, je tiens à signifier que je parle en tant que non membre de guilde. Je ne suis donc plus citoyen. Je faisais partis de la Fraternité du chêne. Il y a quelques mois déjà, l'on nous a chargé de monter un dossier pour la scission de notre guilde. Après maintes demandes et propositions, j'ai toujours eu affaire à un mur. Aucun avis vraiment constructif.
Puis un ultimatum nous a été posé à tous de la part de Garibald, car il avait décidé au bout de deux mois d'imposer ses modifications, en mettant des mentions comme "radié" sur ce qui ne lui plaisait pas sans proposer autre chose en conséquence. Il voulait à tout prix garder la meute. Il n'a d'ailleurs émit aucun avis sur le dossier du conservatoire, mais le fait que je l'ai rédigé semble un argument pour refuser en bloc. J'ai donc commencé à être agacé et par échange épistolaire donc, je lui ai signifié l'étendue de son incompétence à savoir gérer son rôle de guide, titre qu'il a brandit aussitôt pour me virer de la guilde, par missive.
Aucune concertation avec les trois autres guides, la décision lui a pris sur un coup de tête, que j'ai pensé injustifié et non démocratique. Je lui ai donc signifié que l'on ne pouvait pas me virer ainsi, que j'attendrai l'avis de tous pour rendre les clés. Mais Garibald, toujours par lettre, m'a signifié que je n'étais plus citoyen, et qu'il serait très facile de me pénaliser si je ne rendais pas les clés. Je me suis sentit menacé, et je pense à juste titre. Je ne savais pas ou me mettre, j'ai finit par lui donner rendez-vous pour rendre les clés, en lui spécifiant que tout ceci n'en resterait pas là, car je n'aime pas que l'on me manque de respect.
Nous nous sommes donc rencontrés le soir, le quartier n'était pas très éveillé malgré les rôdeurs aux alentours. La première fois nous étions à l'intendance, il m'a traité de menteur alors que je lui demandais une somme de dédommagement de 1000 pièces d'or, car je n'aurai plus de domicile (je tiens à préciser que j'ai du payer cette somme à mon arrivée, qui a été déduite de mon salaire). J'ai donc refusé de rendre les clés, cela devenait trop puéril pour avoir affaire à lui. Je suis quelqu'un de très calme, mais je sentais en moi un agacement qui montait, je préferai partir me calmer. Mais Garibald tenait vraiment à ses clés et m'a suivit sur sa monture en me menaçant que si je ne lui rendais pas les clés de suite, il me les prendrait par la force. Comme je l'ai déjà spécifié ci-dessus, je n'aime pas être menacé, surtout lorsque je sais que ma citoyenneté ne m'appartient plus. Il profitait certainement de la situation. Pourtant je n'ai pas cédé, j'ai tout de même des droits, ceux de l'être humain que l'on respecte.
Je me suis donc rendu à la banque afin de passer cet agacement, Garibald me suivant toujours, lui et ses menaces. Je tiens à préciser, que je ne lui ai jamais répondu, de quelques manières, car je savais que je n'étais plus dans mes droits. Il m'a menacé pour une énième fis en me disant que si je sortais de la banque... puis il n'a pas terminé sa phhrase car j'étais déjà sortit, en marchant lentement. Et c'est là que j'ai sentit deux flèches se planter sur moi.
Je n'ai pas bien compris ce qui se passait au début. Je peux vous assurer de n'avoir rien dégainé, rien dit, pourtant l'envie ne manquait pas. Je dois avouer avoir eu envie de le tuer pour l'affront qu'il me faisait, mais je suis toujours resté calme. Il m'a tiré une troisième flèche au mollet, pour venir m'attraper ensuite violemment par les épaules. Je me suis défendu d'un coup de poing dans sa machoire, apparemment aps assez fort car il n'a même pas eu le nez cassé.
Je me suis relevé une dernière fois, j'avais mal partout, j'avais enlevé les flèches au fur et à mesure, quand une quatrième fut tiré à mon flanc gauche. J'avais la respiration coupée et je me suis effondré au sol. Garibald en a profité pour venir m'arracher la sacoche et fouiller dedans pour trouver la clé. Mais celle-ci était dans ma poche. Je l'ai laissé tomber à terre, j'étais trop blessé pour continuer à lui tenir tête. Mais il n'a pas vu et n'a pas voulu me croire alors que je saignais de partout. Au lieu de m'aider il me barait la route. J'ai du faire demi-tour malgré les plaies pour lui montrer les clés à terre et je lui ai dit ensuite qu'il "pouvait aller se faire foutre", et je suis partis à l'hôpital. Personne ne m'a aidé pour aller jusque là, et je ne voyais plus grand chose en fait. J'étais concentré sur mon point d'arrivée.
Puis je suis arrivé à l'hôpital ou l'on m'a pris en main rapidement.
Ärold.
Post by Lenne Vespari, CP - May 23, 2010 at 2:11 AM
« Messire Bolton,
J'aurais préféré que les chefs d'accusation aient été décidés et que le procureur de la Couronne m'ait fait part de ses intentions quant à l'accusé lui-même pendant la durée de l'instruction avant de prévenir messire Adalard d'une éventuelle inculpation.
Je vous remercie du travail fournit, mais si vous permettez je vais gérer la suite. Je comprends vos bonnes intentions en ce qui concerne le fonctionnement de l'Empire, mais vous agissez actuellement comme le procureur de la Couronne. »
Post by Thomas Bolton, Emp - May 23, 2010 at 9:13 AM
Le Surintendant reçut la petite note de Lenne Vespari et lui fit savoir qu'il laisserait dorénavant les deux femmes gérer le dossier.
Il ne semblait ni contrarié, ni vexé. Non, ça lui convenait, tout simplement.
Post by Thomas Bolton, Emp - May 25, 2010 at 9:27 PM
Une note fut rajoutée au dossier à l'attention de Lenne Vespari.
Madame le Juge,
Je viens de recevoir une note de madame le procureur d'Estré. Cette dernière, pour des raisons familiales, ne peut assurer la conduite de ce procès.
Compte-tenu de la guerre, les meilleurs juristes impériaux sont occupés à défendre Systeria contre la menace orc. Il est possible que je reprenne le dossier, je vous ferai connaître ma décision dès demain.
T.H.B.
Post by Lenne Vespari, CP - May 26, 2010 at 2:42 AM
Le Juge-Magistère attendrait donc la décision du SurIntendant...
Post by Thomas Bolton, Emp - May 26, 2010 at 8:00 AM
Apparemment, le duc avait changé d'avis. La note du lendemain indiquait le fruit de ses réflexions.
Madame le Juge,
Je décide de nommer messire T. Mel'Viir en tant que procureur dans cette affaire.
Selon ses dires, il est fort probable que la guerre se termine dans les prochains jours, aussi sera-t-il apte à mener deux dossiers de front.
T.H.B.
Post by Thalkehr Stornaar, AdM - May 26, 2010 at 9:48 AM
Une copie de l'épais dossier fut donc saisi par l'avocat du Cabinet Mel'Viir. La rumeur voulait que ce dernier soit largement plus à l'aise de représenter l'Empire que de l'affronter en justice, comme ce fut le cas pour lui dans le passé, bien malgré lui.
Madame la Juge,
J'ai pris soin d'analyser le document avec minutie. Je peux d'ores et déjà vous faire une première requête, soit d'émettre un mandat d'arrêt contre le dénommé Garibald Adalard relativement aux accusations portées contre lui. Bien que je crois que les motifs sont d'une évidence absolue, je vous en fait la mention :
- Garibald Adalard est le seul suspect dans l'affaire à ce jour.
- La parole de la victime est d'une valeur élevée aux yeux de notre Couronne, puisqu'il est décoré pour ses actes et son implication au sein de l'Empire.
- D'autres témoignages viennent confirmer celles de la victime.
- Garibald Adalard possède des motifs pouvant conduire à de tels actes, le Surintendant et moi-même pouvons en témoigner.
Ainsi, les chefs d'accusation motivant le mandat d'arrêt :
- Homicide volontaire
- Usage immodéré de la force contre un individu désarmé
Articles concernés :
Art. 2
Participent à une infraction :
a) quiconque la commet réellement;
b) quiconque accomplit quelque chose en vue d’aider quelqu’un à la commettre;
c) quiconque encourage quelqu’un à la commettre.
Art. 11
Quiconque commet des voies de fait ou se livre à une attaque ou une agression :
a) En employant la force, directement ou indirectement, contre une personne sans raison valable est coupable d'une infraction criminelle grave;
b) En tentant ou en menaçant, par un acte ou un geste, d'employer la force contre une personne est coupable d'une infraction criminelle.
Art. 12
Est accusé d’homicide quiconque, directement ou indirectement, peu importe le moyen, cause ou tente de causer la mort d'un être vivant et se rend ainsi coupable d'une infraction criminelle grave. Que ce soit :
a) en ayant l'intention de causer sa mort ou en ayant l'intention de lui causer des lésions de nature à provoquer sa mort
b) par négligence criminelle
c) en portant ce dernier à provoquer sa propre mort par le biais des menaces, de la crainte de quelque violence ou par la supercherie
Art. 13
Les duels sont tolérés au sein de l'Empire si ces derniers ne servent qu'a préservé l'honneur des sujets. Est coupable d'une infraction criminelle quiconque fait un duel illégal. Pour qu'un duel soit toléré par la loi;
a) Les deux participants doivent être consentants
b) Les pratiques illégales ou objets prohibés ne doivent être utilisés
Cordialement,
Maître Thalkehr Mel'Viir, Chevalier,
Procureur de la Couronne.,
Empire de Systéria.
Post by Lenne Vespari, CP - May 27, 2010 at 1:56 PM
Maître Mel'Viir,
Félicitations pour votre célérité, c'est apprécié. J'accède à votre requête. Pour des motifs d'impartialité, je vais confier la tâche de la captivité du prévenu à l'Ordre du Soleil.
À moins que son temps de détention s'étire de par sa faute, je déduirai d'une éventuelle condamnation ce qu'il aura déjà purgé, alors veillons à ne pas faire tarder ce dossier.
J'émets un mandat d'arrêt et je lui transmets une lettre lui indiquant de se rendre aux autorités en plus de lui demander qu'un avocat se présente pour lui. S'il souhaite se défendre seul, ce sera accordé et une copie des preuves et des accusations lui seront envoyés.
Je joins ci-après une copie du mandat d'arrestation et de l'appel à comparaître envoyé au prévenu.
Mandat d'arrestation
۩Mandat d'arrestation۩
En vertu des pouvoirs accordés par la Couronne impériale de Systéria
Monsieur Garibald Adalard, citoyen de la Fraternité du Chêne, doit être mis sous arrêt par toutes les forces armées de la cité en raison d'une instruction ouverte contre lui devant le Tribunal de Systéria. S'il résiste, la force peut être employée, mais il doit être laissé vivant.
La responsabilité de sa détention est donnée à l'Ordre du Soleil qui le gardera captif et lui offrira le traitement d'un prisonnier citoyen usuel jusqu'à ce que jugement soit rendu l'affaire en cours. Un avocat devra pouvoir avoir accès à lui ou, si l'accusé décide de se représenter seul, le courrier entre le Tribunal et lui devra être acheminé prestement et sans vérification.
Lenne Vespari,
Juge impérial de la Cour Systérienne,
Tribunal de Systéria
**Appel à comparaître **
Monsieur Garibald Adalard,
La présente vous annonce que vous êtes officiellement poursuivi par les procureurs de l'Empire. Maître Thalkehr Mel'Viir assure la représentation de la Couronne dans l'affaire où vous êtes inculpé.
Les chefs d'accusation sont :
-Agression (Article 11 du Codex de Systéria)
-Homicide (Article 12 du Codex de Systéria)
-Duel illégal (Article 13 du Codex de Systéria)
Le tout selon l'article 2 du Codex de Systéria.
La poursuite ayant demandé votre détention, devant la nature des preuves au dossier, je me dois de l'accorder. Vous trouverez ci-joint une copie du mandat publié au greffe du tribunal et demandant aux guildes de vous mettre sous arrêts. Nous vous demandons de vous livrer vous-même sans problème : les circonstances de votre arrestation pourront être étudiées par la Cour.
Vous devez à présent vous trouver un avocat qui doit comparaître pour vous avec célérité et qui aura accès au dossier pour vous ; une liste vous a été fournie par la Surintendance. Si vraiment vous décidiez de vous représenter seul, lorsque vous serez emprisonner, les actes d'accusation et les preuves à leur appui vous seront fourni pour que vous prépariez votre défense.
Veuillez agir en conséquences.
Lenne Vespari, J.C.S.
Post by Lenne Vespari, CP - May 28, 2010 at 4:59 AM
Un écrit à l'intention du Thomas Bolton et du chevalier mercenaire provenant du juge leur fut envoyé.
Maître Mel'Viir, Duc Bolton,
Vous trouverez au dossier les copies de mes correspondances avec monsieur Garibald Adalard. J'aimerais que vous preniez connaissance des éléments concernant la recherche infructueuse d'avocat et que vous me proposiez comment envisager la chose.
Doit-on offrir une alternative ? Considérer que la représentation par avocat n'est pas, dans la justice systérienne, essentielle à une justice efficace plutôt qu'égale ? Doit-on négocier une diminution d'accusations ou de peine en raison du désavantage ?
Je voudrais vos réflexions à ce sujet.
Lenne Vespari,
J'ai bien reçu ta dernière missive. Je souhaiterais mettre au claire les procédures de mon arrestation.
Le fardeau de la preuve :
Pour plus d’équité envers la population en générale, l’individu figurant au banc des accusés devrait être considéré innocent jusqu’à preuve du contraire. Pour être prouvé coupable, c’est à l’avocat du ministère impérial de la justice de prouver selon la prépondérance des probabilités la perpétration d’un crime par cet individu. Or, ce n’est pas à l’accusé de prouver quoi que ce soit, mais à l’Empire de présenter le fardeau de preuve suffisant pour mener à un jugement de condamnation.
La doctrine judiciaire me laisse innocent jusqu'à la preuve du contraire. Ceci dis, dans se procès se sera ma parole contre un autre. Envoyer un mandat d'arrêt aux authorités judiciaire, ne laisse pas place à l'impartialité et va à l'encontre des doctrines Systérienne respecter depuis tant d'années.
De second ordre. Voilà déjà plusieurs jours, depuis notre rencontre en faite. Que j'ai débuter mes démarches pour me trouver un avocat louable. Mes missives demeures sans réponse aux divers cabinets d'avocats, ou encore certains sont dans l'incapacité de me représenter vu leurs fonctions au sein de leurs propre Guilde. L'unique cabinet possible, ayant pu me représenter fut le cabinet Mel'viir. Il refusa car l'Empire me poursuivait, pas un individu mais l'Empire. À se propos j'ai fort hâte de voir en quoi l'Empire m'inculpe exactement hors des chefs d'accusations et en savoir qui est lié. Enfin, bref le cabinet Mel'viir était en disposition de me représenter vu son statut de noblesse dans l'Empire. L'unique avocat disponible jusqu'ici. J'apprend de cette missive qu'il remplacera Cassandre, l'unique avocat sur qui je pouvais me fiez dans se dossier se qui me laisse sans représentant pour mon affaire. Si certaine circonstance, tel qu'avoir su que mon poursuivant était l'Empire et le pourquoi ? J'aurais pu négocier avec se cabinet bien avant son emboche par l'Empire Systérien. À partir de là, advenant que mes missives demeuront toujours sans réponse. Pourra t'on dire que le procès sera juste et équitable si l'Empire n'est pas en mesure de posséder le moindre avocats potable sans devoir l'engager en dernier moment pour sa solde ?
De se fais, comment ferais-je pour me défendre sans avocat. Dans une cellule, loin de toutes mes paperasses, loin de tout les témoignages qui pourront être formuler en ma faveure, loin de toutes les preuves matériels qui sauront m'aider à prouver que je suis parfaitement innocent dans se que l'on m'accuse ?
Enfreindre les doctrines Systérienne, sans offrire à son citoyen les moyens égaux de se défendre face à son poursuivant sont à mon avis des actes plus réprimendable de se le pourquoi on m'accuse.
Garibald Adalard
Monsieur Adalard,
Sachez d'abord que contrairement à la loi, aux décrets impériaux et mêmes aux interprétations de la loi par le biais des jugements, la doctrine systérienne n'a pas valeur légale et elle ne lie pas en soi.
Ceci dit, l'Empire a déposé au dossier des preuves suffisantes pour qu'une instruction soit menée contre vous. Elle a donc fait une preuve suffisante pour remplir son fardeau à prime abord. Cela complété, le fardeau s'inverse et il revient alors à l'accusé de se défendre. À la fin, c'est le travail du juge d'évaluer ces fardeaux : ce serait un non-sens que de juger trois fois, c'est-à-dire une fois pour toutes les étapes, en pièces détachées des unes des autres. Personne ne pourrait être accusé de quoi que ce soit.
Toutes les pièces de l'accusation sont dans un dossier au tribunal.
Je vais part de vos doléances concernant la recherche d'un avocat aux responsables de leur recrutement et à la poursuite.
Lenne Vespari, J.C.S.
Post by Thalkehr Stornaar, AdM - May 28, 2010 at 6:04 AM
Madame la Juge,
Il m'apparait un non-sens qu'il n'aie pas pu trouver autre avocat que moi. Après tout, lorsqu'il m'a contacté la première fois, il faisait mention qu'en acceptant de le défendre, j'allais devoir collaborer avec d'autres Cabinets. Où sont ces autres cabinets dont il faisait mention? Peut-il fournir des lettres de refus des cabinets Al Kazar, Shaytan, Pandora et Gillian? Dans le cas qu'aucun individu ne s'offre pour la défense, ne peut-on pas en imposer un comme ce fut le cas lorsqu'on m'a imposé la défense de Messir Varghax? Et encore, Messir Adalard avait en son titre d'Émissaire la nécessité de défendre une guilde entière au quotidien, tant sur le plan juridique que diplomatique, alors si aucune des solutions précédentes ne convient, je le crois pleinement habilité à se défendre seul.
Enfin, toutes ce questions ne sont en fait qu'un amas de suggestions, mais je doute que la solution idéale soit d'amoindrir les peines en fonction du fait qu'il ne sache se défendre. Cela ne fait que lancer un message d'encouragement aux criminels de notre société.
Maître Thalkehr Mel'Viir,
Procureur de la Couronne.
Post by Thomas Bolton, Emp - May 28, 2010 at 9:28 AM
Une réponse de la Surintendance fut ajoutée au dossier. Le juge comme le procureur par intérim y avaient accès.
Madame le Juge,
Le fait que monsieur Adalard soit incapable de trouver un avocat ne justifie en rien que le procureur diminue le nombre des accusations. La justice ne sera pas bradée. Compte-tenu de la gravité des faits reprochés, je m'oppose à cette alternative.
Libre à vous de faire savoir à l'accusé que Maître Mel'Viir était dans l'incapacité de le défendre étant donné qu'en tant que Chevalier, il avait obtenu le droit de ne pas défendre une thèse contraire à celle de l'Empire.
Je vais lancer un appel aujourd'hui, aux cabinets d'avocats. Je leur laisserai exactement 24h pour s'occuper de la défense du prévenu, sous peine de radiation définitive du barreau. Demain, si aucun n'a réagit, nous envisagerons une autre alternative.
T.H.B.
Post by Thomas Bolton, Emp - May 29, 2010 at 8:39 AM
Le lendemain, une note fut ajoutée à l'attention de la juge et du procureur.
Madame le Juge,
Après avoir publié une annonce dont vous devez avoir eu connaissance, j'ai réussi à trouver un avocat pour monsieur Adalard. Celui-ci n'a d'ailleurs pas été tout à fait honnête avec la Cour en déclarant avoir fait tout ce qui était en son pouvoir pour trouver un défenseur : monsieur Pandora n'avait même pas été contacté.
Bref, il semble que messire Al Kazar prenne en charge sa défense. Le problème a donc trouvé sa solution.
T.H.B.
Post by Saevan Al Kazar, AdM - May 30, 2010 at 6:24 AM
La defense a pris connaissance du dossier et rencontrera l'accusé avant d'effectuer son plaidoirie concernant les chefs d'accusations.
La défense a toutefois quelques interrogations, a savoir que le codex de la Fraternité a été remplacer par celui de l'Assemblée et n'est donc plus dans les archives. Étant donné que les actes que mon client aurait fait se serait passé au temps ou le codex de la Fraternité était celui valide, dois on consideré la retro-activité de celui-ci? Si oui la défense en voudrais une copie étant donné qu'il a été éffacer de plusieurs endroits déja.
En ce qui concerne le chef d'accusation de duel illégal, les duels illégaux implique généralement deux personnes, monsieur Lidenslavsky a témoigner a l'effet d'avoir frapper mon client a la machoire, participant a ce présumé duel illégal.
La défense considère que les chefs d'agression et de duel illégal dans la même accusation sont contradictoires sur le fait que l'autre participant a ce duel illégal n'a pas été accusé alors qu'il a admis lui même participer a cette infraction.
La défense fait donc la requête suivant a la Cour :
- Que l'autre participant a ce présumé duel illégal (Soit monsieur Lidenslavsky) soit lui aussi acusé formellement conformément a l'article 2 et 13 du Codex Systérien
OU
- Que le chef d'accusation de duel illégal soit retiré, celui d'agression étant suffisant.
Saevan Al Kazar
Post by Thomas Bolton, Emp - May 30, 2010 at 9:23 AM
Le Surintendant ne releva pas le fait qu'Ärold avait donné un coup de poing juste après avoir été criblé de flèches, même si cette tactique de défense l'amusait beaucoup. Il se contenta de publier le Titre du Codex de la Fraternité.
---TITRE VI---
De la Fraternité du Chêne
Art. 34
§1. Le quartier de la Fraternité du Chêne, se voit sécurisée par la Garde Impériale ainsi que par les rôdeurs et les druides.
§2. Les bois, forêts et parcs naturels dans un rayon de vingt kilomètres aux alentours de la cité sont également protégés par les rôdeurs et druides de la Fraternité.
Art. 35
§1. La Fraternité du Chêne gère les activités artistiques de l'Empire.
§2. Une dérogation devra être obtenue auprès de la Fraternité du Chêne si un spectacle ne présente aucun de ces membres.
Art. 36
§1. La Fraternité du Chêne gère l'ensemble des musées systériens.
§2. L'ouverture d'un nouveau musée doit être étudiée en collaboration avec la Fraternité.
Art. 37
§1. La gestion du marché de la nourriture dans Systéria appartient à la Fraternité du Chêne.
§2. Toute personne désirant ouvrir un commerce d'alimentation ou pratiquant un métier de bouche devra au préalable démontrer sa capacité à assurer un service de qualité dans le cadre d'un examen organisé par la fraternité.
§3. Un contrôle annuel aura lieu pour vérifier la qualité du commerce d'alimentation.
Art. 38
La Fraternité possède le droit d'interdire ou de limite la pêche, la chasse, la coupe du bois, l’exploitation minière et l’élevage à toute personne qui ne fait pas l'objet d'une autorisation particulière.
Art. 39
§1. La chasse d'une espèce protégée constitue une infraction pénale.
