Helven

Helven

Post by Gorluk Mahik, Esprit - December 22, 2005 at 11:37 PM

Bon, premièrement, entre ZyX et Crépuscule, j'avais commencer un shard RP, pas de UO, mais plutôt de Graal Online. Le monde était complètement inventé, sur une planète nommée Helven. Malheureusement, je n'ai jamais pu écrire toute l'histoire, et j'ai commencé a le faire. Voila ce que ça donne pour le moment. Je sais que ça parrait comme un livre d'espace, mais plus tard c'est pas du tout comme ça...

Helven

Introduction

An 2664
10 de Décembre

Le Général Moore était dans l'une des dernières navettes qui quittaient la Terre, du moins de ceux qui pouvaient y arriver sans se faire abattre par l'un de leurs vaisseaux. La Terre, autrefois la planète bleue, maintenant la planète rouge. La Terre n'avait jamais ressemblé autant à Mars qu'en ce jour. Le sol de la planète était en ce temps, couvert de sang de milliard d'humains, la plupart innocent. Le Général Moore regardait encore l'une des lettres qu'il avait reçues quelques jours auparavant.

Année 2664
7e de décembre
Arpalhis

Nous sommes pris au piège dans la ville, si nous pouvons encore appelez ça une ville, il ne reste que quelques bâtiments qui tiennent encore sur leur fondation, le reste n'est que cendres et ruines. Nous faisons face a un ennemi invincible, dès que nous réussissons à en abattre un seul, et déjà cela est une tâche ardue, 10 autres arrivent en renforts. Heureusement, les portes de la villes tiennent encore, mais à quoi bon, les bombardements font autant de victimes, sinon plus, que les fusils ennemis. J'ai bien peur que ceci ne soit le dernier rapport sur la situation que vous ne receviez de ma part pour bien longtemps, ou sinon a jamais, car nous avons perdu l'aéroport, nous empêchant de recevoir tout renforcements ou ravitaillements. Mais, je crains que cette autre nouvelle ne risque de vous attrister d'avantage: Le Colonel Kerran Kaberl est décédé il y a 2 jours de cela, au cours d'une attaque surprise de commandos ennemis. Mais, grâce a sa mort héroïque, nous avons pu repousser l'attaque, nous donnant quelques jours de répits, mais durant le combat, le Colonel Kaberl a été touché par un projectile d'un des fusils Spartanius. Malheureusement, nos docteurs, étant en manque de médicaments de premiers soins n'ont rien pu faire pour empêcher la tragédie. Mais, le répit dont nous avons bénéficié n'a point duré longtemps, les bombardements ont repris de plus belle il y a quelques heures et je sens que le bâtiment dans lequel je suis ne pourra tenir encore longtemps. Alors j'écris ces lignes en espérant qu'elles ne soit pas les dernières que j'écrirai, et qu'elles se rendent bien entre vos mains, et non entre les mains de l'ennemi. Alors, si jamais je suis dans l'impossibilité de vous réécrire, ce fut un honneur pour moi d'avoir combattu pour vous.

