"Commande Impérial"
Post by Eloëdyn, Fdc - October 24, 2009 at 2:20 PM
Avis à la Fraternité du Chêne,
Avis à ses plus grandes figures,
A compter d’aujourd’hui, par la présente annonce, la Couronne et la Surintendance de Systeria vous passe commande. Cette ordonnance doit être acceptée dans son ensemble et ne sera pas parcellisée. Si la tâche demandée semble bien trop colossale pour vos artistes et vos personnalités les plus connues, un refus est toujours envisageable.
Dès maintenant, Sa Majesté et moi-même vous offrons la possibilité de montrer à la capitale, à sa population et aux ambassadeurs étrangers quelle force coule dans notre culture et quelle vigueur vous êtes capable de véhiculer à travers les buts et idéaux de votre guilde. Pour démontrer que vous avez la possibilité d’accomplir de grandes choses, parmi les plus subtiles, nous vous invitons à montrer votre expertise dans de nombreux domaines.
Théâtre :
- Rédigez puis mettez en scène une pièce comique, au thème libre, que vous jouerez dans tous les lieux de divertissements impériaux
- Rédigez puis mettez en scène une pièce relative à la colonisation brégunienne et à l’Indépendance systérienne
- Rédigez puis mettez en scène une pièce tragique relative au règne de Mala la Sanglante, Régente de Systeria
- Rédigez puis mettez en scène une pièce sur le règne fructueux de notre Bonne Impératrice
Opéra :
- Composez un vibrant opéra sur un thème romantique, au choix
- Composez une Ode à la Joie, en l’abordant par un thème original
- Composez un émouvant et poignant opéra représentant la scission entre elfes et elfes-noirs.
Littérature :
- Rédigez deux œuvres de fiction, thème au choix, nombre de tomes illimité
Sports :
- Pensez et organisez un grand évènement sportif, faisant intervenir des athlètes de tout Enrya. Contactez la Surintendance pour les détails techniques.
Cette commande est uniquement ouverte aux artistes et personnalités de la Fraternité du Chêne. Les pièces et les opéras pourront faire intervenir des acteurs indépendants ou d’autres guildes, mais la rédaction ou la composition de l’œuvre n’est réservée qu’aux membres de la Fraternité. Si la commande est réalisée dans un délai raisonnable, une somme de 50.000 pièces d’or sera remise à la guilde - modifiable selon la qualité -, sans omettre la grâce impériale.
Vous avez deux jours pour signifier votre accord ou votre refus.
Communiqué de la Surintendance.
Personnellement, je vois pas trop de mal pour la liste, mais l'opéra ça... j'en ai encore jamais vu une seul en Systeria, alors en réaliser une... et jouer tout en chantant, mouerf sa va être la galère.
A vous de voir si vous êtes pour ou contre de le faire. Moi je suis pour.
Post by Cléa, CdA - October 24, 2009 at 2:27 PM
Je suis aussi pour, ca permettrai de remettre de la vie chez nous et de montrer à la population que nous sommes pas seulement un petit quartier à part dans la cité.
Post by Nathaniel de Sorgrad,ADM - October 24, 2009 at 6:41 PM
Mes frères, mes soeurs,
Voici la chance de nous prouver, de montrer que nous ne dormons pas. Prennons cette liste comme un défis et une oportunitée. Nous avons beaucoup de talent dans notre fraternité. Je demanderais a tous de donner votre avis rapidement! Comme Eloe et Clea, je suis pour, par contre je suis très mauvais rédacteur!
D'ici demain, nous compilerons les votes et ce sera la réponse. Nous ne pouvons prendre trop de temps pour répondre.
Nathaniel semblait content de voir ce communiqué, mais semblait inquiet, qui saurait écrire de texte captivant et cultivé?
Post by Astria, AD - October 24, 2009 at 9:11 PM
Mes ami(e)s,
J'ai envoyé un accusé de réception pour désigner que nous l'avions reçus. Je suis partante pour écrire une pièce de théatre ou un opéra! J'aimerais bien écrire sur Mala, ou un opéra parlant d'un amour impossible. Je suis très motivée! Alors je dis oui. Je vous en redonne des nouvelles.
P.S: Il serait bien que mes acteurs ne soit pas que de la fraternité, surtout si j'ai besoin de figurants. Je propose d'ouvrire les portes de tout le monde pour ce genre de chose.
Astria
Post by Lamalia Lunavae, AD - October 24, 2009 at 9:35 PM
Mes talents artistiques sont plutôt limitées, mais je peux aider quiconque dans ce qu'il aura besoin.
- Lamalia
Post by Mileas Tralim, FdC - October 25, 2009 at 12:37 AM
Avec une écriture soignée, une lettre était parvenue aux responsables de la guilde.
Je suis également daccord avec Nathaniel sur le point qu'il faut voir cette requète comme un défi.
Je souhaite apporter mon aide sur se projet.
Je ne sais peut-être pas parler parfaitement depuis mon retour, mais je n'ai pas perdu la main pour écrire. Alors relevons se défi!
-Mileas Tralim-
Post by Delyna Orlanth, FdC - October 25, 2009 at 5:37 PM
De retour d'une de ses errances dans l'Entre-Monde, amaigrie et épuisée, Delyna n'avait pas manqué de lire l'affiche. Puis... l'oeil s'était allumé. Fouillant dans son sac, elle avait extirpé un vieux manuscrit, retranscrit à la suite d'un de ses voyages dans les autres Mondes.
Trottinant vers Eloëdyn, son manuscrit serrée contre sa poitrine, elle dévissait gaiement toute seule, argumentant contre un muet interlocuteur. Elle déposa son manuscrit sur le bureau du frère. Il s'agissait d'un opéra sur l'amour. Un mortel amour.
Post by Ex-Animateur Korgue - November 8, 2009 at 6:22 AM
Berric Talmar se permit d'ajouter une note.
Compagnon,
Maintenant que l'évènement bal masqué est passé, il est temps de se consacrer à autre chose. Il ne faudrait pas manquer de montrer ce que nous savons faire concernant les demandes impériales. Mettons-nous à l'ouvrage et que l'on impressionne tous ces gens.
Berric Talmar
PS: Cléa, sachant que c'est vous qui a été en charge de la nourriture pour le bal masqué, j'aimerais savoir si nous avons été payé. Cette somme pourra certainement payer une partie des travaux concernant le havre.
Post by Cléa, CdA - November 8, 2009 at 1:01 PM
Nous allons être payé très bientôt, j'ai malheureusement du m'éclipser bien avant la fin du bal et n'est pas pu en parler avec la marquise Mel'Vir. Je remettrai la somme dans le coffre de la réserve.
Post by Astria, AD - November 9, 2009 at 5:49 AM
Je réfléchie actuellement à une dramatique sur Mala. Je vous en redonnes des nouvelles!
Astria
Post by Delyna Orlanth, FdC - November 20, 2009 at 2:22 PM
Je crois que le Surintendant s'impatiente.
Je rédigerai bien d'autres choses, mais j'ai peur de n'avoir pas une connaissance assez approfondie des différentes histoires pour m'y risquer.
Mais si quelqu'un veut l'aide d'une plume pour traduire ses pensées en vers, je suis présente et disponible.
Delyna.
Post by Garibald Adalard, Ad - November 20, 2009 at 8:30 PM
Voici une lettre de Thomas Bolton.
Je lui es simplement répondu que la demande de l'empire poursuivait son évolution.
A qui de droit,
Par la présente, je vous contacte aujourd'hui pour connaître l'avancée de la commande effectuée il y a un peu plus de deux semaines. Vous n'êtes pas sans savoir que l'ensemble des œuvres figurant dans l'annonce avaient été approuvé par un de vos membres.
J'attends donc que vous m'informiez sur les progrès que vous avez réalisé. Je me permets un bref rappel :
Théâtre :
- Rédigez puis mettez en scène une pièce comique, au thème libre, que vous jouerez dans tous les lieux de divertissements impériaux
- Rédigez puis mettez en scène une pièce relative à la colonisation brégunienne et à l’Indépendance systérienne
- Rédigez puis mettez en scène une pièce tragique relative au règne de Mala la Sanglante, Régente de Systeria
- Rédigez puis mettez en scène une pièce sur le règne fructueux de notre Bonne Impératrice
Opéra :
- Composez un vibrant opéra sur un thème romantique, au choix
- Composez une Ode à la Joie, en l’abordant par un thème original
- Composez un émouvant et poignant opéra représentant la scission entre elfes et elfes-noirs.
Littérature :
- Rédigez deux œuvres de fiction, thème au choix, nombre de tomes illimité
Sports :
- Pensez et organisez un grand évènement sportif, faisant intervenir des athlètes de tout Enrya. Contactez la Surintendance pour les détails techniques.
Vous n'êtes pas pressé par le temps, je n'ai instauré aucun délai significatif. Simplement, ne recevant strictement aucune nouvelle de vos travaux, n'ayant aucun écho de l'élaboration de certaines de ses œuvres, je reste dans le flou. Veuillez m'informer rapidement.
T. H. Bolton, Surintendant de l'Empire
Post by Nathaniel de Sorgrad,ADM - November 21, 2009 at 1:37 AM
au fait, j'ai commander plusieurs livres sur diverses sujets. Si vous voulez de la documentation sur quelque chose, demandez le moi.
Post by Ärold, AdC - December 18, 2009 at 2:42 AM
Qu'en est il des avancées par rapport à cette missive? La commande a été close ou devons nous pencher sur toutes les commandes écrites du surintendant?
Post by Nathaniel de Sorgrad,ADM - December 18, 2009 at 2:54 AM
En effet nous devons tout rédiger et monté les pièces et opéras.
Post by Ärold, AdC - December 18, 2009 at 10:22 AM
Dans ce cas, qu'entend t'il par l'écriture d'une Ode à la joie? Un texte chanté?
De plus, je veux bien me pencher sur une partie des textes à fournir, mais j'aurai aimé que quelqu'un m'éclaircisse sur les relations historiques du règne de Mala la sanglante, l'indépendance Systérienne et la colonisation brégunienne et enfin sur les actions clés que l'on pu retenir de notre impératrice.
Je pourrai chercher documentation à la bibliothèque de Systéria, mais si un des frères ou sœur en connaissait déjà sur le sujet, ça m'éviterai de m'égarer parmi les livres, afin d'obtenir au moins les grandes lignes que je les transforme en vers, si l'inspiration me le permet.
Je remercie par avance tout frère et sœur pouvant apporter collaboration.
Post by Malik Croumicou, Fdc - December 18, 2009 at 8:22 PM
Je ne suis pas très doué en art et mon pour parler n'est pas très éloquant à ce qu'on dit, mais je suis prêt à aider ceux qui ont besoin d'aide. De plus, je suis prêt à mettre mes bras à disposition pour préparer les scènes et également lors des représentations je pourrai être présent pour travailler sure ou en arrieère scène.
Malik Croumicou.
Post by Nathaniel de Sorgrad,ADM - December 18, 2009 at 11:40 PM
J'ai des écrits Arold sur quelque points. Lors de notre rencontre je te les donnerai.
Nath.
Post by Ärold, AdC - December 19, 2009 at 1:25 PM
Je vous remercie à tout deux de votre proposition d'aide. Si Malik, le cœur t'en dis, je pourrai te voir en même temps que Nataniel, en cette journée.
Ärold.
je serais la aux alentours de 21h fr
Post by Ärold, AdC - December 20, 2009 at 2:32 AM
une des deux œuvres de fiction avait été rédigé, permettant à ärold de se dire, qu'il ne restait plus que 8 textes à écrire avant que la commande ne soit terminée.
Dîtes moi ce que vous en pensez, et ce qu'il y a à améliorer.
Ärold.
Histoire de Poulpiket.
On raconte qu'il y a bien longtemps, l'on trouvait en ville de systéria une étrange bibliothèque. en effet, cette bâtisse que l'on nommait "chez Poulpiket", était dite hantée. Chaque année, les propriétaires allaient et venaient, devenant fou par le temps passé à l'intérieur, sans jamais savoir pourquoi, si bien que même les habitants de la ville n'osaient y entrer, de peur d'être atteint de folie.
Un beau jour ou, le propriétaire changea, la bibliothèque que l'on disait habitée par des esprits trouva un nouveau propriétaire, s'appelant Marius Lasplace, homme âgé d'une quarantaine d'année, le dos légèrement vouté par le travail fastidieux de classer les livres, portant un léger collier de barbe grisonnant et une paire de lunettes rondes cerclés d'argent, seul bijoux de valeur qu'il avait en évidence. Ce cher Marius, avait hérité par le passé d'une femme, décédée lors de l'accouchement de sa fille, Annaelle.
Les deux derniers membres de leur famille, allaient de continents en continents, de villes en villes, de quartiers en quartiers afin de trouver du travail en bibliothèque, jour auquel ils eurent le droit, lorsqu'ils arrivèrent devant l'enseigne Poulpiket.
Marius avait entendu les ragots autour de lui, sur la file de ses prédécesseurs, mais n'étant pas très adepte de la magie, il se dit que, peut être les villageois inventaient des histoires afin de faire peur aux étrangers. Et pourtant!
La première nuit que la famille Lasplace passa, les laissa dans une horreur extrême. Tout le long de la nuit, ils entendirent des bruits d'horreur au rez de chaussée, là ou se trouvait la réserve de livres. Des bruits de succions, de chutes, des voix grinçantes qui hurlaient dans toute la maisonnée. Annaelle, qui avait 14 années, remonta ses draps bien haut dessus de son nez, de peur que les bruits des monstres ne viennent la dévorer.