§2. Sont considérées comme des espèces protégées les Ostards, Lamas, Têtes-Dures et Phoenix.
Art. 40
La Fraternité du Chêne a accès aux bilans matériels de toute guilde sur avis au tribunal impérial dénonçant les motifs raisonnables d'agir.
Art. 41
Les membres de la Fraternité du Chêne ont l'autorisation de contrôler les artisans sur leurs fournisseurs de matières premières ainsi que le bon traitement des animaux domestiques.
Art. 42
La Fraternité du Chêne possède la discrétion, les droits et les pouvoirs suffisants à faire respecter le présent titre sous réserve des droits et libertés constitutionnelles et de la bonne foi.
Post by Lenne Vespari, CP - May 30, 2010 at 6:22 PM
« Je laisse d'abord l'accusation se prononcer sur ce que maître Al Kazar présente. »
Post by Saevan Al Kazar, AdM - May 31, 2010 at 5:09 AM
Alors qu'il avais le document entre les mains, l'expression de Saevan était neutre. Son étrange premier coup d'éclat était-t'elle de la poudre au yeux? Les deux Chevaliers venait de commencer un jeux d'échec juridique et Mel'vir avait l'avantage.
C'était difficile certe, mais pas impossible, du moin c'est se qu'on dis.
Post by Thalkehr Stornaar, AdM - June 1, 2010 at 12:06 AM
Madame la Juge,
Je ne m'étalerai pas très longtemps concernant la tentative malhabille de défense concernant la réduction des accusations. Bien que Messir Lidenslavsky s'est effectivement défendu en assainant un coup de poing à son aggresseur, il ne faut pas être très éduqué pour savoir que quiconque est criblé de flèches cherche à se défendre. La victime n'avait pas d'autre choix que d'agir physiquement pour espérer rester en vie. La Couronne considère donc que la participation de la victime dans le duel est entièrement de la faute de l'agresseur et que celui-ci doit en assumer la pleine responsabilité.
Maître Thalkehr Mel'Viir,
Procureur de la Couronne.
Post by Saevan Al Kazar, AdM - June 1, 2010 at 5:54 AM
Et Saevan n'avais jamais eu la chance de répliquer a ça, pourtant il en avait une bonne de préparer pour lui. Pendant quelques jours on n'eu plus de nouvelles de lui et soudainement la nouvelle de sa maladie tomba, il était cloué a Saint-Élisa et la note d'excuse envoyer au Surintendant n'était pas écris de sa main :
Mon seigneur,
je me trouve présentement dans l'impossibilité de défendre monsieur Adalard, pour tout vous dire je suis même dans l'impossibilité d'écrire ses mots. Une infirmière a bien voulu m'aider.
Je ne peux que m'excuser face a tout ceci, je me sent couvert de honte a la vue de ne pas pouvoir accomplir mon devoir envers l'Empire.
Bien a vous
Saevan Al Kazar
Saevan dis ''l'Intuable'' allait t'il succomber a quelque chose d'aussi banale? Seule l'avenir nous le diras.
Post by Thomas Bolton, Emp - June 1, 2010 at 8:30 AM
Une note fut ajoutée par le Surintendant.
Monsieur K. Pandora commis d'office. Convocation envoyée.
Monsieur Adalard informé du retrait de son avocat. Il a été également invité à se défendre seul, sauf s'il accepte monsieur Pandora.
Post by Lenne Vespari, CP - June 1, 2010 at 8:43 AM
*La nature refit surface un instant chez la juge qui fut presque amusée. Dans ces fonctions-là, cependant, elle n'en jubilerait pas et attendrait patiemment que... que les avocats des deux parties soient finalement définitifs. *
Post by Thalkehr Stornaar, AdM - June 2, 2010 at 4:31 AM
Madame la Juge,
Pendant que se poursuit la valse des avocats, j'aimerais faire la demande du rapport médical de la victime. Également, j'aimerais rappeler que malgré votre ordre d'arrestation, Messir Adalard est toujours en liberté, ou du moins, aucun rapport concernant son arrestation ne nous est parvenu.
Maître Thalkehr Mel'Viir,
Procureur de la Couronne.
Post by Koenzell Pandora, Cp - June 2, 2010 at 8:50 PM
Madame la Juge,
Le dossier de deffence est en construction et ne devrait pas tarder. Je suis présentement à la recherche d'informations pour solidifier le dossier.
Ceci pour vous informer de mes avancements.
Maître K. Pandora
Post by Lenne Vespari, CP - June 2, 2010 at 10:29 PM
Le juge autorisa l'accès au dossier médical de la victime, comme demandé, et informa les guildes que l'arrestation de l'accusé était toujours attendu.
۩Jugement interlocutoire۩
En vertu des pouvoirs accordés par la Couronne impériale de Systéria
En raison d'une instruction portant sur l'agression subite par monsieur Ärold Lidenslavsky, le Tribunal de Systéria autorise le bris du secret professionnel et demande à ce que son dossier médical soit transmis à Maître Thalkehr Mel'Viir, procureur de la couronne au dossier, ainsi qu'à l'accusé, monsieur Garibald Adalard, ou à son éventuel procureur si l'une de ces personnes en fait la demande.
Ledit dossier médical ne doit cependant pas pas être utilisé à d'autres fins que le procès en cours et les parties prenant connaissance de son contenu devront le garder confidentiel sous peine d'outrage au tribunal.
Lenne Vespari,
Juge impérial de la Cour Systérienne,
Tribunal de Systéria
Une note fut ensuite envoyée à Maître Koenzell Pandora.
Maître Pandora,
Une correspondance directe entre l'accusé et moi-même, juge au dossier, me laisse croire qu'il choisira peut-être de se défendre seul plutôt que de vous laisser le faire. Je vous suggère donc d'attendre un peu avant de vous y mettre.
Les lettres en questions seront déposées éventuellement au dossier, avant la fin de l'instruction, pour rassurer tant qu'à l'impartialité du décideur et l'égalité des instructions données aux parties.
Lenne Vespari, J.C.S.
Post by Lenne Vespari, CP - June 2, 2010 at 10:51 PM
Et l'échange privé entre la juge et l'accusé suivait, comme prévu. Le mandat avait été délivré à la page précédente...
Juge Vespari,
Est il possible de croire que le Tribunal Systérien s'arrange pour choisir ses avocats en premier lieu et fermer les yeux sur certaine exeption qui amèneront un déficite flagrant à l'accusé ?
L'empire est uniquement en mesure de me fournire un avocat, dont je me demande s'il eu déjà connu une fois la victoire dans sa vie dans un procès ?
Voilà donc se qui me choque. J'avais faite des avances au cabinet Mel'viir en premier lieu, avant l'Empire. Ces l'Empire qui la à présent contre mon dossier. Car l'Empire à su le faire glisser entre les failles qu'elle présenta aux divers cabinets dans le journal Systérien.
Maîtres,
Par la présente, l'Empire tient à vous rappeler vos devoirs. Vous avez tous bataillés pour passer le concours des avocats et voir votre nom inscrit au barreau de Systeria. Cette distinction prestigieuse n'est pas sans engagement. Ce faisant, vous vous engagez à défendre vos clients devant la Haute Cour de Justice, en plus de l'assister dans toutes ses démarches juridiques.
Or, il advient que certains d'entre vous tendent à l'oublier. J'ai appris que monsieur Garibald Adalard se trouve dans l'incapacité d'être défendu dans l'affaire qui l'oppose aux lois impériales. Après de multiples démarches, le prévenu n'obtient toujours aucune réponse d'aucune sorte de votre part. Je juge cette situation intolérable : elle nuit gravement à l'impartialité de la justice systérienne.
Aussi, les cabinets suivants sont priés de contacter la Surintendance et monsieur Adalard pour leur proposer leurs services :
- Al Kazar
- Pandora
- Gillian
Si d'ici 24h aucune démarche en ce sens n'est entreprise, les trois avocats concernés seront rayés définitivement du barreau. Sont dispensés les cabinets Shaytan et d'Estré en raison de leurs engagements actuels hors des frontières systériennes.
Nous voyons ici le nom d'Al Kazar, noble de son titre de chevalier. L'Empire obligea ces cabinets à répondre à ma demande.
Le Chevalier Mel'viir, refusa de me représenter car il possédait un titre de noblesse et ne souhaitait pas se dresser contre l'Empire par respect. Se qu'il jugeait normal et acceptable aux yeux de l'Empire qu'il me donne tel refus.
Si l'Empire ne l'aurait pas engager au dernier moment avant la parution de cette annonce il aurait été contraint comme tout autre cabinet de me venir en aide.
Si suivait l'échange entre l'avocat et l'Adalard.
Cabinet Études Mel’Viir
Salutations,
J’aurais besoin des services de ton cabinet dans un éventuel procès allant à m’en encombre.
Je reçu une missive de la Haute Cour de Justice de Sysétira, m’affirmant qu’un dossier fut ouvert à mon sujet. Le sujet se porte sur l’agression qu’Ärold Lidenslavsky fut victime, on m’identifie comme étant le possible agresseur. Je ne possède pas d’avantage d’informations sur le sujet, je suis en attente d’instruction du tribunal.
Je demande au Cabinet Études Mel’Viir, s’il s’en voit intéresser de défendre ma cause au Tribunal Systérien ?
Si le Cabinet Études Mel’Viir accepte, qu’elle sache qu’elle devra possiblement faire coopération avec d’autres cabinets d’avocats pour ma défense.
En attente d’une réponse hâtive, munis des informations nécessaires de ton embauche.
Garibald Adalard
Messir Adalard,
Je ne vous cacherai pas que je suis surpris que vous vous rendiez à moi pour votre demande. Je dois néanmoins décliner votre offre. Mon titre de noblesse m'oblige à la loyauté envers mon empire, ainsi, je ne peux pas aller à leur encontre dans un procès. J'ai jadis obtenu le droit de ne pas être inclus dans des procès contre l'Empire lorsqu'on m'a forcé à prendre la défense de Zantrax Varghax.
Cordialement,
Maître Thalkehr Mel'Viir,
Avocat, Cabinet Mel'Viir.
Thalkehr,
Se n'es pas le dénommer Ärold qui porte les accusations ? Comment se fait il l'Empire ?
Il y a des informations que je ne possède toujours pas. Mais cette révélation me laisse d'avantage confus face à la situation.
Garibald Adalard
Messir Adalard,
Je ne connais pas plus de détails que vous, si ce n'est que le titre de l'instruction dans laquelle vous êtes impliqués : "Empire c. Garibald Adalard".
Maître Mel'Viir.
En bref, il semblerait que l'Empire me poursuit pour défendre Ärold se qui me semble être une première dans l'histoire Systérienne. En plus de choisir son avocat en premier, elle se permet de choisire le deuxième de renommer sans qu'il soit contraint comme les autres cabinets d'avocats de me défendre bien que ses excuses pour ne pas défendre mon cas me semble désormais sans bon sens puisque Saevan Al Kazar lui était dans l'obligation de me représenter à défaut de perdre son cabinet. Qui plus est, l'Empire ne trouve que le pire avocat de son tribunal à m'envoyer à défaut d'en avoir d'autre.
Je dois voir tout ceci juste et équitable ?
Se qui serait équitable rendu ici. Est qu'Ärold et moi même règlons cela ensemble au tribunal sans avocat qui sauront donner avantage.
Sa ne serais que la façon la plus politiquement correcte et juste. Que de voir l'Empire se saisire et de gracier les avocats qu'ils jugent nécessaire et n'envoie que les choux à l'homme démunis qui serait derrière barreau sans autre espérance qu'un miracle se produise.
Garibald Adalard
Ainsi que la réponse du juge.
Monsieur Adalard,
La profession d'avocat en est une libérale. Tout comme un artisan n'est pas obligé de contracter avec tout individu lui demandant un ouvrage, l'avocat a la possibilité de refuser de servir un client. Maître Mel'Viir était donc dans son bon droit en le faisant à ce moment-là.
C'est seulement plus tard, à votre demande expresse adressée à moi après la nomination d'un procureur définitif pour la couronne, que la Surintendance, en vertu de son pouvoir de gestion de la justice, a décidé de forcer les études d'avocats à accepter votre cas sous peine d'être sanctionnées. Seulement à ce moment étaient-elles liées.
Je tiens à rappeler néanmoins que nul part dans la Constitution de Systéria ou dans les autres lois il est écrit que la représentation par avocat est un droit et qu'elle est nécessaire à l'égalité des procès. Ce n'est pas ainsi que ça fonctionne dans ces landes. Cette action de la Surintendance était tout au plus un privilège à votre endroit et non pas un devoir de sa part.
Pour le reste, si vous ne trouvez aucun avocat ou si vous ne voulez pas de ceux qui sont disponibles pour quelque raison subjective que ce soit, vous pouvez vous représenter seul. Vous avez déjà vous-même œuvré dans le droit et il n'est pas légitime de plaider l'ignorance ou l'incapacité à cet égard.
Concernant votre argument de surprise en rapport à une poursuite de l'Empire à votre égard plutôt que par la victime elle-même et votre demander de vous laisser régler ça avec elle, je ne peux les accepter. L'infraction de tentative de meurtre est la même que celle de meurtre. Il est foncièrement insensé de plaider qu'un victime doit poursuivre elle-même son agresseur si celle-ci est possiblement morte. Il revient à l'Empire ou à ses guildes de punir les infractions au Codex de Systéria, comme c'est le cas, s'il y a lieu de condamnation, par votre procès. Cette démarche est légitime, sensée et notre droit a toujours fonctionné ainsi.
À présent, trouvez-vous un avocat ou représentez-vous seul, mais prenez une décision et informez-en le tribunal.
Toute autre argumentation ou contestation devra être réglée avec le procureur de la Couronne, Maître Mel'Viir, plutôt que de m'être soumise personnellement : soumettez moi vos désaccords pour que je tranche ou le fruit de vos négociations pour que je les homologue, mais je ne suis pas une partie à ce procès et à titre de décideur je dois rester neutre.
Comme expliqué précédemment, je valide néanmoins la forme de ce procès et croit qu'il y a un contenu suffisamment pour qu'il soit au moins tenu. Je ne reviendrai plus sur ce point.
Comportez-vous en conséquence.
Lenne Vespari, J.C.S.
Post by Thomas Bolton, Emp - June 2, 2010 at 10:57 PM
Le Surintendant se contenta de prendre connaissance de l'échange de lettres. Il n'intervint pas : le courrier de madame le juge devait refléter sa propre façon de penser.
Post by Thalkehr Stornaar, AdM - June 3, 2010 at 12:08 AM
Le procureur prenait la même stance. Il n'allait pas intervenir nonplus.
Post by Lenne Vespari, CP - June 3, 2010 at 9:25 AM
Et les courriers entre le juge et l'accusé se poursuivaient, d'abord par une lettre de Garibald...
Juge Vespari,
Autrement dit, la justice n'est pas justice dans le tribunal Systérien.
Il suffit d'une déclaration, d'une fausse consultation. Pour mener en bateau un individu et au pire le faire poiroter en cellule jusqu'à temps que le procès se termine. (Notons ici qu'un procès à Systéria dure des mois en moyenne) Sans droit légale d'avoir un avocat au moins décerner à son emprunt, ormis se qui aurait du être radier du tribunal. (Pandora, es-ce réellement sérieux ? Sa missive écorchait mon nom et fut envoyé à vole d'oiseau sans songer à toute ses défaites cinglante face à l'association.) Qui plus est, pour m'avoir informer à divers membres de Guildes ou encore à en croire tes écrits, mes accusations se porte sans enquête puisque l'Empire endosse le dossier. Sans oublier notre doctrine qui n'est pas respecter ici, non coupable jusqu'à la preuve du contraire. Sur ce bien sur, sans enquête apparente je serai dans une cellule pour trouver des preuves à ma défense lorsque j'aurai une poigné d'homme à l'extérieure qui pourront faire se qui voudront à leurs guise sous mon regard ébais. Ah! Bien sur le Surintendant me donne la grâce d'avoir un avocat, en sachant fort bien que les deux plus mauvais son présents parmis les trois et que le troisième figure bel et bien de son absence. Après je me demande qui Ärold a pu bien rencontré à l'hôpital Ste-Élisa après son agression pour lui raconter des balivernes sur mon cas puisque ces deux hommes peuvent bien un sois peu mal m'aimer sois d'un bord pour cause du Collège et d'idéaux différents sois de l'autre qu'avec l'aide des autres dirigeants de ma guilde nous nous en sommes débarasser pour ses démarches furtive dans notre dos. Pour preuve de cause de se que j'approche dans tout mes dires, à quand remonte la dernière grâce offerte à un ancien citoyen de renouer avec son titre de citoyen pour toute ses bonnes actions ? Même Phydias Shaytan après avoir été Garde des Sceaux s'en fut refusé et du se battre avec les lois pour retrouver son titre de citoyen. On s'entend qu'il fit d'avantage qu'écrire une seule sharte sur la fondation d'une nouvelle Guilde.
Anguille sous roche ? Je crois pas être encore fou.
Après quoi, on me demande d'allez en prison dans l'attente que je me défende avec toute les chances de perdre bien que je sais mon innocense ? Alors que je sais que l'Empire n'est pas en faveure dans mon cas, qu'en plus de me poursuivre ces elle qui dirige tout ceux qui vont me juger. Avec l'unique outil que je posséderai une vulgaire plume pour dire, non se n'es pas vrai il s'est passer sa ?
C'est sans doute la plus grande blague que l'on m'est faite.
Trouve quelque chose de juste et équitable, je n'irai pas dans la gueule du loup d'ici là. Car se n'es pas faute de ne pas vouloir me plier à la justice, dans d'autre circonstance j'aurais été en prison. Mais en sachant qu'une fois à l'intérieure mes chances de réussite d'en ressoritre son d'avantage à ma défaveure pour toute les causes et raisons évoquer si haut. Me déplais.
Garibald Adalard
La réponse du juge.
Monsieur Adalard,
Vous plaiderez tout ce que vous voulez pendant votre procès. C'est la façon régulière de faire valoir une défense : un juge ne peut de toutes façons rien pour vous en courrier privé, ses actions ne sont valides que par jugement après avoir entendu les deux parties.
Je vous avais indiqué de ne plus communiquer avec moi directement. Vos courriers et mes réponses seront déposés au dossier pour assurer ma neutralité et permettre à l'autre partie de réagir s'il y a lieu ou d'avoir accès à ces éléments de défense que vous présentez au juge et donc à votre procès.
Vos prochains courriers ne seront pas lus. Faites valoir vos arguments, quels qu'ils soient, à votre procès. C'est là que je me prononcerai. Pour le reste, voyez avec Maître Mel'Viir.
Désobéir à cette règle de base sera vue comme une tentative de corruption du juge et je le punirai d'outrage au tribunal. Soyez prévenu et pliez-vous à cette instruction.
Lenne Vespari, J.C.S.
Post by Thalkehr Stornaar, AdM - June 3, 2010 at 6:00 PM
Juge Vespari,
Lors de la dernière phrase de votre courrier, vous résumez parfaitement le fond de ma pensée concernant les courriers de Messir Adalard. Il est claire que ce dernier tente de s'attirer des faveurs tout en montrant une attitude rebelle vis-à-vis notre justice. Son attitude est intolérable et je vais bien entendu vous le rappeler lorsque le procès sera réellement débuté.
Maître Thalkehr Mel'Viir,
Procureur de la Couronne.
Post by Sinriia Mel'Viir - June 4, 2010 at 1:21 AM
Une simple note fut ajoutée au dossier de la main de la noble elfe.
Sarälondë Taur'Amandil Balgor n'est-elle plus avocate? Si elle se trouve toujours active, je présume que sa présence au sein du corps médical de Ste-Elisa sur l'île infestée par les orques pourrait être provisoirement remplacée par un autre membre qualifié. Du moins le temps de la durée du procès.
Sinriia Mel'Viir
Post by Saevan Al Kazar, AdM - June 4, 2010 at 5:23 AM
Une note fut envoyer, il semblerait que quelqu'un suivait toujours le dossier de son lit d'hopital. Mais il ne le fesait plus qu'en simple spectateur.
Bien le bonjour,
madame Balgor n'est plus du bareau depuis sont entré au conseil Impérial a l'époque, ce qui veux dire très longtemps. Mais ma mémoire pourrais me jouer des tours. Une chose est certaine elle n'est plus avocate.
S.
L'écriture n'était toujours pas celle de Saevan..
Post by Thomas Bolton, Emp - June 4, 2010 at 7:49 AM
Le Surintendant apposa son sceau sur le document de Saevan Al Kazar, ce qui signifiait qu'il confirmait les informations. La comtesse Balgor n'était plus avocate depuis belle lurette !
Post by Koenzell Pandora, Cp - June 7, 2010 at 5:45 PM
Madame la Juge,
La défence souhaite savoir officeiellement quel codex sera valid dans cette afair afin d'éviter tout conflit.
Maître K. Pandora
Post by Thomas Bolton, Emp - June 11, 2010 at 10:15 AM
Quelques jours plus tard, le Surintendant publia le rapport médical qu'il avait rédigé en collaboration avec les deux infirmiers qui l'avaient aidé à soigner Ärold Lidenslavsky. Pourquoi ne l'avait-il pas publié avant ? Sans aucun doute parce qu'il était occupé à des tâches plus importantes.
Rapport d'intervention - Ä. Lidenslavsky
Descriptif des blessures
- Une flèche dans le mollet
- Une plaie béante dans la cuisse
- Une plaie béante dans le flanc droit
- Une flèche plantée près de la première plaie du flanc droit
- Rougeurs sur les phalanges de la main droite
Observations
- Les deux plaies béantes observées proviennent sans aucun doute d’impact de flèches. Il est probable que le patient se les soit retirées lui-même. En tous les cas, c’est un individu qui n’a aucun rapport avec la médecine étant donné le manque de délicatesse et de précision. Les blessures n’en sont pas aggravées, mais elles ont participé à abîmer les chairs.
- La flèche dans la cuisse n’a causé de dégâts qu’au muscle, heureusement pour le patient.
- La flèche dans le mollet a frôlé l’artère fémorale. Il s’en est fallu de trois millimètres pour qu’elle ne perce cet axe vital. Monsieur Lidenslavsky n’aurait pas eu le temps d’atteindre l’hôpital à temps.
- Les deux flèches dans le flanc n’ont touché aucun organe vital. La première flèche, retirée, a due percer la ceinture abdominale ainsi que le grand oblique de l’abdomen. Aucun dommage irréparable. La second a éraflé l’os du bassin, légèrement plus basse que la première et a également percé le transverse.
- Les deux plaies ouvertes montrent qu’on a tiré alors que le patient était de dos : la trace et l’importance des impacts dans le dos ne permettent aucune autre hypothèse. Même chose pour la flèche dans le mollet.
- La flèche encore plantée dans le flanc a été tiré de face, alors que le patient faisait face à son agresseur.
- Tous les coups ont été tirés à bout portant : le déchirement des chairs, le fait que le corps soit transpercé de part en part, autant d’indices qui n’autorisent pas d’autres interprétations.
Soins et traitement
- L’infirmier Norris et l’infirmière Mélodie se sont chargés de retirer la flèche dans le mollet et de nettoyer la plaie dans la cuisse. Les blessures furent désinfectées et enduites d’un onguent réalisé à base de plantes diverses et d’eau.