Officier de la 7e brigade d'infanterie de défense, Markus Soveliss

La lettre parlait bien évidemment des Spartanius, ces êtres, quasiment semblable aux humains, qui les avaient pourtant ravagé en moins d'un an. Le Général Moore était encore sous le choc de savoir que le Colonel Kaberl était décédé, l'un des meilleurs membres de l'armé. Le Général avait pourtant reçu des centaines de lettres comme celle-ci auparavant, mais aucune de l'avait fait réalisé à quel point l'humain avait frôler l'instinction dans cette guerre.
Cela faisait déjà plusieurs heures que le général relisait encore et encore la lettre de Soveliss. C'est alors que quelqu'un entra dans la pièce où se trouvait Moore. C'était Allan McLinder, une des nombreuses personnes qui s'occupait du bon fonctionnement de la navette.
Général, la navette se fait pourchasser par un vaisseau Spartanius.
Le visage de Moore devint pâle. Jamais en un an de guerre, il n'avait eu l'occasion de se battre contre les Spartanius, heureusement pour lui. Les données jusqu'à maintenant de victoire sur les Spartanius était quasiment nul. Mais la fuite de la Terre était une chose si ardue, que plus de la moitié des survivants n'avaient la chance de pouvoir partir dans une navette. Tandis que plus du ¾ des navettes se faisaient intercepté, voir même détruite, il était inéluctable que la sienne réussisse à partir. Pour les autres navettes, ils finiraient sûrement par manquer d'oxygène avant de trouver une planète habitable. Moore se disait qu'il valait peut-être mieux mourir dans une explosion qu'en manquant d'oxygène dans une navette sans gravité, avec toutes les personnes se battant pour respirer et vivre ainsi quelques minutes de plus. Ainsi, peut-être ne souffrait-il pas beaucoup, voir mourir sur le coup. Après toutes ces pensées qui vint à lui, Moore se reprit et répondit finalement au pilote qui était devant lui:
Nous avons des canons attachés sur les côtés pour faire feu?
Hum... oui mon général mais c'est que... nous ne les avons jamais testé...
Il y a un moment pour tester les choses n'est ce pas? lança Moore.
Le petit pilote plutôt inexpérimenté, qui ressemblait plutôt un adolescent, semblait ne pas approuver le plan du Général, mais il obéit et retourna dans la salle de contrôle pour avertir les autres du plan de Moore.

Cela faisait plus de 10 minutes que le jeune pilote était partit et le Général ne savait toujours rien de ce qui se passait. Lorsqu'il se détacha du mur sur lequel il était, il se retrouva alors en suspension dans l'air. Il ne fut que quelques secondes pour qu'ensuite, Moore entende un long sifflement. Il devenait de plus en plus mort lorsque d'un seul coup, il arrêta. Le Général hésita quelque peu avant de faire quoi que se soit, puis il décida enfin de sortir. Il se propulsa vers la porte, en se poussant contre les murs et tout ce qui était utile. Il ouvrit ensuite la porte d'un geste vif, et regarda ensuite dans le petit corridor qui était relié sur toutes les chambres. La moitié des portes étaient ouvertes laissant flotter des objets partout dans l'air. Au bout de l'allée, ce tenait la porte de la salle commune, qui normalement était toujours ouverte. Il se demandait bien pourquoi cette porte était ouverte. Il s'avança vers celle-ci et lorsqu'il vint pour l'ouvrir, il entendit un grincement strident qui provenait de l'autre côté. Il hésita alors longuement pour l'ouvrir, puisque le grincement persistait. La pièce commune avait peut-être été touchée par une arme Spartanius, qui défonça ainsi la coque de la navette. Il décida de l'ouvrir quand même, mais au moment où il toucha la poignée, la porte s'ouvrit d'elle même par un officier dont le nom lui était inconnu. Il se précipita alors dans le mince corridor, prestement, suivit de 4 autres officiers et d'un seul pilote, McLinder. Lorsque tout le monde était dans la pièce, l'un des officier ferma la porte brusquement, d'un air nerveux. Il était couvert de sueur. Le Général Moore se demandait alors ce qui se passait.
La navette a été touchée mon Général! , dit rapidement l'un des officiers
À quel endroit exactement? , répondit Moore.
Dans la salle de pilotage, la navette est hors de contrôle maintenant. Aucun des pilotes n'a réussit à s'en sortir sauf le petit Allan, il n'était pas dans la salle de contrôle. L'impact a eu lieu si vite que personne n'a pu se réfugier en dehors. Je crois que nous ne pourrons plus sortir d'ici, la salle commune risque de se faire vider d'oxygène bientôt.
Le Général savait qu'avec si peu d'oxygène, il ne pourrait même pas résister plus de trois ou quatre jours. Il devait donc aller chercher d'autres réserves d'oxygène, pour ainsi peut-être avoir une chance.

