[Projet] Centre de Réhabilitation pour animaux

[Projet] Centre de Réhabilitation pour animaux

Post by Samael Sengir, AD - June 11, 2010 at 3:35 PM

Astria avait envoyée un rapport par l'entremise de la banquière de la guilde, un rapport parlant d'animaux, d'ectard et de maltraitance pour Garibald. Les guides, les frères et sœurs en reçurent un aussi. Quand aux néophytes, ils allaient surement en entendre parler un peu plus tard. Mais voyez plutôt...

Mes amis,
En ces jours de noirceur, les démons, les morts-vivants, ne sont pas nos seuls problèmes auquel nous faisons face, et ce depuis un moment déjà. Nous avons comme mandat de protégé l'île et son l'équilibre, mais quand est-il de l'interne de la cité? Ce projet aura pour but de vous apporter mes pensés à ce sujet, en espérant convaincre le collègue de l'importance de ce projet. J'espère que vous serez d'accord avec moi et que nous pourrons le plus vite possible le mettre en oeuvre, avec vottre permission.

J'attend vos commentaires, votre soutien ou votre refus.

Astria Polymaro
Soeur de la Fraternité et directrice de l'hôpital vétérinaire

Le cendre de réhabilitation des animaux
Une deuxième chance

Les victimes silencieuses

Chaque jour, semaine, mois, années, il nous est rapporter des cas de maltraitance aux animaux, que ce soit des chats, chiens, mais surtout les chevaux. Ces maîtres indignent, sans aucune pitié, battent ou tuent leur compagnons qui n'ont jamais rien demandés, que d'être aimés. L'homme à ce pouvoir sur eux, comme il a le pouvoir sur les objets. Ces gens là ne comprennent pas que les animaux, bien qu'à quatre patte, obéissant, on des sentiments et des droits. Un chien n'est pas stupide parce qu'il aime, protège ou obéis à son maître. Ce n'est pas parce qu'il n'est pas douer de parole qu'il ne ressent rien ou ne pense rien. Ces maîtres qui les maltraites la plus part du temps en font des esclaves, des êtres qu'on remplace quand il achève, c'est vrai les chiens comme les chevaux sont des animaux très fertile qui produise beaucoup de progéniture dans leurs vie, à raison de 1 à 10 petits selon l'espèce. Mais est-ce une raison pour en faire de la chaire à canon? Non certainement pas!

Chaque jour, semaine, mois, années, sont retrouver errant en ville entre 2 et 10 chevaux abandonnés. Ces bêtes, oublier, mal nourris erre en ville, cherchant désespérément à se nourrir. Plusieurs de ces échidnés trouve nourriture dans les plat-de-bandes des gens, dans les jardins publiques et dévaste les fleurs, les pouces et les jeunes plants de légumes ou de fruits. Ils errent ainsi 3, peut-être 4 jours, pour finalement mourir de faim dans les rues, incapable de se nourrir convenablement. Mourir dans la faim et la faiblesse, aucun humain ne le veux, alors pourquoi les chevaux devraient-ils finir leur vie de cette odieuse façon? La réponse à cette question est bien sûr différente, de par la pensé de chaque personne. «Ce ne sont que des bêtes voyons, rien de grave.» «Au plus pire des cas ces bêtes irons chez le boucher nourrir les moins fortunés.» A cela je dirais simplement «Qui sommes-nous vraiment pour avoir le droit de vie ou de mort? Sommes-nous des dieux? De quel droit pouvons-nous de mettre au monde un être, de le conditionner toute sa vie à devenir un esclave et le laisser honteusement mourir comme un déchet 10, 20 ou 30 ans après avoir souffert?»

Nos lois actuellement ne protège qu'en partit la faune sauvage et citadine. Elle n'est pas dans tout les foyers et nous ne sommes pas non-plus partout constamment. La Fraternité fait déjà tout son possible pour que ces cas de maltraitance soit réduit et finalement enrayer, mais est-ce suffisant? Mon projet consistera à arracher ces bêtes aux griffes de leurs bourreaux et de leur offrir une seconde chance, c'est-à-dire «la liberté».