- La flèche dans le flanc a été retirée, la plaie béante a été longue a nettoyer : le patient ou une tierce personne ayant retiré le projectile avec brusquerie, de nombreux éclats de bois étaient encore incrustés dans les chairs.
- Les deux dernières plaies ont reçu le même traitement.
Préconisation
- Le patient gardera le lit trois semaines.
- Les plaies seront nettoyées chaque jour et enduites d’onguents. Elles ne seront pas bandées afin que la chair respire.
- Chaque jour, le patient devra faire quelques pas avec l’aide d’un infirmier afin qu’il habitue les chairs endommagées.
- Trois repas riches et complets par jour pour recréer le fluide perdu et renforcer sa musculature.
Post by Lenne Vespari, CP - June 15, 2010 at 9:19 PM
« Maître Pandora, le Codex de la Fraternité du Chêne étant en vigueur au moment des faits, c'est celui-là qui doit être utilisé plutôt que les nouveaux textes de loi de l'Assemblée Druidique et du Conservatoire des Arts.
Êtes-vous officielle l'avocat du défendeur, monsieur Adalard ? En tel cas nous attendons que la défense soit déposée au dossier et l'Ordre du Soleil vous donnera accès à votre client à votre bon vouloir.
Accessoirement, j'informe les parties que l'accusé a été dument arrêté sans qu'il oppose résistance. »
Post by Koenzell Pandora, Cp - June 16, 2010 at 12:08 AM
« Merci pour ces information. Je ne peu affirmer que je suis officiellement sont avocat puisque monsieur Adalard était sous verrou sans que l,information me soit parvnu. Je le contacterai directement à la caserner de l'Ordre du Soleil. La confirmation en suivra très rapidement. »
Post by Thalkehr Stornaar, AdM - June 26, 2010 at 7:58 PM
Madame le Juge,
Il m'apparaît que l'officialisation de Maître Pandora à titre d'avocat de la défense s'étire. Je soupçonne que lui, ou son client, tentent d'étirer les choses afin que les témoins n'aient plus l'esprit aussi claire qu'au lendemain de l'acte.
Maître Mel'Viir,
Procurer de la Couronne.
Post by Koenzell Pandora, Cp - June 27, 2010 at 2:04 AM
Madame le Juge,
Je confirme mon titre en tant qu'avocat de monsieur Adalard. Il reste simplement à le rencontrer pour discuter puisque les personnes pouvant me rendre jusqu'à lui sont plutôt restraint.
Maître Pandora
Post by Lenne Vespari, CP - July 6, 2010 at 8:36 PM
Avocats,
Il suffit. Je donne deux lunes à la défense pour produire quelque chose ou je rends jugement uniquement avec ce que l'accusation aura présenté.
Post by Koenzell Pandora, Cp - July 6, 2010 at 10:41 PM
Mon client a décidé de produir lui même sa deffence. Je ne peu que l'avertir du délais.
Maître Pandpra
Post by Thomas Bolton, Emp - September 13, 2010 at 11:35 PM
Plusieurs mois après, la défense tant attendue de Garibald fut ajoutée au dossier par le Surintendant.
Madame Vespari,
Un avant-goût de la défense de monsieur Adalard.
Je suppose que nous partagerons le même point de vue sur ces arguments :
- Citoyen ou non, l'agression est punie par la loi
- Monsieur Lidenslavsky n'a pas déposé plainte, il s'agit d'une instruction menée par le Tribunal à la demande de l'Empire
Je l'ai informé du premier point mais je vous laisse établir les prochains contacts, à moins que l'enquête sur monsieur Menrul ne mobilise tout votre temps.
T.H.B.
Thomas Bolton,
Voici la première parti de ma défence. Lorsque le tribunal, donc Lenne Vespari aura pris décision sur la question. La suite sera remis.
Garibald Adalard
Juge Vespari,
Pour débuter, Arold dans se procès ne devrait pas être considérer tel un citoyen de l'Empire Systérien. Lors de l'évènement Arold était considérer tel qu'un non-citoyen. Il avait reçu la missive de son renvois la journée même. Un vote majoritaire parmi les trois Guides (Malik Croumicou et moi même votèrent dans se sens, Astria Polymaro était a la fin de sa grossesse a Ste-Élisa) de la Fraternité du Chêne, pour se départir de se membre. Je joindrai preuve que la décision n'en tenait non pas seulement a moi.
De se début de journée, Arold était alors sans guilde, sans titre de citoyenneté. Tel que la jeune Tarasilmë su remettre la documentation de nos échanges, démontrant qu'il y a eu une grande espace de temps dans la journée entre le moment de son renvoie et le moment de notre rencontre tard en soirée. Tel il en est mentionner dans la déposition d'Arold.
Il s'en suivit, beaucoup plus d'heures plus tard. Au lendemain matin, lorsque j'en suppose que le Surintendant appris le renvoie de Samael ainsi qu'Arold de la Fraternité du Chêne. Que l'Empire offrit les titres de citoyenneté a ces deux individus.
Autrement dit, l'individu qui me poursuis en justice. Au moment de l'incident qu'il a vécu, au moment ou es-ce que l'on m'accuse d'avoir transgresser des lois. Arold n'était pas citoyen.
Je demande donc au tribunal de réviser le cas d'Arold, que son statut soit déterminer tel que non-citoyen pour le bon fondement de se procès.
Garibald Adalard
Mon accord fût donné à Garibald Adalard pour la mise à pied d'Arold ainsi que de Sam. Tout ce remu méninge me donne envie de partir toute fois si je dois le faire, je ne laisserai pas la fraternité se faire reconstruire par vous deux donc je compte bien terminer cette tâche avant de partir si il en viendrait le cas.
Que la trinité guarde vos pas....
Post by Thomas Bolton, Emp - September 23, 2010 at 11:08 AM
Une nouvelle page fut ajoutée au dossier d'instruction, à l'attention de Lenne Vespari. Tous les membres du tribunal pouvaient y avoir accès, cependant.
Madame Vespari,
Je laisse ce quiproquos fâcheux entre vos mains expertes.
T.H.B.
Marquise Taur’Amandil Balgor,
Dans le cadre d'une enquête sur le cas de Garibald Adalard contre Ärold, j'aimerais recueillir votre témoigne sur les démarches effectué par l'accusé à St-Élisa.
Maître K. Pandora
Monsieur Pandora,
J'ai appris récemment que vous aviez débuté plusieurs démarches pour recueillir des témoignages dans l'affaire opposant les autorités impériales à monsieur Garibald Adalard.
Sachez qu'un tel comportement de votre part me laisse extrêmement perplexe. Aux dernières nouvelles, vous avez confirmé dans le dossier d'instruction à Madame le Juge Vespari et moi-même que votre ancien client avait décidé de se défendre lui-même. Les prémisses de sa défense semble l'attester.
Or, vous entreprenez actuellement le travail d'un avocat commissionné sans avoir daigné en informer les instances judiciaires. Ma question est simple : à quel jeu jouez-vous à bafouer ainsi l'autorité de la Cour de Justice ? Une telle attitude frise la radiation, monsieur Pandora. Je laisse toutefois Madame le Juge Vespari en décider.
Thomas Bolton,
J'ai été récemment contacter par monsieur Adalard pour l'obtention d'information pour que ce dernier puisse se défendre puisqu'il est en prison sous la surveillance de l'ordre. La situation n'a toujours pas changé et l'accusé se défendra par ses propres moyens.
Il m'a également fait par que le tribunal a été muet face à ses demandes en ce qui est de la poursuite de son cas. J'ai cru bon, en tant qu'avocat, de lui offrir mon aide dans sa recherche d'information. Si il m'est interdit de quérir de tels informations, je mettrai fin immédiatement à l'aide juridique que j'apporte à monsieur Adalard. Il m'était inconnu que de tel restriction s'imposait aux avocats de l'empire.
Maître K. Pandora
Monsieur Pandora,
Votre ignorance, c'est bien là le problème. Monsieur Adalard a souhaité se défendre seul, c'est donc à lui de faire toutes les démarches nécessaires pour contacter les témoins nécessaires à la construction de son argumentation.
L'Ordre est informé de son statut aussi le Clergé lui laissera-t-il tout le loisir de rédiger des lettres et de recevoir les documents qui lui permettront d'élaborer sa défense depuis ses geôles. Il n'y a là aucune incompatibilité avec son statut de prisonnier.
Puisque votre ancien client a souhaité se passer de vos services, vous n'avez pas à accomplir un quelconque travail d'enquête pour son compte. Soit vous cessez immédiatement, soit il vous confirme comme étant son avocat. Croyez-moi, je fais preuve d'une grande tolérance suite à ce jeu de girouettes.
Enfin, que monsieur Adalard prenne son mal en patience : il a préféré se murer dans le silence pendant plusieurs mois pour préparer son argumentation, qu'il ne reproche pas à Madame le Juge Vespari de vouloir prendre le temps de mûrir sa réflexion pendant le même laps de temps.
Puis était jointe la copie d'une lettre du prévenu à Koenzell Pandora.
Koenzell,
Salutations dans un premier temps.
Je t'informe qu'il fait désormais plus de temps qu'il n'en faut, que le tribunal fut avisé de mes premières brides pour ma défence. Sans qu'il n'est eu réponse en retour pour faire avancer le dossier. J'apprécirais que tu fasses pressions sur les juristes, pour que le dossier avance.
En second lieux, depuis le temps que je purge en prison. Il n'est pas impossible que ma sentence soit déja exécuter, de se fait j'apprécirais que tu m'informes de la décision du juriste tant qu'a la peine majeur pouvant mettre réserver ou encore la peine mineure pouvant mettre ordonner si j'affirme que j'utilisais la force dans le cadre de mes fonctions, bien entendu ceci sous manière imager puisque le rapport d'Arold semblait laisser signifier ceci.
En troisième lieu, il faudrait que tu contactes Mystique, Domilixia Segal et Charles Despara si tu ne trouves pas se dernier prend contacte avec Saralonde Balgor et Shandri. Les trois premiers noms sont ceux sur qui j'avais mis des pressions voir des menaces selon les lois, pour récupérer les clées de la Fraternité du Chêne. Récupérer leurs témoignages de ma manière d'agire sous les menaces juridique. Charles Despara, s'il ne te répond pas. Saralonde et Shandri sauront t'indiquer mes démarches effectuer au près de Ste-Élisa.
Finalement, prends contacte avec Narmok, Malik, Eloedyn, ton collègue Pourpre (Son nom m'échappe dans l'heure actuel), Anar, Astria. Ceux si devraient suffire... Leurs demander leurs confirmations tant qu'à mes talents d'archer. Chercher a avoir leurs confirmations que je suis l'un des plus réputer dans cette ville, voir l'un des meilleurs.. Ceci me sera utile pour démontrer au tribunale, que si l'agresseur aurait été moi. Se n'aurais pas été fruit du hasard que temps de flèche su épargner la vie d'Arold. Si sa l'aurais été moi et que j'aurais voulu sa mort, les flèches n'auraient pas été tirer dans toute ses différentes zone toucher.
Enfin, tiens moi au courant de tout ceci.
Garibald Adalard
Post by Lenne Vespari, CP - September 26, 2010 at 5:09 PM
Membres aux dossiers,
Dans un premier temps, la poursuite a été confiée à Maître Thalkehr Mel'Viir. Si le SurIntendant souhaite être institué procureur de la Couronne dans le présent dossier, la Cour n'y a pas d'objection, mais il faut que cette substitution soit claire et définitive. Aussi, à moins que ce soit le cas, nous demandons à ce dernier d'agir en observateur plutôt qu'en partie faisant avancer le dossier.
Dans un second temps, il semble qu'il soit demandé par la défense de trancher immédiatement à savoir si la victime était citoyenne ou non au moment des faits. Qu'importe l'impact ou l'absence d'impact qu'a cet élément sur le jugement final, la Cour accepte de se prononcer. Aussi, sous réserve de preuve contraire de Maître Mel'Viir, la Cour considérera, selon ce qui lui a été présenté, que la victime n'était pas citoyenne au moment des faits.
Enfin, ce Tribunal estime, à la vue du mandat donné par l'accusé à Maître Pandora et à sa façon de s'y conformer, qu'il y a eu un accord conjoint pour que ce deuxième le représente. La Cour s'était déjà prononcée, il y longtemps, dans l'affaire Vespari c. Pandora sur la notion de contrat tacite ou non écrit, et je reprends ici l'avis du Juge Alak'Nar dans cette affaire. Maître Pandora est donc officiellement institué avocat de l'accusé, comme ils l'ont voulu. Cette Cour devra valider tout changement à ce statut et elle informe la défense qu'elle n'est pas prête à le faire facilement. Il est loisible au défendeur de choisir le mandat de son avocat et d'en départager ce qu'il veut faire lui-même. Maître Pandora peut donc poursuivre ses démarches.
La Cour communiquera elle-même ce jugement interlocutoire à l'accusé et attend prestement le reste de la défense à laquelle il est attendu que Maître Pandora travaillera désormais de concert avec son client.
Tout avis ou prétention de la poursuite à cette étape sera également étudié.
Lenne Vespari, J.C.S.
Post by Thomas Bolton, Emp - September 26, 2010 at 5:12 PM
Le Surintendant prit simplement connaissance de la note. Il ne réagit pas, même s'il avait des arguments qui justifiaient amplement sa conduite. Maintenant que la juge se prononçait à nouveau sur le dossier, il n'était plus nécessaire d'en gérer les grandes lignes.
Post by Thalkehr Stornaar, AdM - September 27, 2010 at 4:23 PM
Juge Vespari,
La Couronne souhaitera effectivement prouver que la victime était belle et bien citoyenne au moment des faits. Les preuves suiveront.
Maître Mel'Viir.
Post by Thalkehr Stornaar, AdM - September 29, 2010 at 6:15 AM
Estimée Juge Vespari,
Vous noterez dans les témoignages suivants, les faits suivants :
- Le renvoi d'un membre de la Fraternité du Chêne nécessitait deux votes sur les trois guides.
- Astria Polymaro a clairement indiqué son vote contre, alors qu'il n'existe aucune trace du vote de Malik. Nous connaissons néanmoins celui de Messir Adalard. Nous nous retrouvions alors avec une égalité. Il n'existe aucun écrit qui puisse prouver que le renvoi était donc valide.
- Il n'existe aucun écrit qui confère le droit de renvoyer un membre de la Fraternité seul.
- Le caractère violent de Garibald Adalard est un fait connu de tous. Les deux témoignages démontrent cette réalité.
- La profonde haine de Messir Adalard à l'endroit de Messir Lidenslavsky était de notoriété publique.
Finalement, la Couronne souhaite souligner que le vote de Messir Adalard est en conflit d'intérêt dans le cas actuel et devrait donc être exclut de l'égalité. Le Couronne souligne également que le renvoi était fait intentionnellement pour priver Messir Lidenslavsky de sa citoyenneté afin de se protéger lui-même, raison de plus pour ignorer la décision de Messir Adalard.
Je demeure disponible si des précisions supplémentaires sont nécessaires,
Maître Thalkehr Mel'Viir,
Avocat de la Couronne.
Entrevue réalisée avec Samael Sengir
Pouvez-vous m'expliquer comment fonctionnait le système de renvoie de la fraternité ?
- Il faut bien comprendre que la Fraternité du Chêne n'était pas exactement un modèle d'organisation. C'était même un sacré bordel, donc on a aucune trace écrite quelconque de procédure de renvoie d'un membre. Toutefois la prtie qui nous intéresse, en l'occurence est qu'il est non plus écrit nulle part qu'un guide ait le droit d'exclure un membre de la guilde de son propre chef.
La fraternité représentait la démocratie, non ?
- Astria pourrait vous en dire plus à ce niveau là. Tout ce que je peut vous en dire me viens d'elle. Mais elle semblait catégorique sur le fait qu'il était hors de question d'exclure un membre de la fraternité et un guide seul ne pouvait prendre de décision de ce genre sur un coup de tête.
Que pouvez-vous me dire sur le tempérament de Monsieur Garibald Adalard. Avait-il tendance à être violent ou à se frustrer rapidement ?
- Garibald est un homme capricieux et égocentrique.
Mais aurait-il, d'après-vous, été capable de commettre ou de tenter de commettre un homicide ?
- La deuxième fois ou je l'ai rencontrer, il m'a clairement menacer de représailles physiques sur ma personne si je ne me rangeais pas à sa vision des choses. Meutrier, je n'irais pas jusque là, simplement par manque d'informations le concernant mais antipathique et naturellement violent, ça lui correspond.
Pourquoi ne pas avoir rapporter ses dires lorsque c'était le cas ?
- Quand on me menace de représailles physiques, je me contente de sourire.
Que pouvez-vous me dire sur la personnalité de messire Aröld ? Cherchait-il les problèmes ?
- Aröld est le contraire exacte de son apparence physique. À l'extérieur c'est un homme musclé, le genre barbare, mais à l'intérieur c'est une vrais gonzesse. Enfin un artiste.Arold est non violent. La seul fois ou je les vus sortir une arme c'était pour défendre Tarasilme parceque je leur avais sauter dessus avec une apparence de démon. Il est massif, mais il a autant de connaissances martiales qu'une chèvre.
Et donc, Messir Aröld n'aurait, d'après-vous, pas pus chercher la bagarre contre messire Adalard ?
- C'est même une certitude, Garibald Adalard est une brute, Arold, c'est juste un comédien.
Finalement, avez-vous toute autre information qui me permettrait de prouver à la cours que Garibald Adalard est un individu dangereux pour notre société ?
- Disons que je m'inquiéterais pour la sécurité d'Arole si Garibald était relaché.
Entrevue réalisée avec Astria Polymaro
Pouvez-vous m'expliquer comment fonctionnait le système de renvoie de la fratenrité ?
- Oui. Nous étions comme une famille à l'époque et nous gérions la guilde comme telle. Alors une fois un membre admis, il était très très rare qu'on le renvoie. Cependant, on le faisait dans des cas d'abus comme Félix D'arachal. Nous avons renvoyé Garibald dès qu'on a su qu'il avait agressé Aröld.
Et le renvoie d'Aröld était-il réel ?
-Non, puisque moi je n'Avais pas dit oui. Je n'avais pas vraiment été consulter. C'était lors de ma grossesse. Ce que vous devez savoir, c'est que Garibald et Aröld se déstestait, comme chien et chat.
Sur une échelle de un à dix, comme se détestait-il diriez-vous ?
- Ils n'arrêtais pas de s'envoyer des coups bas dans les discutions. Je dirais 14.
Que pouvez-vous me dire sur le tempérament de Garibald Adalard, avait-il tendance à être violent ou à se frustrer rapidement ?
- Il était une vrais soupe au lait quand ça concernait Aröld ou Samael. Là il fallait le prendre avec des gants blancs. Quand il pensait avoir raison aussi. Normalement il était calme cependant. Je me souviens, à un moment, il avait délibéré des heures durant avec des mercenaires, calmement.
Et j'imagine qu'il pensait souvent avoir raison ?
- Il pensait constament être la vérité incarné, personne ne pouvait lui faire entendre raison. Il vient d'un lieu avec cette mentalité, ou l'homme a raison, pas les autres.
Mais aurait-il, d'après-vous, été capable de commettre ou de tenter de commettre un homicide ?
- Eh bien, faudra demander à la table qui a faillit être cassé. Le soir ou Aröl avait commis une erruer qui mena à ce comportement, moi et Malik on avait rencontrer les deux hommes. Garibald était tellement furieux qu'il a frapper la table du conseil. Elle a faillit se casser en deux. et c'est du bois épais alors... oui. Je crois que Gari, dans un excès de colère, une rage profonde, aurait pus.
Que pouvez-vous me dire sur la personnalité de messire Aröld ? Cherchait-il les problèmes ?
- Aröld est un homme très patient et doux. Cependant, quand il est en colère, il fait peur.
Il aurait donc pus chercher la bagarre avec Garibald ?
- Non, je ne crois pas. Sauf pour se défendre. Aröld n'a jamais voulu cette guerre. Il préfère de loin sa tranquiliter. Mais il sait se défendre. Avec sa carrure et sa force.
Donc, si je vous demandais qui aurait donner le premier coup entre Arold et Garibald, vous répondriez ?
- Garibald, C'est lui qui a commencé et c'est lui qui a finis.
Finalement, avez-vous toute autre information qui me permettrait de prouver à la cours que Garibald Adalard est un individu dangereux pour notre société ?
- Dangereux non, enfin. Dit comme ça c'est presque ironique. Il n'avait jamais frappé quelqu'un comme ça avant. Jamais. Il se tenait loin des combat et préférait les monstres. Predre il détestait. Vraiment beaucoup.
Je vois, et personnellement, le croyez-vous coupable de ce qu'on l'accuse ?
- Aröld ne ment pas. Il ne ment jamais. S'il dit que Gari l'a attaqué, je le crois. S'il dit que ce n'était pas légal son renvoie, je le crois aussi. Cependant, la colère change quelqu'un.
Acceptez-vous que certaines parties de votre témoignage soit utilisé en cour ?
- Oui.
Si oui désirez-vous garder l'anonymat ?
- Non
Post by Lenne Vespari, CP - September 29, 2010 at 7:29 AM
Maître Mel'Viir, maître Pandora,
Je prends bonne note des éléments soumis à la Cour par la poursuite. Je laisse le soin à maître Pandora de les transférer à son client s'il le juge nécessaire et de s'objecter pour lui à ce que vous venez de déposer s'il y a lieu.
Je soumets néanmoins à votre attention une partie de la défense de l'accusé, c'est-à-dire un témoignage écrit de la main du troisième guide. Ce n'était peut-être pas clair dans la retranscription du SurIntendant, mais je vous le met en évidence ci-joint.
Faites savoir à la Cour, s'il-vous-plaît, si cela change votre argumentation.
Mon accord fût donné à Garibald Adalard pour la mise à pied d'Arold ainsi que de Sam. Tout ce remu méninge me donne envie de partir toute fois si je dois le faire, je ne laisserai pas la fraternité se faire reconstruire par vous deux donc je compte bien terminer cette tâche avant de partir si il en viendrait le cas.
Que la trinité guarde vos pas....
Post by Koenzell Pandora, Cp - September 29, 2010 at 11:21 AM
Juge Vespari,
Puisque deux des Guides étaient en accord pour le renvoi de Ärold et que Garibald Adalard était Guide, un titre qui lui fut attribué pour accomplir ses devoir en tant que dirigeant, le renvoi a donc été fait dans les respect des lois interne de l'ancienne guilde. Bien que Garibald et Ärold avaient des frictions entre eux, La position de monsieur Adalard l'autorisait pleinement a voter pour ce renvoi.
Je tien a rappeler que le statut de citoyen conféré par la couronne ne n'accorde à monsieur Lidenslavsky que les droits accordé à tout citoyen et particulièrement celui de se défendre devant la cour comme présentement.
Ärold Lidenslavsky était non citoyen au moment de l'agression et le titre de citoyen lui a été attribué pour qu'il se défende devant la court comme cité plus haut. Ce sont des fait et même si il s'avérait que monsieur ait été citoyen pendant la dite agression, cela ne changerait strictement rien à la situation actuel.
