Une petite histoire créée par moi^^
Post by Nalima Solune, UDG - June 27, 2006 at 7:04 PM
Je sais que je fait plusieurs faute et que je suis pas le meilleur écrivant, alors j'espère que mon histoire vous plairas.
Des branches, des troncs d’arbres étendus au sol mort, plusieurs rocher couvert d’une mousse verts, voila ce que vous voyez devant vous, souffle court, épuisé, vous passé votre main sur votre front pour y retirer la sueur. Vous regarder de vos yeux vert de droite à gauche, vous les attendez approcher rapidement. La panique vous reprend, vous déposé votre regard sur elle, assise sur un rocher dans sa robe de soi rose. Les cheveux lui recouvrant le visage, sa poitrine montant et descendant montrant sa respiration accélérer. Vous savez qu’elle n’en peu plus de courir, mais vous savez aussi que vous ne devez pas vous arrêter là. Ils sont trop proche, trop près, vous prouvé les sentir.
Vous vous penché allant lui murmurer d’une voix calme, une petite parole pour la réconforter, « N’est pas peur je suis là ». Vous la sentez lever le regard sur vous, c’est yeux bleu croise les vautres, vous voyez dans son regard des millier d’étoiles, des étincelles qui brille comme mille feux. Vous savez que pour vous elle peu faire tout. Vous lui prenez sa douce main d’adolescentes. Vous lui frotter doucement avec le pouce le dos, elle ferme les yeux une secondes, puis se lève de son siège. Vous tournez votre regard en direction de vos poursuivant. Ils sont là, à quelque pas de vous. Vous partez en courant en direction inverse, dans cette forêt inconnu, mystérieuse et maudites comme il l’avaient dit.
Vous poussez avec vos mains les branches voulant empêcher qu’elle soit blessée. Elle est derrière vous, seulement à quelques centimètres. Une main sur ton dos, ne voulant pas te perdre. Dans cette sombre forêt il y a point d’animaux, que des arbres morts étendu un peu partout, mousse, rocher et des étendu de sapin. Vous lever votre regard sur le ciel, il est bleu, aucun nuage dans le ciel, un grand soleil jaune éclairant et faisant des ombres dans l’étendu de vert. Vous le rabaissez dans la végétation. Seul les ténèbre sont devant vous, noirceur, mais vous ne devez pas vous arrêter. Vous avez réussi à les sommer, mais ils ne lâche pas n’ont plus.
Vous courez encore une vingtaine de minutes. Vous n’en pouvez plus, elle non plus. Vous ne sentez plus sa main dans votre dos, vous vous retournez, elle est étendue sur le sol, visage premier contre la mousse. Vous savez que si vous la transporter elle et vous êtes mort, votre seul chance de partir en courant et la laissé là. Vous regarder la forêt derrière vous, puis elle, cela durant quelques secondes, puis vous vous approchez, et la prenez dans vos bras musclé. Elle est léger te, mais votre fatigue fait qu’elle semble peser une tonne.
Les bruit de pas se fait entendre derrière vous, ils sont là. « BANG » Un coup de feu est tiré en votre direction. Vos cheveux glisse le long sur votre visage, ils sont collés sur votre front par la sueur. Vous avez peur, mais vous continuer, pour elle, non pour vous, mais pour elle. Vous savez qu’elle ne mérite pas ce que on lui a réservé. De la lumière se fait voir devant vous. La forêt semble finir, un nouveau bruit se fait entendre, un bruit sourd. « BANG» Un autre coup de feu, vous utiliser vos dernières force, pour traverser la grande forêt.
Un ravin, de l’Eau bleu, une chut, voila ce qui se trouve devant vous. Vous ne voyer que liane, roché et rien d’autre. Vous essayé de trouver un chemin pour vous en sortir, le seul que vous voyer est de prendre une chance de sauté, mais vous refuser de la laissé. Vous entendez un bruit de pas derrière vous, cela vous fait sursauter et vous tourner. Devant vous un homme de grande taille, portant manteau de cuire brun, chapeau de combows et un vieux mousquet en main vous pointe. Il a un sourire mesquin sur les lèvre, puis jouant un peu sur la clenches il vous fixe dans les yeux. Puis il vous fait un clin d’œil, un bruit se fait entendre, vous sentez la balle chaude entrer dans votre estomac, amenant avec elle une douleur insupportable, elle vous oblige a reculer, vous faisant tomber sur le dos et vous la faisant perdre des bras. Elle tombe à coté de vous, encore inconsciente.
Vous avez vos 2 mains sur votre estomac, vous avez mal, très mal, mais avez le courage de levez les yeux sur lui, Il est entrain de recharger son arme tranquillement, vous regardant souffrir avec un sourire de joie. Il fini de le charger, menant l’arme devant votre visage. Le temps semble s’arrêter, la terre arrête de tourner, l’eau gèle sur place, tout autours de vous rien ne bouge plus. La seule chose qui vous reviens a l’esprit en se moment est comment tu en est arrivé la.
Vous étiez dans la grande ville, vous marchiez comme à l’habitude porter des fleurs aux enfants et à apporter votre aide au gens. Vous étier seul sur vos 30 ans, jamais vous n’avez cru bon d’avoir épouse, ou plutôt elle n’ont jamais cru a vous vouloir comme époux. Vous avez jamais voulu forcer une jeune fille a vous épousé comme el faisait les autres hommes. Vous étier bien vue de la plupart des jeune fille et des femmes, mais jamais vous n’aviez tomber amoureux d’elle, et elle ne voyait qu’en vous qu’un simple marchand de fleur bien gentil.