Le centre

Le centre de réhabilitation aura pour but d'y amener les animaux trouver en ville, habituer aux hommes, et de les mettre dans un cadre semi-sauvage puis sauvage. Nous pourrons grâce à ce centre, déshumanisé ces bêtes pour repeuplé les forêts, reformer l'équilibre et ainsi rendre la ville plus jolie, tout le monde y gagnera. C'est un grand cercle infini. Le centre sera donc divisé en 4 sections. La section semi-sauvage sera composer d'une grande pleine avec petits abris naturel. Ils serons encore nourris mais une stimulation sera faite afin que l'animal est l'impression d'avoir trouver par lui-même le foin ou la viande. La présence humaine seras le plus possible caché, pour qu'ils s'habitue peu à peu à êtres seul ou avec leurs congénères si on parle d'animaux ne nature social et hiérarchisé comme le loup et le cheval. Et ensuite quand les examens serons concluant, et qu'ils semblerons un peu plus sauvage et farouche, sans brusquer nous les ferons passer à la section sauvage qui sera pour sa part moitié plaine moitié forêt ou la présence humaine sera totalement cacher mais où ils aurons encore un peu de nourriture sans toutefois savoir de qui sa vient.

Une fois ces bêtes bien sauvage, nous ouvrirons la barrière et les laisserons partir à la recherche de leur vrai eux-même. Bien sûr certain serons peut-être moins rapide que d'autre, ce n'est pas un problème en soit puisse que l'importance est d'y aller a son rythme, c'est aussi vrai pour eux.

Le centre sera en 4 parties, nous ne mélangerons pas prédateur et proie pour éviter qu'ils ne s'habitue et se laisse avoir une fois sauvage. C'est importent que le cheval est peur du loup et que le loup est envi de le manger. Tout deux aurons donc leurs secteur semi-sauvage et sauvage jusqu'à ce qu'ils soit en mesure de prendre leur propre chemin. Je laisse à votre disposition de petit croquis pour imagé l'idée.

Les coûts

Il va s'en dire que ce projet semble très dispendieux aux premiers abord surtout si on dit qu'il faudra quelque hectare à couvrir en clôture. Mais ce projet se remboursera de lui-même dans le temps, moralement. À court terme, ce sera surtout la ville qui verra les changements apporter. Nous ne retrouverons plus aucun cadavre de cheval, les plats-de-bandes serons intacte et belle, aucun potager maison en souffrira. Mais à long terme, c'est là que vient l'importance d'un projet comme celui-ci. À long terme c'est dans nos forêts que la différence se verra et c'est l'un des buts du centre.

Plus techniquement, les coûts d'une construction pareille son impossible à évaluer pour le moment mais fixons-nous le montent de départ à 200 000 écus. Mettre sur place une grande quantité de clôture coûtera sans doute chère ainsi que l'installation du centre à proprement parler (voir le croquis). Si jamais les coûts dépassait le montant fixer, une possible recherche de don chez la communauté pourra être envisager mais pour le moment, ce ne sont que des chiffres sans réel pouvoir et des discussion à l'interne de la Fraternité sera à faire.

Les terres appartenant à l'Empire et à sa Majesté Cybelle Première, le centre sera donc conjointement projet entre la Fraternité et l'Empire puisse que nous susciterons peut-être son aide pour la construction de l'installation advenait le manque d'or du à une facture trop élever. Nous supposons que nous devrons faire appelle à l'Association, par conséquent faire affaire avec leurs charpentiers et leurs honoraires.

L'accès

Le centre sera construit sur un territoire inhabité de toute faune possible. Nous ne voulons pas chasser les animaux déjà présent c'est pourquoi le centre devra être construit sur le territoire suivant:

Cette partie est très éloigné de l'homme et donc difficile à joindre à pied. Nous ferons donc appelle aux pourpres afin qu'un portail permanent y soit poster comme pour l'île des réactifs. Inutile de dire que l'accès aux gens y sera formellement interdit sauf pour le personnel du centre. Nous voulons donner le plus de chance possible aux animaux et la présence de personne non-autoriser pourrait compromettre tout le schéma de réhabilitation. Seul des rôdeurs d'expérience faisant partit de la meute sous la direction de l'Alfa serons autoriser à veiller à la sécurité des lieux car ils savent se cacher et disparaître aux yeux, nez et oreilles des bêtes tout en prévenant de possible attaque extérieurs ou intérieur.