Si des arguments contredit mes dernier écris, que le parti d'accusation en fasse par dès maintenant. Sinon, je pense que ce sujet est clôt et que nous pouvons passé au sujet principal.
La défense invite donc le parti d'accusation, avec l'accord de la court et si le présent point est clôt, a produire un dossier d'accusation complet pour que la défense puisse y répondre.
Maître K. Pandora
Post by Thomas Bolton, Emp - September 29, 2010 at 11:46 AM
Le Surintendant vint ajouter une brève note.
Je prierai monsieur Pandora de ne pas parler à la place de la Couronne et de présumer des intentions du décret de citoyenneté.
Messieurs Sengir et Lidenslavsky se sont vus conférés la citoyenneté exceptionnelle car je jugeai leur renvoi inapproprié devant l'implication sans faille dont ils ont fait preuve envers l'Empire. En aucun cas il ne s'agit de protection lors d'un procès. Procès qui, d'ailleurs, a eu lieu plusieurs jours après l'officialisation de leur statut.
T.H.B.
Post by Thalkehr Stornaar, AdM - September 29, 2010 at 6:16 PM
Juge Vespari,
Messir Croumicou a peut-être donné son accord à Messir Adalard, mais sans que ce soit annoncé à la guilde, cela ne doit pas être considéré légitime. Si aucune trace des babillards de la Fraternité ne démontre clairement que Messir Lidenslavsky avait été renvoyé, la Couronne demande que la non-citoyenneté ne soit pas considérée.
Néanmoins, je crois que nous perdons notre temps sur un point futile, de toute façon. Qu'il aie été citoyen ou pas au moment de l'agression ne change rien. La loi ne prévoit pas le droit de battre tous les touristes. Une agression n'a pas moins d'impact si elle est faite à l'endroit d'un non-citoyen. Il s'agit d'un crime grave, quelque soit le status de la victime.
La Couronne produira dans les jours qui viennent un dossier d'accusation complet.
Maître Mel'Viir.
Post by Lenne Vespari, CP - October 7, 2010 at 1:34 AM
Conformément à sa dernière correspondance avec l'accusé, la juge ne répondit pas à la lettre lui étant adressée personnellement et la déposa seulement au dossier.
Juge Lenne Vespari,
J'ai informé voilà quelque jour qu'une première ébauche du document portant sur ma défence était écrite, à mon avocat Koenzell Pandora.
Il ma définis que le tribunal n'était pas encore prêt à recevoire ma défence. Faute de quoi, que le camps adverse n'aurait pas encore conclu ses préparatifs tant qu'à ma dite inculpation dans cette affaire.
Ces une chose que je ne comprends pas. Comment se fait il que le banc de l'accusation ne soit pas encore prêt ? Bien qu'un dossier fut formellement monter et envoyer a ma personne. Que le tribunal est trancher en faveur que les preuves mises suffisaient a mon emprisonnement et que depuis tout se temps ils travailleraient sur un autre dossier ? Je croyais que l'on attendait mes écrits pour prendre décision dans se procès. Il en devient dérisoire que croire que le cabinet Mel'viir n'est pas encore terminé son dossier sur ma personne.
Je devrai attendre combien de temps encore, pour envoyer ma défence que l'on souhaitait le plus prestement ? Lorsque les dossiers du cabinet Mel'viir ne sont même pas encore conclu.
Je dois m'en dire outré de me savoir enfermer, en sachant que mes poursuivants cherche encore les preuves pour mis garder en cage.
Je souhaiterais avoir d'ample explication. Que se dossier soit clos au plus vite.
Garibald Adalard
Post by Lenne Vespari, CP - October 14, 2010 at 8:30 AM
« Si la défense demande un dossier complet et que l'accusation accepte de lui en soumettre un, alors le tribunal attend que la poursuite s'exécute pour poursuivre.
Cela vient-il? »
Post by Thalkehr Stornaar, AdM - October 15, 2010 at 2:50 AM
« Je vous assure que ce sera fait dans les prochains jours. »
Post by Thalkehr Stornaar, AdM - October 19, 2010 at 5:05 AM
Juge Vespari,
\t
Vous trouverez ci-joint toute la preuve et l'argumentation qui s'y associe jusqu'à ce jour.
En résumé, nous avons :
- Un discours cohérent et parfaitement crédible de la victime, décorée de l'Empire, qui dit savoir que Garibald Adalard est l'agresseur.
- Un rapport médical qui confirme les paroles de l'accusé.
- Des témoins oculaires, en l’occurrence, rôdeurs de la Fraternité du Chêne.
- Un discours agressif et sans manières de l'accusé, qui ne présente jusqu'à ce jour aucune défense, aucun contre-argument.
- Un accusé reconnu pour sa violence et sa haine envers la victime.
- Des témoins crédibles et en concordance avec la victime.
- Un accusé avec un motif sérieux et indéniable.
- Des tentatives de corruption à l'endroit de la Juge de la part de l'accusé.
- Aucun autre suspect, mineur ou majeur, dans l'affaire malgré des années écoulées.
Les chefs d'accusation sont :
-Agression (Article 11 du Codex de Systéria)
-Homicide (Article 12 du Codex de Systéria)
-Duel illégal (Article 13 du Codex de Systéria)
-Usage immodérée de la force contre un individu désarmé.
Le tout selon l'article 2 du Codex de Systéria.
Finalement, La Couronne demande la peine capitale par guillotine.
Veuillez agréer, Juge Vespari, l'expression de mes salutations distinguées,
\t
Maître Thalkehr Mel'Viir.
\t
Infractions
Du codex.
Art.2 a)
Participent à un infraction :
- Quiconque la commet réellement
Art.4 §1 (Agression)
Tout individu doit agir respectueusement sur le sol de Systéria avec les autres individus et avec les institutions, quels qu'ils soient. L'agression, la diffamation avérée et le refus d'obtempérer à un agent chargé de faire appliquer une loi dans les limites de sa compétence sont prohibés et sont des infractions criminelles.
Art.7 (Vol de clef si Aröld était toujours dans la guilde)
Le vol, l'escroquerie ou la dégradation d'objet est interdite au sein de l'Empire de Systéria et toute personne commettant ces actes sont coupables d'une infraction criminelle.
Art.11 a) et b)
Quiconque commet des voies de fait ou se livre à une attaque ou une agression :
-
En employant la force, directement ou indirectement, contre une personne sans raison valable est coupable d'une infraction criminelle grave.
-
En tentant ou en menaçant, par un acte ou un geste, d'employer la force contre une personne est coupable d'un infraction criminelle.
Art.12 a)
Est accusé d'homicide quiconque, directement ou indirectement, peu importe le moyen, cause ou tente de causer la mort d'un être vivant et se rend ainsi coupable d'une infraction criminelle grave. Que ce soit :
- en ayant l'intention de causer sa mort ou en ayant l'intention de lui causer des lésions de nature à provoquer sa mort.
Art.13 a)
Les duels sont tolérés au sein de l'Empire si ces derniers ne servent qu'à préservé l'honneur des sujets. Est coupable d'une infraction criminelle quiconque fait un duel illégal. Pour qu'un duel soit toléré par la loi;
- Les deux participants doivent être consentants.
Art.29
Toute personne foulant les terres de l'empire Systérien doit le respect aux 9 préceptes de Thaar. Tout manquement à cet article entrainera une infraction dont la gravité variera selon les circonstance. Les préceptes de Thaar sont les suivants :
- Tu ne tueras que si je ne te laisse d'autre choix.
- Tu devras amener la lumière où que tu ailles et à n'importe quel moment.
- Tu n'accapareras pas le bien d'autrui, à moins que cela soit pour l'empêcher de faire le mal.
Du codex :
Art.24
Chacun a le droit de mener une vie conforme à la dignité humaine.
Le motif :
D'abord, il est de notoriété publique que Messir Adalard possédait des motifs pouvant conduire à un acte de violence à l'endroit de Messir Lidenslavsky. En effet, ayant défendu aveuglement et inconditionnellement la Fraternité du Chêne, avant même sa création et encore aujourd'hui après sa dissolution, Messir Adalard se sentait vivement menacé par le projet commun d'Arold Lidenslavsky et Samel Sengir de dissoudre la Fraternité pour en faire deux insitutions distinctes. Le projet de vie de l'accusé était alors en péril et avec les succès progressifs de Messir Lidenslavsky et son partenaire, Messir Adalard, poussé par le désir d'intimider un homme reconnu pour son apathie, aurait aggressé physiquement la victime dans l'idée de le faire abandonner son projet politique.
Messir Adalard possède la réputation d'être un homme violent, impatient et insouciant, alors que Messir Lidenslavsky avait - et a toujours - la réputation opposée. Des témoignages d'individus les connaissant bien:
Entrevue réalisée avec Samael Sengir
[...]
Que pouvez-vous me dire sur le tempérament de Monsieur Garibald Adalard. Avait-il tendance à être violent ou à se frustrer rapidement ?
- Garibald est un homme capricieux et égocentrique.
Mais aurait-il, d'après-vous, été capable de commettre ou de tenter de commettre un homicide ?
- La deuxième fois ou je l'ai rencontrer, il m'a clairement menacer de représailles physiques sur ma personne si je ne me rangeais pas à sa vision des choses. Meutrier, je n'irais pas jusque là, simplement par manque d'informations le concernant mais antipathique et naturellement violent, ça lui correspond.
Pourquoi ne pas avoir rapporter ses dires lorsque c'était le cas ?
- Quand on me menace de représailles physiques, je me contente de sourire.
Que pouvez-vous me dire sur la personnalité de messire Aröld ? Cherchait-il les problèmes ?
- Aröld est le contraire exacte de son apparence physique. À l'extérieur c'est un homme musclé, le genre barbare, mais à l'intérieur c'est une vrais gonzesse. Enfin un artiste.Arold est non violent. La seul fois ou je les vus sortir une arme c'était pour défendre Tarasilme parceque je leur avais sauter dessus avec une apparence de démon. Il est massif, mais il a autant de connaissances martiales qu'une chèvre.
Et donc, Messir Aröld n'aurait, d'après-vous, pas pus chercher la bagarre contre messire Adalard ?
- C'est même une certitude, Garibald Adalard est une brute, Arold, c'est juste un comédien.
Finalement, avez-vous toute autre information qui me permettrait de prouver à la cours que Garibald Adalard est un individu dangereux pour notre société ?
- Disons que je m'inquiéterais pour la sécurité d'Arole si Garibald était relaché.
Entrevue réalisée avec Astria Polymaro
[...]
Et le renvoie d'Aröld était-il réel ?
-Non, puisque moi je n'Avais pa sdit oui. Je n'avais pas vraiment été consulter. C'était lors de ma grossesse. Ce que vous devez savoir, c'est que Garibald et Aröld se déstestait, comme chien et chat.
Sur une échelle de un à dix, comme se détestait-il diriez-vous ?
- Ils n'arrêtais pas de s'envoyer des coups bas dans les discutions. Je dirais 14.
[...]
Que pouvez-vous me dire sur le tempérament de Garibald Adalard, avait-il tendance à être violent ou à se frustrer rapidement ?
- Il était une vrais soupe au lait quand ça concernait Aröld ou Samael. Là il fallait le prendre avec des gants blancs. Quand il pensait avoir raison aussi. Normalement il était calme cependant. Je me souviens, à un moment, il avait délibéré des heures durant avec des mercenaires, calmement.
Et j'imagine qu'il pensait souvent avoir raison ?
- Il pensait constament être la vérité incarné, personne ne pouvait lui faire entendre raison. Il vient d'un lieu avec cette mentalité, ou l'homme a raison, pas les autres.
Mais aurait-il, d'après-vous, été capable de commettre ou de tenter de commettre un homicide ?
- Eh bien, faudra demander à la table qui a faillit être cassé. Le soir ou Aröl avait commis une erruer qui mena à ce comportement, moi et Malik on avait rencontrer les deux hommes. Garibald était tellement furieux qu'il a frapper la table du conseil. Elle a faillit se casser en deux. et c'est du bois épais alors... oui. Je crois que Gari, dans un excès de colère, une rage profonde, aurait pus.
Que pouvez-vous me dire sur la personnalité de messire Aröld ? Cherchait-il les problèmes ?
- Aröld est un homme très patient et doux. Cependant, quand il est en colère, il fait peur.
Il aurait donc pus chercher la bagarre avec Garibald ?
- Non, je ne crois pas. Sauf pour se défendre. Aröld n'a jamais voulu cette guerre. Il préfère de loin sa tranquiliter. Mais il sait se défendre. Avec sa carrure et sa force.
Donc, si je vous demandais qui aurait donner le premier coup entre Arold et Garibald, vous répondriez ?
- Garibald, C'est lui qui a commencé et c'est lui qui a finis.
[...]
Je vois, et personnellement, le croyez-vous coupable de ce qu'on l'accuse ?
- Aröld ne ment pas. Il ne ment jamais. S'il dit que Gari l'a attaqué, je le crois. S'il dit que ce n'était pas légal son renvoie, je le crois aussi. Cependant, la colère change quelqu'un.
Acceptez-vous que certaines parties de votre témoignage soit utilisé en cour ?
- Oui.
Si oui désirez-vous garder l'anonymat ?
- Non
Monsieur le duc,
Avant toutes choses, j'espère que la vie d'Arold n'est pas en danger, il a beau être un géant, ses vœux de non-violence en font une cible hélas facile.
Le responsable cette agression est le Guide des Cinq Sens, Garibald Adalard.
A la suite de sa décision de nous expulser tout deux de la Fraternité du Chêne, Aröld a voulu protester et le rencontrer de vive voix.
D'après les dires des rôdeurs et autres membres de la Fraternité, l'altercation a eut lieu devant la banque du quartier druidique, je n'ai pas les détails exacts de la conversation mais il est confirmé qu'à aucun moment Aröld n'a fait montre d'une attitude agressive, il aurait simplement chercher à sortir calmement de la banque, en marchant, et le Guide l'aurait alors criblé de flèches.
Sachez, même si cela est de moindre importance, que je suis profondément navré de voir une telle conclusion à nos efforts, et j'apprécie à sa juste valeur cette citoyenneté que vous nous accordez.
Respectueusement,
Samael Sengir
La parole de Messir Lidenslavsky:
Pour commencer correctement, je tiens à signifier que je parle en tant que non membre de guilde. Je ne suis donc plus citoyen. Je faisais partis de la Fraternité du chêne. Il y a quelques mois déjà, l'on nous a chargé de monter un dossier pour la scission de notre guilde. Après maintes demandes et propositions, j'ai toujours eu affaire à un mur. Aucun avis vraiment constructif.
Puis un ultimatum nous a été posé à tous de la part de Garibald, car il avait décidé au bout de deux mois d'imposer ses modifications, en mettant des mentions comme "radié" sur ce qui ne lui plaisait pas sans proposer autre chose en conséquence. Il voulait à tout prix garder la meute. Il n'a d'ailleurs émit aucun avis sur le dossier du conservatoire, mais le fait que je l'ai rédigé semble un argument pour refuser en bloc. J'ai donc commencé à être agacé et par échange épistolaire donc, je lui ai signifié l'étendue de son incompétence à savoir gérer son rôle de guide, titre qu'il a brandit aussitôt pour me virer de la guilde, par missive.
Aucune concertation avec les trois autres guides, la décision lui a pris sur un coup de tête, que j'ai pensé injustifié et non démocratique. Je lui ai donc signifié que l'on ne pouvait pas me virer ainsi, que j'attendrai l'avis de tous pour rendre les clés. Mais Garibald, toujours par lettre, m'a signifié que je n'étais plus citoyen, et qu'il serait très facile de me pénaliser si je ne rendais pas les clés. Je me suis sentit menacé, et je pense à juste titre. Je ne savais pas ou me mettre, j'ai finit par lui donner rendez-vous pour rendre les clés, en lui spécifiant que tout ceci n'en resterait pas là, car je n'aime pas que l'on me manque de respect.
Nous nous sommes donc rencontrés le soir, le quartier n'était pas très éveillé malgré les rôdeurs aux alentours. La première fois nous étions à l'intendance, il m'a traité de menteur alors que je lui demandais une somme de dédommagement de 1000 pièces d'or, car je n'aurai plus de domicile (je tiens à préciser que j'ai du payer cette somme à mon arrivée, qui a été déduite de mon salaire). J'ai donc refusé de rendre les clés, cela devenait trop puéril pour avoir affaire à lui. Je suis quelqu'un de très calme, mais je sentais en moi un agacement qui montait, je préferai partir me calmer. Mais Garibald tenait vraiment à ses clés et m'a suivit sur sa monture en me menaçant que si je ne lui rendais pas les clés de suite, il me les prendrait par la force. Comme je l'ai déjà spécifié ci-dessus, je n'aime pas être menacé, surtout lorsque je sais que ma citoyenneté ne m'appartient plus. Il profitait certainement de la situation. Pourtant je n'ai pas cédé, j'ai tout de même des droits, ceux de l'être humain que l'on respecte.
Je me suis donc rendu à la banque afin de passer cet agacement, Garibald me suivant toujours, lui et ses menaces. Je tiens à préciser, que je ne lui ai jamais répondu, de quelques manières, car je savais que je n'étais plus dans mes droits. Il m'a menacé pour une énième fis en me disant que si je sortais de la banque... puis il n'a pas terminé sa phhrase car j'étais déjà sortit, en marchant lentement. Et c'est là que j'ai sentit deux flèches se planter sur moi.
Je n'ai pas bien compris ce qui se passait au début. Je peux vous assurer de n'avoir rien dégainé, rien dit, pourtant l'envie ne manquait pas. Je dois avouer avoir eu envie de le tuer pour l'affront qu'il me faisait, mais je suis toujours resté calme. Il m'a tiré une troisième flèche au mollet, pour venir m'attraper ensuite violemment par les épaules. Je me suis défendu d'un coup de poing dans sa machoire, apparemment aps assez fort car il n'a même pas eu le nez cassé.
Je me suis relevé une dernière fois, j'avais mal partout, j'avais enlevé les flèches au fur et à mesure, quand une quatrième fut tiré à mon flanc gauche. J'avais la respiration coupée et je me suis effondré au sol. Garibald en a profité pour venir m'arracher la sacoche et fouiller dedans pour trouver la clé. Mais celle-ci était dans ma poche. Je l'ai laissé tomber à terre, j'étais trop blessé pour continuer à lui tenir tête. Mais il n'a pas vu et n'a pas voulu me croire alors que je saignais de partout. Au lieu de m'aider il me barait la route. J'ai du faire demi-tour malgré les plaies pour lui montrer les clés à terre et je lui ai dit ensuite qu'il "pouvait aller se faire foutre", et je suis partis à l'hôpital. Personne ne m'a aidé pour aller jusque là, et je ne voyais plus grand chose en fait. J'étais concentré sur mon point d'arrivée.
Puis je suis arrivé à l'hôpital ou l'on m'a pris en main rapidement.
Ärold.
Un extrait du rapport de St-Elisa, parvenu après le témoignage de Messir Lidenslavsky et en parfaite concordance avec celui-ci :
Descriptif des blessures
- Une flèche dans le mollet
- Une plaie béante dans la cuisse
- Une plaie béante dans le flanc droit
- Une flèche plantée près de la première plaie du flanc droit
- Rougeurs sur les phalanges de la main droite
La parole de Mademoiselle Taur'Amendile, sous serment et en concordance avec le témoignage de Messir Lidenslavsky:
Moi Tarasilmë Taur'Amandil Balgor, jure sur l'honneur que Arold ma dit, après l'avoir retrouvé en sang a l'hôpital Saint Élisa s'être fait transpercé par des flèches provenant de Garibald Adalard. Le protagoniste aurait, selon Arold, utilisé ses flêches pour décrocher la besace contenant les clefs de la guilde (source du litige) chose des moins communs pour dérober un tel objet dans un tel endroit.
Je jure aussi sur l'honneur que toute les copies données si présente sont réels et prises directement au logis de Arold avec son consentement, les dires de Sam sont cependant du bouche a oreilles au sein e la Fraternité.
Tarasilmë T'aur Amandil Balgor.
La crédibilité de Messir Lidenslavsky:
Il faut donc tenir compte d'un fait important, nous opposons la parole d'un homme décoré par l'Empire (Palme d'Honneur), et actuellement représentant d'une guilde, à un homme qui traine une réputation de vulgarité et d'aggressivité. Il faut également se rappeler que la victime est un être dont tous disent plus paisible qu'une colombe et d'une sérénité sans égal.
La crédibilité de Messir Adalard:
Messir Adalard a à de nombreuses reprises contourné les directives de la Juge. De plus, l'homme n'a même pas l'obligeance de s'adresser à la Juge ou à son propre avocat avec les règles de l'éthique. Son impolitesse et son ton aggressif sont des signes qu'il s'agit d'une homme irrespectueux et sa crédibilité en souffre. On peut également lire qu'il menaçait déjà sa victime avant l'agression dans l'échange entre les deux hommes, quelques heures avant l'acte.
Aröld,
Conserver les clées de la Guilde fera de toi un fraudeur. Sans titre de citoyens, il sera très aisé de te pénaliser très aisément.
À toi d'y voir.
Garibald Adalard
Garibald,
Je prend bonne notes de tes menaces, et de ta tentative de me mettre dans une mauvaise situation. Pour quelqu'un qui n'apprécie pas les manipulateurs, te voilà pourtant dans un rôle parfait. Je me doutais bien que tu faisais tout ce manège pour me virer, mais je suis navré de te décevoir, tu ne m'obligera pas à quitter la guilde. Je refuse ton message de me virer car tu n'es pas un guide pour moi.
En revanche, je démissionne.
Ärold.
ps: je rédigerai ma lettre de démission au propre, lorsque j'aurai le temps.
Aröld,
Se ne sont pas des menaces mais des faits. En conservant les clées, ceci fait preuve de haut vol.
J'assume simplement mon poste de Guide. Il y aurait longtemps que sa l'aurais du être fait. Chez les Mercenaires tu serais en cellule, chez les membres du soleil tu serais bannis, chez les commerçants on t'aurait sans doute laver de toute tes biens, à la Confrérie Pourpre on t'aurait mis à la porte bien assez tôt. La Fraternité du Chêne, nous avons été un peu plus patient. Voir même trop de plusieurs mois.
Se qui est juste d'être fait, fut faite.
Garibald Adalard
Soit,
Si tu as le courage de me rencontrer pour que je te donne tout ceci, convenons en comme ça.
Mais les mots de ta première missive sont réellement vu comme une menace, ne crois pas que tout ceci s'arrêtera là.
Ärold.
Aröld,
Rencontrons nous maintenant. À l'Intendance de la Fraternité du Chêne.
Ps : Crois se que tu voudras, mes mots étaient d'avantage un conseil qu'une menace. Tes derniers écrits semble l'être toute fois.
Garibald Adalard
L'obstination de Messir Adalard à éviter le procès, qui par le biais d'une argumentation malhabile, a sur démontré qu'il voulait à tout pris éviter l'arrestation et/ou le procès, comportement digne d'une personne qui se sait coupable.
Lenne Vespari,
J'ai bien reçu ta dernière missive. Je souhaiterais mettre au claire les procédures de mon arrestation.
