[Dossier] Vente de monture
Post by Axel Aerigson, AdC - January 11, 2012 at 1:52 AM
Ici pourra être consigner toute les personnes qui a fait la demande de monture, et à qui nous en avons vendu. Le type de bête devra également être consigné.
Templier Okum Akfrur EKundil
Cheval Berguenois blanc, mâle
Post by Lamalia Lunavae, AD - January 11, 2012 at 2:16 AM
Jamais, au grand jamais un animal ne devrait être vendue. Nous pouvons les donner, certes, mais elles ne soit pas des objets ou de la marchandise quelconque.
- Lamalia
Post by Axel Aerigson, AdC - January 11, 2012 at 3:29 AM
Au vu des montant que l'on gagne dans la guilde, il devrait être libre à chacun de vendre ou de donné les bêtes qu'il dresse.
Axel
Post by Lamalia Lunavae, AD - January 11, 2012 at 3:36 AM
La missive qui suivit était très sèche.
Vends des fruits et légumes si tu veux, Axel, mais il a toujours été convenu que les animaux n'étaient pas de la marchandise. Nous n'avons jamais accepter que quiconque en vendent, nous n'allons pas commencer à le faire nous-même. Chaque fois qu'on nous pose la question, c'est la même réponse. Tiens toi en à ça.
- Lamalia
Post by Astria, AD - January 12, 2012 at 4:56 AM
Je suis aussi contre la vente d'animaux. Cependant le registre est importent pour savoir où nous en somme. C'est pourquoi les fiches techniques de l'hôpital vétérinaire existes. Vous pouvez les remplir vous aussi.
Astria
Post by Nathan Herlaer, AD - January 12, 2012 at 5:43 AM
Et une note avait été accrochée au babillard de l'Assemblée Druidique, un fantôme refaisait surface, selon certains ouïes dires.
Frères et Soeurs, Membres de notre Grande Famille qu'est l'Assemblée Druidique,
mes plus sincères salutations à tous.
Vous devez vous en douter, puisque mon point de vue n'a jamais changé depuis que j'ai mit les pieds sur l'archipel il y a de cela quelques années déjà, que je ne tolère absolument pas qu'un prix soit étiqueté à un animal pour qu'il puisse se balader de main en main comme un vulgaire objet. Les animaux, autant domestiques (je parle ici des chiens, des chats, et ainsi de suite), de traits (les bovins, les chevaux et les lamas), de fermes (tout ceux considérés comme étant du "bétail" ou qui servent au bon fonctionnement de nos fermes ainsi que celles décorant les environs de la cités) et ceux pouvant être montés ne devraient en aucun cas être vendus.
Jadis, lorsque j'étais un bien plus habile dresseur, j'offrais les animaux gratuitement aux individus sous forme de "contrat" avec différentes clauses :
- Que le propriétaire en question n'ait aucun antécédent fâcheux en matière d'animaux;* Que le propriétaire se charge corps et âme à la bonne hygiène de l'animal;* Que le propriétaire nourrisse l'animal comme il se doit;* Que le propriétaire se renseigne auprès de notre Grand Famille à propos de "son" animal, sous forme de cours théoriques pratiqués par nos Membres;* Qu'aucun mal ne soit fait à l'animal en question;* Que je puisse effectuer un suivit régulier de l'animal et une visite de celui-ci, ce quand JE le souhaiterai;* La signature d'un contrat attestant qu'il suivra à la lettre les clauses ci-haute, en d'autre cas, s'il y avait non-respect des règles, l'animal pouvait lui être retiré selon mon jugement (notre jugement, dans le cas où cette manière d'agir serait utilisé par nos Membres actuellement).
Je gardais ainsi un registre des gens à qui j'avais confié un animal en m'assurant qu'il ne manque de rien et qu'il soit entre de bonnes mains. Je n'ai jamais eu de problème avec personne de cette façon et aucun animal ne fut blessé, sous-alimenté ou victime d'une mauvaise hygiène. Selon moi, un animal vendu à une tierce personne serait plus susceptible d'être blessé ou sous-attentionné que l'animal donné à son propriétaire, puisque je considère que la personne achetant l'animal le qualifiera beaucoup plus "d'objet" que d'animal en somme, qu'il sera donc facilement remplaçable et, c'est à partir de cet instant, que des problèmes pourraient survenir.