La gestion du centre

À la Fraternité reviendra la gestion du centre tout comme elle gère sa guilde, c'est-à-dire «tout le monde» mais avec comme gérante principale moi-même, Astria Polymaro car c'est mon projet, conjointement avec l'hôpital vétérinaire et son personnel. Tout dresseur de la Fraternité aura le droit d'y introduire ou d'y enlever un animal de la section semi-sauvage s'il juge que sa place est ailleurs. Nous ferons confiance et nous savons que ces dresseurs sont sage et réfléchie.

L'Empire aura un droit de regard sur le centre et ses effectifs puisse que les terres lui appartienne. Des visites serons possible à la Surintendance ou à ses ministres s'il en juge l'importance mais comme je disais plus haut, il faudra éviter le secteur sauvage pour les raisons mentionner plus haut. Des rapports seront accessible aux deux parties, ce qui permettra de tenir à jour les dossier dans chaque institue. Ses Majestés sont en droit de savoir ce qui se passe sur leurs terres et nous ne dérogerons point à cette règle.

Si le collègue est d'accord, un contrat pourra être fait si désirer entres les guildes. Ce projet n'est pas uniquement pour moi ou la Fraternité mais aussi pour toute la ville. Il est importent de prendre soin de la faune, la nature finira un jour ou l'autre par nous le rendre. Cette harmonie est possible et c'est notre travail en tant qu'élus des dieux de prouver que nous méritons cette tâche, pour un avenir meilleur autant pour nous que pour la faune.

Une note fut ajouter au dossier…

Mes amis,

Si vous doutez un peu encore de l’intérêt de ce projet, dites vous que je ne retrouves pas que des chevaux errant en ville, mais aussi des loups, cerfs et ours. Il m’ai déjà arriver de venir chercher une biche au quartier de l’Ordre qui avait semer le chaos dans leur temple. La petite fut nourris par des enfants et des passants. Elle n’avait plus peur. Je n’ose pas imaginer un chasseur voyant une si belle bête à sa porter, elle ne s’en aurait jamais méfier. C’est la même chose pour les loups, j’en retrouve souvent au quartier pourpre, errant ci et là. J’ai même vu un grizzli une fois proche du quartier de l’ordre, et c’est sans parler des nombreux autre bêtes qui se perdent ou se font oublier un peu partout. Ce projet est là pour ça. Il est là pour que personne ne soit blessé par une bêtes effrayée.

Astria


Post by Astria, AD - January 27, 2011 at 2:51 AM

Astria, par un beau matin, posa sur le bureau du Grand Chef une nouvelle version de son projet du centre de réhabilitation. Corriger de son mieux et mis à jour, il ne manquait que les meilleurs en orthographe brégunien passe par-là, et les accords des autres guides.

En ces temps de noirceur, les démons et les morts-vivants ne sont pas les seuls problèmes auquel nous devons faire face chaque jour. Nous avons, en tant que race intelligente, une responsabilité morale envers l'île et son l'équilibre. Cependant, quand est-il de l'interne de la cité?

Le Centre de réhabilitation des animaux
Une deuxième chance

Les victimes silencieuses
Chaque jour, semaine, mois, années, il nous est rapporté des cas de maltraitance aux animaux, que ce soit des chats, chiens, des moutons et chevaux. Ces maîtres indignent, sans aucune pitié, battent ou tuent leurs compagnons qui n'ont jamais rien demandé autre qu’être aimé. Les humains ont ce pouvoir sur eux, comme il a le pouvoir sur ses objets. Ces gens là ne comprennent pas que les animaux, bien qu'à quatre pattes, docile et obéissant, on des sentiments et des droits. Un chien n'est pas stupide parce qu'il aime, protège ou obéis à son maître. Ce n'est pas parce qu'il n'est pas douer de parole qu'il ne ressent rien ou ne pense rien. Ces maîtres qui les maltraitent la plus part du temps en font des esclaves, des êtres qu'on remplace quand il achève, c'est vrai les chiens comme les chevaux sont des animaux très fertiles qui produisent beaucoup de petit dans leur vie, à raison de 1 à 10 petits selon l'espèce, par an. Mais est-ce une raison pour en faire de la chaire à canon? Non certainement pas!