Le fardeau de la preuve :
Pour plus d’équité envers la population en générale, l’individu figurant au banc des accusés devrait être considéré innocent jusqu’à preuve du contraire. Pour être prouvé coupable, c’est à l’avocat du ministère impérial de la justice de prouver selon la prépondérance des probabilités la perpétration d’un crime par cet individu. Or, ce n’est pas à l’accusé de prouver quoi que ce soit, mais à l’Empire de présenter le fardeau de preuve suffisant pour mener à un jugement de condamnation.
La doctrine judiciaire me laisse innocent jusqu'à la preuve du contraire. Ceci dis, dans se procès se sera ma parole contre un autre. Envoyer un mandat d'arrêt aux authorités judiciaire, ne laisse pas place à l'impartialité et va à l'encontre des doctrines Systérienne respecter depuis tant d'années.
De second ordre. Voilà déjà plusieurs jours, depuis notre rencontre en faite. Que j'ai débuter mes démarches pour me trouver un avocat louable. Mes missives demeures sans réponse aux divers cabinets d'avocats, ou encore certains sont dans l'incapacité de me représenter vu leurs fonctions au sein de leurs propre Guilde. L'unique cabinet possible, ayant pu me représenter fut le cabinet Mel'viir. Il refusa car l'Empire me poursuivait, pas un individu mais l'Empire. À se propos j'ai fort hâte de voir en quoi l'Empire m'inculpe exactement hors des chefs d'accusations et en savoir qui est lié. Enfin, bref le cabinet Mel'viir était en disposition de me représenter vu son statut de noblesse dans l'Empire. L'unique avocat disponible jusqu'ici. J'apprend de cette missive qu'il remplacera Cassandre, l'unique avocat sur qui je pouvais me fiez dans se dossier se qui me laisse sans représentant pour mon affaire. Si certaine circonstance, tel qu'avoir su que mon poursuivant était l'Empire et le pourquoi ? J'aurais pu négocier avec se cabinet bien avant son emboche par l'Empire Systérien. À partir de là, advenant que mes missives demeuront toujours sans réponse. Pourra t'on dire que le procès sera juste et équitable si l'Empire n'est pas en mesure de posséder le moindre avocats potable sans devoir l'engager en dernier moment pour sa solde ?
De se fais, comment ferais-je pour me défendre sans avocat. Dans une cellule, loin de toutes mes paperasses, loin de tout les témoignages qui pourront être formuler en ma faveure, loin de toutes les preuves matériels qui sauront m'aider à prouver que je suis parfaitement innocent dans se que l'on m'accuse ?
Enfreindre les doctrines Systérienne, sans offrire à son citoyen les moyens égaux de se défendre face à son poursuivant sont à mon avis des actes plus réprimendable de se le pourquoi on m'accuse.
Garibald Adalard
Juge Vespari,
Autrement dit, la justice n'est pas justice dans le tribunal Systérien.
Il suffit d'une déclaration, d'une fausse consultation. Pour mener en bateau un individu et au pire le faire poiroter en cellule jusqu'à temps que le procès se termine. (Notons ici qu'un procès à Systéria dure des mois en moyenne) Sans droit légale d'avoir un avocat au moins décerner à son emprunt, ormis se qui aurait du être radier du tribunal. (Pandora, es-ce réellement sérieux ? Sa missive écorchait mon nom et fut envoyé à vole d'oiseau sans songer à toute ses défaites cinglante face à l'association.) Qui plus est, pour m'avoir informer à divers membres de Guildes ou encore à en croire tes écrits, mes accusations se porte sans enquête puisque l'Empire endosse le dossier. Sans oublier notre doctrine qui n'est pas respecter ici, non coupable jusqu'à la preuve du contraire. Sur ce bien sur, sans enquête apparente je serai dans une cellule pour trouver des preuves à ma défense lorsque j'aurai une poigné d'homme à l'extérieure qui pourront faire se qui voudront à leurs guise sous mon regard ébais. Ah! Bien sur le Surintendant me donne la grâce d'avoir un avocat, en sachant fort bien que les deux plus mauvais son présents parmis les trois et que le troisième figure bel et bien de son absence. Après je me demande qui Ärold a pu bien rencontré à l'hôpital Ste-Élisa après son agression pour lui raconter des balivernes sur mon cas puisque ces deux hommes peuvent bien un sois peu mal m'aimer sois d'un bord pour cause du Collège et d'idéaux différents sois de l'autre qu'avec l'aide des autres dirigeants de ma guilde nous nous en sommes débarasser pour ses démarches furtive dans notre dos. Pour preuve de cause de se que j'approche dans tout mes dires, à quand remonte la dernière grâce offerte à un ancien citoyen de renouer avec son titre de citoyen pour toute ses bonnes actions ? Même Phydias Shaytan après avoir été Garde des Sceaux s'en fut refusé et du se battre avec les lois pour retrouver son titre de citoyen. On s'entend qu'il fit d'avantage qu'écrire une seule sharte sur la fondation d'une nouvelle Guilde.
Anguille sous roche ? Je crois pas être encore fou.
Après quoi, on me demande d'allez en prison dans l'attente que je me défende avec toute les chances de perdre bien que je sais mon innocense ? Alors que je sais que l'Empire n'est pas en faveure dans mon cas, qu'en plus de me poursuivre ces elle qui dirige tout ceux qui vont me juger. Avec l'unique outil que je posséderai une vulgaire plume pour dire, non se n'es pas vrai il s'est passer sa ?
C'est sans doute la plus grande blague que l'on m'est faite.
Trouve quelque chose de juste et équitable, je n'irai pas dans la gueule du loup d'ici là. Car se n'es pas faute de ne pas vouloir me plier à la justice, dans d'autre circonstance j'aurais été en prison. Mais en sachant qu'une fois à l'intérieure mes chances de réussite d'en ressoritre son d'avantage à ma défaveure pour toute les causes et raisons évoquer si haut. Me déplais.
Garibald Adalard
Post by Lenne Vespari, CP - October 19, 2010 at 6:00 AM
« La Cour prend acte de l'accusation.
Maître Pandora, vous devez à présent communiquer avec votre client, lui transmettre les informations appropriées et préparer avec lui sa défense.
Lorsque celle-ci sera déposée, la Couronne pourra répliquer à ladite défense.
Ensuite, soit le Tribunal convoquera une audience pour entendre les témoins dont l'évaluation de leur crédibilité lui paraît importante en personne, soit il rendra directement jugement. »
Post by Koenzell Pandora, Cp - October 28, 2010 at 6:49 PM
« Le dossier de l'accusation a été transmit. Le dossier la défense sera présenté très bientôt. »
Post by Thomas Bolton, Emp - November 4, 2010 at 11:29 PM
Une lettre de Garibald Adalard fut ajouté au dossier.
Monsieur Pandora,
Veuillez fournir à cette Cour des explications.
Je laisse à Mme Vespari le loisir de juger si votre attitude mérite ou non une sanction.
T.H.B.
À qui de droit,
Ceci concerne le dossier en cours au tribunal, Empire contre Garibald Adalard.
J'écris directement au tribunal pour obtenir une information. Il y a plus de cela deux semaines mon avocat Koenzell Pandora m'avait remis le dossier du cabinet Mel'viir se portant sur les accusations que l'on m'accuse.
Je n'es pas tarder à écrire ma défense dès lors la réception du document dans les jours qui suivirent. Document qui fut remis à l'avocat me représentant Koenzell Pandora, de se que nous avions mis en commun accord avant l'envoie au Tribunal Systérien du document final. Toute fois, je n'es pas eu nouvelle depuis l'envoie du document. Bientôt deux semaines se seront écouler. Koenzell ne retournant pas mes missives lui étant adresser, pour savoir se qui en est.
Je ne remets pas en doute mon avocat me représentant. Seulement, j'ignore comment le contacter autrement. À savoir même s'il s'est produit problème entre temps à mon avocat ou encore eu t'il des erreurs dans les courriers ?
Ignorant tout depuis ma cellule et surtout étant impuissant. Je demanderais au tribunal de répondre à mes quiétudes. Il m'en laisse songeur ne pas avoir eu acte de vie, depuis tant de temps surtout à l'apogée du dossier.
Salutations,
Garibald Adalard
Post by Koenzell Pandora, Cp - November 5, 2010 at 2:03 AM
Juge Lenne Vespari,
Je, Garibald Adalard, plaide non coupable à toutes les accusations émises par la Couronne.
Nous souhaitons avant toute chose rappeler à la cours, dans qu’elle doctrine la justice Systérienne est gérer.
Le fardeau de la preuve :
Pour plus d’équité envers la population en générale, l’individu figurant au banc des accusés devrait être considéré innocent jusqu’à preuve du contraire. Pour être prouvé coupable, c’est à l’avocat du ministère impérial de la justice de prouver selon la prépondérance des probabilités la perpétration d’un crime par cet individu. Or, ce n’est pas à l’accusé de prouver quoi que ce soit, mais à l’Empire de présenter le fardeau de preuve suffisant pour mener à un jugement de condamnation.
Chaque infraction est composée de deux éléments : l’élément matériel et l’élément mental. Pour qu’une infraction soit constituée, il appartient au ministère de la justice impériale de prouver que ces deux éléments existent ensemble et au même moment. De plus, ceux-ci doivent être prouvé par le poursuivant, c’est-à-dire l’empire, et ce, selon la prépondérance des probabilités. Je ne pourrais souligner d’avantage.
Pour qu’un individu soit reconnu coupable d’un crime, il doit découler de la preuve :
-qu’un certain acte, évenement ou état de choses interdit par la loi a été causé par l’accusé (élément matériel)
-que la conduite de l’accusé est accompagnée d’un état d’esprit criminel (élément intentionnel)
-que cette conduite illégale est prévue et sanctionnée par une loi ou un édit impérial.
Dans la documentation remise par le cabinet Mel’Viir. Aucune preuve matériel ne fut donner ou encore mentionner. Aucun témoignage autre que la victime, Arold Lidenslavsky, ne vient confirmer ses propos de la manière que l’évènement de son agression fut déroulé. Les poursuivants ne possèdent rien, si se ne sont qu’une rumeur et l’opinion publique de certains gens ou encore une manière douteuse pour me faire passer pour un moins que rien sans détenir le moindre respect.
Le motif :
D'abord, il est de notoriété publique que Messir Adalard possédait des motifs pouvant conduire à un acte de violence à l'endroit de Messir Lidenslavsky. En effet, ayant défendu aveuglement et inconditionnellement la Fraternité du Chêne, avant même sa création et encore aujourd'hui après sa dissolution, Messir Adalard se sentait vivement menacé par le projet commun d'Arold Lidenslavsky et Samel Sengir de dissoudre la Fraternité pour en faire deux insitutions distinctes. Le projet de vie de l'accusé était alors en péril et avec les succès progressifs de Messir Lidenslavsky et son partenaire, Messir Adalard, poussé par le désir d'intimider un homme reconnu pour son apathie, aurait aggressé physiquement la victime dans l'idée de le faire abandonner son projet politique.
Je fais part du motif erroné auquel le Cabinet Mel’Viir tente de faire croire au tribunal Impériale. Ou ne serais ce que par manque d’informations.
De ces motifs il est indiqué que j’aurais voulu défendre aveuglement la Fraternité du Chêne en portant coup sur la victime Arold. De se fais, je fus le premier Guide des trois, à interpeller mes comparses à se réunir pour placer comme objectivité à l’époque de dissoudre la Fraternité du Chêne en deux guildes distinctes. Si la couronne doute de ma parole, ils n’ont qu’à questionner Astria Polymaro ainsi que Malik Croumicou.
Communiqué des guides
Aux frères et soeurs, importent.
Les guides, Garibald, Malik et moi-même nous nous sommes rencontrer pour discuter de divers sujet, l'avenir de notre guilde en fut partie. Après une longue discussion nous en avons conclus qu'avec les récents événements, la séparation de la guilde devenait de plus en plus inévitable. Nous avons longuement méditer chacun de notre coter, ce choix n'est pas du tout facile à prendre. Nous pouvons vous assurer que nous avons tourner le problème sous plusieurs angle avant d'en être arrivé à cette conclusion. Depuis la fusion nous avons perdu notre identité, parce que nous avons été obliger de changer pour plaire à l'Empire en sacrifiant certaines choses primordial.
Aujourd'hui, mes frères, mes soeurs, peut-être est-il le moment de changer, de faire un pas en avant pour mieux redevenir ce que nous étions jadis, deux guildes en commun accord? Le cercle de pierre et l'union des gitans, si l'on garde ces noms, pourrait peut-être permettre de retrouver l'équilibre perdue.
Les guides vous le propose et n'attendent que vos votes. C'est à vous de décider !
Pour ou contre la séparation?
Il est indiqué par la suite que le projet commun d’Arold Lidenslaksky et Samel Sengir de dissoudre la Fraternité, tiendrait d’eux. Une fois encore le cabinet Mel’viir à mal faite ses devoirs. Puisque Arold et Samael furent les deux seuls, à cette époque de la documentation si haut, qui votèrent contre la séparation de la Fraternité du Chêne. Le tribunal pourra reconnaître l’écriture d’Arold en premier puis celle de Samael.
Un simple papier parvint.
"Contre la séparation."
Après un moment de réflexion et un effort surhumain pour ne pas écrire un pavé indigeste et non-demandé, Sam' se contenta lui aussi d'un simple vote.
"Contre la séparation."
Par ailleurs, il est mensonge de dire que la Fraternité du Chêne fut mon idée. J’ai intégré cette Guilde bien après sa création. Je ne foulais pas encore les terres Systérienne, se n’est donc pas mon projet. Il est tout aussi faux de dire, que j’aurais souhaité changer l’opinion politique d’Arold en usant la force à son insu quand il n’était même pu de la Fraternité du Chêne lors de son accident. Le tribunal devrait considérer se motif monter de toute pièce tel qu’erroné et non recevable.
L’unique vérité se situe dans le fait que j’ai souhaité miser du temps pour aider le prochain Systérien dans cette Guilde. Mais elle ne fut jamais mon projet ou encore la Guilde de « Garibald Adalard ». Car je n’es jamais été en accord qu’artiste et croyant en la trinité soit dans une même Guilde.
Monsieur le duc,
Avant toutes choses, j'espère que la vie d'Arold n'est pas en danger, il a beau être un géant, ses vœux de non-violence en font une cible hélas facile.
Le responsable cette agression est le Guide des Cinq Sens, Garibald Adalard.
A la suite de sa décision de nous expulser tout deux de la Fraternité du Chêne, Aröld a voulu protester et le rencontrer de vive voix.
D'après les dires des rôdeurs et autres membres de la Fraternité, l'altercation a eut lieu devant la banque du quartier druidique, je n'ai pas les détails exacts de la conversation mais il est confirmé qu'à aucun moment Aröld n'a fait montre d'une attitude agressive, il aurait simplement chercher à sortir calmement de la banque, en marchant, et le Guide l'aurait alors criblé de flèches.
Sachez, même si cela est de moindre importance, que je suis profondément navré de voir une telle conclusion à nos efforts, et j'apprécie à sa juste valeur cette citoyenneté que vous nous accordez.
Respectueusement,
Samael Sengir
Comme le tribunal pourra en conclure aisément. Samael Sengir était le compatriote le plus dédier dans la Fraternité du Chêne à Arold. Tous deux nourrissaient les mêmes idées. S’épaulant sans cesse dans leurs argumentations et leurs devoirs dans la Fraternité du Chêne. Ils furent les deux seuls à écrire les nouvelles chartes sous convocation du Surintendant Bolton, aux futurs Guildes qui allaient apparaître de la Fraternité du Chêne. Je crois que le cabinet Mel’Viir ne pourra pas démontrer son désaccord en disant que ces deux hommes sont amis. Que ces deux hommes partages une opinion ressemblante tant qu’à ma personne. Sois une colère ressentis entre nos deux groupes aux idéologies divergentes à cette époque. Je peu donc comprendre la prise de décision de Samael Sengir, sois en croyant fermement le récit de son ami Arold.
Toute fois, il n’en pardonne pas les accusations porter directement sur ma personne sans preuve fonder. Écrit qu’il vint soumettre au Surintendant Bolton, qu’on utilise désormais comme preuve. Pouvons nous dire que des mots sans fondement, utiliser ensuite comme preuve, n’est pas une preuve ?
Nulle part dans cette missive il affirme avoir vu la scène auquel Arold fut la victime. Comment peut il affirmer de manière aussi crue qu’il en était moi l’agresseur ? Bien entendu il dicte que des rôdeurs m’auraient peu être aperçu mais il en est bien tout. Je pose alors cette question. Pourquoi se ne sont pas ces hommes qui m’auraient peu être aperçu entrains d’infliger des liaisons à Arold, qui auraient communiqué au Surintendant leurs témoignages ? Pourquoi Samael Sengire ? Je crois que poser la question est y répondre.
Se dis « témoin » à monter un faux témoignage car il a cru à l’histoire impliquant Arold. Il a cru pertinent de propager une rumeur qui vint salir ma notoriété publique et qui vint brimer ma liberté.
La parole de Mademoiselle Taur'Amendile, sous serment et en concordance avec le témoignage de Messir Lidenslavsky:
Citer:
Moi Tarasilmë Taur'Amandil Balgor, jure sur l'honneur que Arold ma dit, après l'avoir retrouvé en sang a l'hôpital Saint Élisa s'être fait transpercé par des flèches provenant de Garibald Adalard. Le protagoniste aurait, selon Arold, utilisé ses flêches pour décrocher la besace contenant les clefs de la guilde (source du litige) chose des moins communs pour dérober un tel objet dans un tel endroit.
Je jure aussi sur l'honneur que toute les copies données si présente sont réels et prises directement au logis de Arold avec son consentement, les dires de Sam sont cependant du bouche a oreilles au sein e la Fraternité.
Tarasilmë T'aur Amandil Balgor.
La demoiselle Tarasilmë Taur'Amandil Balgor, n’affirme rien qui puisse changer le procès. Affirmer les propos d’un mourrant croyant ou non que je fus l’investigateur dans les blessures qui lui fut infligé ne constitut pas une preuve. Elle affirme uniquement l’histoire d’Arold qu’elle a entendu de sa bouche et que les dires de Sam ne sont que de vagues rumeurs.
L’on ne condamne pas un homme pour une rumeur. L’on ne condamne rien avec une rumeur, sinon le journal dis le « Torchon » ferait d’amples ravages.
Pour commencer correctement, je tiens à signifier que je parle en tant que non membre de guilde. Je ne suis donc plus citoyen. Je faisais partis de la Fraternité du chêne. Il y a quelques mois déjà, l'on nous a chargé de monter un dossier pour la scission de notre guilde. Après maintes demandes et propositions, j'ai toujours eu affaire à un mur. Aucun avis vraiment constructif.
Puis un ultimatum nous a été posé à tous de la part de Garibald, car il avait décidé au bout de deux mois d'imposer ses modifications, en mettant des mentions comme "radié" sur ce qui ne lui plaisait pas sans proposer autre chose en conséquence. Il voulait à tout prix garder la meute. Il n'a d'ailleurs émit aucun avis sur le dossier du conservatoire, mais le fait que je l'ai rédigé semble un argument pour refuser en bloc. J'ai donc commencé à être agacé et par échange épistolaire donc, je lui ai signifié l'étendue de son incompétence à savoir gérer son rôle de guide, titre qu'il a brandit aussitôt pour me virer de la guilde, par missive.
Aucune concertation avec les trois autres guides, la décision lui a pris sur un coup de tête, que j'ai pensé injustifié et non démocratique. Je lui ai donc signifié que l'on ne pouvait pas me virer ainsi, que j'attendrai l'avis de tous pour rendre les clés. Mais Garibald, toujours par lettre, m'a signifié que je n'étais plus citoyen, et qu'il serait très facile de me pénaliser si je ne rendais pas les clés. Je me suis sentit menacé, et je pense à juste titre. Je ne savais pas ou me mettre, j'ai finit par lui donner rendez-vous pour rendre les clés, en lui spécifiant que tout ceci n'en resterait pas là, car je n'aime pas que l'on me manque de respect.
Nous nous sommes donc rencontrés le soir, le quartier n'était pas très éveillé malgré les rôdeurs aux alentours. La première fois nous étions à l'intendance, il m'a traité de menteur alors que je lui demandais une somme de dédommagement de 1000 pièces d'or, car je n'aurai plus de domicile (je tiens à préciser que j'ai du payer cette somme à mon arrivée, qui a été déduite de mon salaire). J'ai donc refusé de rendre les clés, cela devenait trop puéril pour avoir affaire à lui. Je suis quelqu'un de très calme, mais je sentais en moi un agacement qui montait, je préferai partir me calmer. Mais Garibald tenait vraiment à ses clés et m'a suivit sur sa monture en me menaçant que si je ne lui rendais pas les clés de suite, il me les prendrait par la force. Comme je l'ai déjà spécifié ci-dessus, je n'aime pas être menacé, surtout lorsque je sais que ma citoyenneté ne m'appartient plus. Il profitait certainement de la situation. Pourtant je n'ai pas cédé, j'ai tout de même des droits, ceux de l'être humain que l'on respecte.
Je me suis donc rendu à la banque afin de passer cet agacement, Garibald me suivant toujours, lui et ses menaces. Je tiens à préciser, que je ne lui ai jamais répondu, de quelques manières, car je savais que je n'étais plus dans mes droits. Il m'a menacé pour une énième fis en me disant que si je sortais de la banque... puis il n'a pas terminé sa phhrase car j'étais déjà sortit, en marchant lentement. Et c'est là que j'ai sentit deux flèches se planter sur moi.
Je n'ai pas bien compris ce qui se passait au début. Je peux vous assurer de n'avoir rien dégainé, rien dit, pourtant l'envie ne manquait pas. Je dois avouer avoir eu envie de le tuer pour l'affront qu'il me faisait, mais je suis toujours resté calme. Il m'a tiré une troisième flèche au mollet, pour venir m'attraper ensuite violemment par les épaules. Je me suis défendu d'un coup de poing dans sa machoire, apparemment aps assez fort car il n'a même pas eu le nez cassé.
Je me suis relevé une dernière fois, j'avais mal partout, j'avais enlevé les flèches au fur et à mesure, quand une quatrième fut tiré à mon flanc gauche. J'avais la respiration coupée et je me suis effondré au sol. Garibald en a profité pour venir m'arracher la sacoche et fouiller dedans pour trouver la clé. Mais celle-ci était dans ma poche. Je l'ai laissé tomber à terre, j'étais trop blessé pour continuer à lui tenir tête. Mais il n'a pas vu et n'a pas voulu me croire alors que je saignais de partout. Au lieu de m'aider il me barait la route. J'ai du faire demi-tour malgré les plaies pour lui montrer les clés à terre et je lui ai dit ensuite qu'il "pouvait aller se faire foutre", et je suis partis à l'hôpital. Personne ne m'a aidé pour aller jusque là, et je ne voyais plus grand chose en fait. J'étais concentré sur mon point d'arrivée.
Puis je suis arrivé à l'hôpital ou l'on m'a pris en main rapidement.
Ärold.