Vous vous ne promeniez jamais avec les gens haut placé, puisque ils essayent d’éviter tout contact avec vous. Vous soufrer des fois en silence, mais rester fort. Un jour que vous faisiez le même chemin que à votre habitude, vous avez vue devant vous, dans une ruelle sombre des crie. Vous avez été en courant voir de plus près ce qui se passait. 2 hommes étaient pardessus une jeune fille, ils étaient entrain de tenter de la découvrir. Vous avez lâcher vos fleur et partit sur eux, vous n’aimer aucun geste de la sorte. Vous avez frapper l’un deux, l’autre petit, se sauva en vous voyant. Celui blesser se releva et suivi son ami à son tours. Vous avez posé vos yeux doux sur la jeune fille, apeurer, elle avait la tête basse, en larme. Vous avez retiré votre cape et l’avez couvert. Tremblante elle était, apeurer elle le sera toujours sûrement. Vous l’avez apporté à votre maison, étendu sur votre lit, elle vous regarda dans les yeux et dit d’une voix douce « Merci..»
Vous vous êtes occupé d’elle durant près de 5 jours, vous en avez plus apprit entre vous. Vous sentier de plus en plus votre cœur battre. Vous n’aimer pas juste son corps, ses formes, mais tout d’elle. Ça façon de parler, de bouger et de tout faire. Au sixième jour, vous étier près du lac Huila, le soleil venait de se lever, vous lui aviez acheté une magnifique robe rose. Elle avait adorer se présent, mais vous saviez qu’elle devrait partir un jour au l’autre.
Elle te regarda dans les yeux, elle déposa ses mains contre la tienne, puis elle le fit, elle déposa ses lèvres contre les tiennes. Vous avez fermé les yeux, elle n’avait que 16 ans, mais semblait déjà une femme mur. Vous avez déposé votre main à son cou, lui frottant doucement. Elle Se retira de tes lèvres doucement, puis les larmes au yeux elle te regarda. «J’ai fait quelque chose.., vous avez dit pensant l’avoir blesser.
-Non, mais on ne peu pas, vous avait-elle dit.
-Nous ne pouvons pas quoi, vous avez demander.
-Ça, tout cela, on ne peu pas être ensemble! Vous a-t-elle dite.
-Nous le pouvons voyons, avez-vous répondu.
-Non, je suis déjà prédit pour un autre homme, vous a-t-elle avouée.
-Tu n’as qu’à refuser le mariage, que vous avez proposé.
-Je ne peu pas, je ne suis qu’une femme, mon père décide, a-t-elle dit en l’arme.
-Alors je te kidnapperai juste pour moi, avez-vous dit d’un ton dur.»
Elle fendit en larme, allant se réfugier dans tes bras. Vous avez rester ainsi une heures, peut être 2. Le temps passa, le soleil montait dans le ciel bleu. Vous lui avez embrassée le front quand une voix se fit entendre derrière vous, vous avez tourné la tête pour voir un homme crier le nom de la jeune fille, elle vous regarda dans les yeux et se leva. Vous avez alors comprit que c’était lui, lui qui vous empêchait d’aimer. Vous vous êtes levez, prit la main de la jeune femme et prit fuite dans la forêt avec elle.
Le temps reprit son cours, le fusil était devant votre visage. Il allait tirer, lorsque elle se mit devant vous et le bruit du coup de feu se fit entendre. Tu sang qui n’était pas votre tomba sur vous. Les yeux terrifier vous la voyer tomber au sol, respirant avec misère. Vous avez les larmes aux yeux, une grande tristesse vous envahis. Vous sentez à se moment la vie vous lâcher, que le monde n’as plus d’importance, sauf elle. L’homme la regard, aussi surprit que vous, il crie de colère, puis vous regarde, il lâche son arme au sol, de la colère de la haine, voila ce qu’il a dans les yeux. Il sort son couteau de son étui et ne veux que vous étriper, semblant vous accusez. De l’acte commit.
Il s’approche de vous, mais vous reculer avec une main, l’autre restant sur votre estomac. Puis vous n’avez plus de place a aller, seul le vide est derrière vous. Il se penche sur vous, juste pour que vous le voyer vous tuer, il lève l’arme, par réflexe vous lever le genou, ce qui le pousse. Vous entendez qu’un crie, puis plus rien. Vous vous approcher d’elle, elle respire faiblement. Vous vous étendez contre elle. Vous vous regarder avec des yeux fatiguer, puis vous vous dite une dernière fois « Je t’aime Saby….». Puis coller près d’une chute, coller sur l’être aimer, vous sentez la vie vous quitter, mais au moins votre cœur est apaisé.
Post by Angélia Miriah, ind - June 27, 2006 at 8:35 PM
Aah! j'adooore trop ton histoire! moi une grande sentimentale, j'ai les larmes aux yeux! ton histoire au présent me touche trooop! Tout est décrit, tout est montrer celon la vie dans le vieux temps, une fille promise, un amour interdit une fin tragique mais combler par l'amour AAH J'adore! Mes yeux se sont régaler! mes joues se sont humidifier et mes doigts t'écrivent "J'EN VEUX ENCORE"!! 
Post by Nalima Solune, UDG - June 27, 2006 at 9:05 PM
Content que mon histoire te plaise autend, pour une histoire écrite en 1:30. Je vais en écrire d'autre d'ont tu pourra aussi les aimer autend que elle.
Ha oui c'est la premiere histoire que j'écrit au présent^^