Les deux membres de cette famille désunit par le malheur, eurent bien du mal à descendre les escaliers le lendemain matin. Le père, Marius, l'épée en main, ouvrait la marche. Sa main qui tenait le fourreau tremblait comme un séisme, et sa fille Annaelle, derrière, se cachait à moitié les yeux en descendant les escaliers.
Ouvrant la porte de la bibliothèque, s'attendant à voir le pire, les deux Lasplace furent surpris de voir simplement quelques livres par terre. aucun cadavre, et pourtant avec tous ces hurlements, il y aurait pu en avoir un!
Mais Marius, malgré la peur, n'était pas homme à se dégonfler. Le jour même, il alla acheter un piège à lapin, afin d'attraper l'intrus qui avait mis le désordre dans les rayons de livres. Plaçant à des endroits propices les pièges, fermant pour l'occasion la bibliothèques aux visiteurs et citoyens.
Marius et Annaelle, attendirent la nuit, tout eux dans la même chambre. A peine minuit fut passée que les bruits recommencèrent, plus fort encore que la nuit précédente. Mais cette fois-ci, le père et la fille purent entendre un "clac" caractéristique d'un piège qui se referme sur sa proie. Le quaternaire ne pu s'empêcher d'émettre un bruit de victoire, attendant le lendemain matin afin de récupérer le fruit de ses entreprises.
Mais, alors que le soleil était bien haut, lorsque le pauvre Marius, entra avec précipitation dans la bibliothèque, il ne pu voir qu'un piège refermé sur...
...sur une gourmette!! L'homme, commença alors à se poser des questions, si la folie ne l'atteignait pas, n'écoutant pas sa fille qui essayait de le résonner. "t'inquiète pas papa, moi je vais trouver le problème!!"
Le troisième soir, la petite Annaelle remplit de courage, décida de passer la nuit à la bibliothèque, s'enfermant à double tour dans cette dernière. Dans un coin de pièce, elle attendait, avec vue sur le bureau de son père. Minuit sonna à l'horloge, alors, deux êtres sortirent d'un trou de souris. Des petits corps avec une grosse tête, les deux êtres portaient des barbes immenses et blanches, le crane dégarnit, et une mâchoire ou les dents étaient quasi inexistante. Le premier des deux être, mâchonnaient une pêche, provoquant des bruits de succions immondes. Le second, grimpa sur une étagère, prenant un livre, ouvrant une page et après en avoir tourné trois quatre, le jeta à terre dans un bruit d'exaspération, hurlant sur son compère, d'une grosse voix criarde, contrastant avec la petite taille qu'il avait. Les deux êtres se chamaillèrent, se jetant livres à la figure. Annaelle se demandait pourquoi ils faisaient tant de raffut quand tout à coup elle eu une idée:
"Peut être que..."
Sortant de sa cachette, elle se dirige droit vers le bureau de son père, prenant la paire de lunettes. alors, d'un pas timide et apeuré, se dirigea vers le petit être haut comme une pomme, lui tendant la paire de lunettes qui lui aurait plus servit de loupe. L'homme souris, regardant au travers de celle-ci son livre, eu un sourire excité d'un seul coup. D'une voix pincée et aigrelette il s'écria:
"Par ma barbe de Kradük! Poulpiket ! regarde! J'arrive de nouveau à lire!"
Les deux compères chantèrent louanges à la fillette, puis se plongèrent dans leur lecture passionnée.
Annaelle tomba alors de fatigue jusqu'au lendemain matin. Lorsqu'elle ouvrit les yeux, elle pu constater que la bibliothèque scintillait d'ordre et chaque livre semblait avoir été lustré durant la nuit.
Depuis ce jour, la famille Lasplace purent récupérer toutes sortes d'ouvrages en Systéria, si bien que leur bibliothèque fut renommé dans les autres villes. Annaelle avait pu résoudre cette cause de la folie des anciens propriétaires, ainsi que l'origine du nom de la bibliothèque.
Mais un mystère n'avait pas encore été résolut: Marius, son père, avait il été mis au courant de l'histoire?
Post by Ärold, AdC - December 20, 2009 at 2:30 PM
Voicie ce qui pourrai se rapprocher le plus à une Ode à la joie, même si le contenu peut paraitre pessimiste, l'originalité vient du fait que presque tout est écrit en alexandrins, même si certains passages ne le sont pas, pensez que cela est grave? Nous pourrions accompagner l'Ode par une musique de composition, composés par les instruments cités dans ce poème, ainsi que faire intervenir des cracheurs de feu pour la présentation à la cour.
J'ai pu trouver en fouillant un peu, une partition intéressante à adapter. musique d'ambiance
Ärold
Ode à la joie.
Terne! Couleur de la ville dans laquelle tu marches,
Les ruelles sont sombres et les femmes sont en colère,
Les guerriers à cheval, sont partis faire la guerre,
Amie Pauvreté s'installe, sans que tu le saches.
Terne! Les citoyens n'osent plus se croiser,
Esquivant les autres dans un petit pas de danse,
On laisse s'installer la peine jusque dans les panses,
Que l'on bourre de bougies afin de les combler.
Alors que, O triste désespoir bat son plein,
L'on commence à entendre un violon au loin,
Porté par un être aux vêtements pittoresques,
Agitant les grelots de sa chausse, dans une arabesque.
La musique commence alors à venir de toute part,
Vielle, cistre, saqueboute et flûte à bec sont leur armes,
Leur Mélodie couvre la ville d'un dôme de charme ,
accompagnant crescendo, la belle cithare.
Un danseur aux vêtements flamboyant,
s'approche des enfants,
Et dans un claquement de doigts,
leur fit apparaitre une rose de bois,
Les yeux ficelles de cet être, transparents aux reflets d'or,
Plongeant la ville dans un rêve, aux merveilleux décors.
Joie! L'on ne se soucie plus de qui l'on était,
tournoyant tous ensemble ne faisant plus qu'un,
Mîmes, acrobates, mendiants, fermiers ou bien nobles,
L'on reprend alors tous ensemble le même refrain:
La vie ne devrait être que joie et folie,
Battant dans nos cœurs, enlevant Mélancolie,
Dansons toute l'éternité du soir au matin,
Que nous oublions les misères du lendemain.
Joie! Le soleil se couche, belle nuit fantastique,
La ville se moule des muses de la musique,
Mais aussi des cracheurs de feu artificiels,
Agitant leur quatre torches bien haut dans le ciel.
Joie! Défilé haut en couleur qui se déroule,
Les artistes rivalisant de magnificence,
Toits bleus, murs verts, c'est le chapiteau des envies,
Les divers parfums sucrés fondant dans la foule,
tout cet univers imaginaire, bienséance,
Tous les êtres rient et vivent en simple harmonie.
Mais les rêves comme celui-ci où la joie régit,
Ne peuvent se réaliser par écrit que dans des Odes,
Il apparait alors que toute la Nature en est son effigie,
Et les poètes aiment, l'écrire, toute leur vie.
Post by Eloëdyn, Fdc - December 20, 2009 at 5:53 PM
Une simple note était remis avec quelques pages d'où on pouvait voir une scène d'opéra Romantique.
viewtopic.php?f=102&t=31274Post by Ärold, AdC - December 20, 2009 at 6:12 PM
Superbe Opéra! A ce rythme la, nous aurons finit la commande dans une semaine!
Ärold.
Post by Lamalia Lunavae, AD - December 20, 2009 at 9:17 PM
Aröld, continue ton bon travail, c'est génial!
- Lamalia
Post by Ärold, AdC - December 20, 2009 at 10:06 PM
Seconde œuvre de fiction, avec toujours pour thème les légendes du passé. Si vous avez des conseils à m'apporter, ils seront les bienvenus, et si vous avez d'autres textes, cela ne pourra que nourrir les futurs ouvrages de la bibliothèque ainsi que la commande.
Ärold.
Tout était noir autour d’elle. Seul un rayon traversait la serrure de sa cellule. Naemissia se mit à repenser à son enfance pour échapper à la douleur qui irradiait dans tout son corps …
Jeune séraphine, ces êtres aux allures angelines, mais dont leur ailes ne leur permettaient pas de voler, elle avait l’habitude de se rendre au port voir les pêcheurs du matin. Ils rapportaient toujours d’énormes poissons, mais aussi des objets quelconques, qui étaient aux yeux de Naemissia de véritables trésors. Elle possédait même une petite collection dans sa chambre.
Lorsque le soleil commençait à se coucher, elle allait chercher son père pour le repas. Il était en train de couper du bois. Les odeurs d'écorce et de sève étaient exaltante. Elle aimait le regarder couper les troncs, voir l’arbre tomber, pouvoir couper des morceaux, des petits, des plus gros, tout en respectant avec une harmonie profonde la Nature qui l'entourait, ou chaque arbre coupé pour le besoin de la citée, un autre était planté aussitôt. Un autre séraphin était avec son père.
Il se moquait toujours gentiment de Naemissia, lui disant qu’elle ferait mieux d’aider à faire autre chose, et qu’il était dangereux pour une fille de rester ici. Ces petites taquineries vexèrent profondément La jeune fille. Elle ne voulait pas que l’associé de son père se moque d’elle. Elle prit la décision de lui prouver qu’elle pouvait couper du bois elle aussi, au grand dam des protecteurs de la Nature.
Son père possédait plusieurs haches. Un jour, alors qu’elle n’avait rien à faire, elle en prit une que son père n’utilisait pas.
Elle la cacha afin que sa mère ne la vit pas. Elle alla dans la forêt, regarda attentivement chaque arbre, faisant exactement les mêmes gestes que son père pour évaluer si l’arbre était prêt à être coupé où pas. Elle leva la hache, l’air déterminé, et frappa de toutes ses forces sur le tronc. Une légère entaille apparue. Elle se rappela les entailles que faisait son père lorsqu’il mettait des coups. La sienne était ridicule. Mais elle ne se résorba pas à ce défi qu'elle c'était imposé.
Elle continua à frapper de toutes ses forces sur cet arbre. Au bout d’une demi journée, elle était à la moitié du tronc. Elle était satisfaite d’elle, et prit une petite pause afin de récupérer son souffle.
Et c’était reparti, il fallait qu’elle finisse avant que son père ne reparte à la maison, pour lui montrer de quoi elle était capable. Elle s’acharnait sur le tronc, gardant un rythme régulier.
Enfin, lorsqu’elle arriva vers la fin, elle parut soulagée. Le soleil était encore loin d’être couché. Elle mit un coup d’épaule contre l’arbre qui se mit à vaciller. Il tomba d’un seul coup. C’était le plus beau jour de sa vie. Elle avait réussi. Elle courut chercher son père dans la forêt.
Lorsque celui-ci la vit en sueur et en train de courir, il sembla inquiet. Elle lui dit qu’elle avait réussi à couper un arbre. Son ami eu un sourire moqueur. Il ne la croyait pas !!
Naemissia les mena vers l’arbre coupé, expliquant en route qu’elle avait piqué la hache à son père pour pouvoir le couper. Lorsque son père vit ce qu’elle avait fait il eut un brin de fierté dans le regard. Son ami de travail quand à lui ne dit rien, il laissa entrevoir un sourire niais et il dit :
« Oui enfin bon, tu sais Naemissia, un arbre comme celui-ci, moi, je mets même pas une heure pour le couper. » Puis il s’en alla en rigolant, content de sa blague.
Mais Naemissia n’avait pas trouvé cela amusant. Chaque jour elle partait avec sa hache pour pouvoir prouver un jour, à ce séraphin, qu’elle pouvait faire aussi bien que lui, jusqu'au jour ou elle comprit, qu'un arbre aussi avait le droit de choisir entre la vie et la mort...
…cette pensée lui fit rappeler qu’elle regrettait amèrement d’avoir quitté sa citée de Naerios.
Pourquoi s’était elle aventuré en territoire inconnu ?
Pourquoi avait elle dit qu’elle connaissait Naerios à ces inconnus ? La triste réalité revenait lentement à la place de se souvenir passé.
La douleur aux poignets devenait insupportable à Naemissia. Elle était dans une pièce sombre, ses poignets enchaînés à un mur, combien de jours était elle là? Des mois peut être. Sa tête était baissée, ses ailes repliées. Du sang maculait sa peau blanche et fine. Il était rare de croiser des séraphins en dehors de leur citée, encore plus que les elfes durant l'ancien empire. alors pourquoi ces bandits ce seraient priver de la capturer.
Soudain la porte s’ouvrit. Deux hommes de statures imposantes s’avancèrent vers elle. Ils portaient des espèces de fouets dans une main, dans l’autre un gourdin.
L’un d’eux s’avança vers Naemissia, qui pouvait sentir l’odeur de sueur qui émanait de l’humain.
« Où est Naerios??? » se mit il à crier soudainement. Naemissia n’émit aucun son. Cela lui valut un coup de gourdin dans le ventre.
Les deux continuèrent leur bastonnade mais n’obtinrent aucune réponse de la part de la séraphine.
Ils la laissèrent enchaîné. Naeissia ferma doucement les yeux. Elle voulait appeler au secours, mais sa bouche ne pouvait plus s’ouvrir. Ses yeux la brûlait intensément, ses lèvres tremblaient toute seule, mais une chose était certaine, peu importe les souffrances physiques, elle ne parlerait pas.