De ces écrits. J’affirme avoir pris position avec Malik Croumicou après un vote démocratique des trois Guides. Deux votes pour et un vote sans réponse, du renvoie de Samael Sengir ainsi qu’Arold. D’avoir échanger des missives avec Arold et de l’avoir rencontré au courant de la nuit tomber pour récupérer ses clés. Se que je n’es pas réussis à avoir, car notre conversation avait monter d’un ton à propos de la remise d’une somme de mille pièces d’or tel il en est expliquer dans les écrits d’Arold. Somme d’or qui ne fut jamais demander à un membre de la Fraternité du Chêne pour loger l’une de ses demeures. Après cet échange à propos de l’or, nous nous sommes quitté sous mauvais terme. Tous deux avons obliquer vers la gauche de la trésorie, mais après deux coins de maisons j’ai pris le tournant pour me rendre à ma demeure (sens opposer de la banque de la Fraternité) par se chemin le plus directe. Après quoi, je ne suis consentant sur rien de se que Arold su écrire.
Voici preuve de se que j’avance tant qu’au vote démocratique des trois Guides de l’époque.
À Astria et Malik,
Je serai court. Je souhaite virer de la guilde le Néophyte Sam ainsi que notre Frère Aröld, pour les mensonges, les magouilles et l’arrogance afficher à notre Guilde depuis que l’idée de la séparation fut annoncée. Que l’on fasse un exemple, que bien démunis et sur le bord du gouffre nous nous tiendrons droit et fière devant l’adversité tant interne qu’externe de la Fraternité du Chêne.
Un appui me suffira à appliquer les démarches finales.
Garibald Adalard
Garibald,
Ma réponse fut prise non longemps après l'envoi de ma lettre précédente, Sam et Ärold doivent nous quitter.
Malik Croumicou.
Mon accord fût donné à Garibald Adalard pour la mise à pied d'Arold ainsi que de Sam. Tout ce remu méninge me donne envie de partir toute fois si je dois le faire, je ne laisserai pas la fraternité se faire reconstruire par vous deux donc je compte bien terminer cette tâche avant de partir si il en viendrait le cas.
Que la trinité guarde vos pas...
Un extrait du rapport de St-Elisa, parvenu après le témoignage de Messir Lidenslavsky et en parfaite concordance avec celui-ci :
Citer:
Descriptif des blessures
- Une flèche dans le mollet
- Une plaie béante dans la cuisse
- Une plaie béante dans le flanc droit
- Une flèche plantée près de la première plaie du flanc droit
- Rougeurs sur les phalanges de la main droite
Encore une fois le cabinet Mel’Viir n’avance pas de preuve mais un fait que Ste-Élisa à mis sur écrit. Qu’Arold fut la victime de diverses flèches planter dans son corps. La version qu’Arold avance peu sembler plausible, mais il peu en être tout au tant plausible qu’un brigant en est voulu à ses avoir et que selon les circonstances Arold s’en est tiré en vie avec les différents points de blessures si présentes. Il s’agit que d’avoir un peu d’imagination ou croire dure comme fer à se que l’on pense avoir vu.
La crédibilité de Messir Lidenslavsky:
Il faut donc tenir compte d'un fait important, nous opposons la parole d'un homme décoré par l'Empire (Palme d'Honneur), et actuellement représentant d'une guilde, à un homme qui traine une réputation de vulgarité et d'aggressivité. Il faut également se rappeler que la victime est un être dont tous disent plus paisible qu'une colombe et d'une sérénité sans égal.
Si le cabinet Mel’Viir ne possède pas de preuve, autre que de ternir mon image et ma réputation pour pouvoir espérer remporter se procès. Je demanderais au Tribunal de demander à l’avocat d’Arold de faire attention à ses propos à mon égard. J’ignore d’où tiens cette réputation que l’on tente de me faire valoir mais je tiens fortement à mon image et demanderai au Tribunal d’allez visiter mes antécédents judiciaire pour confirmer qu’en plus de vingt années dans systéria je possède aucun antécédents judiciaire. Démontrant que je ne suis pas… vulgaire ou encore quelqu’un d’agressif.
L’unique crédibilité que l’on doit tenir dans se procès est le fait que le tribunal est accepté la version des faits qu’Arold était non-citoyen lors de son agression. Une décoration offerte par l’Empire n’apporte pas la moindre crédibilité outre mesure si se n’es qu’un remerciement de l’empire qui prend en considération les titres et le dévouement d’individus dans la société pour une dévotion.
Si l’on doit jeter des fleurs à son client, j’inviterai Koenzell Pandora mon avocat pour affirmer que je suis quelqu’un qui fut dévouer pour l’Empire, la Fraternité du Chêne et ses membres. Que le Surintendant Bolton me demanda de siéger au Collège des Guildes, que le Collège des Guildes me demanda d’être le Chef de la Meute à sa création, sinon cette branche martiale n’aurait pas exister. Que j’ai aidé grandement lors de la reprise du pouvoir de Cybelle en participant à l’escouade détrônant Mala, d’avoir pris tout les risques nécessaires pour protéger le Prince-Consort. Avoir combattu et achevé de ma propre main cette entité qui provoquait toute ces catastrophes sur le monde entier Que je fus à mainte reprises demander à être l’une des têtes dirigeantes de la Fraternité du Chêne et d’avoir aider grandement à son développement jusqu’à son âge d’or. Que je fus considérer même pied d’estrade que les Galgarad, Brehan, Phydias Shaytan, Talkher Mel’Viir. Je crois que bien malgré mon tempérament dure et prompt. Je fus quelqu’un de respecter et d’utile pour cet Empire.
L'obstination de Messire Adalard à éviter le procès, qui par le biais d'une argumentation malhabile, a sur démontré qu'il voulait à tout pris éviter l'arrestation et/ou le procès, comportement digne d'une personne qui se sait coupable.
Comportement digne d’une personne qui cherche des réponses à ses questions. Lorsque l’on cherche à vous arrêter pour quelque chose dont l’on ignore la teneur. Dont l’on ignore les conséquences futures de ceci. Lorsque tu es dans l’ignorance totale si se n’es que du faite que tu sais que toute les Guildes Martiales sont à ta poursuite. Tu te dis que sa dois être pour quelque chose de grave. Ces alors là que tu poses des questions aux personnes les plus adroites à te répondre. Pas par désire de corruption, non. Par soif de connaissance, après tout ici je joue ma vie.
Sensiblement qu’une personne à l’autre la réaction serait différente. Mais je demeure tant qu’à moi une personne méfiante. Je me qualifierais plutôt d’individu qui ne prend pas de risque in calculer. Le tribunal doit toute fois se souvenir que malgré le délais de mon arrestation, je n’es commis aucune acte de violence, aucune acte réprimandable. Que je me suis rendu par mes propres moyens aux geôliers de l’Ordre du Soleil sans arme.
En se qui attrait la dite corruption au tribunal. De se que j’en sais, aucun petit guide du parfait défendant n’existe. Aucune loi ou règle ne fut écrite, mentionnant que demander information au Juge responsable de son dossier, il s’en voit vu comme de la corruption. Rien qui n’est à porter de la main du citoyen normal. Dans tout les cas, j’ai suivis les recommandations à se sujet de la Juge Vespari et cesser mon courrier avec celle si lorsqu’elle me fit mention qu’il n’en était pas son rôle. Près de cinq années se sont écouler depuis, sans nouvelle et manque de patience j’ai omis cette règle qui me fut confier des années plutôt et je m’en excuse.
Messir Adalard possède la réputation d'être un homme violent, impatient et insouciant, alors que Messir Lidenslavsky avait - et a toujours - la réputation opposée. Des témoignages d'individus les connaissant bien:
Encore une fois, le cabinet Mel’Viir ne sait pas vers ou se tourner, qu’il se doit de tenter de saper ma réputation pour emporter un procès. Je m’es en question dès lors les témoignages apporter par l’avocat d’Arold. Qui plus est de tel témoignage n’offre pas preuves de quoi que se sois.
Dans un premier cas, l’entrevue réaliser avec Samael Sengire. Samael tel qu’identifier plus haut possédais le même conflit d’intérêt qui m’opposait à Arold à l’époque. De toute évidence, tout est essayé de sa part pour me faire condamner. Son document n’appose rien de concret si se n’es qu’un désire de me voir finir mes jours loin de ma liberté.
En se qui attrait l’entrevue d’Astria Polymaro, je vais rappeler le tribunal que j’ai soumis la documentation nécessaire qui avait informer à l’époque les Guides de la Guilde ma décision de renvoyer Arold et Samael. Elle a sans doute oublié avec le temps.
Suite à quoi, l’unique information que l’on peu y retrouver est que selon Astria Polymaro. J’aurais été le plus apte à porter un coup si il y aurait eu échange de se type avec Arold. Cette comparaison pourrait être pris entre n’importe qu’elle personne et on jugerait que le père Télésphore serait de matière plus violente que Nikita… Omis cela, je pense avoir raison de dire que la colère tous la possède. Donner un coup sur une table ne fait pas de moi un être abjecte et sanguinaire…
Bien et en troisième lieu. Je remet en doute les entrevues mener par le cabinet Mel’Viir. J’accuse le cabinet d’avoir pris de manière sélectif les entrevues qui allaient les aider dans leurs causes. En omettant volontairement d’y placer dans le dossier toute entrevu qui aurait pu être bénéfique à l’image de ma personne ici.
Ayant faite mes devoirs, demandant à une personne qui me connaissait d’ailleurs mieux que Samael Sengire. Quel type d’individu suis-je. Une information, confirmant l’usage sélectif des entrevues mener par le cabinet Mel’Viir me fut donné.
Pour ce qui est de la menace si quelqu'un ne remet pas les clés, en toute sincérité, et j'en suis navrée, je ne m'en rappelle plus. Par ailleurs, Hakubo Kuroyama m'avait déjà interrogée pour témoigner en ta faveur, mais, semble-t-il, personne n'en sait rien.
Comment considérez-vous Garibald Adalard, serait-il une personne violente ?
En premier lieu, je trouve la question déplacée et mal posée. On ne dit pas d'une personne qu'elle est violente, mais qu'elle a ou qu'elle peut avoir des comportements violents. Dans tous les cas, je ne pense pas que Garibald Adalard corresponde à ce type de profil. Dans des contextes isolés tels qu'un duel ou un combat provoqué, certes, il aura intérêt à se battre et à manifester ce que vous qualifiez de violence, mais sans plus.
Pensez-vous qu'il aurait été apte à porter acte de violence sur une personne avec qui il aurait pu avoir litige ?
Encore une fois, la question est mal posée. Bien sûr qu'il aurait été apte, que je sache, physiquement, il n'avait aucun handicap. Cependant, aurait-il voulu le faire, aurait-il voulu en arriver jusque là, je peux vous assurer que non. Malgré son air de grognon se cache un être compréhensif au coeur tendre.
De son quotidien est-il une personne qui provoque la peur dans son entourage ?
Provoque? Non. Inspire? Mieux. Au premier regard, il est costaud et grincheux. Certainement qu'il peut faire peur pour certains. Par contre, lorsqu'on apprend à le connaître, l'on peut constater qu'il est très passionné et attentionné envers ceux qu'il aime.
De son quotidien, comment est Garibald Adalard ?
Avez vous des informations ou encore des souvenirs, pouvant éclaircir le tempérament de Garibald Adalard ?
Éclaircir un tempérament, ça ne se fait pas. Cependant, si vous voulez mieux le comprendre en ayant plus d'informations sur ses qualités, défauts, c'est la personnalité que vous ciblez. À moins que vous ne vouliez parler de comportement? Bref, ne comprenant pas la question, je n'y répondrai pas.
Domilixia Segal Nazgaroth Relt
Dès la première phrase de Domilixia Segal, il est mentionné qu’un employé du cabinet Mel’Viir Hakubo Kuroyama à faite passer un entrevue à Domilixia Segal. Le même genre d’entrevue qui fut faite à Astria Polymaro ou encore Samael Sengire. Il est mentionné qu’ Hakubo Kuroyama faisait cette rencontre pour témoigner en ma faveur. Laisser moi m’en montrer perplexe, le cabinet Mel’Viir à plutôt menti à Domilixia Ségal. Car cette entrevue allait servir contre Garibald Adalard. Je remets en question les manières douteuses du cabinet de soutirer leurs informations en utilisant le mensonge. Mensonge à un citoyen n’ayant rien affaire dans se dossier, jusqu’ou le cabinet Mel’Viir serait il prêt à pousser le mensonge pour me faire condamner dans un procès qui ne devrait pas être ?
En deuxième temps. Si nous n’avons pas eu l’entrevue de Domilixia Ségal dans le dossier de la couronne, j’imagine qu’elle devait parler d’avantage en ma faveur. Se que le cabinet Mel’Viir a du souhaité éviter. Combien d’entrevues ont-ils faite ? Combien ont-ils filtrés, pour en conserver que deux au final ? Sa en remet à un sondage faux et manigancer.
Finalement, je demanderai au Tribunal de prendre en considération le témoignage de Domilixia Segal, qui ne me démontre pas tel un monstre comme souhaiterait le faire croire certains.
Aröld,
Conserver les clées de la Guilde fera de toi un fraudeur. Sans titre de citoyens, il sera très aisé de te pénaliser très aisément.
À toi d'y voir.
Garibald Adalard
Ces une menace que je posais souvent pour récupérer les clés. Une menace judiciaire. À noter que j’avais marqué « Sans titre de citoyens, il sera très aisé de te pénaliser très aisément. ». Connaissant les lois Systériennes, je savais fort bien à se moment qu’un attaque à main armé sur un non citoyen ou sur un citoyen offrait les mêmes représailles au tribunal. Se que je savais aussi est que sans son titre de citoyen, il ne possède pas de droit d’allez au tribunal, donc pas de rappel. Autrement dit il se saurait faite exposer à de lourdes conséquences sans qu’il puisse sans défendre.
Soit,
Si tu as le courage de me rencontrer pour que je te donne tout ceci, convenons en comme ça.
Mais les mots de ta première missive sont réellement vu comme une menace, ne crois pas que tout ceci s'arrêtera là.
Ärold.
Nous pouvons lire qu’Arold identifiait le tout tel une menace physique, allant lui-même me lancer une menace à se propos. J’ai souhaité ensuite de le ramener sur terre, que ma menace n’était que d’ordre judiciaire comme par habitude. Il n’y a jamais eu plainte de la manière que je récupérais les clés de la Fraternité du Chêne jusqu’alors. Je ne vois pas pourquoi ma parole devrait être mis en doute.
Citer: Aröld,
Rencontrons nous maintenant. À l'Intendance de la Fraternité du Chêne.
Ps : Crois se que tu voudras, mes mots étaient d'avantage un conseil qu'une menace. Tes derniers écrits semble l'être toute fois.
Garibald Adalard
Voici une preuve des démarches que j’effectuais généralement. Qui explique la « menace ».
Saralonde,
Un ancien membre de la Fraternité du Chêne est revenu il y a peu dans la citée. Il aurait sois disant perdu la mémoire durant se laps de temps. De cette dite perte de mémoire, il affirme ne pas avoir posséder les clées de la Guilde et ne pas les retrouver.
Souhaitant savoir si cette histoire n'est qu'un vulgaire superfuge, dans l'unique but de se sauver sans conséquence avec des outils permettant d'entrer dans nos bâtiments. Je lui es indiqué de prendre rendez-vous à Ste-Élisa pour évaluer son cas.
Toute information pouvant guider la Fraternité du Chêne dans cette histoire sera la bienvenue.
Il se dénomme Charle Despara.
Bien à toi,
Garibald Adalard
Post by Koenzell Pandora, Cp - November 5, 2010 at 2:09 AM
Monsieur le surintendant,
L'accusé m'a demandé lui même de faire quelques recherches pour paufiner le dossier. De plus, je point reçu e ses nouvelles depuis la remise du dossier. Vu sa grande impatience, je vous remet son dossier exactement comme il me l'avait donné.
Maître K. Pandora
Post by Lenne Vespari, CP - November 5, 2010 at 6:10 AM
« La poursuite est invitée à répondre à la défense présentée par l'accusé. Ce tribunal rendra ensuite son jugement.
La Cour traitera dans sa décision du laxisme et des nombreuses irrégularités ayant marqué cette affaire. »
Post by Lenne Vespari, CP - November 6, 2010 at 1:23 AM
« Le dispositif demandé par la défense pour compléter celle-ci. »
Juge Lenne Vesperi,
Ce que je demande à la Cour :
-
Bien entendu ma libération immédiate.
-
En réparation des tords commis contre ma personne, tant physique que psychologique. Des années passer en prison et de ma notoriété publique à jamais bafouer :
-
Que l’Empire m’octroie le titre de Citoyen pour tout les services rendus à cette Empire, au même juste titre de l’honneur décerner à Arold et Samael. J’ai faite au tant et plus encore. Qu’ainsi, je sois protéger de tout éventuel affront de se genre que j’ai subis et subis présentement par malveillance ou négligence.
-
Que l’Empire me reconnaisse laver de tout soupçon, qu’aucune Guilde qu’aucune personne ne puisse me tenir juger de se procès, qu’aucune discrimination ne soit produit à mon insu peu importe, peu importe la manière qu’elle soit dans ma vie futur qui saurait entacher ma personne. Sous peine de haute réprimande.
-
Que l’on me rembourse ces cinq années de paye perdu, dans l’attente du jugement de se procès. Sois mon salaire de Guide à l’époque de 2.500 pièces d’or par saison. En cinq années, se qui équivaut à 50 000 pièces d’or.
-
Qu’il me soit offert soit un vaste terrain privé hors de la citée, choisis par mes soins ou sois la somme de 100 000 pièces d’or.
-
Que l’Empire paye les coûts de mon avocat Koenzell Pandora.
-
Tout fautif m’ayant mener à passer cinq années en prison soit juger dans les meilleurs mesures possible du tribunal.
En revanche, advenant que le tribunal me voit juger coupable.
En me fiant aux écrits d’Arold et de la manière qu’il conclu son histoire :
Art.2 a)
Participent à un infraction :
- Quiconque la commet réellement
La question qui se pose ici elle est. Es-ce participer à une infraction lorsqu’un garde de la citée tente d’en empêcher une autre infraction ? Bien qu’il en soit là, son travail.
À titre complémentaire, car le motif qu’Arold impose dans son histoire se situe ici dans la possession désormais illégale de clé de Guilde sans avoir voulu les remettes dans une rencontre qui avait eu lieu pour cet effet.
Art. 3
§1. La sécurité de l’Empire est assurée par la Garde Impériale en collaboration avec l’Armée, l’Ordre, la Légion et la Fraternité.
§2. Le respect des lois est assuré en collaboration avec la Garde Impériale par les membres ostensiblement en fonction de l’Armée, de la Légion, de la Fraternité et de l’Ordre dans le cadre qui leur sont attribuées.
§3. Les zones de juridiction des guildes sont :
a) Confrérie Pourpre : Quartier Pourpre
b) Armée des Mercenaires : Quartier portuaire, Basse-Ville, Moyenne-Ville
c) Ordre du Soleil : Quartier du Temple, Haute-Ville, Moyenne-Ville
d) Fraternité du Chêne : Quartier de la Fraternité
e) Garde Impériale : Palais et infrastructures de l'administration
Art. 4
§1. Tout individu doit agir respectueusement sur le sol de Systéria avec les autres individus et avec les institutions, quels qu'ils soient. L'agression, la diffamation avérée et le refus d'obtempérer à un agent chargé de faire appliquer une loi dans les limites de sa compétence sont prohibés et sont des infractions criminelles.
Art.4 §1 (Agression)
Tout individu doit agir respectueusement sur le sol de Systéria avec les autres individus et avec les institutions, quels qu'ils soient. L'agression, la diffamation avérée et le refus d'obtempérer à un agent chargé de faire appliquer une loi dans les limites de sa compétence sont prohibés et sont des infractions criminelles.
J’ignore comment me prononcer ici. Advenant un refus de coopérer à un agent de la loi dans la légitimité de ses fonctions. Quels sont les droits de l’agent de la loi pour permettre à la loi d’être respecté en cas de refus d’optempérer et de fuite ? Il n’est défini nulle part le barème d’acceptation. Bien qu’il est facilement admissible qu’en se fiant à l’histoire d’Arold qu’il y a eu une possible exagération dans la méthode employé.
Art.7 (Vol de clef si Aröld était toujours dans la guilde)
Le vol, l'escroquerie ou la dégradation d'objet est interdite au sein de l'Empire de Systéria et toute personne commettant ces actes sont coupables d'une infraction criminelle.
Tel que démontrer dans le document de la défense, Arold n’était plus en droit de posséder ces clés, je n’y reviendrai pas.
Art.11 a) et b)
Quiconque commet des voies de fait ou se livre à une attaque ou une agression :
-
En employant la force, directement ou indirectement, contre une personne sans raison valable est coupable d'une infraction criminelle grave.
-
En tentant ou en menaçant, par un acte ou un geste, d'employer la force contre une personne est coupable d'un infraction criminelle.
En employant la force, contre une personne sans raison valable.
Toujours en se fiant à l’histoire d’Arold. Il si trouve une raison valable d’avoir employer la force. Car il y avait eu avertissements verbaux. Un collier offrant plusieurs accès à des pavillons d’une Guilde peu être utilisé dangereusement. Bien qu’hors contexte de l’histoire d’Arold j’avais confiance en sa bonne volonté de revenir les donner à un responsable.
Art.12 a)
Est accusé d'homicide quiconque, directement ou indirectement, peu importe le moyen, cause ou tente de causer la mort d'un être vivant et se rend ainsi coupable d'une infraction criminelle grave. Que ce soit :
- en ayant l'intention de causer sa mort ou en ayant l'intention de lui causer des lésions de nature à provoquer sa mort.
Comme expliquer dans ma défense et aisément confirmable. Je demeure un des meilleurs archers de Systéria. Si je dis bien si j’aurais poser se geste selon Arold. En observant les résultats qu’offre Ste-Élisa tant qu’aux dommages subis par Arold. Il est évident que si j’aurais visé à ces endroits, je ne lui aurais pas voulu sa mort directe ou même par lésion. Je suppose que ces flèches auraient été décochées pour arrêter sa fuite, j’y vais que par supposions logique puisque j’en suis contraint. Tirer sur une cible par surprise et de dos, avoir voulu sa mort les flèches ne se tiendraient pas aux jambes ou aux flancs loin des organes vitaux du cœur ou encore de la tête. En outre l’Art. 12 a) n’a pas lieu d’exister dans se procès.
Art.13 a)
Les duels sont tolérés au sein de l'Empire si ces derniers ne servent qu'à préservé l'honneur des sujets. Est coupable d'une infraction criminelle quiconque fait un duel illégal. Pour qu'un duel soit toléré par la loi;
- Les deux participants doivent être consentants.
Pour que cet article est lieu d’exister. Il aurait fallu que dans l’histoire d’Arold il est eu un passage ou une demande de duel soit soulignée. Dans l’histoire d’Arold, il n’y a pas eu acte de demande en duel, l’Art. 13 a) ne pu donc pas être bafoué et demeure sans fondement.
Art.29
Toute personne foulant les terres de l'empire Systérien doit le respect aux 9 préceptes de Thaar. Tout manquement à cet article entrainera une infraction dont la gravité variera selon les circonstance. Les préceptes de Thaar sont les suivants :
- Tu ne tueras que si je ne te laisse d'autre choix.
- Tu devras amener la lumière où que tu ailles et à n'importe quel moment.