Le Général tenait à partir seul, mais le jeune pilote Allan avait été tellement convainquant qu'il était maintenant deux à entré dans la salle commune. Après avoir ouvert la porte, il sentit aussitôt une pression sur sa poitrine. Sur le coup, il eu le goût de vomir, mais il se retenu. Des dizaines d'objets flottaient dans l'air, tels des bouts de tissus dont la provenance était inconnue ou encore des poutres d'acier qui s'était détachées d'un peu partout. La pièce était envahie d'une noirceur inquiétante. Les deux compagnons se propulsèrent contre le mur, voyant un autre officier refermer la porte derrière eux. Pendant quelques secondes, le Général avait un peu de difficulté à respirer mais cela se régla pour lui après quelques dizaines de secondes. Il continua sans regarder derrière lui vers la grosse armoire dans le fond de la grande pièce et tenta de l'ouvrir en vain. Il y avait un verrou et il ne savait point où était la clé. Au même moment, une poutre vint lui cogner la tête tout doucement. Il la saisit et tenta de forcer la serrure avec succès. Aussitôt, tout ce qui était dedans le classeur vert sortit et commença à flotter partout dans la pièce. Il fut un peu déçu de voir que le classeur ne contenait que de vielles choses inutiles, pour divertir un peu les gens dans la navette. Des lecteurs de musique et de films portables flottaient un peu partout tandis qu'une console portable sortant du bureau lui cogna la tête. Il vit alors une petite porte coulissante plus loin et il se dirigea aussitôt vers celle-ci. Il l'ouvrit et fut rapidement ravi parce qu'il voyait devant lui. Une bonne vingtaine de bonbonnes d'oxygène était accroché partout dans la garde-robe. Il dit alors d'un ton jovial:
Avec ça on va résister au moins 2 semaines!
Mais il n'eut aucune réponse. Il tourna la tête un peu et s'aperçu que le petit pilote flottait dans l'air, inerte. Il s'empara de deux bonbonnes et se précipita vers le jeune homme. Il lui tapota le visage et le poussa vers la porte où il cogna et expliqua la situation aux quelques officiers. Tandis que deux d'entre eux s'occupait du petit Allan, les deux autres le suivit et ils ramenèrent tout l'oxygène en un seul voyage. Le grincement avait reprit dans la salle et il n'en pouvait plus. Ils retournèrent dans le corridor rapidement et fermèrent la porte vivement, puis l'officier la verrouilla d'un mouvement vif en tournant la manivelle. Il s'écoula quelques heures sans que Allan ne se réveille. Il était maintenant près de deux heures de l'après-midi et le petit groupe flottait dans l'air des quelques chambres et du passage les reliant les uns aux autres. Ils ne savaient plus trop quoi faire, leur communication étant brisé, il ne savait plus ce qui se passait véritablement à l'extérieur. Peut-être étaient-ils les derniers survivants, ou bien encore des milliers avaient survécus. Le Général était plutôt pessimiste et imaginait souvent le pire. Il préférait croire qu'ils n'étaient plus beaucoup que de se donner de fausses illusions sur leur avenir. L'apprenti qui venait tout juste de reprendre conscience vint le voir. Il était plutôt perturbé.
Général, es-ce que l'on va mourir?
Moore ne savait pas. Il aurait bien aimé le savoir, savoir quelle était la suite, mais nul ne pouvait le savoir. Tandis que le destin de la Terre elle, avait été facile à prévoir plusieurs mois – voir années –
à l'avance. Les Spartanius s'étaient déjà montrés agressif face aux Humains, premièrement. Ensuite, après la première bombe, tout le monde se doutait bien que toutes les constructions ne résisteraient pas aux avancées technologiques, ce qui fut inévitablement le cas. Tout cela avait commencé 400 ans auparavant, lorsqu'en 2234, la 3e Guerre Mondiale arriva. Plusieurs n'aimait pas ce nom puisque contrairement aux autres Guerre Mondiales, celle-ci n'avait laissé aucune chance aux citoyens, ils avaient tous été tués et chassé. Les Spartanius étaient nées en Italie, en 2230, après plusieurs expérimentations génétiques. Ils étaient grands et fort, physiquement et psychologiquement. Il pouvait battre n’importe qui, n’importe quand. Ils se sont développés pendant 4 ans avant que quelques nations se lève contre ces nouveaux combattants. L'Italie ne pouvait pas empêcher les Spartanius car ils étaient eux aussi des Humains. Alors la guerre fut déclarée par les autres pays, une guerre qui fut hélas trop de victimes pensait Moore. L'une des plus grandes guerres qui fut et qui emporta trop de gens. Les Spartanius avaient d'abord décidé de seulement se défendre, mais lorsque les soldats commençaient à arriver, ils les tuaient sauvagement. Mais lorsque cela fit environ 5 ans qu'ils tuaient, ils commencèrent à se venger et prendre de l'expansion. L'Humain qui avait commencé cette guerre, dû se défendre longuement et se fit finalement battre par sa propre invention.