Si elle s’en sortait elle se promit de ne pas retourner voir des humains, en tout cas pas n’importe lesquels.
Le lendemain, les deux hommes revinrent, recommencèrent leur interrogatoire et leurs brutalités sur la séraphine lorsque celle-ci dit : « arrêtez. » Elle laissa un temps de silence afin de reprendre son souffle.
« Me battre m’affaiblira, et je ne pourrai jamais vous indiquer où est cette ville. » dit elle de sa voix fine.
Les hommes se grattèrent la tête, se demandant sûrement s’il fallait croire la séraphine ou non.
Ils décidèrent de la détacher.
Naemissia était dans un piteux état. La plupart de ses côtes étaient cassés, ses bras engourdis ainsi que ses jambes. Ses ailes avaient perdus des plumes, et étaient sales. Sa peau blanche, était devenue noire de saleté et rouge à cause du sang séché. Ses cheveux blancs étaient entremêlés.
« J’ai très soif » dit elle.
Sans broncher, les hommes la sortirent de leur repère, la portèrent vers une fontaine dehors, près de la route. Elle mis sa tête dans la fontaine, puis la releva. Malgré les coups, elle dégageait une grâce naturelle qui ne pouvait pas laisser indifférent les hommes. Elle le savait, elle se releva et se tourna vers les deux hommes ressemblant à des armoires à glace. Ils paraissaient ridicules, leur bouches ouvertes, d’une intelligence très limitée. Naemissia n’était pas une guerrière, ni une archère ni même une mage. Cependant elle déploya ses ailes, les faisant battre pour les intimider. Elle leva sa tête vers le ciel bleu. Puis elle s’approcha de l’un des deux hommes. « Peut être pas guerrière mais ma race m’impose certains principes à respecter ». Elle gifla l’homme, il répliqua à sa manière d’un coup de gourdin dans les côtes, ce qui lui coupa le souffle.
Elle tomba au sol. Ses cheveux blancs cachaient son visage tiré de douleur. Le sol avait un goût de poussière. Elle essaya de se relever, un autre coup l’en empêcha.Elle se laissa tomber sur la route, trop affaibli maintenant pour tenter quoi que ce soit. qu'il était si triste de mourir ainsi. Naemissia sentit de nouveau un violent coup dans son dos, lui brisant certainement la colonne et ses ailes. Pourquoi? Pourquoi enviaient t'ils cette citée si perdue et si légendaires? Elle n'avait rien de plus. Un autre coup encore, dans les jambes, finissant de briser ses articulations...
Cette citée couverte de marbre blanc, couleur de la eau de ces êtres, considérés comme des messagers des entités au seins des toutes premières peuplades de Systéria. cette citée, dont bon nombre d'humains essayaient de trouver. Le palais finement ouvragé d'or, ses fontaines déferlant des flots d'hydromel sur des statues de fer de platine. Un monde, ou les simples richesses des habitations auraient suffit à combler bon nombre de villes de systéria...
Mais le rêve de ces deux brigands s'échappaient chaque fois qu'ils frappaient la séraphine, dont la naïveté de les avoir suivit, l'avait conduit à être punit de ce défaut. Naemissia, son souffle alors sortit les dernières paroles de son existence:
"L'autre nuit j'ai rêvé, que le ciel me prenait dans ses bras... pour voler."
Ainsi s'acheva avec la mort de Naemissia, les rêves des humains de pouvoir un jour conquérir l'amitié des séraphins. Le peuple retranché ne donna plus aucune nouvelle, affecté par la mort d'un des leurs, pourtant eux qui n'avaient jamais participé à des guerres! Une injustice et un supplice à subir, eux à qui, l'on avait promis la vie éternelle. Les années passèrent, et cette histoire fut oublié de tous, mais l'on raconte encore, qu'une plume d'une blancheur pure et étincelante, serait perdue au fin fond des terres systériennes, un trésor que peu convoitent, car gardé dans les plus profondes des grottes par des êtres dont l'existence n'était pas connue.
Post by Cléa, CdA - December 20, 2009 at 11:11 PM
Je trouve cette histoire passionnante, tout comme l'autre bien qu'elles ne soient pas dans le même registre. Tu as beaucoup de talents pour captiver les gens, c'est un plaisir de te lire.
Cléa
Post by Ärold, AdC - December 28, 2009 at 5:56 PM
Après avoir fouillé dans les archives, Ärold retrouva un bel écrit qui avait été rédigé à l'occasion de la commande impériale. Il le remis dans le dossier à cet effet, accompagné d'un mot.
Voici une des oeuvres de notre chère Delyna Orlanth.
Bonne lecture.
La Reine des Glaces
Il était une fois dans un autre monde, Un peuple que l'ont disait le peuple de Feu.
Et au sein de ce peuple, une jeune femme dont le charme était assuré et qu'on convoitait pour son verbe, parfois un peu acide, mais fort divertissant.
Or, alors que les années s'égrênaient lentement, il advint que cette jeune femme, qu'on appelait Lucille, finit par commettre quelques impaires.
En ce peuple de feu, il était exclu qu'une telle chose arrive. Car la jeune Lucille s'était intéressée à l'Eau et à ses membres.
On conspua la jeune femme, on lui manda de faire un choix. Serait-elle d'eau ou de feu ?
Nulle question de changer, la jeune flamme retourna chez les siens, sa curiosité inassouvie, l'esprit préoccupé.
De son incartade sur le territoire de l'Eau, on se mit à soupçonner la jeune Flamme d'être plus encore qu'une simple exploratrice.
On se méfiait d'elle, on s'en défiait.
Blessée par les regards, par les chuchottements, elle se replia sur elle-même et bientôt... il n'y eut plus de petits mots acides mais charmants, plus de lumière dans ses yeux... Son coeur de flamme finit par s'éteindre et se glacer.
Dans l'ombre des Peuples d'Eau, de Terre, d'Air et de Feu, il existait un peuple d'ombres, celui des Glaces.
Ce peuple naissait des désillusions des uns et des autres.
A la tête de ce peuple, il était un Roi, sage et paisible, qui se contentait de jeter l'hiver sur les landes à interval régulier sans aucune pitié ni considération pour les autres peuples, simplement parce que c'était ainsi. Il en avait le pouvoir et sans haine, il le prenait.
Or, ce roi posa les yeux sur Lucille et dans son coeur de pur cristal, il sentit une petite vibration. Amoureux d'elle, il lui fit une cour presque enflammée et sous couvert des ombres, il l'épousa et en fit sa Reine.
Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Car cela n'aurait pas grand intérêt, vous l'avouerez.
La Reine des Glaces avait en son coeur un profond désir de vengeance et entendait bien s'y abandonner. Elle reprit des forces à l'appuie de son époux bienveillant et bientôt son charme refit surface. Les Flammes qui autrefois l'avaient aimé, se reprirent à lui faire des avances.
Voulaient-ils la ramener au sein du peuple du Feu ? Peut-être... mais ce furent eux qui se brûlèrent les ailes.
Car le baiser de la Reine des Glaces était mortel pour les Flammes... et bientôt des statues de glace poussèrent dans son jardin.
Il advint un jour un jeune garçon que les Flammes animaient encore et dont la candeur était une offense à la majesté des ombres.
Forte de ses expériences passées, elle s'introduisit auprès du jeune sire et entreprit de faire sa conquête. Son verbe et sa fougue finirent par payer et le jeune homme fut bientôt sous son charme.
Mais...
Car dans toute histoire, il y a un "mais". Mais il s'avéra que la Reine elle-même fut bientôt sous le charme du jeune homme.
Oh bien sûr, rien à voir avec l'amour qu'elle portait à son époux. Ce charme-là était né de leurs passions communes pour les Arts et les Lettres. Des nuits étoilées passées ensemble à observer le ciel, des jours entiers à chevaucher côte à côte pour aller dénicher le dernier ouvrage.
Haec... elle était sous son charme et c'est alors qu'il s'abandonna.
-
Lui prendras-tu la vie, ma Lucille ?
-
Mon Roi ! Toi... ici...
Lucille, acculée, sentit le feu embraser ses joues. Elle jeta un regard au jeune homme étendu à ses pieds, que la magie de l'Hiver avait jeté dans les affres du sommeil puis elle leva les yeux vers son époux.
- Lui prendras-tu la vie, ma douce épouse ?
Sa voix était tendre. Ca n'était pas un ordre, juste une question, une simple question. Sans colère, sans rage, juste une question.
Elle revint sur le jeune garçon et lâcha un soupire.
-
En feras-tu une statue de glace mon aimée ?
-
Non.. je ne le puis.
Le Roi des Glaces hocha la tête longuement puis il sourit.
Sa Reine se pencha alors sur le jeune garçon et déposa un baiser chaste sur son front, le marquant à jamais de son sceau protecteur.
- Retournes ma Flamme, retournes dans le feu qui te consumera de bonheur, de plaisir et de vie. Ici, il n'y a que l'Ombre et le froid pour t'accueillir en son sein. De grâce, souviens-toi toujours de la petite Lucille avec qui tu courrais de bibliothèques en bibliothèques... ne m'oublies pas.
La Reine des Glaces rejoignit son tendre époux qu'elle aimait plus que tout au monde.
Dans la lumière du matin, une Flamme s'éveilla dans un petit coin de printemps. Surpris d'être en vie, surpris d'être bien.
Dans le jardin près de lui, d'autres hommes s'éveillaient, vide de mémoire des derniers mois, mais vivants.
La Reine des Glaces ne fit plus jamais entendre parler d'elle. Mais on raconte que les soirs d'hivers, quand le jeune Flamme était trop nostalgique de son aspellor disparue, il lui semblait sentir sur son front, les lèvres tendres d'une douce jeune femme et un murmure lui caresser la nuque : ne m'oublies pas.
Post by Ärold, AdC - December 29, 2009 at 8:30 PM
Théâtre :
- Rédigez puis mettez en scène une pièce comique, au thème libre, que vous jouerez dans tous les lieux de divertissements impériaux
- Rédigez puis mettez en scène une pièce relative à la colonisation brégunienne et à l’Indépendance systérienne
- Rédigez puis mettez en scène une pièce tragique relative au règne de Mala la Sanglante, Régente de Systeria
- Rédigez puis mettez en scène une pièce sur le règne fructueux de notre Bonne Impératrice
Opéra :
- Composez un émouvant et poignant opéra représentant la scission entre elfes et elfes-noirs.
Sports :
- Pensez et organisez un grand évènement sportif, faisant intervenir des athlètes de tout Enrya. Contactez la Surintendance pour les détails techniques.
Voici ce qui reste de la commande, pour l'évènement sportif, je pensais faire appelle à toi Cléa, car je sais que tu es douée pour tout ce qui est organisation d'évènement en général.
Nous pourrions faire cet évènement en terrain neutre, dans l'arène hors de la ville? Cela permettrait de ne pas avoir de soupçons quand à un quartier favorisé ou non. Je pensais à plusieurs épreuves, alliant force physique mais aussi force mentale,
des épreuves de combats à mains dans la boue par exemple, des énigmes à résoudre, des performances athlétiques, ou même mélanger énigmes et force. J'ai pensé aussi, que l'on pourrait reconstituer un Sphinx, par l'intermédiaire de masque et de déguisement, qui poserai les énigmes, à chaque énigme, si le protagoniste répond bien, il peut passer une épreuve peu difficile d'athlétisme, si non, un duel entre protagonistes ou une épreuve difficile à mener pour compenser la défaite de l'esprit.
Dîtes ce que vous en pensez et vos idées sur par exemple le thème que l'on pourrait aborder pour la pièce comique.
Ärold.
Post by Cléa, CdA - December 29, 2009 at 9:17 PM
Ca me fera plaisir d'organiser cet événement, je vous en redonnes des nouvelles quand tout sera prêt pour avoir votre opinion
Post by Ärold, AdC - December 30, 2009 at 11:07 PM
Un livre avait été déposé dans le dossier pour la commande impériale, non signé, sans doute l'auteur n'assumait pas réellement ce qu'il avait écrit, mais l'on pouvait se douter en l'ouvrant qu'il s'agissait d'une pièce de théâtre satirique, sûrement qu'elle ne serait pas au goût de tous.
Voici une oeuvre qui a été rédigé, elle n'est pas signée, mais reste tout de même dans le contexte de la commande impériale.
Bonne Lecture,
Ärold.
Acteurs :
Léon Sidonie, aventurier à la retraite.
Arka-Shanyouri de la houlette, noble T’soun
Le moine Malmène, membre de l’ordre de la lune.
Le grand inquisiteur Beauregard, membre de l’ordre de la lune
La légat Tacamendier, femme de l’inquisiteur
Comptable Chpaiepas, commerçant
Lafouine, commerçant et messager de Chpaiepas
Capitaine Œildacier, chef des armées
Première classe Gremüd, membre barbare de l’armée
Magistère Gargarisme, membre de la secte des mages
Adepte Magot Cadré, membre de la secte des mages
Gara Garichie, vieux chef grincheux des mangeurs d’herbe
Madame Laipala Seguin, chef sans second membre des mangeurs d’herbe
Domicile Seguin, anarchiste
La Tulipe, assassin.
L’empereur Bâton.
Acte premier
La scène représente une entrée de ville.
Scène première. --- Léon Sidonie, un cheval nommé Eauclaire.