Chaque jour, semaine, mois, années, sont retrouver errant en ville entre 2 et 10 chevaux abandonnés. Ces bêtes, oublier, mal nourris erre en ville, cherchant désespérément à se nourrir. Plusieurs de ces échidnés trouve nourriture dans les plat-de-bandes des gens, dans les jardins publiques et dévaste les fleurs, les pouces et les jeunes plants de légumes ou de fruits. Ils errent ainsi 3, peut-être 4 jours, pour finalement mourir de faim dans les rues, incapable de se nourrir convenablement. Mourir dans la faim et la faiblesse, aucun humain ne le veux, alors pourquoi les chevaux devraient-ils finir leur vie de cette odieuse façon? La réponse à cette question est bien sûr différente, de par la pensé de chaque personne. «Ce ne sont que des bêtes voyons, rien de grave.» «Au plus pire des cas ces bêtes irons chez le boucher nourrir les moins fortunés.» A cela je dirais simplement «Qui sommes-nous vraiment pour avoir le droit de vie ou de mort? Sommes-nous des dieux? De quel droit pouvons-nous de mettre au monde un être, de le conditionner toute sa vie à devenir un esclave et le laisser honteusement mourir comme un déchet 10, 20 ou 30 ans après avoir souffert?»

Nos lois actuellement ne protègent qu'en partit la faune sauvage et citadine. Elle n'est pas dans tous les foyers et nous ne sommes pas non-plus partout constamment. L’Assemblée fait déjà tout son possible pour que ces cas de maltraitance soit réduit et finalement enrayer, mais est-ce suffisant? Mon projet consistera à arracher ces bêtes aux griffes de leurs bourreaux et de leur offrir une seconde chance, c'est-à-dire «la liberté».

Le centre
Le centre de réhabilitation aura pour but d'y amener les animaux trouver en ville, habituer aux hommes, et de les mettre dans un cadre semi-sauvage puis sauvage. Nous pourrons grâce à ce centre, déshumanisé ces bêtes pour repeuplé les forêts, reformer l'équilibre et ainsi rendre la ville plus jolie, tout le monde y gagnera. C'est un grand cercle infini. Le centre sera donc divisé en 4 sections. La section semi-sauvage sera composer d'une grande pleine avec petits abris naturels. Ils seront encore nourris mais une stimulation sera faite afin que l'animal est l'impression d'avoir trouver par lui-même le foin ou la viande. La présence humaine sera le plus possible caché, pour qu'ils s'habituent peu à peu à êtres seuls ou avec leurs congénères si on parle d'animaux ne nature sociale et hiérarchisée comme le loup et le cheval. Et ensuite quand les examens seront concluants, et qu'ils sembleront un peu plus sauvage et farouche, sans brusquer nous les ferons passer à la section sauvage qui sera pour sa part moitié plaine moitié forêt ou la présence humaine sera totalement cacher mais où ils auront encore un peu de nourriture sans toutefois savoir de qui sa vient.

Une fois ces bêtes bien sauvages, nous ouvrirons la barrière et les laisserons partir à la recherche de leur vrai eux-même. Bien sûr certain serons peut-être moins rapide que d'autre, ce n'est pas un problème en soit puisse que l'importance est d'y aller à son rythme, c'est aussi vrai pour eux que pour nous dans la vie en général.

Le centre sera en 4 parties, nous ne mélangerons pas prédateur et proie pour éviter qu'ils ne s'habituent et se laissent avoir une fois sauvage. C'est importent que le cheval est peur du loup et que le loup est envi de le manger. Tout deux aurons donc leur secteur semi-sauvage et sauvage jusqu'à ce qu'ils soient en mesure de prendre leur propre chemin. Je laisse à votre disposition de petit croquis pour imagé l'idée.

Les coûts
Il va s'en dire que ce projet semble très dispendieux aux premiers abord surtout si on dit qu'il faudra quelque hectare à couvrir en clôture. Mais ce projet se remboursera de lui-même dans le temps, moralement. À court terme, ce sera surtout la ville qui verra les changements apporter. Nous ne retrouverons plus aucun cadavre de cheval, les plates-bandes serons intacte et belle, aucun potager maison en souffrira. Mais à long terme, c'est là que vient l'importance d'un projet comme celui-ci. À long terme c'est dans nos forêts que la différence se verra et c'est l'un des buts du centre.

