Missive aux diplomates
Post by Sinriia Mel'Viir - March 13, 2008 at 6:19 AM
Honorables membres de la diplomatie,
J’ai été témoins de certains propos dévalorisants concernant la branche diplomatique, venant de la bouche de la baronne déchue Azurya d’Ambrâme votre ancienne dirigeante. La discussion eût lieu au nouveau refuge, tournant sur le sujet de la crise des éléments.
Cette dernière affirmait à monsieur Galgarad, membre de la confrérie, que la branche diplomatique ne faisait nullement leur travail concernant cette crise, que si elle était toujours à son poste que les choses serraient bien différentes. Elle a ensuite proposé son aide au pourpre présent afin d’unir les guildes dans cette cause, du moins avec le cercle de pierre, pratiquant ainsi la diplomatie entre les guildes. Qui plus est, elle semblait à peine connaissante des bases de cette crise qui nous menace.
Ce genre de propos et actions mal placés venant d’une personne qui semble plutôt sotte et maladroite, sont sans aucuns doutes dans l’unique but de vous abaisser par pure vengeance. Je croyais bon de vous tenir informés avant que quelconques conséquences se produisent.
Cordialement,
Sinriia Mel’Viir
Post by Thomas Bolton, Emp - March 13, 2008 at 11:25 AM
Une réponse parvint peu de temps après à Sinriia Mel'Viir.
Mademoiselle Mel'Viir,
Par la présente, j'accuse-réception de votre lettre. Les propos que vous me rapportez sont intéressants mais je n'en suis pas surpris le moins du monde. Qu'attendre d'une hérétique qui a perdu rang social et fonction ? Rien, si ce n'est ragot, bassesse ou mépris. Méfiez-vous d'elle.
La valeur de l'excommunication est puissante, toutes les guildes savent bien qu'en faisant fi du statut de paria que l'Ordre lui a donné elles risquent de s'octroyer la disgrâce auprès de la Couronne. Je vais néanmoins contacter le culte pour lui signaler que l'hérétique d'Ambrâme est de retour pour payer son amende.
Ce dernier en profitera pour rouvrir le dossier d'hérésie, car n'oublions pas que l'elfe-noire s'était acoquinée avec un prêtre des dieux sombres. Un soldat de l'Armée m'avait même confié que cette dernière l'aurait menacé de mort. Non décidemment, sa fanfaronnade n'est qu'à l'image de sa stupidité : trop immense pour être prise au sérieux.
Veuillez agréer, Mademoiselle Mel'Viir, l'expression de mes salutations distinguées,
Diplomate Bolton