Léon, regardant le porche sur sa monture :
Voilà des semaines que je chevauche, avec comme seule nourriture quelques pâtures et du fromage sec, s’émiettant au fond de mon sac. Je meurs de faim, j’ai fuit les miens, puisse les vagabonds m’avoir indiqué le bon chemin, en me disant de venir à Sustéria pour y faire fortune, et pourquoi pas y trouver une femme. Moi qui ai parcouru tant de galères, vaincu les plus grand dragons de la terre, sauvé un navire de pirates avec mon cimeterre, défendu seul une ville entière, nettoyé chaque jours les pieds de ma mère… Enfin ! Je mérite du repos ! Eauclaire, je suis certain que là-bas il y aura de quoi te rassasier, tes pattes sont en morceaux, d’avoir parcouru tout ces chemins semés d’embuches, que mon glaive vaillant à occis ! Regarde ! Au loin des citoyens ! Ils arrivent vers nous ! Quêtons leurs renseignements !
Scène II. – Léon Sidonie, Gara Garichie, Madame Laipala, le cheval EauClaire
Léon : Hola les amis ! Puis je vous quérir quelques renseignements sur comment faire fortune en ces contrés?
Madame Laipala dans un cri de stupeur : Mais ! Votre cheval est en mauvaise santé ! C’est interdit selon la protection des mangeurs d’herbe ! Je vais vous mettre une amande moi ! Ou une amende même !
Léon Sidonie: C’est parce que, courageux comme il est, nous avons du fuir tant de dangers…
Gari Garichie, coupant la parole : Non mais r’gardez moi c’bougre ! On a qu’à le foutre en prison ! N’ai marre moi de tous ces imbéciles qui respectent rien et qui s’prennent pour plus haut qu’ils pétouillent !
Léon Sidonie: Mais je…
Gara Garichie, devenant tout rouge : Y’a pas d’mais ! Si c’n’était qu’moi, y’aura bien longtemps que j’t’aurai mis au bûcher ! À t’faire frémir avec tout un tas d’herbes naturelles, lors des rites de totem ! On t’aura tourné autour au son des tambours ! Et comme disait ma mère, la meilleure répression, c’est l’action ! Descend d’ton ch’val espèce de sauvage !
Léon, descendant de son cheval, mesurant deux tête de plus que Gara : Et qu’est ce que vous allez faire maintenant ? Je viens de vous dire que mon cheval est fatigué, autant que moi, pour avoir traversé mille et un dangers ! Vous ne comprenez pas quand je vous parle ou quoi ?
Gara et madame Laipala *en cœur *: Tu n’as pas respecté le codex !
Léon : mais quel Codex ?
Madame Laipala Seguin : Le codex des mangeurs d’herbe, qui dit que tout ce que dit Gara Garichie est vrai. Et qui dit aussi que si je ne suis pas d’accord ça marche aussi. Le codex qui dit que les humains ont moins de droits que les animaux, et que les animaux sont rois. Alors pour avoir fait preuve de maltraitance, nous te confisquons ta monture !
Léon Sidonie : Mais j’allais l’emmener se reposer, c’est ridicule voyons…
Gara Garichie : comment ça ridicule ? La loi c’est la loi ici en Sustéria ! Désobéit encore une fois et ce sera la prison pour toi ! Compris ? En attendant nous gardons ta monture avec nous, afin de la couronner.
Madame Laipala : En plus t’as pas respecté le codex ! Donne-nous ton cheval !
Léon Sidonie : Bon, bon. Si j’avais su qu’il y avait un tel accueil ici, je ne serais pas venu… Tenez dit il en tendant la bride de son cheval. Mais sachez tout de même que pour une ville l’accueil des étrangers est bien mauvais.
Madame Laipala, *récupérant alors le cheval *: Le codex est le codex ! Citoyens ou pas ! Gara ! J’ai faim ! Si nous allions manger un peu d’herbe au campement ?
Gara Garichie : Encore ! N’ai marre moi d’bouffer du pissenlit tous les jours ! En tout cas étranger ! On t’a à l’œil ! A la moindre entourloupe on sera la pour t’remettre à l’ordre ! Puis il part avec le cheval, qu’il n’avait pas pris.
Madame Laipala : Oh non ciel ! Voilà ma sœur ! Encore cette garce qui va venir tout gâcher !
Scène III -- Léon Sidonie, Madame Laipala Seguin, Domicile Seguin.
Domicile Seguin : Ma chère sœur que voilà ! Encore en train de maltraiter des pauvres humains !
Madame Laipala : Occupez vous de vos affaires sœur ! Depuis que vous vous êtes octroyé le droit d’être renégat au sein des mangeurs d’herbe, vous n’avez plus votre mot à dire !
Domicile Seguin, arquant un sourcil, un sourire narquois : Ce n’est pas parce que mes décisions ne vous plaisent guère, que vous devez être agressive sœur, vous n’êtes qu’une moins que rien à mes yeux, taisez vous donc et retournez brouter votre herbe.
Léon Sidonie, à lui-même : Je sens que ça va mal tourner cette affaire…
Madame Laipala : Comment ça brouter ? Vulgarité ! Je fais mon travail moi ! Je ne suis pas comme vous qui critiquez tout ce qui se passe, sans rien faire, comme une larve ! Profitant de la sagesse des autres pour détruire des idéologies !
Domicile Seguin : Et moi Madame ! Je ne suis pas une pucelle !
Madame Laipala, prenant un air outré : Et moi je ne suis pas une peripat.. paripathé… petitpatée…
Léon sidonie : Péripatéticienne ?
Madame Laipala : Exactement ! J’en perds mes mots !* On voit alors des mots tomber par terre.* Je ne suis pas femme à copuler à tous les coins de rues, avec trente enfants que je délaisse moi !
Domicile Seguin, ses cheveux se dressant sur sa tête : Sale garce ! Tu sens l’herbe à fumer ! Ca vous tourne la tête !
Madame Laipala, augmentant le ton : Anarchiste ! Tu pourris le système ! Une gangrène !
Domicile Seguin, haussant la voix : Mère m’a toujours préféré car je savais prendre des décisions !
Madame Laipala,* criant* : Père m’a toujours préféré car j’étais plus sage que toi !
Léon sidonie, toujours à lui-même : Je crois que je vais laisser ces furies s’entre tuer, il n’y en a pas l’une pour relever l’autre. De vraies folles. Il s’éclipse donc sur la pointe des pieds, alors que les deux sœurs en viennent aux mains, il se dirige sous le porche.
Scène IV— Léon Sidonie, une ombre étrange.
Léon sidonie : Qu’est ce que…
Inconnu : Bouuuh !
Léon sidonie poussant alors un cri : Qui-êtes vous ?
L’inconnu, effectuant une jolie révérence : Je suis la Tulipe !
Léon Sidonie : La tulipe ? Drôle de nom ! Attendez ! Je vous renomme… Vous aimez les tulipes ?
La Tulipe : J’adore les tulipes ! C’est si joli ! Toutes rouges, poussant dans les champs, juste avant les moissons, avec leurs petites graines noires !
Léon sidonie : Vous voulez plutôt parler des coquelicots non ?
La Tulipe : Ah heu oui… enfin fichtre ! Je ne vous connais pas… Votre tête ne me dit rien…
Léon sidonie : La votre non plus…
La Tulipe : Nous sommes quittes alors !
Léon Sidonie : En effet ! Je m’appelle Léon. Pourquoi gardez vous votre capuche ?
La Tulipe : Parce que c’est interdit en ville, alors je la garde. Dîtes Léon… Vous aimez les moules ?
Léon Sidonie : Oui, je voulais ouvrir une auberge dans cette spécialité mais le commerce à mal tourné... N’est ce pas contradictoire de faire quelque chose d’interdit ?
La Tulipe : Si, mais les interdictions sont faites pour ne pas être respectées, sinon pourquoi interdire ?
Léon Sidonie : Vous me donnez mal à la tête…
La Tulipe : C’est de bon augure, ça prouve que vous utilisez enfin votre cerveau… Alors que faites vous ici étranger ?
Léon Sidonie : Je cherche un métier plus calme que celui d’aventurier, mais qui ne manque pas d’action non plus.
La Tulipe : Allez donc vous engager dans l’armée ! C’est un peu plus loin à l’Est de la ville !
Léon Sidonie : Fort bien ! J’y vais de ce pas. Merci à vous la Tulipe de cette aide précieuse. Encore une question, savez vous comment je pourrai récupérer mon cheval, que les mangeurs d’herbe ont capturé ?
La Tulipe : Ces droguées… Humm… Laissez-moi un peu de temps pour réfléchir, je saurais ou vous retrouver de toute façon ! Ah ! Ah ! Ah ! !Ah! dit il en disparaissant.
Léon Sidonie, tout seul : J’ai comme la vague impression que toute cette ville est folle… Enfin, allons à la caserne…
Acte II
La scène représente une caserne, avec des armes, des armures et de la discipline.
Scène première — Léon Sidonie, première Gremüd.
Première classe Gremüd : Gaaaaarde à vous !
Léon Sidonie : Bonjour…
Première classe Gremüd : J’ai dit garde à vous !
Léon Sidonie : Mais je ne fais pas partit de l’armée !
Première classe Gremüd : Ah je pensais… vu comment vous êtes galbé… Et puis, j’essaie de m’faire bien voir pour une promotion. C’est important ça… les promotions dans l’armée.
Léon Sidonie : humm je vois. Comment faire pour entrer dans l’armée ?
Première classe Gremüd : suffit d’signer ! Puis après vous rencontrez le capitaine Œildacier qui devine si vous êtes fait pour ça ou non.
Léon Sidonie : Je vois je vois… y’a-t-il des modalités ? Des contraintes ?
Première classe Gremüd : Ba… on a eu un souci dernièrement pour laver les uniformes, un petit malin a mis des fleurs et nos uniformes ont pris une teinte légèrement rose…
Léon Sidonie,* à lui-même* : J’ai comme l’impression de savoir qui c’est…
Première classe Gremüd : Enfin un rebelle qui n’a rien d’autre à faire ! Il doit faire partit de ce groupe extrémiste fanatique des fleurs… Un jour ! On mettra la main dessus ! On a d’jà arrêté le fleuriste !
Léon Sidonie : Mais… un fleuriste… c’est son métier de s’occuper des fleurs non ?
Première classe Gremüd : Ah bon ? C’est donc ça… enfin ça m’a valu une prime c’est le plus important ! 1000 pièces d’or !
Léon Sidonie, ironique : Justice a été faite…
Première classe Gremüd : Attention ! Voilà le capitaine !
**Scène 2 — Léon Sidonie, première classe Gremüd, capitaine Œildacier. **
Capitaine Œildacier : Gaaaaaarde à vous ! Repos ! Gaaarde à vous ! Repos ! Gaaaarde à vous ! Repos ! Qu’est ce que c’est que tout ce bruit ?
Première classe Gremüd : Nous allons peut être avoir une recrue mon capitaine ! Il s’appelle…
Léon Sidonie : Léon Sidonie capitaine…
Capitaine Œildacier, scrutant Léon de son œil… d’acier : Vous avez signé ?
Léon Sidonie : Non pas encore.
Capitaine Œildacier : Une croix suffira alors… Nous ne voulons pas que les soldats sachent écrire. On réserve ça à l’administration… Lui tend un papier.
Léon Sidonie,* signant d’une croix alors* : Voilà capitaine. Il parait que je dois avoir un entretien avec vous.
Capitaine Œildacier : Oui, on vous a bien informé. Ca mérite une prime ça. Première classe Gremüd, vous aurez 500 pièces d’or !
Première classe Gremüd : Merci mon capitaine !
Capitaine Œildacier : Allons Léon, dans mon bureau, et plus vite que ça !
Scène 3 — Léon Sidonie, capitaine Œildacier.
Capitaine Œildacier : je vais vous poser des questions, vous allez devoir y répondre.
Léon Sidonie : Bien mon capitaine.
Capitaine Œildacier : Quel âge avez-vous ?
Léon Sidonie : 1m80
Capitaine Œildacier : Vous fumez ?
Léon Sidonie : Je ne bois jamais.
Capitaine Œildacier : Avez-vous déjà tué, ou avez-vous eu des antécédents de meurtres ?
L éon Sidonie : Jamais entre deux repas.
Capitaine Œildacier : Aimez-vous le rose ?
Léon Sidonie : Je suis discipliné.
Capitaine Œildacier : Voulez vous que je vous plante la main ?
Léon Sidonie : Volontiers ?
Capitaine Œildacier : J’aime les petits plats.
Léon Sidonie : Je sais cuisiner.
Capitaine Œildacier : Parfait ! Vous avez répondu tout faux ! Vous êtes l’homme de la situation ! Nous aimons les soldats simples dans l’armée ! Et je crois avoir trouvé le simplet qu’il nous fallait ! Bienvenu à vous recrue Sidonie ! Sachez que le plus important, ce sont les primes ! N’hésitez pas à remplir les contrats ! Ils sont affichés dans le couloir !
Léon Sidonie : Bien mon capitaine ! J’y vais de ce pas !
Scène 4 — Léon Sidonie, devant les annonces.
Léon Sidonie,* lisant plusieurs annonces* : Femme… seule, cherche homme pour protection rapproché et plus si… humm Déjà pris… Homme seul, cherche homme pour… Alors ça ! Jamais de la vie ! Chien cherche maître pour promenade, prime de 50 pièces d’or… pas assez payé ! Convoi exceptionnel cherche protecteur pour escorter un fourgon d’herbe… pas envie de me frotter à ces mangeurs d’herbe moi… Commerçant, cherche… il cherche quoi ? Prime 500 pièces d’or ! Pour un commerçant qui cherche quelque chose d’inconnu c’est plutôt bien payé !