Plus techniquement, les coûts d'une construction pareille son impossible à évaluer pour le moment mais fixons-nous le montent de départ à 100 000 écus. Mettre sur place une grande quantité de clôture coûtera sans doute chère ainsi que l'installation du centre à proprement parler (voir le croquis). Si jamais les coûts dépassaient le montant fixer, une possible recherche de don chez la communauté pourra être envisager mais pour le moment, ce ne sont que des chiffres sans réel pouvoir d’autant que nous avons le bois nécessaire à sa construction. Les terres visées appartiennent à l'Empire et à Sa Majesté l'Impératrice Isaleïa Ière, par conséquent nous ne ferons rien sans son accord.

L'accès
Le centre sera construit sur un territoire inhabité de toute faune possible. Nous ne voulons pas chasser les animaux déjà présents c'est pourquoi le centre devra être construit sur le territoire suivant:

Cette partie est très éloignée de l'homme et donc difficile à joindre à pied. Nous ferons donc appelle aux pourpres afin qu'un portail permanent y soit poster comme pour l'île des réactifs ou la mine de diamant. Inutile de dire que l'accès aux gens y sera formellement interdit sauf pour le personnel du centre. Nous voulons donner le plus de chance possible aux animaux et la présence de personne non-autorisée pourrait compromettre tout le schéma de réhabilitation. Seul des rôdeurs d'expérience faisant partit de la guilde seront autorisés à veiller à la sécurité des lieux car ils savent se cacher et disparaître aux yeux, nez et oreilles des bêtes tout en prévenant de possible attaque extérieurs.

La gestion du centre
À l’Assemblée reviendra la gestion du centre tout comme elle gère l’hôpital vétérinaire en son sein, c'est-à-dire qu’il sera gérer par Astria Polymaro et le personnel de l'hôpital vétérinaire. Tout les vétérinaires auront le droit d'y introduire ou d'y enlever un animal de la section semi-sauvage s'il juge que sa place est ailleurs, après un examen strict. Nous nous ferons confiance et nous savons que ces dresseurs sont sage et réfléchis.

L'Empire aura un droit de regard sur le centre et ses activités puisse que les terres où sera situer le centre lui appartient. Des visites seront possibles à la Surintendance ou à ses ministres s'il en juge l'importance mais comme je disais plus haut, il faudra éviter le secteur sauvage pour les raisons mentionner plus haut. Des rapports seront accessibles aux deux parties, ce qui permettra de tenir à jour les dossiers dans chaque institution. Ses Majestés sont en droit de savoir ce qui se passe sur leurs terres et nous ne dérogerons point à cette règle.

Si les émissaires sont d'accord, un contrat pourra être fait si désirer entres les guildes. Ce projet n'est pas uniquement pour nous, membres de l’hôpital vétérinaire mais aussi pour toute la ville. Il est importent de prendre soin de la faune, la nature finira un jour ou l'autre par nous le rendre. Cette harmonie est possible et c'est notre travail en tant qu'élus des dieux de prouver que nous méritons cette tâche, pour un avenir meilleur autant pour nous que pour la faune.

Astria Polymaro
Directrice de l’Hôpital Vétérinaire de Vael


Post by Axel Aerigson, AdC - February 7, 2011 at 6:19 PM

astria,

Voici la correction de ton projet. J'attend ton feu vert afin de le transmettre au Conseil des Guildes.

Axel

En ces temps de noirceur, les démons et les morts-vivants ne sont pas les seuls problèmes auxquels nous ayons à faire face chaque jour. Nous avons, en tant que race intelligente, une responsabilité morale envers Systéria et son l'équilibre. Cependant, quand est-il de l'interne de la cité?