                                                                *

Moore était déjà couché depuis un bon moment mais n'avait pas encore réussit à s'endormir. Couché n'étant pas vraiment le cas, puisqu'il était attaché au mur, pour ne pas flotter dans la pièce. Il réfléchissait encore à son avenir, et celle de l'Humain. Allan entra dans la pièce, avec un large sourire affiché sur son visage. Il semblait évidamment avoir une bonne nouvelle.

Général, général!! On a trouvé des arbres!!

Moore analisa quelques secondes les paroles du jeune homme puis le regarda à nouveau. Des arbres signifiaient une création d'oxygène, de l'air pour bien longtemps! Le Général regarda le jeune homme encore une fois puis lui dit:

Où les avez vous trouvez?
C'est Wedner, il l'a trouvé dans une autre partie de la navette, il y avait aussi des survivants!
Oh oui? Qui donc? , ajouta le Général
Il y a une femme, et deux officiers dont le nom m'échappe...

PS: L'introduction n'est pas terminée


Post by Dalar Weaver, GdO - December 22, 2005 at 11:43 PM

Vu l'année que sa se déroule...

Aurais-je pu faire un petit bonhomme vert appeller disons... Soya... et avoir une épée laser? J'aurais pu utiliser la force pour déplacer les objets... bon faudrait que je l'entraines beaucoup vu sa petite taille mais bon !


Post by Hector, Indépendant - December 23, 2005 at 12:53 AM

Mais est-ce que le shard se situe dans l'espace?

Edit :

Le monde était complètement inventé, sur une planète nommée Helven.

Je suis un boulet.


Post by Gorluk Mahik, Esprit - December 23, 2005 at 1:49 AM

En fait, l'histoire (au début) se passe dans les ans 2000, mais la date ou le shard se passait était en l'an 9822, sur la planète d'Helven. Sinon y'avait une race qui était avancé technologiquement, mais les autres c'était comme un shard normal (la race avancé, on aurait probablement pas pu la prendre...)


Post by Gorluk Mahik, Esprit - January 1, 2006 at 4:44 AM

Bon... j'avais une autre page d'écrite mais étant donné que j'ai formater mon PC je l'ai perdu... il va falloir que je recommence... Sinon je suis plutôt déçu de voir que si peu de gens lisent mon histoire...


Post by Bash Barkell, AdC - January 1, 2006 at 10:51 AM

Gorluk, j'ai lu et vraiment aimé


Post by Derek Sorgan - January 1, 2006 at 11:25 PM

Tu sais bien que je l'ai lu mon beau grand Gorluk C'est bien, meme si personnellement l'époque et tout le tralalala me rejoignait pas au maximum, je trouve que tu as bien fait ca, comme un grand garcon


Post by Gorluk Mahik, Esprit - January 9, 2006 at 10:04 AM

J'ai modifier et rajouter un petit bout au texte


Post by Fondateur Kel - January 9, 2006 at 5:17 PM

Pas mal, ça sera sur GraalOnline moteur Classic je suppose, comme les PlayerWorlds ? Ou le moteur Graal Kingdoms ?


Post by Gorluk Mahik, Esprit - January 10, 2006 at 2:43 AM

Ça sera probablement pas... mais si je m'y remet pour faire un monde, ça sera un histoire offline, en mode classic. J'ai même pas d'account officiel et quand j'avais commencer mon serveur, il était pas tout a fait légal...


Post by Gorluk Mahik, Esprit - January 15, 2006 at 1:31 AM

Bon, pour ceux qui savent pas quoi faire pendant que crépuscule est down, vous pouvez toujours venir faire un tour sur Helven (pas un jeu, le forum )
Sur le forum, vous pouvez faire du RP ou encore lire les info qui s'accumulent sur le monde. À votre guise de proposer des armes et autres pour le jeu.


Post by Gorlak - April 14, 2006 at 8:00 AM

J'ai lu au complet c'étais TRÈS bon ! Félicitation a toi^^