Regardons s’il y a autre chose plus bas. Non pas si bas… Noble cherche escorte sérieuse et efficace. Prime 1000 pièces d’or, mais travail dangereux. Eh bien je crois que je vais faire ces deux derniers contrats ! Je m’en vais voir ce commerçant qui cherche je ne sais quoi puis j’irai voir la noble, qui sait, peut être qu’en plus elle ne sera pas vieille et moche…
Acte III
La scène représente un bureau richement décorée.
Scène première — Léon Sidonie, comptable Chpaiepas.
Léon Sidonie : Bonjour Sieur. Il parait que vous cherchez.
Comptable chpaiepas : Oui je cherche mon monocle là.
Léon Sidonie : Vous engagez un mercenaire pour retrouver un monocle ?
Comptable Chpaiepas : Non j’engage un gain pour retrouver mon bien.
Léon Sidonie : alors vous n’avez pas besoin de moi ?
Comptable Chpaiepas : Êtes-vous un gain ?
Léon Sidonie : Je ne suis pas un gain, mais je serais un gain de temps pour retrouver votre bien.
Comptable Chpaiepas : Et bien dépêchez vous de m’aider à retrouver mon bien ! Ou bien sortez !
Léon Sidonie : Bien bien… cherchant par terre. Comment est votre monocle ?
Comptable Chpaiepas : Rond…
Léon Sidonie : Mais encore ?
Comptable Chpaiepas : Seul, puisque c’est un monocle.
Léon Sidonie : Me prendriez vous pour un imbécile ?
Comptable Chpaiepas : avez-vous envie que je vous prenne ?
Léon Sidonie : Je suis un gain à prendre, alors si l’envie vous prend prenez moi. Je crois que votre monocle est sous votre chaise.
Comptable Chpaiepas : Eh bien venez donc le cherchez !
Léon Sidonie : J’y vais de ce pas. Si vous pouviez pousser vos jambes.
Comptable chpaiepas : Mes jambes vous gênent ?
Léon Sidonie : Non pas qu’elles me gênent mais elles sont sur mon passage.
Comptable Chpaiepas : Eh bien poussez-vous alors !
Léon Sidonie : Si je me pousse je ne pourrai pas reprendre votre bien et je ne serai plus un gain mais une perte de temps. Voudriez vous vous écartez je vous prie ?
Comptable Chpaiepas : Mais je suis déjà écarté !
Léon Sidonie : Vos jambes le sont mais elles obstruent ma vue.
Comptable Chpaiepas : Seriez vous en train d’insinuer que mes jambes vous déplaisent ?
Léon Sidonie : Loin l’idée qu’elles me déplaisent mais… Oh et puis mince alors ! Passant sa main entre les jambes du comptable. Le voilà votre monocle !
Comptable Chpaiepas : Voyez ! Cela ne fut pas si difficile ! Il suffisait d’insérer la main !
Léon Sidonie, à lui-même : Je lui insèrerai bien ma main dans la tronche moi…
Comptable Chpaiepas : vous disiez ?
Léon Sidonie : Je disais que j’étais venu pour l’annonce faite à la caserne de l’armée. Vous recherchiez quelque chose.
Comptable chpaiepas : En effet ! Je recherche un homme fort… Musclé… séduisant… qui pourrait flatter ces mangeurs d’herbes afin de découvrir ce qu’ils cachent…
Léon Sidonie : Ils cachent quelque chose ?
Comptable Chpaiepas : Tout le monde à ses secrets.
Léon Sidonie : Vous voulez de mon aide oui ou non ?
Comptable Chpaiepas : En effet je vous veux. Mais pour tout bien vous expliquer, j’ai besoin de mon informateur. Lafouine !!
Scène 2 —Le comptable Chpaiepas, Lafouine
Lafouine, entrant dans la pièce : Vous m’avez fait appeler maître ? Vous avez la tête de quelqu’un à qui on a récupéré son monocle entre les jambes…
Comptable Chpaiepas : Mes petites affaires ne vous regardent pas Lafouine…
Lafouine : Vous savez bien que j’aime me renseigner sur tout…
Comptable Chpaiepas : alors vous saurez que mes affaires ne sont pas petites ! dit il dans un sourire un peu pervers. Enfin soit ! J’ai besoin d’un éclaircissement au sujet des mangeurs d’herbes.
Lafouine : Vu ce qu’ils fument, ils sont bien embrumés en ce moment. Mais vous voulez peut être parler de cette histoire de codex, de lois, enfin de ces choses de justice, dont les citoyens en ont strictement rien à faire ?
Comptable Chpaiepas : C’est simplement qu’ils n’ont strictement rien à faire d’autres que de critiquer la justice. Je suis juge, comptable, commerçant, agaçant quelquefois, mais je connais les lois par cœur, et ces mangeurs d’herbes ont encore essayé de détourner la loi. J’ai besoin qu’un homme fort vienne voler leur codex à la noix et me le ramène, afin que j’étudie quelles lois ils ont détourné, et je pourrai ainsi m’en référer à l’empereur Bâton.
Lafouine : Mais… Je serais l’homme de la situation, je récolte tout le temps les dernières informations maître. Pourquoi engager un mercenaire qui n’a rien dans la tête ?
Comptable Chpaiepas, chuchotant à l’oreille de Lafouine : Parce qu’au moins, si leur codex est en ordre, nous aurons un imbécile à accuser, rien de tel qu’un membre de l’armée pour ça !
Lafouine : Vous êtes si perfide mais si ingénieux maître…
Comptable Chpaiepas, toujours à l’oreille : Merci du compliment. Revenons à notre sujet, désignant Léon.
Scène 3 — Léon Sidonie, comptable Chpaiepas, Lafouine.
Comptable Chpaiepas : Léon, acceptez vous la mission que je vous propose ? D’aller chez les mangeurs d’herbes, de leur prendre leur codex et de me le ramener ?
Léon Sidonie : bien entendu comptable que j’accepte, mais la prime est de combien ?
Comptable chpaiepas : Cette question ne m’étonne même pas de la part d’un mercenaire, toujours attiré par la carotte !
Lafouine : La carotte vous dîtes monseigneur ?
Comptable Chpaiepas : L’appât du gain en quelque sortes, n’allez pas croire des choses fausses, sinon vous allez encore propager des rumeurs.
Lafouine : Ce ne sont pas les rumeurs qui manquent à votre sujet maître, ni sur les autres citoyens de Sustéria. D’ailleurs j’en ai une bonne sur le nom de notre ville, saviez vous qu’à la base c’est un mari qui a surpris sa femme Téria en train de…
Comptable Chpaiepas, *d’un geste de la main agacé *: Plus tard Lafouine ! Va-t’en donc espionner la secte des mages ! Je ne sais pas ce qu’ils trafiquent encore ! Toujours à chercher des démons ou il n’y en a pas ! Je suis presque certain qu’ils se fournissent en herbe chez ces mangeurs ! Et vous Sidonie ? Que faites vous encore ici alors que je vous ai donné ordre de mission ?
Léon Sidonie : J’attends que vous me disiez quelle prime j’y gagnerai !
Lafouine : Je cours de ce pas voir ce magistère et son nouvel adepte ! Je crois qu’ils voulaient trouver un démon dans les égouts !
Comptable Chpaiepas : Léon, tu gagneras 3000 pièces d’or de prime si tu arrives à faire ce que je t’ai demandé ! Pour l’heure tu gagnes 500 pièces pour avoir trouvé mon monocle ! Lafouine, je compte sur toi pour… fouiner et mettre ton nez dans leur affaire, mais fait attention ! La ou ils sont ça sent mauvais !
Léon Sidonie : Bien je m’en vais de ce pas. Au revoir Sieur Chpaiepas. Léon sort de la pièce.
Lafouine : A bientôt seigneur ! Avec des nouvelles de ces sectaires ! Je n’irai pas fouiller trop profond dans leurs affaires, puisque vous m’avez dit que ça sentait mauvais. Il sort également de la pièce.
Scène 4 — Comptable Chpaiepas, empereur Bâton.
Empereur Bâton : Vous y avez été un peu fort non ?
Comptable Chpaiepas, sursautant de l’apparition soudaine : Monseigneur ! Cela me fait toute chose lorsque vous apparaissez comme cela !
Empereur Bâton : Je sais je sais… Mon plan marche toujours ?
Comptable Chpaiepas : si cela peut aider à vaincre ces révolutionnaires pros fanatiques des fleurs, alors votre plan fonctionne toujours.
Empereur Bâton : Je suis certain que ce sont ces mangeurs d’herbes qui en sont à la tête.
Comptable Chpaiepas : Je le pense également monseigneur Bâton. Tout ceci correspondrait, ils aiment les plantes.
Empereur Bâton : Je me disais exactement la même chose. Je préviendrai le capitaine Œildacier que ses recrues sont de plus en plus bêtes d’accepter ce genre de travail.
Comptable Chpaiepas : Vous savez… Je crois que cette situation arrange tout le monde… Ils servent à quelque chose, pas comme ces ordreux de la lune.
Empereur Bâton : Faites attention à ce que vous dîtes, et à ne pas déborder sur des sujets tendancieux, je suis tolérant sur vos goûts, mais ne critiquez pas la religion lunaire… il serait dommage que des rumeurs courent à votre égard…
Comptable Chpaiepas : Ce ne sont pas les rumeurs qui manquent à mon sujet, ni au votre d’ailleurs.
Empereur Bâton : Cela permet de trainer un certain mystère, et de constater qu’on s’intéresse à ma personne, soyons rassurés des rumeurs.
Comptable Chpaiepas : La dernière en date, serait que je sois votre amant, dit-il les yeux brillants d’espoir.
Empereur Bâton : Ce ne sont que des rumeurs mon cher comptable, que des rumeurs…* Puis il disparait.*
Comptable Chpaiepas : Je l’aurai un jour je l’aurai !
Acte IV
La scène représente une entrée d’égouts
Scène première — Magistère Gargarisme, adepte Magot Cadré, Lafouine caché
Magot Cadré : Magistère ? Pensez vous vraiment qu’il y a un démon à l’intérieur ? C’est que ça refoule comme quand ma tante se lève le matin !
Magistère Gargarisme : J’espère bien ! Ca fait trois fois qu’on dit qu’on cherche des démons et qu’on n’en trouve pas, il va falloir vraiment qu’on montre au peuple que l’on est efficace. Et malgré l’odeur… On a peut être un sort contre les mauvaises odeurs d’ailleurs.
Magot Cadré : Attendez je regarde, c’est un peu lourd de porter tous ces livres sur soi, j’aimerai bien faire un peu de leste.
Magistère Gargarisme : Non on en jette aucun, nous sommes des hommes d’étude, nous faisons payer assez cher pour avoir tous ces livres, hors de question d’en délaisser. Surtout que nous avons le monopole des bibliothèques en rachetant toutes les parts.
Magot Cadré : Bien bien, je n’insiste pas. Avec tout ça je ne trouve pas de sort anti-odeurs. Nous allons devoir faire sans Magistère.
Magistère Gargarisme : Que je sente quoi ? En plus il doit y avoir des rats à l’intérieur, tiens ! Qu’est ce que je disais ! En voilà un !* Levant ses mains, prêt à jeter un sort.*
Magot Cadré : Mais non… ça c’est l’espèce de fou qui arpente les égouts, faut dire qu’il est tellement laid et qu’il sent tellement… On l’a jeté dedans il y a pas longtemps, il est un peu simplet d’esprit, alors il se perd vite. Il a du retrouver son chemin à mon avis.
Magot Cadré : C’est pour ça que j’ai confondu. Re-téléportons le à l’intérieur, ça peut être amusant. L’homme monstre disparait alors au fin fond des égouts dans un bruit terrible.
Magot Cadré : J’adore vous voir jeter votre sort de téléportation! Ce fut tellement plaisant la dernière fois, afin de nous éviter qu’on découvre notre secte !
Magistère Gargarisme : Parle moins fort Magot, j’ai comme l’impression que l’on nous écoute parler. D’ailleurs, as-tu réussit à corrompre les derniers citoyens ?
Magot Cadré : Non, je n’arrive pas bien à maîtriser mon sort de télépathie, je voulais lui effacer la mémoire, et au lieu de ça, je lui ai ordonné de baisser son pantalon, il suffit de se tromper d’un mot pour que l’action change. La dernière fois, je voulais charmer une dame par télépathie, au lieu de la faire tomber folle amoureuse de moi, elle c’est mise à me détester. Je déteste la télépathie !
Magistère Gargarisme,* ricanant* : Ca aurait bien plu à ce sale comptable Chpaiepas de voir un homme sans pantalon! Qui était cette dame ?
Magot Cadré : La comtesse T’soun Arka Shanyouri de la Houlette.
Magistère Gargarisme : C’est un nom à rallonge ça…
Magot cadré : Normal elle est grande…
Magistère Gargarisme : Enfin ! Nous avons un démon à trouver ! Si nous n’en trouvons pas, on tuera le fou et on dira qu’il était possédé, ça satisfera l’empereur. Alors on entend un bruit.
Scène 2 — Magistère Gargarisme, Adepte Magot Cadré, Lafouine
Lafouine : Ah ! Ah ! Je vous y prends ! À dire du mal de mon maître et à vouloir mentir à l’empereur !