Le Centre de réhabilitation des animaux
Une deuxième chance

Les victimes silencieuses
Chaque année, on nous rapporte plusieurs cas de maltraitances sur les animaux, que ce soit des chats, des chiens, des moutons ou des chevaux. Ces maîtres indignes, sans aucune pitié, battent ou tuent leurs compagnons qui n'ont jamais rien demandé d'autre que d'être aimé. Les humains ont ce pouvoir sur eux, comme ils ont du pouvoir sur les objets. Ces gens-là ne comprennent pas que les animaux, bien qu'à quatre pattes, dociles et obéissants, ont des sentiments. Un chien n'est pas stupide parce qu'il aime, protège et obéit à son maître. Ce n'est pas parce qu'il n'est pas doué de la parole qu'il ne ressent rien ou ne pense rien. Ces maîtres qui les maltraitent la plus part du temps en font des esclaves, des êtres que l'ont remplacent quand ils n'en voient plus l'utilisé. Les chiens comme les chevaux sont des animaux très fertiles qui produisent beaucoup de petits dans leur vie, à raison de 1 à 10 petits par an, selon l'espèce. Mais est-ce une raison pour en faire de la chair à canon? Non, certainement pas!

Chaque mois, entre 2 et 10 chevaux sont retrouvés errant en ville, mal nourris, ils se servent dans les plats de bandes des gens, dans les jardins publics et dévastent les fleurs, les nouvelles pousses et les jeunes plants de légumes ou de fruits. Ils errent ainsi plusieurs jours avant de mourir de faim, car incapables de trouvés de la nourriture adéquate, ou encore, meurt sous la lame d'individus impatients. Mourir dans la faim et la faiblesse, nous ne l'accepterions pour aucun être humain, alors pourquoi les chevaux devraient-ils finir leur vie de cette odieuse façon? Il y a autant de réponses à cette question que de manière de pensées différentes. « Ce ne sont que des bêtes, pas des humains. » « Au pire des cas, ces bêtes iront chez le boucher nourrir les moins fortunés ». À cela, je dirais simplement « Qui sommes-nous pour avoir le droit de vie ou de mort? Sommes-nous des dieux? De quel droit pouvons-nous mettre au monde un être, de le conditionner toute sa vie à devenir un esclave et le laisser honteusement mourir comme un déchet, dans la souffrance? »

Nos lois actuelles protègent qu'en partie la faune sauvage et citadine. Elle n'est pas dans tous les foyers et nous ne pouvons être partout à la fois. L’Assemblée fait déjà tout son possible pour que ces cas de maltraitance soient réduits et finalement enrayés, mais est-ce suffisant? Mon projet consistera à arracher ces bêtes aux griffes de leurs bourreaux et de leur offrir une seconde chance, c'est-à-dire « la liberté ».

Le centre
Le centre de réhabilitation aura pour but d'y amener les animaux trouver en ville, habituer aux hommes, et de les mettre dans un cadre semi-sauvage puis sauvage. Nous pourrons, grâce à ce centre, déshumanisés ces bêtes pour repeuplé les forêts, reformer l'équilibre et ainsi rendre la ville plus jolie, tout le monde y gagnera. C'est un grand cercle infini.
Le centre sera donc divisé en 4 sections. La partie semi-sauvage sera composée d'une grande plaine avec petits abris naturels. Ils seront encore nourris, mais une stimulation sera faite afin que l'animal ait l'impression d'avoir trouvé par lui-même le fourrage ou la viande. La présence humaine sera le plus possible cachée, pour qu'ils s'habituent peu à peu à être seuls ou avec leurs congénères, s'il est question d'animaux de natures sociales et hiérarchisées comme le loup et le cheval. Ensuite, une fois les examens concluants, et qu'ils sembleront un peu plus sauvages et farouche, sans brusquer nous les ferons passer à la section sauvage qui sera pour sa part moitié plaine moitié forêt ou la présence humaine sera totalement caché, mais où ils auront encore un peu de nourriture sans toutefois savoir de qui ça vient.

Une fois que ces bêtes auront repris leurs instincts sauvages, nous ouvrirons la barrière et les laisserons partir à la recherche de leur vrai eux-mêmes. Bien sûr, certains seront moins rapides que d'autres, mais ce n'est pas un problème en soi, puisque l'important est d'y aller à son rythme. C'est aussi vrai pour eux que pour nous dans la vie en général.