- Tu n'accapareras pas le bien d'autrui, à moins que cela soit pour l'empêcher de faire le mal.
En se qui attrait l’article Art. 29.
Il n’y a pas eu de mort ou encore de vol. Le deuxième verset est possible d’être enfreint en vu d’une exagération dans la méthode employer du Garibald selon l’histoire d’Arold
Art.24
Chacun a le droit de mener une vie conforme à la dignité humaine.
La dignité humaine s’en voit elle brimé en prison ?
Juge Vesperi, des faits rapporter dans l’histoire d’Arold. Si le tribunal en vient à accepter cette version. Je trouve personnellement que la ligne la plus drastique enfreinte fut un abus de force dont j’en suis accord. Et ceci est bien l’unique ligne dépasser. L’unique article inexistant dont on doit lire entre les lignes des autres codex de l’Empire pour l’accepter.
De se fais, la peine de cinq années déjà passer en prison semble amplement suffisante. Si le tribunal juge que cette peine est trop inférieure à ses idées. Je me propose alors de faire du temps communautaire pour l’Empire Systérien.
Une notis que je souhaiterais ajouter à ma défense que j’ai remarquée lors de la rédaction de ces papiers.
Dans les écrits d’Arold il est noter qu’il avait peur en soit à des représailles sois judiciaire ou encore physique de se qu’il en laisse deviner de par la menace judiciaire que je lui avais transmis par missive. L’échange de nos lettres se situant déjà dans les archives.
Si Arold aurait eu peur d’atteinte à sa vie sois de manière corporelle. Pourquoi avoir lancer en premier l’idée du rendez-vous la soirée même pour la remise des clés à ma personne. Lorsqu’il aurait été en droit de contacter un autre Guide tel que Malik Croumicou. S’il aurait réellement considérer ma menace judiciaire comme une menace direct à sa personne. Pourquoi avoir décider de son propre chef de me rencontrer s’il était supposé de me craindre ?
Garibald Adalard
Post by Thalkehr Stornaar, AdM - November 7, 2010 at 10:16 PM
Juge Vespari,
Je vous avise que je produirai mon dossier d'accusation final dans les les prochains jours [d'ici mardi soir].
Maître Mel'Viir.
Post by Thalkehr Stornaar, AdM - November 10, 2010 at 8:18 AM
En attente d'une demande fait au staff, finalement.
Post by Lenne Vespari, CP - November 10, 2010 at 10:06 AM
Et pendant ce temps, l'étrange juge faisait de l'origami avec les montagnes de documents qui s'empilaient depuis des années ; cette affaire verrait peut-être bientôt une fin!
Post by Thalkehr Stornaar, AdM - November 13, 2010 at 1:06 PM
Art.2 a)
Participent à un infraction :
- Quiconque la commet réellement
La question qui se pose ici elle est. Es-ce participer à une infraction lorsqu’un garde de la citée tente d’en empêcher une autre infraction ? Bien qu’il en soit là, son travail.
À titre complémentaire, car le motif qu’Arold impose dans son histoire se situe ici dans la possession désormais illégale de clé de Guilde sans avoir voulu les remettes dans une rencontre qui avait eu lieu pour cet effet.
- Ici, on parle d'une intervention sur un individu pacifiste, qui était calme et ne représentait en rien un danger. Par les deux précédents paragraphes, tout ce que l'accusé a fait est de mettre de l’emphase sur un des points pour lesquels il est accusé, soit l'usage immodéré de la force contre un individu désarmé, via l'article 11.
Art. 3
§1. La sécurité de l’Empire est assurée par la Garde Impériale en collaboration avec l’Armée, l’Ordre, la Légion et la Fraternité.
§2. Le respect des lois est assuré en collaboration avec la Garde Impériale par les membres ostensiblement en fonction de l’Armée, de la Légion, de la Fraternité et de l’Ordre dans le cadre qui leur sont attribuées.
§3. Les zones de juridiction des guildes sont :
a) Confrérie Pourpre : Quartier Pourpre
b) Armée des Mercenaires : Quartier portuaire, Basse-Ville, Moyenne-Ville
c) Ordre du Soleil : Quartier du Temple, Haute-Ville, Moyenne-Ville
d) Fraternité du Chêne : Quartier de la Fraternité
e) Garde Impériale : Palais et infrastructures de l'administration
- Cette argumentation n'a pas d'importance, puisqu'un garde n'est pas pour autant autorisé d’agresser un individu, encore moins de tenter de l'assassiner. C'est une chance incroyable que Messir Lidenslavsky soit encore en vie, aucun garde ne possède le droit de la lui extraire, sans l'autorisation préalable du Tribunal Impérial, surtout alors qu'il ne représente pas une menace pour qui que ce soit.
Ajoutons ici un détail qui important et qui n'a pas encore été souligné. Chaque guilde s'est vu décerné le droit d'effectuer ses propres jugements et prendre action sans restrictions, moyennant un simple avis envoyé au au Tribunal Impérial. Si ce geste n'est pas effectué, aucune intervention, physique ou pas, ne peut être tolérée et le geste devient alors une intervention citoyenne, sur laquelle les droits martiaux ne sont pas applicables. Ainsi donc, une arrestation sans avis au Tribunal, faite avec une force brutale ou pas, est un acte illégal en soit. De toute évidence, Messir Adalard, ou la Fraternité du Chêne, n'ont jamais avisé le Tribunal qu'une arrestation allait avoir lieu à l'endroit de Messir Lidenslavsky.
" Linaëliassandre Alssaël" wrote: [Extrait des archives] : « Concernant l’accélération des délais, le nouveau codex abolit toute forme de mandat et les remplace par de simples avis à envoyer au tribunal impérial. Ainsi, tout en conservant une forme de surveillance neutre par le tribunal impériale, les guildes ne sont plus assujetties à des preuves contraignantes à cette étape préliminaire de leur action puis à l’attente de l’analyse d’un juge impérial. Nous avons ainsi souhaité faciliter l’action des guildes tout en conservant le contrôle de la légalité qu’effectue le tribunal. »
La dernière Garde des Sceaux a publiée ce court, mais très complet, résumé de la réforme juridique survenue lors de la dissolution de l'Empire. Afin d'éviter des situations comme nous vivons dans le procès actuel, où un pseudo-garde tente d'abuser de droits martiaux pour commettre une agression à l'endroit de sa victime, le Tribunal demande que des avis soient émis au Tribunal, qui évaluera la pertinence de l'arrestation après qu'elle soit exécutée et se réserve un droit décisionnel sur celel-ci. Toutefois, la première étape est cruciale à la transparence des guildes martiales, afin d'éviter les abus de pouvoirs et autres débordements quand un criminel, comme Messir Adalard, tente d'abuser de son pouvoir. Suivent les articles de loi concernées :
Art. 46 §3. Tout jugement d'une guilde ou du Tribunal Impérial doit être publié au Greffe du Tribunal.
Art. 47 Toute détention d'un citoyen par une guilde doit être signalée immédiatement au Tribunal Impérial par avis détaillant les motifs de l'emprisonnement et la durée approximative des procédures pour rendre jugement. Sous réserve de motifs raisonnables, le Tribunal Impérial pourra ordonner la libération du citoyen.
Art.4 §1 (Agression)
Tout individu doit agir respectueusement sur le sol de Systéria avec les autres individus et avec les institutions, quels qu'ils soient. L'agression, la diffamation avérée et le refus d'obtempérer à un agent chargé de faire appliquer une loi dans les limites de sa compétence sont prohibés et sont des infractions criminelles.
J’ignore comment me prononcer ici. Advenant un refus de coopérer à un agent de la loi dans la légitimité de ses fonctions. Quels sont les droits de l’agent de la loi pour permettre à la loi d’être respecté en cas de refus d’optempérer et de fuite ? Il n’est défini nulle part le barème d’acceptation. Bien qu’il est facilement admissible qu’en se fiant à l’histoire d’Arold qu’il y a eu une possible exagération dans la méthode employé.
- C'est faux, il y a un barème, il est claire. L'Article 11, spécifie clairement qu'il est interdit de commettre une agression, abstraction faite de son rôle martial. L'armée des mercenaires et l'Ordre du Soleil ont à plusieurs reprises su démontrer comment procéder à une arrestation sans que l'individu ne se retrouve à Ste-Elisa. Dans l'absence de capacités d'arriver à maîtriser une cible désarmée et pacifique, le geste raisonnable et intelligent aurait été de se référer à un collègue d'expérience ou à une guilde qui effectue ce type d'interventions sur une base régulière. Finalement, Messir Adalard aurait du agir respectueusement et éviter d'aggresser Messir Lidenslavsky. Quand au refus d'optempérer, il ne permet pas à Messir Adalard d'agir comme il l'a fait.
Art.7 (Vol de clef si Aröld était toujours dans la guilde) Le vol, l'escroquerie ou la dégradation d'objet est interdite au sein de l'Empire de Systéria et toute personne commettant ces actes sont coupables d'une infraction criminelle.
Tel que démontrer dans le document de la défense, Arold n’était plus en droit de posséder ces clés, je n’y reviendrai pas.
- L'argumentaiton de Messir Adalard est épuisante, redondante et vide de sens. Il essai clairement de nous désorienté dans son argumentation bâclée et malhabile. Je crois, de plus, que l'accusé ne comprend pas le procès et le processus judiciaire qui l'entoure. La défense doit se défendre. Un procès distinct serait nécessaire pour juger Messir Lidenslavsky si la Fraternité en jugeait la nécessité, puisque ses actes ne permettaient pas à l'accusé d'agir comme il l'a fait, l'histoire répétitive des clés est donc inutile dans le contexte actuel. L'accusé n'était pas en droit d'agir comme il l'a fait, tout simplement.
Art.11 a) et b) Quiconque commet des voies de fait ou se livre à une attaque ou une agression :
En employant la force, directement ou indirectement, contre une personne sans raison valable est coupable d'une infraction criminelle grave.
En tentant ou en menaçant, par un acte ou un geste, d'employer la force contre une personne est coupable d'un infraction criminelle.
En employant la force, contre une personne sans raison valable.
Toujours en se fiant à l’histoire d’Arold. Il si trouve une raison valable d’avoir employer la force. Car il y avait eu avertissements verbaux. Un collier offrant plusieurs accès à des pavillons d’une Guilde peu être utilisé dangereusement. Bien qu’hors contexte de l’histoire d’Arold j’avais confiance en sa bonne volonté de revenir les donner à un responsable.
- Les avertissements verbaux sont inapplicables. En effet, après que Messir Lidenslavsky aie mentionné que Messir Adalard n'était pas en droit de le renvoyer de la guilde à lui seul, jamais il n'a spécifié que le renvoi avait bel et bien suivi le processus démocratique. Messir Lidenslavsky était en droit d'en douter, sous l'impression que Messir Adalard agissait de mauvaise foie. Ce dernier est donc passé directement à l’agression. Il n'y a donc pas eût d'avertissement valable.
Art.12 a) Est accusé d'homicide quiconque, directement ou indirectement, peu importe le moyen, cause ou tente de causer la mort d'un être vivant et se rend ainsi coupable d'une infraction criminelle grave. Que ce soit :
- en ayant l'intention de causer sa mort ou en ayant l'intention de lui causer des lésions de nature à provoquer sa mort.
Comme expliquer dans ma défense et aisément confirmable. Je demeure un des meilleurs archers de Systéria. Si je dis bien si j’aurais poser se geste selon Arold. En observant les résultats qu’offre Ste-Élisa tant qu’aux dommages subis par Arold. Il est évident que si j’aurais visé à ces endroits, je ne lui aurais pas voulu sa mort directe ou même par lésion. Je suppose que ces flèches auraient été décochées pour arrêter sa fuite, j’y vais que par supposions logique puisque j’en suis contraint. Tirer sur une cible par surprise et de dos, avoir voulu sa mort les flèches ne se tiendraient pas aux jambes ou aux flancs loin des organes vitaux du cœur ou encore de la tête. En outre l’Art. 12 a) n’a pas lieu d’exister dans se procès.
- Ce n'est pas parce qu'un agresseur ne vise pas les parties vitales qu'il n'y a pas intention de tuer. Il aurait pu être laissé pour mort. Ce n'est pas parce qu'un archer a de l'expérience qu'il va à tout coup réussir à viser correctement, surtout en soirée, losqu'il fait un peu plus noir. En tirant deux flèches, il y a définitivement eût des intentions qui dépassent largement celles de blesser ou de ralentir la victime. Il s'agit donc d'une tentative de meurtre en bonne et due forme.
Art.13 a) Les duels sont tolérés au sein de l'Empire si ces derniers ne servent qu'à préservé l'honneur des sujets. Est coupable d'une infraction criminelle quiconque fait un duel illégal. Pour qu'un duel soit toléré par la loi;
- Les deux participants doivent être consentants.
Pour que cet article est lieu d’exister. Il aurait fallu que dans l’histoire d’Arold il est eu un passage ou une demande de duel soit soulignée. Dans l’histoire d’Arold, il n’y a pas eu acte de demande en duel, l’Art. 13 a) ne pu donc pas être bafoué et demeure sans fondement.
- L'article de loi ne suggère pas qu'une demande officielle doive être faite. Dans le cas présent, le duel a été imposé à la victime, qui n'était donc pas consentante. Puisque l'article ne spécifie pas les barèmes d'une demande, je me remets à la définition de base d'un duel qui consiste à un échange de coups entre deux individus, ce qui est le cas dans l'agression qui nous concerne.
Art.29 Toute personne foulant les terres de l'empire Systérien doit le respect aux 9 préceptes de Thaar. Tout manquement à cet article entrainera une infraction dont la gravité variera selon les circonstance. Les préceptes de Thaar sont les suivants :
- Tu ne tueras que si je ne te laisse d'autre choix.
- Tu devras amener la lumière où que tu ailles et à n'importe quel moment.
- Tu n'accapareras pas le bien d'autrui, à moins que cela soit pour l'empêcher de faire le mal.
En se qui attrait l’article Art. 29. Il n’y a pas eu de mort ou encore de vol. Le deuxième verset est possible d’être enfreint en vu d’une exagération dans la méthode employer du Garibald selon l’histoire d’Arold
- Effectivment, il n'y a pas eût de meurtre. Toutefois, l'intention était définitivement d'y arriver. Comme le souligne la défense, il n'a définitivement pas amené la lumière.
Art.24 Chacun a le droit de mener une vie conforme à la dignité humaine.
La dignité humaine s’en voit elle brimé en prison ?
- Possible, sauf lorsqu'on est un criminel dangereux.
Juge Vesperi, des faits rapporter dans l’histoire d’Arold. Si le tribunal en vient à accepter cette version. Je trouve personnellement que la ligne la plus drastique enfreinte fut un abus de force dont j’en suis accord. Et ceci est bien l’unique ligne dépasser. L’unique article inexistant dont on doit lire entre les lignes des autres codex de l’Empire pour l’accepter.
De se fais, la peine de cinq années déjà passer en prison semble amplement suffisante. Si le tribunal juge que cette peine est trop inférieure à ses idées. Je me propose alors de faire du temps communautaire pour l’Empire Systérien.
Notez également le témoignage suivant :
Selon les dires de l’elfe Lycia Lalwendë, rôdeuse et archère de ce que l’on nommait jadis la Fraternité du Chêne, désormais considérée comme sœur de l’Assemblée Druidique, le conflit s’est déroulé près de la banque, au sein du Quartier Druidique. Arold Lidenslavsky quittait les lieux avec calme, sans agressivité aucune, lorsque l’un des Guides, Garibald Adalard, l’a attaqué, allant jusqu’à tiré des flèches sur lui.
« Je me souviens, cela ne fait pas si longtemps. Une dizaine d’années, peut-être? Oui, c’est cela, c’était vers la fin de la Fraternité du Chêne. Mais j’en ai le souvenir intact, car il s’agissait d’une scène dont la violence était gratuite et spontanée. Lidenslavsky, le géant, sortait tout juste de la banque du quartier Druidique lorsque Garibald Adalard est arrivée avec son arc. Nous l’avons tout de suite reconnu. Les humains ayant une peau aussi sombre sont rares, à Systéria, et sa corpulence ne trompait pas. C’était Garibald Adalard qui s’est montré agressif et a utilisé son arc sur son confrère. Nous avons mis un moment à agir, surtout moi. Je ne m’attendais pas à une telle tournure dans les évènements, j’ai été surprise. »
Lycia Lalwendë, désormais sœur de l’Assemblée Druidique. Sœur de la Fraternité du Chêne au moment des faits.
- Il n'y a donc rien de plus évident. Après les témoignages cohérents d'Arold Lidenslavsky, Mademoiselle Taur'Amendil, Samael Sengir et Lycia Lalwende, qui correspondent également à la nature des blessures du rapport médical et des témoignages sur le comportement de Messir Adalard, il est impossible de croire que l'agresseur soit non-coupable.
Ce que je demande à la Cour :
Bien entendu ma libération immédiate.
En réparation des tords commis contre ma personne, tant physique que psychologique. Des années passer en prison et de ma notoriété publique à jamais bafouer :
Que l’Empire m’octroie le titre de Citoyen pour tout les services rendus à cette Empire, au même juste titre de l’honneur décerner à Arold et Samael. J’ai faite au tant et plus encore. Qu’ainsi, je sois protéger de tout éventuel affront de se genre que j’ai subis et subis présentement par malveillance ou négligence.
Que l’Empire me reconnaisse laver de tout soupçon, qu’aucune Guilde qu’aucune personne ne puisse me tenir juger de se procès, qu’aucune discrimination ne soit produit à mon insu peu importe, peu importe la manière qu’elle soit dans ma vie futur qui saurait entacher ma personne. Sous peine de haute réprimande.
Que l’on me rembourse ces cinq années de paye perdu, dans l’attente du jugement de se procès. Sois mon salaire de Guide à l’époque de 2.500 pièces d’or par saison. En cinq années, se qui équivaut à 50 000 pièces d’or.
Qu’il me soit offert soit un vaste terrain privé hors de la citée, choisis par mes soins ou sois la somme de 100 000 pièces d’or.
Que l’Empire paye les coûts de mon avocat Koenzell Pandora.
Tout fautif m’ayant mener à passer cinq années en prison soit juger dans les meilleurs mesures possible du tribunal.
Advenant le cas où le Tribunal ne serait pas en accord avec la Couronne et que l'accusé soit jugé entièrement non-coupable, je tiens à préciser que les demandes de Messir Adalard sont abusifs, exagérés et n'ont aucun sens. S'il advient qu'il soit jugé entièrement non-coupable, sa libération et le paiement de son salaire perdu sont amplement suffisant.
- Finalement, devant l'évidence de la culpabilité de Messir Adalard, un fait ressort : non seulement ne fait il pas état de regrets, mais il plaide la non culpabilité. Ce faisant, il se moque du jugement et de l'intelligence de la Couronne, de l'Empire, représenté par ma personne et du Tribunal.
En résumé, Messir Adalard utilise comme principal argument qu'il s'agissait d'une intervention martiale. Il faut reconnaître qu'il n'en est rien, puisque le Tribunal Impérial n'était pas avisé tel que l'exige notre système judiciaire.
Également, Messir Adalard dit ne pas avoir effectué l'agression. Je crois que les témoignages sont plus que suffisant pour voir que c'est en mensonge, surtout que la victime elle-même se rappel de son agresseur et que cela concorde avec un le récit d'un témoin oculaire.
Tous les autres arguments de Messir Adalard ne sont qu'une redondance de son opinion personnelle, de suppositions et d'interventions digne d'un primate qui nous ont fait perdre à tous beaucoup de temps.
Donc, les chefs d'accusation sont :
Les chefs d'accusation sont : -Agression (Article 11 du Codex de Systéria) -Homicide (Article 12 du Codex de Systéria) -Duel illégal (Article 13 du Codex de Systéria) -Usage immodérée de la force contre un individu désarmé. Le tout selon l'article 2 du Codex de Systéria.
Étant donné les preuves accumulées, les demandes loufoques de la défense, son plaidoyer de non-culpabilité, sa réputation d’agressivité, son motif évident et l'absence de regrets, la Couronne demande que l'accusé soit puni d'humiliation publique, suivie de la peine capitale par guillotine. Si toutefois le Tribunal est en désaccord avec une partie des demandes de la Couronne, cette dernière demande qu'il soit assuré que Messir Adalard ne soit en aucun cas remis en liberté. L'île pénitencier pourra l'accueillir avec les autres criminels de son acabit. N'oublions pas qu'il représentera un danger absolu pour Messir Lidenslavsky, et pour notre société en général.
Maître Thalkehr Mel'Viir, Baron, Avocat de la Couronne.
Post by Lenne Vespari, CP - November 18, 2010 at 2:38 AM
Et la fameuse décision, qui certainement ne plairait pas à tous...
TRIBUNAL DE SYSTÉRIA
COUR D'APPEL SYSTÉRIENNE
CHAMBRE CRIMINELLE ET PÉNALE
Sa Majesté Cybelle de Systéria
Poursuivante.
c.
Garibald Adalard
Accusé.
En présence de l’Honorable Lenne Vespari, Juge de la Cour Systérienne
No de référence : Empire c. Adalard, 2 R.C.S. 6
==============================================
Préface
(1) L’affaire en l’espèce a été teintée de nombreuses irrégularités et d’un délai toujours plus important résultant de l’action des parties, du décideur et même des tiers, souvent malgré la bonne foi des participants et, en l’occurrence, non-participants. Ces irrégularités affectent la structure même du présent jugement, qui fait office à la fois de Cour d’appel et de Cour de première instance, c’est-à-dire un tribunal de guilde. Afin d’être cohérent, je débuterai par rendre une décision en déterminant les faits qui ont été prouvés au Tribunal et les infractions commises par l’accusé. Dans un second temps, j’évaluerai les questions de droit soulevées, qui sont plus du ressort de cette Cour, soit la Cour d’appel. Exceptionnellement, la conclusion et la peine ne seront écrits qu’après ces deux évaluations afin de les moduler selon, le cas échéant, les réparations nécessaires.
==============================================
LA PREMIÈRE INSTANCE
Les faits
(2) Le tribunal a eu à évaluer de nombreux éléments de preuves afin de déterminer les faits. Voici d’abord les faits tels que retenus, puis quelques mots sur les éléments mis en preuves qui furent écarter et ceux qui furent retenus.
(3) Il y a maintenant plusieurs années, Ärold Lidenslavsky, victime, et Samael Sengir ont entrepris des discussions qui ont éventuellement mené à la dissolution de la Fraternité du Chêne, dont ils étaient alors membres. Cette situation provoqua un conflit et dans un vote majoritaire, façon régulière de fonctionner pour la Fraternité du Chêne à ce moment-là, les chefs de la guilde décidèrent de le renvoi des deux protagonistes précédemment nommés. Garibald Adalard, accusé, alors Guide des Cinq Sens, vota pour le renvoi ainsi que Malik Croumicou, alors Guide de la Préservation. Astria Polymaro, Guide de la Spiritualité, n’avait pas eu le temps d’intervenir. La décision était légitime et donc Ärold Lidenslavsky et Samael Sengir perdirent leur titre de citoyen à ce moment-là. De surcroît, même si la chose n’était pas accepté par la victime, elle démissionna également, aussi était-il clair qu’il n’était plus membre de la guilde.