Magistère Gargarisme : Ta présence ne m’étonne même pas Sale fouine… Et que vas-tu faire ? Répétez comme un petit rapporteur tout ce que tu viens d’entendre ? Et après ? Je dirai simplement que je plaisantais, et tu te retrouveras comme d’habitude aussi bête qu’un mouton, parce que tu ne sauras plus quoi dire. Est-ce cela que tu veux ?
Lafouine : cette fois-ci je ne me ferai pas avoir par vos mensonges ! Vous ne savez que mentir et utiliser la télépathie pour embrouiller les esprits ! Ou a jeter des sorts, à nous transformer pour que l’on se taise sur vos actions.
Magistère Gargarisme : Te transformer… c’est une bonne idée ça. Il lève alors ses mains en l’air et Lafouine se transforme en escargot. Ah ! Ah ! Ah ! Ah! Vite pars répéter à ton maître ce que l’on a dit ! Le temps que tu y arrives, nous aurons occis au moins trente démons !
Magot Cadré : Ce n’est pas très sport tout de même… Enfin… Moi j’aurai bien testé de la télépathie sur lui avant de le transformer. C’est avant tout ça la secte, pouvoir tester des expériences sur des humains.
Magistère Gargarisme : Tu auras d’autres occasions d’expérimenter, allons donc à l’intérieur trouver ce démon. Et toi le rat ! Donnant un coup de pied. Dégage !
Magot Cadré : Vous ne devriez pas, les mangeurs d’herbes vont nous tomber dessus ensuite… ce serait fâcheux de se quereller avec eux, vu qu’ils nous fournissent en réactifs…
Scène 3— Magistère Gargarisme, Adepte Magot, Madame Laipala avec un gros cocard, Gara Garichie, un escargot.
Madame Laipala : Il a frappé un animal !!
Gara Garichie : il a trahit le codex !
Magot Cadré : Il a transformé Lafouine en escargot !
Madame Laipala : Non… ça c’est une bonne chose Magot…
Magistère Gargarisme : Ce n’est pas moi qui ai tapé dans le rat, c’est le rat qui est venu sous mon pied alors que j’allais marcher, voilà tout.
Gara Garichie : Ouai mais non ! N’ai marre des gens qui n’assument pas leur actes moi ! Du temps de ma jeunesse ça ne s’passait pas comme ça ! Bientôt c’est nous qui allons avoir tord parce qu’on défend la nature !
Magistère Gargarisme : Enfin voyons n’allez pas à l’extrême non plus, je n’ai tué personne.
Gara Garichie et Madame Laipala en cœur : Tu n’as pas respecté le codex !
Madame Laipala : tu mérites la prison !
Gara Garichie : La pendaison !
Magot Cadré : Doucement le vieux grincheux et la vieille mégère là ! Regardez-moi, dans les yeux, ai-je l’air d’un homme qui fait du mal aux animaux ?
Gara Garichie : Je n’en ai rien à faire de ta télépathie de mes deux ! Ca ne fonctionne pas avec moi ! Allez hop ! Vous deux en prison !
Magistère Gargarisme : Et après quoi ? On fera notre sort de télépathie et vous vous retrouvez comme deux niais avec personne dans la cellule. Vous ne pouvez rien contre nous ! La secte des mages est beaucoup trop puissante !
Gara Garichie, devenant tout rouge : On va vous ligoter oui ! Vous couper les membres ! Vous bâillonner, vous ne pourrez plus parler ! Plus jeter de sort !
Madame Laipala : Comment ça vieille mégère ? J’vais t’en mettre moi de la vielle mégère ! Déjà que ma sœur m’a provoqué c’matin ! Mais alors la ça va barder !* Remontant ses manches et attaquant à mains nues Magot.*
Scène 4 – Magistère Gargarisme, Adepte Magot Cadré, Gara Garichie, Madame Laipala, Léon Sidonie, La Tulipe.
Léon Sidonie : Ah vous voilà les mangeurs d’herbe ! Houla mais… Madame Laipala qu’est ce que vous pouvez être violente ! Crochet du droit à la donzelle messire ! Voilà comme ça ! Cassez lui le nez elle ne pourra plus parler ensuite ! Puis se tournant vers Gara, ivre de colère contre le magistère. Sieur Garichie, j’aurai besoin de votre aide !
Gara Garichie : Va chier toi ! Je discute avec l’Magistère ! Qui ne le sera plus une fois réduit en miette !
Magistère Gargarisme : Hélas, je pense pouvoir vous jeter mille sorts avant que vous n’ayez esquissé le moindre geste.
Gara Garichie : Je vous mets au défi !
Léon Sidonie : J’aimerai bien votre codex moi…
Magistère Gargarisme : soit. Il lève alors les mains. Mille sorts !* Alors pleins de petits sorts s’échappent de ses mains vers Gara Garichie, faisant tomber le codex*. Alors vous voyez que j’ai raison ! Je peux vous jeter mille sorts avant que vous fassiez quelque chose ! Ah oui j’avais oublié de vous préciser, il y a un sort de paralysie, vous ne pourrez pas bouger pendant un moment !
Léon Sidonie : Je me demande si je dois… allant vers le codex tout en écrasant l’escargot. Me voilà bien lotit avec le codex ! Je n’aurai plus qu’à retourner voir le comptable Chpaiepas ! Il évite alors Laipala et Magot qui continuent à se battre.
La Tulipe : M’aurais tu oublié ? Apparaissant par de là un buisson de fleurs.
Léon Sidonie : C’est vous le chef des fanatiques des fleurs !
La tulipe : M’aurais tu démasqué ? Je ne crois pas ! Tu pourras retrouver ton cheval attaché à la sortie de la ville ! Ne me remercie surtout pas !
Léon Sidonie : D’accord ! En attendant je dois retourner voir Le comptable Chpaiepas. Merci quand même La Tulipe !
La Tulipe : Mais de rien ! En échange, je ne veux pas que tu répètes que je compte tuer l’empereur ce soir ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah! Disparait.
Léon Sidonie : Une ville de fou, je le disais…
Scène 5— Chez le comptable Chpaiepas, Léon Sidonie, Le comptable chpaiepas.
Léon Sidonie : Me revoilà avec le codex Sieur !
Comptable chpaiepas : fort bien fort bien ! Donnez le moi je vous prie que je le consulte.
Léon Sidonie : Vous voulez le consulter maintenant ?
Comptable Chpaiepas : Vaudrait mieux pour vous que je le consulte avant, sinon je vais finir par vous insulter, et vous aurez l’air d’un con.
Léon Sidonie : N’en ai-je déjà pas l’air ?
Comptable Chpaiepas : Je n’aurais pas mieux dit ! Mais ouvrez donc la fenêtre je manque d’air par ici. Et donnez-moi le codex !
Léon Sidonie,* donnant le codex et se dirigeant vers la fenêtre* : Je me suis toujours dit depuis le début que je brassais de l’air, mais finalement je nage plutôt bien. Je m’en suis sortit pour cette première prime plutôt bien. Avez-vous trouvé quelque chose d’intéressant dans ce codex à leur reprocher ?
Comptable chpaiepas : Oui !! Quelque chose qui pourrait leur coûter leur place ! J’ai vu une faute d’orthographe !
Léon Sidonie : Vous ne pensez pas que vous chipotez ?
Comptable chpaiepas : toujours ! Il faut toujours voir le moindre détail, c’est comme ça que l’on y arrive dans la vie !
Léon Sidonie : Je me souviendrai de vos précieux conseils, en attendant j’aimerai être payé pour ma mission car je l’ai remplit avec tous les honneurs qu’on peut avoir.
Comptable chpaiepas : C’est vrai… Tenez voilà vos 3000 pièces d’or, partez à présent, j’ai d’autres affaires à régler, comme… m’occuper de l’empereur.
Léon Sidonie, à lui-même : Serait lui la Tulipe ? Ne tardons pas, peut être voudrait il aussi me tuer pour ma curiosité, je vais de ce pas aller remplir ma seconde prime que propose cette noble au grand quartier des riches. Puis il dit fort. Au revoir Sieur Chpaiepas ! Bon courage pour la suite !
Acte V
La scène représente une cour de palais.
Scène première — Léon Sidonie, Inquisiteur Beauregard, Légat Tacamendier.
Inquisiteur Beauregard, avec une grosse voix : Vous là-bas ? Que faites vous au palais, vêtu de rose et sale comme un goret ?
Léon Sidonie : Je suis le mercenaire qui doit escorter la noble dame, il paraitrait que c’est fort bien payé mais fort dangereux, mais rien n’arrête un mercenaire quand il s’agit d’une prime à la clé !
Inquisiteur Beauregard, parlant bas : Ca ne m’étonne pas de l’armée ça… Puis plus fort. Et quelle noble devez-vous escorter si je ne m’abuse ?
Léon Sidonie, lisant le papier : La comtesse Arka Shanyuri de la Houlette.
Inquisiteur Beauregard, avec une voix froide : Un nom à rallonge ça. Mais il parait qu’elle est grande, ce qui semblerait du coup un peu plus logique. J’ai ouïe dire que le travail était dangereux, mais je n’ai jamais entendu parler d’escorte plutôt de…
Légat Tacamendier, un rouleau de pâtisserie à la main arrive alors : Chéri ?? Qui est-ce ? Cri de stupeur, Encore un de ces clochards qui vient mander de l’argent ! Balance alors le rouleau sur Léon, qui se le prend. Allez ailleurs ! Voleur ! Etranger ! Malotru !
Inquisiteur Beauregard : Du clame, nous faisons partis de l’ordre de la lune, nous devons faire preuve d’une tolérance exemplaire ! Nous représentons la pureté de l’esprit, le bien !
Légat Tacamendier : il n’empêche qu’il est moche, et mal habillé !
Inquisiteur Beauregard : Il doit faire la mission de la Houlette…
Légat Tacamendier : Ah… Je comprends mieux alors.
Léon Sidonie, frottant la bosse sur sa tête : Ca à l’air horrible… Vous ne pouvez pas m’en dire plus ?
Légat Tacamendier : Ce serait mentir que de vous en dire plus, or dans l’ordre de la lune, nous ne mentons jamais !
Inquisiteur Beauregard : enfin… Je vous souhaite bien du courage… Chérie… ta fausse mèche rose est tombée par terre. A force de t’énerver ça…
Légat Tacamendier : Ah oui c’est vrai… ramasse alors. Bon je dois préparer le souper pour nos enfants, je dois aussi faire répandre la rumeur que je suis une méchante femme auprès des citoyens, il faut bien un vilain petit cygne.
Inquisiteur Beauregard : Tu me feras signe alors quand tu auras finit tout ça, pour ma part, je dois régler le conseil des hauts paladins. Nous avons réussit la guerre,* dit il en dévoilant les muscles de ses bras*.
Légat Tacamendier : il suffira alors d’un signe de ma main pour te prévenir, demain matin, qui sera un matin tranquille et serein…
Léon Sidonie : J’ai déjà entendu ça quelque part…
Inquisiteur Beauregard : C’est la dernière chanson du ménestrel Jacques L’homme d’Or. Elle n’arrête pas de la chanter en ce moment, entre ça et « à nos actes manqués », j’ai l’impression que les paroles réservent de tristes avenirs pour nos croyances.
Léon Sidonie : Mais non Sieur, il faut des croyants en ce monde, car si nous ne croyons en rien, alors… Alors rien quoi…
Inquisiteur Beauregard : Bien dit la recrue… Sur ce, je crois que ta noble arrive. Il part.
Légat Tacamendier : elle me donne la nausée elle, comme un peu toutes ces nobles qui se pouponnent comme des grosses truies violettes, avec de la poudre qui colle et qui m’asphyxie à peine je les sens, elles sont immondes, dans leur corsets qui les serrent comme des gigots et…
Inquisiteur Beauregard : Chérie… Allons-y s’il te plaît, nous composerons des Odes aux nobles une autre fois d’accord ?* Ils partent alors que la noble arrive.*
Scène 2 — Léon Sidonie, La comtesse Arka Shanyouri de la houlette.
Léon Sidonie, à lui-même : Mais… elle ne paraît pas si horrible que ce que l’on raconte… Bien habillée, parfumée à souhait, sentant bon la fraicheur du cèdre et de la jeunesse… Les cheveux coiffés simplement, blonds soyeux. Des oreilles en pointes, fines, comme le reste de son corps. Si mes yeux ne me font pas défaut, et je l’espère, je dirai sans mentir que c’est la plus belle femme que j’eu rencontré jusqu’à aujourd’hui.
La comtesse : bonjour, l’on m’a prévenu de la venue d’un mercenaire pour le service que j’ai demandé…
Léon Sidonie : Me voici tout à vous dame -la saluant plus que poliment- Je suis venu ici devant vous, en l’attente de votre demande, bien que bon nombre de gens m’aient prévenu que cela pourrait être la dernière mission de ma vie.
La comtesse : en effet, ils ont eu raison de vous prévenir. Ma demande est des plus dangereuses.
Léon Sidonie : quelle est votre demande ?
La comtesse : Ne me demandez pas ce que je veux puisque je vais vous le dire !
Léon Sidonie : Eh bien faites, puisque je vous dis que je n’attends que ça que vous parliez !
La comtesse : voilà… Je dois absolument me marier, il me faut pour cela n’importe quelle personne, assez forte d’esprit tout de même, pour accepter mon offre.
Léon Sidonie : Pourquoi tout le monde refuse cette offre si alléchante ?