Le centre sera en 4 parties, nous ne mélangerons pas les prédateurs et les proies, pour éviter qu'ils ne s'habituent et se laissent avoir une fois à l'état sauvage. C'est important que le cheval soit effrayé par le loup et que le loup ait envie de le manger. Tous deux auront donc leur secteur semi-sauvage et sauvage jusqu'à ce qu'ils soient en mesure de prendre leur propre chemin. Je laisse à votre disposition un petit croquis pour imager l'idée.

Les coûts
Il va sans dire que ce projet semble très dispendieux aux premiers abords, surtout si l'on dit qu'il faudra quelques hectares à couvrir en clôture. Mais ce projet se remboursera de lui-même dans le temps, moralement. À court terme, ce sera surtout la ville qui verra les bienfaits du changement. Nous ne retrouverons plus aucun cadavre de cheval, les plates-bandes seront intactes et belles, aucun potager de maison n’en souffrira. Mais à long terme, c'est là que vient l'importance d'un projet comme celui-ci. À long terme c'est dans nos forêts que la différence se verra et c'est l'un des buts du centre.

Plus techniquement, les coûts d'une telle construction sont impossibles à évaluer pour le moment, mais nous fixons un montant de base de 100 000 écus. Mettre sur place un grand espace clôturé sera sans doute dispendieux, ainsi que l'installation du centre à proprement parler (voir le croquis). Si jamais les coûts dépassaient le montant envisagé, une recherche de don sera effectuée dans la communauté. Les coûts de base sont évalués en prenant compte que l'Assemblé possède déjà le bois nécessaire à la construction. Les terres visées appartiennent à l'Empire et à Sa Majesté l'Impératrice Isaleïa Ière, par conséquent nous ne ferons rien sans son accord.

L'accès
Le centre sera construit sur un territoire inhabité de toute faune possible. Nous ne voulons pas chasser les animaux déjà présents c'est pourquoi le centre devra être construit sur le territoire suivant:

Cette partie est très éloignée de l'homme et donc difficile à joindre à pied. Nous ferons donc appelle aux pourpres afin qu'un portail permanent y soit posté, comme pour l'île des réactifs ou la mine de diamant. Inutile de dire que l'accès aux gens y sera formellement interdit sauf pour le personnel du centre. Nous voulons donner le plus de chance possible aux animaux et la présence de personnes non autorisées pourrait compromettre tout le schéma de réhabilitation. Seuls des rôdeurs d'expériences faisant partit de la guilde seront autorisés à veiller à la sécurité des lieux, car ils savent se cacher et disparaître aux yeux, nez et oreilles des bêtes tout en prévenant de possibles attaques extérieures.

La gestion du centre
À l’Assemblée reviendra la gestion du centre tout comme elle gère l’hôpital vétérinaire en son sein, c'est-à-dire qu’il sera géré par Astria Polymaro et le personnel de l'hôpital vétérinaire. Tous les vétérinaires auront le droit d'introduire ou d'enlever un animal de la section semi-sauvage, s'il juge que sa place est ailleurs après un examen strict. Nous nous ferons confiance et nous savons que ces dresseurs sont sages et réfléchis.

L'Empire aura un droit de regard sur le centre et ses activités puisque les terres où il sera situé lui appartiennent. Des visites seront possibles aux ministres de Sa Majesté si elle le juge nécessaire, mais comme dit plus haut, il faudra éviter le secteur sauvage pour les raisons déjà mentionnées. Des rapports seront accessibles aux deux parties, ce qui permettra de tenir à jour les dossiers dans chaque institution. Sa Majesté est en droit de savoir ce qui se passe sur leurs terres et nous ne dérogerons point à cette règle.

Si les émissaires sont d'accord, un contrat pourra être fait entre les guildes. Ce projet n'est pas uniquement pour nous, membres de l’hôpital vétérinaire, mais aussi pour toute la ville. Il est important de prendre soin de la faune, la nature finira un jour ou l'autre par nous le rendre. Cette harmonie est possible et c'est notre travail en tant qu'élus des dieux de prouver que nous méritons cette tâche, pour un avenir meilleur autant pour nous que pour la faune.

Astria Polymaro
Directrice de l’Hôpital Vétérinaire de Vael


Post by Astria, AD - February 8, 2011 at 7:53 PM

Axel,

Tu as mon accord. Je te remercie d'avoir pris le temps de le corriger, c'est vraiment apprécié.

Astria