Et Axel, de la façon dont je lis ta précédente note, je suppose que tu trouves nos salaires bien peu élevés. J'aimerais donc dire que d'utiliser la vente d'animaux pour rehausser celui-ci relève d'un égoïsme profond, de mon unique point de vue. Nos salaires ne sont peut-être pas les plus élevés, mais dois-je rappeler que les Membres dépassant le rang de "Néophyte" se voient attribuer une demeure au sein même de notre Quartier? Nos salaire ne sont peut-être pas élevés, mais ils sont bien loin d'être misérable.
Laissez les prix étiquetés aux objets, aux armes, aux armures, aux meubles mais, par pitié, n'allez pas apposer un prix sur un animal.
C'était ma propre vision de ce sujet, mes Frères et Soeurs. Prenez soin de vous et puisse la Trinité veiller sur chacun de vous comme elle veille sur moi.
Nathan Herlaer,
Druide de la Préservation
Post by Garibald Adalard, Ad - January 12, 2012 at 9:09 AM
Frères, Sœurs,
Je ne peu qu'appuyer cette motion, qu'est de ne pas vendre les animaux. Nathan apporte une belle vision des choses. Mon vote va en se sens.
Que la Trinité veille sur vous tous,
Garibald Adalard
Post by Nìmora Eldanyàrë, AD - January 12, 2012 at 10:26 AM
Frères, Soeurs,
Mon avis rejoint celui de Nathan, Garibald, Astria et Lamalia. Il est hors de question que nous commencions à vendre des animaux.
Axel, tu es la Grande Diplomate. Il est de ta responsabilité de créer un dossier indiquant que nous sommes la guilde représentante de l'un des principaux cultes de Systéria, au même titre que l'Ordre du Soleil, que nos rôdeurs, druides et pisteurs sont en mesure de se défendre - comme lors de la traque de Bélial - afin d'obtenir notre droit de protection, comme l'Armée des Mercenaires, et ainsi demander une hausse des revenus de notre guilde à la Couronne.
Avec une meilleure subvention, nos salaires seraient meilleurs.
Comme ce sujet ne semble toujours pas avoir été abordé, je prendrai sur moi de monter un dossier à présenter à la Couronne.
Nìmora
Post by Élé Grand'pré, Ad - January 13, 2012 at 11:52 AM
Maintenant que Axel a lâchement quitter notre guilde sans raison apparente il va sans dire que nous appliquerons le Système de Nathan, grand penseur de notre guilde. Je suggère a tous es dresseur de prendre connaissance de sont questionnaire ainsi que de sont dossier qu'il a ouvert qui fera maintenant office de standard.
J'appellerais d’ailleurs monsieur Nathan pour recevoir sa prime de 1000 écus que je verse de ma poche pour avoir mener a terme le questionnaire sur la prise de possessions de monture. Je tien a souligner qu'il obtient un diminutions de prime de 750 pièce pour cause de titre stupide.
CONTRAT DE DROIT D'OBTENTION D'ANIMAL DANS LE
BUT D'EN FAIRE UN NOUVEL AMI
Et un titre de contrat qui nous fait passer pour des idiot veillez le modifier pour obtenir le restent des écus promis...
Élé
Une missive fut mis a la vue de tous.
Post by Nathan Herlaer, AD - January 13, 2012 at 9:04 PM
Une note suivait celle du petit homme.
Élé, mon grand ami,
mes plus sincères salutations.
Je te remercie pour les 250 écus que tu me donnes si gracieusement (oui, 250 écus parce que je ne changerai pas le titre de mon contrat), ton compliment me touche énormément. Le nom de ce contrat n'est pas dans le but de nous faire passer pour des idiots, loin de là, mais plutôt pour conscientiser le nouveau "propriétaire, question de lui montrer qu'il ne fait pas "l'acquisition" seulement d'un animal, mais qu'il deviendra un véritable compagnon et un véritable ami au fil de ses innombrables périples et travaux difficiles. Qu'ils seront tout les deux capables de s'aider mutuellement.