(4) Néanmoins, l’accusé insista auprès de monsieur Lidenslavsky pour récupérer les objets liés à la guilde et les échanges entre les deux, par missive, étaient hargneux. Ils se rencontrèrent près de la banque, quelques rôdeurs de la guilde surveillant le quartier autour. Monsieur Lidenslavsky exigea alors un dédommagement de la part de la guilde, sans quoi il ne remettrait pas ses clefs, ce que l’accusé refusa. Après avoir insister verbalement très longuement pour récupérer les clefs alors que la victime restait passive, quatre flèches furent alors tirées par l’accusé sur monsieur Lidenslavsky. Le tribunal s’en remet au rapport médical du médecin traitant pour en décrire les effets :
***Observations ***
[...]
- Les deux plaies béantes observées proviennent sans aucun doute d’impact de flèches. Il est probable que le patient se les soit retirées lui-même. En tous les cas, c’est un individu qui n’a aucun rapport avec la médecine étant donné le manque de délicatesse et de précision. Les blessures n’en sont pas aggravées, mais elles ont participé à abîmer les chairs.
- La flèche dans la cuisse n’a causé de dégâts qu’au muscle, heureusement pour le patient.
- La flèche dans le mollet a frôlé l’artère fémorale. Il s’en est fallu de trois millimètres pour qu’elle ne perce cet axe vital. Monsieur Lidenslavsky n’aurait pas eu le temps d’atteindre l’hôpital à temps.
- Les deux flèches dans le flanc n’ont touché aucun organe vital. La première flèche, retirée, a due percer la ceinture abdominale ainsi que le grand oblique de l’abdomen. Aucun dommage irréparable. La second a éraflé l’os du bassin, légèrement plus basse que la première et a également percé le transverse.
- Les deux plaies ouvertes montrent qu’on a tiré alors que le patient était de dos : la trace et l’importance des impacts dans le dos ne permettent aucune autre hypothèse. Même chose pour la flèche dans le mollet.
- La flèche encore plantée dans le flanc a été tiré de face, alors que le patient faisait face à son agresseur.
- Tous les coups ont été tirés à bout portant : le déchirement des chairs, le fait que le corps soit transpercé de part en part, autant d’indices qui n’autorisent pas d’autres interprétations.
[...]
(transcription conforme)
(5) Par la suite, la victime se retrouva à l’Hôpital Ste-Élisa où elle fut traitée. Le Surintendant, sa Grâce le Duc Thomas Halvadius Bolton, également médecin à cet établissement, fit lancer un avis public pour retrouver l’agresseur de monsieur Lidenslavsky et après certaines informations, fit débuter la présente instruction contre monsieur Adalard. Peu de temps après, monsieur Adalard se livra à l’Ordre du Soleil, geôliers désignés par la Cour, sans opposer de résistance, où il est en détention depuis.
(6) Pendant le procès, quatre avocats se succédèrent pour une partie ou pour l’autre en raison de plusieurs difficultés et l’accusé en vint à écrire au juge lui-même pour plaider certains arguments.
(7) Afin d’établir ces faits, les témoignages mis en preuve appartenant à monsieur Samael Sengir et à mademoiselle Tarasilmë T'aur Amandil Balgor ont été écartés par le Tribunal. Ceux-ci constituaient des ouï-dires et non pas des éléments dont ils avaient personnellement eu connaissance. Il retient plutôt les témoignage de Malik Croumicou, de la rôdeuse en poste à la banque Lycia Lalwendë, alors sœur de la Fraternité du Chêne, en partie de l’accusé lui-même et en partie de la victime. Tous les éléments mis en preuve sur le caractère de l’accusé, que ce soit les témoignages de madame Astria Polymaro, mademoiselle Domilixia Segal ou monsieur Samael Sengir n’ont également pas été considérés pour déterminer les faits. Ils pourront influer la détermination de la peine.
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Analyse et droit
(7) À la lumière des faits et des arguments de chaque partie, il importe d’évaluer chacune des accusations choisies par la Couronne.
Mode de perprétation
Art. 2
Participent à une infraction :
a) quiconque la commet réellement;
(8) Il s’agit ici du mode de perpétration de l’infraction, soulevé à juste titre par la poursuite. Ce n’est pas en soit une infraction, cependant, et ne peut être retenu que si l’accusé est trouvé coupable d’une autre infraction. L’article vise à trouver coupable des individus qui commanditent des crimes, même s’ils ne les ont pas commis, par exemple. Aussi, considérant les faits en l’espèce, le Tribunal étudiera plutôt les autres infractions et si l’accusé les a commis, ce sera via ce mode de perprétation.
Vol
Art. 7
Le vol, l'escroquerie ou la dégradation d'objet est interdite au sein de l’Empire de Systéria et toute personne commettant ces actes sont coupables d'une infraction criminelle.
(9) Pour qu’un vol soit commis, il faut donc que l’accusé ait : 1- Pris un bien 2- Qui ne lui appartenait pas légalement 3- Alors qu’il était en la possession (j’inclus ici la possession physique, mais aussi le fait d’avoir ses objets par exemple dans sa maison) de quelqu’un d’autre. Ici, la Couronne a prouvé que l’accusé a pris un bien qui était en possession de la victime, mais la Cour croit que les clefs n’appartenaient pas à la victime, mais à la guilde dont elle ne faisait plus parti et donc l’accusé était clairement représentant. Comme il manque l’un des trois éléments constitutifs à l’infraction, ce ne peut donc pas être un vol et l’accusé doit être déclaré innocent de cette infraction.
Agression
Art. 4
§1. Tout individu doit agir respectueusement sur le sol de Systéria avec les autres individus et avec les institutions, quels qu'ils soient. L'agression, la diffamation avérée et le refus d'obtempérer à un agent chargé de faire appliquer une loi dans les limites de sa compétence sont prohibés et sont des infractions criminelles.
(10) La Cour remarque ici que le Codex de Systéria a prévu deux fois l’infraction d’agression, une fois ici et une autre fois sous le vocable de voies de faits. Comme il s’agit évidemment de la même chose, le Tribunal ne le traitera qu’une fois, soit à l’article spécifique, c’est-à-dire l’article 11 du Codex de Systéria. Cependant, si l’accusé en est trouvé coupable, considérant l’état du droit actuel, le tribunal n’aura pas de discrétion et n’aura d’autre choix que de le condamner pour deux infractions distinctes avec des peines s’accumulant.
Art. 11
Quiconque commet des voies de fait ou se livre à une attaque ou une agression :
a) En employant la force, directement ou indirectement, contre une personne sans raison valable est coupable d'une infraction criminelle grave;
b) En tentant ou en menaçant, par un acte ou un geste, d'employer la force contre une personne est coupable d'une infraction criminelle.
(11) D’abord, le tribunal est d’avis que l’infraction englobe à la fois la tentative (art. 11 b)) et l’acte en soi (art. 11 a)). Il s’agit de deux façon de commettre la même infraction, aussi l’accusé ne peut être trouvé coupable qu’une seule fois. Comme exposé précédemment, une condamnation à cette infraction entraîne également une condamnation à l’article 4 du Codex de Systéria. Le texte de loi exigeant que l’infraction soit commise sur des personnes, le fait que la victime ait été non-citoyenne au moment des faits n’est donc pas pertinent.
(12) Il est clair, dans les faits, que l’accusé a commis des voies de fait à l’égard de la victime. Le tout est de savoir s’il en est exonéré comme le prévoit l’article. En effet, s’il avait des raisons valables, l’article est libellé de façon à permettre les voies de fait et donc à les légaliser. L’accusé plaide à cet égard qu’il était de bon droit, car il agissait dans le cadre de ses fonctions à la Fraternité du Chêne et dans les limites de l’article 3 du Codex de Systéria. La Couronne plaide que l’accusé a exagéré et qu’il a dépassé les limites permises par la loi notamment le cadre des articles 46 alinéa 3 et 47 du Codex de Systéria tel qu’expliqué par le ministre de la Justice l’ayant rédigé.
(13) Dans un premier temps, la Cour croit que l’accusé était en bon droit d’exiger les clefs de sa guilde au membre qu’il avait correctement renvoyé. Même si, comme la Poursuite le signale à juste titre, il s’agit d’une autre affaire qui n’a pas à être évaluer ici (et qui ne le sera pas), par son refus d’obtempérer la victime aurait pu se voir condamner par les autorités judiciaires Fraternité du Chêne si elles l’en avaient trouvé coupable. En d’autres mots, l’accusé avait l’autorité suffisante pour contraindre la victime à agir.
(14) Cependant, le Tribunal doit se rendre à l’avis de la Couronne. La Cour ne peut pas conclure que le fait de rester silencieux et de ne pas vouloir redonner des clefs peut être une raison valable à ce que l’accusé tire quatre flèches, le tout à l’apogée d’une tension entre les deux individus. La Poursuite, à juste titre, élabore sur différentes options qu’aurait pu choisir d’explorer l’accusé entant que garde, notamment une escalade des moyens de pression par une décision judiciaire publiée au greffe (comme une amende ou une peine de prison, concomitants avec la reprise des clefs), mais l’agression était clairement disproportionnée. Le Tribunal est d’avis que lorsqu’un garde doit employer la force pour une raison valable, et ne pas être coupable d’agression, il doit le faire, entre autres : 1- À bon droit (c’était le cas ici) 2- de façon non disproportionnée (ce n’était pas le cas en l’espèce) et 3- après avoir essayer les autres manières possibles de procéder pour ne pas en arriver là (ce n’était pas suffisamment le cas ici, selon le preuve).
(15) Il faut donc trouver l’accusé coupable d’agression (art. 4) et de voies de fait (art. 11 a)).
Homicide
Art. 12
Est accusé d’homicide quiconque, directement ou indirectement, peu importe le moyen, cause ou tente de causer la mort d'un être vivant et se rend ainsi coupable d'une infraction criminelle grave. Que ce soit :
a) en ayant l'intention de causer sa mort ou en ayant l'intention de lui causer des lésions de nature à provoquer sa mort
(16) Selon le texte de la loi, pour qu’il y ait homicide, il faut que la preuve démontre que l’accusé a :
-Causer la mort (ou tenter)
-D’un être vivant (il faut donc que l’accusé sache qu’il s’agissait d’un être vivant)
-En ayant l’intention de le faire
(17) En l’espèce, le Tribunal se penche sur les preuves présentées à lui. Le rapport médical décrit des plaies précises et l’accusé plaide qu’étant l’un des meilleurs archer de l’île, s’il avait voulu tuer, ses flèches se serait rendues aux bons endroits. Le Tribunal se rallie toutefois à la Couronne, qui invoque que les blessures infligées étaient suffisamment nombreuses et graves pour représenter une tentative de causer la mort. Cependant, la Cour n’a pour seule preuve d’intention que l’accusé avait l’intention de causer des lésions et l’intention de récupérer les clefs de la guilde. Ces intentions correspondent à l’infraction de voies de fait, dont l’accusé a été condamné, et pas à celle de meurtre.
(18) La Cour croit donc qu’il faut innocenter l’accusé de l’accusation d’homicide.
(19) Le tribunal se permet ici une intervention, puisque le texte parle d’être vivant, en théorie, même les animaux de l’île de Systéria sont protégés. Aussi, il serait urgent que le législateur revoit ses termes et parle plutôt de « personnes ». De plus, il n’exonère pas les gardes et les bourreaux qui doivent parfois, dans les limites de leur fonction, tuer. Tous ces gens, actuellement, pourraient être condamnés sous cette infraction pourtant majeure si quelqu’un s’y lançait.
Duel
Art. 13
Les duels sont tolérés au sein de l'Empire si ces derniers ne servent qu'a préservé l'honneur des sujets. Est coupable d'une infraction criminelle quiconque fait un duel illégal. Pour qu'un duel soit toléré par la loi;
a) Les deux participants doivent être consentants
b) Les pratiques illégales ou objets prohibés ne doivent être utilisés
(20) Cet article, très flou et recoupé par ceux d’homicide et de voies de fait, implique que les duels sont une infraction criminelle à moins qu’ils :
-Servent l’honneur
-Bénéficient du consentement des deux participants
-Ne font pas l’objet de pratique illégales dans leur déroulement
(21) La Cour doit se résoudre à suivre la Couronne dans son raisonnement strict. À la lecture de la loi, qui détermine de façon très stricte l’exhaustivité de ses critères, et à l’examen des faits, l’accusé n’avait pas le consentement du deuxième participant avec qui il a fait le duel. La Cour doit donc trouver l’accusé coupable de duel.
(22) À titre d’obiter, là encore, ce tribunal croit que cette loi devrait être revue par le législateur afin d’inclure la nécessité d’une déclaration en duel pour qu’il y ait notion de duel.
Thaar
Art. 29
Art.29
Toute personne foulant les terres de l'empire Systérien doit le respect aux 9 préceptes de Thaar. Tout manquement à cet article entrainera une infraction dont la gravité variera selon les circonstance. Les préceptes de Thaar sont les suivants :
- Tu ne tueras que si je ne te laisse d'autre choix.
- Tu devras amener la lumière où que tu ailles et à n'importe quel moment.
- Tu n'accapareras pas le bien d'autrui, à moins que cela soit pour l'empêcher de faire le mal.
(23) Cette infraction recoupe l’homicide et le vol, dont l’accusé a déjà été trouvé innocent. Puisqu’il s’agit des mêmes infractions avec les mêmes composantes, s’il avait été trouvé coupable il l’aurait été aussi pour celles-ci et auraient alors reçu une condamnation supplémentaire puisqu’il aurait été alors coupable de deux infractions distinctes (quoi que pour la même chose). Cependant, il n’en est pas coupable.
(24) La Cour reconnaît cependant que l’accusé n’a pas amené la lumière avec lui et doit l’en trouver coupable, comme le demande la Couronne et comme l’accusé ne s’en défend pas vraiment.
(25) En temps normal, c’est un tribunal de première instance, soit celui de l’Ordre du Soleil, qui aurait dû poursuivre l’accusé pour cette infraction s’il avait utilisé sa discrétion de le faire (ou non), comme le prévoit l’article 33 du Codex de Systéria. Exceptionnellement, comme expliqué en préface, cette Cour agit comme toute les Cours en même temps et doit donc l’en trouver coupable.
Libertés
Art. 24
Chacun a le droit de mener une vie conforme à la dignité humaine.
(26) Il ne s’agit pas là d’une infraction criminelle. Le Codex de Systéria prévoit chaque action qui constitue une infraction et ce explicitement. Cette liberté constitutionnelle prime donc sur les lois qui s’y opposeraient, mais elle n’est pas une infraction criminelle en soi. L’accusé ne peut donc pas en être trouvé coupable.
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L’APPEL
Les questions en litige
(27) Plusieurs questions ont été soulevées dans la présente affaire et méritent l’attention d’une Cour d’appel. Même si ce Tribunal ne peut pas dépasser la limite de sa compétence en légiférant, considérant le caractère particulier qu’a pris l’affaire, il soumettra à son analyse certains faits. Il n’accusera cependant personne, ni ne les blâmera. L’accusé plaide qu’il doit avoir réparation et une peine moins importante pour de nombreuses raisons. La Couronne plaide que l’accusé a tenté d’influencer le juge. Les questions en litige sont les suivantes :
(1)\tPourquoi l’Empire porte les accusations elle-même?
(2)\tPourquoi, si les citoyens sont innocents jusqu’à preuve du contraire, peuvent-ils faire face à des accusations librement?
(3)\tLes courriers privés d’Adalard visaient-ils à influencer le juge au procès ?
(4)\tLes conditions humaines brimés en prison contreviennent-elles à l’article 24 de la Constitution?
(5)\tEst-ce que l’impossibilité de trouver un avocat compétent devrait diminuer la peine de l’accusé?
Analyse
Pourquoi l’Empire porte les accusations elle-même?
(28) Une première irrégularité ici apparaît aux yeux de la Cour. En temps normal, ce sont les guildes qui doivent déposer les premières accusations contre un individus. Cela fait parti de la réforme juridique qui vise à désengorger les tribunaux et à donner le pouvoir aux guildes d’agir à leur guise. Aussi, l’accusé aurait dû être, s’ils le décidaient, arrêter par une guilde compétente pour le condamner à sa guise selon sa façon de faire. C’est uniquement ensuite, en appel, que ce Tribunal serait intervenu. La guilde aurait alors pu présenter les résultats de son enquête et justifier sa décision, et l’accusé faire valoir ses points de droit que la guilde aurait mal évalué selon lui.
(29) Ce ne fut pas le cas et aussi ce tribunal dû monter l’enquête lui-même. Les procureurs des deux parties durent intervenir à mesure que l’enquête progresser et que les éléments s’y ajoutaient, ce qui a créé un dossier très lourd et très peu régulier.
(30) En l’espèce, la Cour ne voit pas de préjudice réel pour l’accusé et ne voit donc pas l’intérêt de l’en dédommager, mais recommande ardemment de laisser aux guildes le pouvoir d’exercer (ou de ne pas exercer) leur pouvoir judiciaire, après avoir mené leur enquête.
Pourquoi, si les citoyens sont innocents jusqu’à preuve du contraire, peuvent-ils faire face à des accusations librement?
(31) Cette question, soulevée par l’accusée, est rhétorique. Si une personne ne peut être accusé que si elle est coupable, il n’est plus possible d’accuser qui que ce soit de quoi que ce soit. Aussi, pour la procédure veut que lorsqu’une preuve semble suffisante à première vue contre quelqu’un pour qu’il y se soit peut-être produit quelque chose, un procès peut avoir lieu pour éclaircir le fond des choses. Le fait de laisser les guildes gérer leurs enquêtes permettra aussi, à l’avenir, d’avoir des dossiers étoffés dès le début des procédures, qui ne se construisent pas à mesure.
Les courriers privés d’Adalard visaient-ils à influencer le juge au procès ?
(32) Dans cette affaire, l’accusé a envoyé deux longues lettres de plaidoirie directement au juge et ce, pendant que l’affaire était pendante. En l’espèce, la Cour ne croit pas qu’elles aient eu un impact, même si elle a considéré certains arguments écrits dans ces lettres pour le jugement. Puisque celles-ci avaient été déposées au dossier, les parties étaient à même de réagir. Cependant, cette conclusion n’est possible que parce que l’accusé a cessé toute communication avec la juge dès qu’il comprit que ce n’était pas la façon de faire. Les parties doivent échanger entre elles et plaider au procès, PAS avant et PAS avec le décideur.
Les conditions humaines brimés en prison contreviennent-elles à l’article 24 de la Constitution?
Art. 24
Chacun a le droit de mener une vie conforme à la dignité humaine.
(33) L’accusé plaide que le fait de vivre en prison brime cet article. La Cour rejoint les prétentions de la Couronne lorsqu’elle affirme que c’est une restriction justifiée à la liberté d’un criminel pour assurer à l’ensemble de la société de pouvoir jouir de ladite liberté ici en cause.
(34) Néanmoins, les procès étant souvent très longs, avec des conséquences très graves et des modalités précises, la Cour croit que, pour respecter la dignité d’une personne encore innocente (pendant les procédures), celle-ci devrait pouvoir jouir de sa liberté.
Est-ce que l’impossibilité de trouver un avocat compétent devrait diminuer la peine de l’accusé?
(34) Cette affaire a mis en lumière certaines lacunes du tribunal de Systéria. Si les guildes peuvent rendre jugement elles-mêmes sur le résultat de leur enquête sans publier de longs jugements, cette Cour demande une bataille juridique plus poussée et divers intervenants.
(35) Longtemps à Systéria, la justice a été réservée à une élite intellectuelle, mais cette Cour n’en voit pas nécessairement la nécessité. L’accès restreint aux tribunaux et l’interdiction d’être représenté par quelqu’un qui n’est pas avocat sont devenus davantage un fardeau au déroulement des dossier qu’ils sont un bienfait. Le Tribunal voit peut de préjudice à ce que les gens accèdent aux dossiers de la Cour et puissent défendre leur familles ou amis accusés si ces dernier acceptent clairement d’être défendus par des non avocats. Il en va du choix de l’accusé et la Cour y voit une façon de régler les problèmes ici vécus.
(36) En l’espèce, l’accusé a fini par réussir à produire une défense satisfaisante avec un avocat. Les problèmes de disponibilité d’avocat lui ont cependant fait vivre un temps excédentaire qui n’était pas lié à son propre choix, et la Cour doit en prendre acte dans sa décision.
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Détermination de la peine
(37) L’accusé est donc coupable d’une infraction criminelle grave (voies de fait), de deux infractions criminelles (agression et duel) et d’une infraction dont la gravité varie selon la situation (ne pas avoir amener la lumière avec soi). Le système de justice actuel établit des distinction selon le niveau de gravité afin de prévoir des peines proportionnées aux actes commis.
(38) Ont été mis en preuve devant ce tribunal de nombreux témoignages, parfois décrivant l’accusé comme un homme doux et généreux, d’autres fois comme un homme irritable et violent. La Cour ne peut pas distinguer les deux.
(39) Le Tribunal prend acte de l’absence de regrets de l’accusé, mais ne peut pas, comme la Couronne le voudrait, lui reprocher de tenter de se défendre des accusations contre lui.
(40) Enfin, le Tribunal se doit de considérer l’implication importante de l’accusé dans sa communauté des années durant, pendant lesquelles il a été l’un des chefs de la Fraternité du Chêne, de même que l’absence absolue d’antécédents judiciaires et même la présence d’une ancienne décoration.
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Dispositif
(41) Le Tribunal déclare donc l'accusé Garibald Adalard COUPABLE de :
-Agression (Art.4 §1 du Codex de Systéria)
-Voies de fait (Art.11 a) du Codex de Systéria)
-Duel (Art.13 du Codex de Systéria)
-Ne pas avoir amener la lumière avec soi (Art.29(7) du Codex de Systéria)
POUR CES MOTIFS, la Cour :
CONDAMNE Garibald Adalard à sept (7) ans de prison ;
CONDAMNE Garibald Adalard deux (2) ans années d’aide, de service et d’assistance auprès de l’Ordre du Soleil, clergé de Thaar, dans les modalités qu’ils jugeront approprié afin qu’il soit instruit afin de pouvoir amener la lumière avec lui;
CONDAMNE Garibald Adalard à suivre une thérapie de gestion de la colère auprès du personnel de l’Hôpital Ste-Élisa ;
CONDAMNE Garibald Adalard à payer une amende de dix mille (10 000) pièces d’or à la Trésorerie de l’Empire de Systéria ;
ORDONNE la libération de Garibald Adalard, considérant qu’il a déjà purgé sa peine de prison ;
RECOMMANDE à sa Majesté l’Impératrice Cybelle de Systéria de prendre acte des suggestions et conclusions du présent jugement, notamment les révisions légales suggérées pour les infractions de duel, d’homicide et d’agression, mais aussi les changements suggérés au processus légal, c’est-à-dire de permettre à l’accusé d’être libre pendant son procès sauf risque de fuite ou de nouveau crime (sous peine de condamnation automatique s’il fait quoi que ce soit d’incorrect pendant sa liberté), de permettre à tous d’avoir accès au tribunal et de défendre quiconque l’accepte.
Lenne Vespari, J.C.S.