La comtesse : Car il faut absolument passer devant le moine Malmène pour nous marier.
Léon Sidonie : Est-ce les curés qui marient ?
La comtesse : La dernière Marie qui c’est marié, son mari fut moine.
Léon Sidonie, à lui-même : Est-elle folle elle aussi ? -Puis fort- Eh bien, malgré le risque que vous me dîtes, même si je n’en vois pas là un risque, j’accepte votre offre.
La comtesse : Allons directement chercher mon frère, et marions nous ici !
Léon Sidonie *à lui-même encore *: Folle et précipitée ! Mais tellement jolie !
La comtesse : J’accours trouver mon frère ! Je reviens vite !
Scène 3 — Léon Sidonie, La comtesse, Le moine Malmène
Léon Sidonie : on dirait un T’soun lui aussi !
La comtesse : C’est normal c’est mon frère !
Léon Sidonie : On dirait qu’il a bu aussi !
La comtesse : C’est normal c’est un moine !
Léon Sidonie : Je me disais aussi…
Moine Malmène : Bien… vous voici réunit en ce jour si… éructe spécial ! Je vous demande toute votre attention… cela va être long… Car avant tout… j’aimerai relater le tracé de toute ma famille… il y avait d’abord l’oncle Fernoi, qui avait épousé sa sœur… de ce mariage, il naquit, deux enfants… un garçon et une fille… L’un s’appelait Aurore, la fille Hanza, enfin… je n’sais plus trop… y z’avaient mélangé les prénoms, ça c’était sûr ! Puis il y avait la sœur de ma tante, qui était aussi la cousine éloigné de mon arrière grand-mère du troisième degré. Vous suivez ? Et ba… on s’en fout ! Ma grand-mère elle…
Léon Sidonie, s’impatientant : A t’il bientôt finit ?
La comtesse : Ce n’est que le début soyez patient…
Léon Sidonie : Oui je le suis…
Moine Malmène : …elle avait eu quatre maris. Mon premier se passe en douze mois, mon second est un organe important pour la boisson et mon dernier est une note de musique. Eh bien le mari était ce mot là ! Le second mari lui il était… comment… Mon premier est un animal aquatique plat, mon second se trouve sur les pattes des oiseaux et mon dernier c’est vé ! Oui il était réservé ! Enfin… Avec ce second mari, elle avait trois enfants, qui eux même eurent chacun quatre enfants. Mais ma sœur et moi n’en faisions pas partit. Ensuite !
Léon Sidonie : Vous ne pouvez pas accélérer un peu ?
Moine Malmène : ensuite ! Il y a eu le troisième mari. Alors il, il était… comment qu’on dit déjà… mon premier est le bruit du serpent, mon second est après je, mon troisième sert à extraire le lait d’une vache et mon dernier est après le un. Ah oui voilà ! Stupide ! Toujours en train de boire un petit coup à la taverne ! C’est d’ailleurs là que j’ai été conçu ! Eh Oui ! Je suis l’enfant du troisième mari !
Léon Sidonie : J’en ai plus qu’assez ! C’en est trop ! Je pars d’ici !!!
La comtesse : encore un qui n’a pas supporté le discours de mon frère…
La scène représente le porche avec le cheval Eauclaire.
Scène 4 — Léon sidonie, cheval Eauclaire
Léon Sidonie : C’est une ville de fou ! Je ne comprends pas pourquoi on me l’a recommandé !
Le cheval : tu as bien raison, je trouve aussi que tout le monde devient fou dans cette ville…
Léon Sidonie : Je crois qu’il est temps que je parte, si je crois même que mon cheval parle… Il parait que plus au Nord, il y a une ville du nom de Systéria, on va bien voir si c’est pire qu’ici… allez en route !
Le cheval: Ville de fous!
Fin
Post by Lamalia Lunavae, AD - December 30, 2009 at 11:30 PM
Cette dernière pièce est vraiment hilarante!
- Lamalia
Post by Ärold, AdC - December 31, 2009 at 1:00 AM
Pensez vous que cela serait raisonnable d'envoyer d'ores déjà une partie de la commande, afin de montrer notre investissement dans ce projet d'écriture?
Mes respects,
Ärold.
Post by Lamalia Lunavae, AD - December 31, 2009 at 1:16 AM
Je crois que ce serait une bonne idée, ça permettrait de montrer notre avancement.
- Soeur Lamalia
Post by Ärold, AdC - December 31, 2009 at 2:01 AM
Bien, dans ce cas je pense que personne n'y verra d'inconvénients si je remet moi-même le dossier?
Mes respects,
Ärold.
Post by Ärold, AdC - January 3, 2010 at 2:23 PM
Du nouveau pour les écrits, cela tombait tellement bien! La lettre de réponse du surintendant avait su éveillé en ärold une excitation enfantine comme lorsqu'un professeur rend un devoir bien noté, il en serait de même pour tous les autres membres qui lirait la réponse de Thomas, affichée alors, bien en vue, avec le reste du dossier inachevé de cette fameuse commande.
A qui de droit,
La Fraternité a su m’impressionner en réalisant une partie de la commande que je lui avais confiée. Qui plus est, le travail n’est pas bâclé, mais singulièrement bien pensé.
Je vous invite donc à accomplir plusieurs démarches en attendant que les autres œuvres ne soient finalisées :
-
Faire archiver l’ensemble de ces œuvres au sein de la Bibliothèque Impériale, sous l’égide de la Confrérie Pourpre.
-
Trouver des interprètes pour jouer dans des délais raisonnables les deux opéras ainsi que la pièce comique que j’ai fort apprécié.
Dès que ces conditions auront été remplies, je vous prie de bien vouloir m’indiquer vos disponibilités afin que nous puissions convenir d’un rendez-vous au cours duquel je vous remettrai l’or dû.
T. H. Bolton, Surintendant
Soeurs et frères,
Je m'acquitte du travail de recopier la commande pour la bibliothèque impériale, je pense que cela me prendra une journée afin de tout recopier correctement, étant donné que cette commande vient de l'empire nous devons respecter que celle-ci soit publié dans cette dite bibliothèque.
Il va me falloir trouver des acteurs au plus vite, étant donné que je suis muet, vous comprendrez que mon rôle d'acteur sera vite limité, je pourrai peut être jouer les personnages secondaires qui ne parlent pas. La liste qui vient, devra être impérativement remplie de vos noms, sinon, je me sentirai dans l'obligation de recruter les acteurs ailleurs, ce qui serait fâcheux pour l'image de la fraternité mais permettrai aussi une ouverture aux autres personnes motivées, je laisserai par ailleurs un délai de deux semaines pour vous décider et vous laisser réfléchir sur quel rôle vous voudriez jouer, en sachant que pour chaque pièce, jouer deux rôles est loin d'être impossible, étant donné que les personnages sont peu récurrent, la plupart du temps n'apparaissant qu'une fois par acte.
Pour l'opéra La mort amoureuse nous avons besoin:
D'un narrateur : Cléa
De la jeune fille Selyna : Mystique
La mort: Astria
de deux hommes Faebus et Castel: Sid D'orcastel, Nathaniel
de deux silhouettes sombres accompagnant la mort: Ärold. et Malik
d'un joueur de musique Eloëdyn
Pour l'Ode à la joie: j'aimerai le plus de figurants possible.
Il faut un conteur: Mystique
Des personnes habillés de gris: Malik, Nathaniel, Garibald
Des enfants:
Des musiciens aux vêtements éclatant : Eloëdyn, Astria,
Un ou plusieurs danseurs avec des rubans: Lamalia, Cléa, Sid D'orcastel
Un cracheur de feu: Ärold.
Pour la pièce comique, comme je le disais, l'on peut jouer plusieurs rôle, et j'aimerai, en toute honnêteté, que Lamalia et Gari jouent leur propre rôle afin de montrer l'auto dérision de notre propre guilde.
Léon Sidonie: Taräsilmë Taur'amandil Balgor
Arka-Shanyouri : Lamalia
Le moine Malmène : Malik
Le grand inquisiteur Beauregard : Nathaniel
La légat Tacamendier:Cléa
Comptable Chpaiepas,: Eloëdyn
Lafouine : Alysanne
Capitaine Œildacier : Nathaniel
Première classe Gremüd :Cléa
Magistère Gargarisme : Garibald Adalard
Adepte Magot Cadré: Eloëdyn
Gara Garichie, : Garibald Adalard
Madame Laipala Seguin : Lamalia
Domicile Seguin : Mystique
La Tulipe :Astria
L’empereur Bâton : Alysanne
Pour ce qui est des costumes, nous aurons besoin de couturiers sérieux et efficaces car la commande sera lourde je pense, mais nous avons déjà quelques vêtements en réserves je suis allé voir il y a peu, je peux dores déjà dire que nous n'avons besoin d'aucune chausses, cela nous évitera une bonne partie de la commande. Je vous invite également à regarder chez vous pour si vous avez des affaires dont vous ne vous servez plus, qu'on les repique, reteigne afin de ne pas gâcher un nouveau tissu.
Pour les costumes de la Mort amoureuse nous avons besoin:
-D'une robe blanche montrant la pureté de Selyna.
-De trois toges sombres. ==> résolu
-De deux ensembles homme bleu, couleur montrant la fugacité de ces deux êtres ==> résolu.
-Pour ce qui est du musicien et du narrateur, je pense que nous n'avons pas besoin de costumes spécifiques.
Pour l'ode à la joie:
- vêtements gis et noirs. ==> résolu mais on manque de pantalons
- des chaussures à grelots, ainsi que des chapeaux à grelots
- vêtements teintés de couleurs voyantes. ==> résolu mais il manque des pantalons et chemises
- costume de cracheur de feu ==> résolu
- costume de danseurs avec rubans.
pour la pièce comique, c'est sans doute celle qui va devoir nous prendre des costumes spécifiques, je vais noter pour chaque personnage ce que je souhaite comme costume:
-Sidonie: vêtements simples de couleurs bleu pour le bas, avec un haut d'armure de cuir bleu.
-noble Shanyouri: Robe très élégante blanche et rose clair
- une toge de moine ou une toge tout court, brodé d'une lune et couleur argenté ==> résolu
- Légat Tacamendier: robe simple couleur argentée, brodée d'une lune, ainsi qu'une cape de la même facture.
- Inquisiteur beauregard: une imitation d'un haut d'armure en argent (ou même d'une armure en argent si les moyens le permettent), avec grave une lune, une cape comme la légat avec une lune brodée.
- comptable chpaiepas: je pensais à un costume aux couleurs de l'association, d'une bourse remplie.
- Lafouine: costume aux couleurs de l'association
- capitaine Œildacier: tabar rose, foulard rose et pantalon de cuir ainsi qu'un fourreau et une ceinture marqué capitaine
- soldat première classe Gremüd: tabar rose également, foulard rose, pantalon en cuir, et ceinture marqué première classe.
- magistère gargarisme: une toge de mage rapiécée, couleurs à réfléchir ==> résolu,
- adepte magot cadré: pareil que pour le magistère gargarisme.
- Gara Garichie: un costume marron avec des feuilles collées dessus
- Laipala: un costume vert, avec une couronne verte de plantes entrelacées, ainsi que des feuilles collées sur le costume.
- Domicile Seguin: costume rouge, peu habillé.
- La tulipe: une toge rouge aussi, une capuche rouge, un foulard haut rouge foncé.
- L'empereur Bâton, une robe terne avec une couronne.
Pour les accessoires nous aurons besoin:
- d'une faux pour représenter la mort.
- d'une rose de bois
- d'instruments de musiques
- d'un faux escargot
- de longs rubans de soie pour les danseurs - de fausses armes pour les combats
- d'un livre de sortilèges ==> résolu
- d'une bourse - de plumes et de parchemin
Pour le décor cela va être plus difficile, j'aimerai en discuter avec vous. Si vous avez une suggestion, n'importe laquelle, elle est la bienvenue.
Mes respects,
Ärold.
Post by Cléa, CdA - January 3, 2010 at 5:06 PM
Cher Ärold,
tu as fait un travail formidable et ca me ferait plaisir de participer activement à cette réalisation. Je suis prête à jouer dans un opéra ou dans ce que tu souhaites en fait. Pour les costumes je peux m'occuper des teintures avec Mystique. Nous pourrions nous rencontrer pour en parler.
Cléa
Post by Ärold, AdC - January 3, 2010 at 5:09 PM
Les rôles étant à prendre, tu peux choisir ceux que tu souhaites à ta guise, je noterai ton nom en face d'eux. Je suis libre aujourd'hui pour en discuter si tu le souhaites.
Mes respects à toi,
Ärold.
Post by Lamalia Lunavae, AD - January 3, 2010 at 9:25 PM
Je veux bien participer aux pièces que tu le voudras. On en parlera quand on se reverra.
- Lamalia
Post by Nathaniel de Sorgrad,ADM - January 4, 2010 at 1:53 AM
Arold,
Tu peu ajouté armure pour l'inquisiteur. Adrien le couturier de la basse ville m'en as fait une gentilment. Je l'ai mise dans la caisse avec les autres costume. Il ne lui manque qu'une cape je crois.
Nath.
Post by Ärold, AdC - January 4, 2010 at 1:08 PM
Nathaniel,
Je te remercie infiniment, je suis allé voir le résultat ce matin et je n'aurai pas mieux rêvé comme costume, surtout qu'il est léger pour celui qui le portera.