Prends soins de toi mon ami,
que la Trinité veille sur toi comme elle veille sur moi.
Nathan Herlaer,
Druide de la Préservation
Post by Élé Grand'pré, Ad - January 13, 2012 at 9:35 PM
Nathan,
Qu'il en soit ainsi. ton projets ton titre de contrat. 250 écus se n'est pas rien tu pourra te payer une épée longue en Erunox sans problème. Ou autre chose qu'il te plaira...
Que les dieu veille sur toi et ta maisonnée,
Élé
Post by Nathan Herlaer, AD - January 23, 2012 at 4:15 AM
Mes Frères et Soeurs,
mes plus sincères salutations.
J'ai pu, aujourd'hui, discuter avec Cyriel Selaquii au sujet de la vente de monture. Elle disait que, puisque la vente est prohibée, les éleveurs et les fermiers perdent une somme d'argent astronomique. Elle désire que nous réglions ceci. J'ai en ma possession une missive qu'elle a envoyée à la Couronne à ce sujet; elle m'a envoyée une copie pour que je puisse vous la montrer et que nous en discutions.
Que la Trinité veille sur vous comme elle veille sur moi.
Nathan Herlaer,
Druide de la Préservation
Tel que mentionné, voici le document soumis au tribunal en sa forme originale. Maintenant que la portée des articles 15 et 16 est clarifiée, j'aimerais consulter l'Assemblée afin de savoir quelles perspectives pourraient s'offrir aux éleveurs.
Cordialement,
Mademoiselle Cyriel S. Selaquii.
Juge Vespari, Juge Shaytan, Monsieur le Surintendant Bolton
Je vous sollicite afin d’obtenir une clarification d’ordre juridique quant à l’interprétation d’un article, suite à des questions qui ont été posées à l’interne de l’Association. Nous soumettrons ce document, en premier lieu, au regard des juristes et de la fonction publique impériale, instances neutres qui pourront trancher sur la question.
Nous désirons connaitre la réelle teneur et les limites de l’Article 15 du nouveau codex, ainsi que la définition claire de la notion de « gestion des ressources naturelles ». L’article 16 circonscrit-il la responsabilité de l’Assemblée, et pose-t-il de lui-même les limites à l’article 15?
Nous désirons également connaitre la marge de manœuvre que possèderaient les éleveurs qui, s’ils sont soumis à de potentielles inspections de la part de l’Assemblée, n’y sont pas tous inféodés. Le commerce des bêtes étant prohibé, et la maltraitance des bêtes en notre possession (notion dans laquelle peut s’insérer l’action de tuer un animal afin de transformer sa dépouille en viande, ou ressources comme des plumes, des peaux, ou des os, qui sont destinés à la transformation en biens alimentaires ou d’usage courant), sanctionnée, la marge de manœuvre des fermiers et éleveurs se trouve restreinte. L’imposition d’un tabou sur ce genre de commerce pénalise en premier lieu les exploitants de fermes et élevages et restreint l’activité des systériens désireux de se tourner vers l’agriculture.
Nous désirons donc savoir si le commerce animalier de bêtes d’élevage, au sens des juristes systériens et de l’autorité impériale, peut s’avérer réalisable si elle ne contrevient pas à l’article 16 du codex, et donc n’est pas un frein à l’équilibre. Les animaux d’élevage n’étant pas retirés d’un milieu naturel, leur commerce ne met ni en danger l’environnement, ni la survie de leur espèce.
Par ailleurs, comme certains de nos membres s’en sont inquiétés, les bêtes de ferme ne prendraient une valeur qu’une fois mortes, puisque l’Assemblée a indiqué une valeur marchande à la viande, aux plumes, aux peaux, et aux os, et non aux bêtes de ferme elles-mêmes. Cette politique prohibant l’attribution d’une valeur marchande pourrait donc inciter les éleveurs à se montrer peu soucieux de l’état de leurs animaux, facilement remplaçables si obtenus gratuitement, et impossibles à revendre.
L’Assemblée ne tient pas davantage compte des dépenses encourues par les éleveurs afin de nourrir leurs bêtes. Leur cession gratuite fait donc en sorte que tous les éleveurs, qu’ils entretiendraient des poulets, vaches, bœufs, chevaux ou moutons risqueraient de vendre à perte. Le tout risque donc de décourager les éleveurs, et à les inciter à abandonner leurs activités, provoquant un chamboulement dans l’agriculture systérienne, dans l’économie systérienne, et même dans l’alimentation systérienne.
Alors qu’aucune règle claire ne circonscrivait le commerce des bêtes, les éleveurs parvenaient encore à demeurer à flots. Mais depuis la clarification de l’Assemblée sur le commerce des bêtes, leur statut se précarise. La décision de l’Assemblée omet visiblement la condition paysanne, qui diffère de la condition citadine, qui dépend des exploitations paysannes des environs des enceintes et de l'Assemblée, et de celle des druides, rôdeurs et chasseurs de l’Assemblée, dont les tendances alimentaires varient selon leurs coutumes et croyances et qui disposent d'une autonomie alimentaire et économique.
L’Association cherche également à savoir quelles portes peuvent être ouvertes pour un exploitant d’élevage pratiquant son métier non par simple amour de la nature et de son prochain, mais également qui aspire à assurer sa propre subsistance. Nous aimerions proposer, au nom de ces éleveurs, un système de dons permettant de compenser les dépenses de l’élevage de sa bête, ainsi que lui permettre une légère marge de profit nécessaire à assurer sa subsistance.
L’Association s'inquiète du potentiel abandon des élevages systériens, dont les actuelles ventes fournissent les ressources de base nécessaires au commerce de bouche, et à la fabrication de certains biens manufacturés. Afin de conserver une certaine stabilité économique et fournir l'assurance du maintien de leur statut aux éleveurs indépendants ou d'obédiences variées, nous aimerions que le tribunal, et la fonction publique systérienne, instances neutres, se penchent sur la question.
Nous demeurons donc en attente d'avis sur la question.
Mademoiselle Cyriel S. Selaquii.
Post by Nìmora Eldanyàrë, AD - January 23, 2012 at 4:21 AM
Une première note arriva entre les mains de Nathan, et de Nathan seul.
Nathan,
Demoiselle Selaquii est-elle réellement sotte ou est-ce plutôt de la mauvaise volonté à l'état pur? Je tâcherai de retrouver le calme à mon esprit avant de me prononcer sur sa lettre. Lettre qu'elle n'a pas jugé bon de nous envoyer en premier lieu.
Nìmora
Post by Nathan Herlaer, AD - January 25, 2012 at 12:06 AM
Mes Frères et Soeurs,
mes plus sincères salutations.
Tout d'abord, en ce qui à trait à la discussion que j'ai eu avec Cyriel Selaquii, elle reproche à l'Assemblée Druidique que, en donnant les animaux gratuitement et en prohibant la vente de ceux-ci :
- Les éleveurs et les fermiers perdent énormément de revenus, puisqu'ils doivent acheter la nourriture pour nourrir leurs animaux, sans pouvoir les revendre ensuite;* Les éleveurs et les fermiers ne font pas assez de revenus en vendant les matières premières (viande, peaux, os) pour couvrir les frais de la nourriture;
Je lui ai expliqué que, même si les éleveurs ne vendent pas leurs animaux, ils ont tout de même du revenus avec la vente de matières premières, qui n'est pas prohibée par l'Assemblée Druidique puisque nous avons tous besoin de nous nourrir et de nous vêtir. Prohiber la vente de matières premières seraient nous tirer dans le pieds, c'est pourquoi seule la maltraitance envers les animaux (les frapper, manque d'attention, malnutrition) sont punis par notre Grande Famille. Je lui ai tout de même spécifié que, si les éleveurs et les fermiers ne peuvent couvrir adéquatement les coûts de la nourriture, l'Assemblée Druidique pourrait se charger de donner, gratuitement, et seulement aux fermiers et éleveurs de Systéria (soit ceux possédant une ferme d'élevage), la nourriture dont ils ont besoin.
Bien entendu, Cyriel Selaquii a relevé un second problème. De cette manière :
-
Les agriculteurs perdraient énormément de revenus;* L'agriculture se ferait plus rare si les fruits et les légumes sont donnés;
J'ai donc dans l'idée, de mettre un rabais sur la vente de fruits, de légumes et de toutes nourritures pour les animaux d'élevages et ce seulement aux fermiers et aux éleveurs de Systéria. Pas à un citoyen se disant "éleveur" parce qu'il sait dresser un cheval, un chien ou un chat, mais bien ceux possédant une ferme ou des terres. De cette manière : -
Les coûts pour l'élevage des animaux en lien avec la nourriture seraient beaucoup plus moindres;* Les agriculteurs pourraient encore avoir un revenu stable;* Les éleveurs et les fermiers pourraient encore avoir un revenu stable avec la vente de matières premières;
Notez-bien, aussi, que la majeure partie de ceux pratiquant l'élevage et l'agriculture sont des Membres de l'Assemblée Druidique, donc un salaire en conséquence pour le travail qu'ils font au sein de notre institution : je vois mal un fermier se diriger vers l'Ordre du Soleil, l'Armée des Mercenaires ou la Confrérie Pourpre. Ils pourraient être tentés de se diriger vers l'Association des Commerçants, mais ils n'ont aucun droit de regard sur la Faune et la Flore systérienne. Je suppose donc que Cyriel Selaquii désire simplement que l'Association des Commerçants puisse avoir un peu plus de revenus dans les poches en empiétant sur le commerce des animaux (chose que je ne tolèrerai aucunement). Et, de ce que je sache, la vente d'animaux fut toujours prohibée, par le passé comme présentement.
Selon moi, le rabais sur la nourriture serait un bon partie pour les fermiers, les éleveurs et les agriculteurs. Nous devrions probablement soulever la question d'une subvention de la Couronne, pour le salaire moindre de certains de nos Membres au vue du travail que nos fermiers, nos agriculteurs et nos fermiers effectuent. J'attends vos avis.
Prenez soin de vous tous,
que la Trinité veille sur vous comme elle veille sur moi.
Nathan Herlaer,
Druide de la Préservation
Post by Nìmora Eldanyàrë, AD - January 25, 2012 at 5:06 AM
Nathan,
Ta lettre me semble bien construite et surtout bien argumentée. Tu reprends chacun des points soulignés par Mademoiselle Selaquii en trouvant des solutions à un problème qui n'est pas même réel. Les éleveurs font de l'or en bonne quantité avec la vente de peau, fourrure et viande, et ont donc largement de quoi subvenir à leur besoin et celui de leurs animaux sans devoir faire du commerce d'animaux vivants.
Les cultivateurs, floriculteurs, éleveurs et autres sont majoritairement dans l'Assemblée Druidique et leur salaire est présent. À ce sujet, je compte également inclure cet argument dans ma lettre à la Couronne pour une demande de subvention. J'aimerais aussi que l'Assemblée organise une liste de noms de citoyens possédant une ferme ou une terre sans faire partie de l'Assemblée Druidique. Si le nombre est imposant, ce dont je doute, nous pourrions songer à instaurer des bourses pour les aider à subvenir au besoin de leur animaux. Qu'en pensez-vous?
Quelles seront les conclusions de cette affaire? Mademoiselle Selaquii désire-t-elle trainer ce sujet au tribunal pour tenter de nous retirer le "commerce" des animaux? Dois-tu simplement la rencontrer avec des solutions? Si une simple rencontre est exigée, je te recommande de souligner que nous aurions aimé être consulté en premier lieu, car il s'agit vraisemblablement de notre domaine, selon le codex systérien.
Nìmora Eldanyàrë
Grande Chamane