Je me suis permit d'attribuer quelques rôles afin de voir à peu près ce qu'il resterai à placer, les attributions n'ont rien d'officielles, mais c'est pour me faire une idée et vous pourrez ainsi mieux réagir à vos textes, je vous envoie par ailleurs les dialogues que vous aurez à apprendre par missive.
Mes respects,
Ärold.
Post by Alysanne Recaedre, Ind - January 5, 2010 at 7:10 PM
Et la néophyte se lançait dans ce qui l'intéressait le plus.. Les arts!
Aröld,
Je vois que la plupart des rôles sont comblés, sauf celui de l'empereur Baton. Sans doute préférerais-tu un homme pour incarner cette représentation humoristique de mon beau-père, en autre cas, je me propose pour ce rôle.
J'aimerais beaucoup jouer dans ta pièce, elle m'a fait sourire et je crois qu'elle apportera de la joie à la populace.
J'attends de tes nouvelles, sinon si je peux faire quelque chose pour vous aider, il m'en fera grand plaisir.
Alysanne
Post by Ärold, AdC - January 5, 2010 at 9:03 PM
Chère Alysanne,
Dans un premier temps, je te souhaite la bienvenu parmi nous. Je n'ai pas de préférence quand à voir une femme ou un homme jouer le rôle opposé de son sexe, il faudra seulement que tu n'ai pas peur d'être grimée en homme, je vais de ce pas t'intégrer ce rôle. Par ailleurs, j'ai pu voir lorsque j'ai attribué les différents personnages, une erreur concernant Astria qui devrait jouer deux personnages dans une mêle scène. Si tu souhaites en plus jouer un rôle supplémentaire, je te proposerai d'ici peu de quoi, je vais m'arranger et modifier quelques emplacements de rôles afin que tu puisses à ta guise convenir d'un autre rôle. Je t'enverrai par ailleurs sous peu, la scène que tu jouerai avec toutes les répliques soulignés afin de te faciliter la tâche.
Pour ce qui est de l'aide, si tu as des idées sur comment faire des décors, sans pour autant débourser de l'or, ou juste un minimum, cela me ferait plaisir que tu m'aides.
Mes respects à toi,
Ärold.
Post by Alysanne Recaedre, Ind - January 6, 2010 at 1:45 AM
Alysanne laisse un petit mot de guise de réponse, rien à son épreuve fallait-il croire. Il était adressé à Arôld, mais bien sur tout le monde pouvait le lire.
Aröld,
Le fait d'être grimer en homme ne me fait pas peur, je te rassure!
J'observerai ce qui manque concernant les décors et verrai ce que je peux faire. Je peux m'occuper du costume de Lafouine et de celui de l'Empereur Bâton, ce sera déjà cela de fait en plus. J'ai tout ce qu'il faut.
Il faudra peut-être éventuellement songer à commander ce qui manque à un couturier de l'Association des commerçants. Nous pourrons par la suite garder les costumes et ainsi pouvoir se préparer une banque de déguisements pour les pièces à venir ce qui faciliterait la tâche dans le futur si l'on tient convenablement un registre de ce que nous possédons pour nos spectacles.
Alysanne
Post by Ärold, AdC - January 6, 2010 at 2:08 AM
Une nouvelle note à la vue de tous, décidément le muet, qui s'acharnait au point d'en être épuisé, continuait malgré les signes évidents de la fatigue, coriace le vieux!
Alysanne,
Pour ce qui est des costumes, si tu tiens à te charger de ceux de l'empereur et de Lafouine je te laisse carte blanche, car à vrai dire je ne saurai pas les faire correctement, j'ai bien tenté une toge sombre ou un costume aux couleurs de l'association, rien ne donne.
Pour le reste, la plupart des costumes sont déjà fait et étiqueté par mes soins. Si tu souhaites les modifier, ce qui serait très aimable de ta part, ils sont dans une malle dans la réserve, sous diverses caisses, entreposés dans plusieurs sacs selon les pièces joués.
J'espère avant tout, pouvoir trouver les costumes en s'entraidant tous, cette solution ayant déjà apportée ces fruits pour bon nombre d'accessoires aussi.
Pour les décors, j'espère que l'on pourra les faire en temps et en heure, surtout si nous devons jouer dans des endroits qui nous sont inconnus.
Ärold
Post by Sid d'Orcastel, OdS - January 6, 2010 at 3:17 AM
Très impressionant!
Je serai honnorer de jouer ces roles cependant cela dépendra de quand ces pièces théatrales auront lieu, je ferai tout en mon pouvoir pour y participer
Je part pour une assez longue période (du 17 Jan 2010 au 15 Mars 2010) pour le travail... faites-moi signe si vous avez un temps précis pour ces magnifiques pièces de théatre, car je suis en entrainement pour ce voyage en ce moment mais je pourrai surement trouver du temps si c'est fait en avance
Post by Ärold, AdC - January 6, 2010 at 12:09 PM
Cher Sid,
Je réfléchis justement à une date précise pour jouer la pièce, j'ai déjà quelques idées, mais à vrai dire, les dates seront limités, en rapport avec les disponibilités de chacun, je vous propose dans une semaine et demi, les deux jours quand la lune sera en son trois quart. Dîtes moi tous si cela peut vous convenir, en sachant que plus tôt est possible, mais je ne serais pas présent dans ce cas.
Ärold.
Je vous propose deux dates fixes, le 15 janvier au soir fr (je verrai surtout selon les horaires qc ne vous inquiétez pas, mais j'ai pas d'horaires précises en tête là) ou le samedi 16 janvier et nous verrons l'horaire plutôt en fin d'après midi. En sachant, je pense que si on s'organise bien, cela ne devrait pas durer trop longtemps non plus.
Dîtes moi ce que vous en pensez au plus vite.
Post by Cléa, CdA - January 6, 2010 at 3:44 PM
Je suis sure de pouvoir là aucun des deux soirs, donc ca m'est égale j'essairerai de m'arranger.
Post by Lamalia Lunavae, AD - January 6, 2010 at 8:26 PM
Je crois pouvoir, à moins que j'oublie un rendez-vous quelconque.
- Soeur Lamalia
Post by Eloëdyn, Fdc - January 6, 2010 at 9:19 PM
Sa devrait aller, du moins il faudrait vraiment une heure pour dire que j'en suis sûr
Post by Ärold, AdC - January 6, 2010 at 9:24 PM
Envoyez moi vos disponibilités d'horaires par mp, ce sera plus pratique pour moi pour ensuite essayer de m'arranger avec tous.
Post by Ärold, AdC - January 8, 2010 at 2:07 AM
Un rappel avait été envoyé, affiché en gros à la banque, ainsi qu'à la réserve, bien en rouge pour que tout le monde puisse lire.
Il me manque toujours les décisions finales de Malik, Garibald et Mystique pour leur rôle. Si confirmation par missive non faite dans les prochains jours, je me verrai dans l'obligation de choisir d'autres personnes à leur place. J'ai réellement besoin de savoir votre présence, et une confirmation écrite.
Merci de votre compréhension.
Ärold.
Post by Garibald Adalard, Ad - January 8, 2010 at 5:42 AM
Ärold,
Je ne suis pas un homme de spectacle encore moins de scène. Je suis conservateur dans se que je fais et je possède une certaine orgueil pour ne pas me porter au ridicule. L'histoire que tu su écrire à su me faire sourire, mais ne correspond pas à moi.
Je dois donc décliner l'offre, bien qu'il en fut pour le bien de la Guilde. J'en laisse le moyen aux gens de talents de la Guilde en cette matière de s'élever.
Frère Adalard
Post by Ärold, AdC - January 8, 2010 at 12:23 PM
Enfin une réponse, Ärold n'en avait pas attendu moins, peut être que les personnes ne voyait pas bien et qu'il devait écrire gros pour être compris de tous, les aléas d'un muet. Simplement à présent, il devrait trouver une autre personne pour le rôle de Garibald, il y aurait certainement des volontaires, il en était certain. Une note fut remise à l'intention de Garibald, courte, il n'avait pas grand chose à dire mais au moins il répondait à tout ce qu'on lui envoyait.
Garibald,
Je comprend ton point de vue pour ne pas participer à ce projet, je me doutais de la réponse.
Ärold, néophyte.
Puis il actualisa les affiches, le géant serait têtu, jusqu'au bout.
J'ai besoin de la confirmation encore de Malik et Mystique, que ce soit un refus ou non, par écrit, sinon dans trois jours je me verrai dans l'obligation de les remplacer. Le rôle de Gara Garichie est à prendre.
Merci de votre compréhension.
Post by Venoss M. Nazgaroth, AdC - January 11, 2010 at 1:34 PM
Mon cher Ärold,
Excuse moi pour la réponse si tardive. Mais, je suis très occupé hors de la fraternité, je ne donnerais précision, si elle t'Interesse tu n'auras qu'à venir me voir.
Je te confirme mon rôle ainsi que ma narration, donne moi des nouvelles sur les dates affichées. Pour le moment, elles me conviennent pafaitement.
V.
Post by Ärold, AdC - January 14, 2010 at 12:23 AM
Fort bien, dans ce cas, nous maintenons la date à ce vendredi ci, pour une première représentation.
J'envoie de ce pas missive au surintendant pour le prévenir.
Mes respects,
Ärold.
22h fr
Post by Ärold, AdC - January 15, 2010 at 11:32 PM
Vous me voyez navré d'annuler la représentation de ce soir, je suis malade et cloué au lit.
N'hésitez pas cependant à profiter pour répéter tous ensemble afin que nous soyons au point.
Mes respects,
Ärold.
Post by Alysanne Recaedre, Ind - January 15, 2010 at 11:39 PM
Une courte note lui fut laissée.
Aröld,
Prends soin de toi et rétablie toi rapidement.
Alysanne
Post by Ärold, AdC - January 17, 2010 at 2:41 PM
Le géant lut la note et l'on aurait pu déceler une pointe de soulagement, on ne lui en voulait pas. Cependant, maintenant qu'il s'était rétablit il allait reprendre les choses en mains, il avait laissé trainer un peu trop ce projet ces derniers temps, il fallait régler les derniers problèmes.
soeurs et frères j'aimerai votre avis.
Nous avons besoin de personnes pour jouer des rôles, car Malik, Garibald et Sid ne pourront s'investir dans le projet présentement, pour des raisons qui les regardent.
En sachant que Sid aurait du jouer le rôle principal, je vous demande, si nous devons faire appel a des acteurs extérieurs à notre guilde, ou est ce que vous pensez qu'une autre solution est possible envers les personnes que nous avons déjà parmi nous? J'aimerai sincèrement votre avis, car je suis un peu fatigué ces derniers temps et je n'arrive plus à réfléchir seul quand à ces problèmes de rôles à attribuer, et je ne souhaiterai pas que cela s'éternise au point de ne jamais jouer les pièces.
Nous avons encore également les problèmes de décors à régler ainsi que deux costumes à compléter. Je compte donc sur vous pour finaliser les costumes de Lafouine et de l'empereur Bâton.
Enfin, j'ai pu lire dans la gazette ce matin, qu'ils parlaient de notre pièce et des rôles, c'est un bon point, faire parler de nous ne pourra être que positif pour la guilde, continuez à répandre la nouvelle.
Je vous remercie par avance de vos futures réponses, j'aimerai dans les prochains jours que nous convenions d'une répétition dans le théâtre en moyenne ville près des thermes, la salle est fermée à clé, j'aimerai savoir comment obtenir l'autorisation de la fraternité pour sa réouverture?
Mes respects,
Ärold.
Post by Eloëdyn, Fdc - January 17, 2010 at 5:11 PM
Arold,
Concernant les personnes à remplacer, je serais tenté par dire que ce soit seulement ceux de la fraternité, mais cela reviendrais une grande charge à ceux qui aurons plusieurs rôles, donc peut être prendre des personnes extérieur, de confiance, qui ne sont pas réellement les vrai personnage derrière celui du théâtre.
Concernant l'empereur Bâton, une simple toge noir dépasser suffit avec un simple bâton, je ne vois pas la difficulté la dedans. Lafouine non plus. Peut être demander à Astria qu'elle emprunt les habits de son mari le Sieur Polymaro.
Concernant le théâtre en moyenne ville, la serrure semble encore l'ancienne, donc dans les pires des cas, je peux l'ouvrir pour permettre à certain d'y répéter.
Eloëdyn
Post by Ärold, AdC - January 17, 2010 at 5:33 PM
Eloëdyn,
Je te remercie pour la réponse. En effet, il existe déjà une toge pour l'empereur Bâton, il manque surtout une imitation de couronne afin de caractériser la noblesse apparente du personnage dans la pièce. Pour le costume de Lafouine, je ne pense pas que des vêtements officiels de l'association soit une bonne idée à prendre, nous caricaturons les différentes guildes, je ne veux pas pour autant en prendre les couleurs officielles, car il me semble qu'il y a un règlement concernant les uniformes des guildes. Sinon il y a toujours un costume de substitution pour Lafouine également.
Pour les clés, si la serrure est ancienne ce serait une bonne nouvelle pour répéter, il serait fâcheux de forcer la serrure afin de pouvoir pénétrer dans le théâtre lui-même. Selon les dates de répétitions, je ferai donc appel à toi pour nous ouvrir la salle.
Enfin pour ce qui est des rôles, j'attend justement l'avis des membres ayant déjà un rôle, s'ils ne trouvent pas une solution pour s'échanger entre ce qu'ils veulent jouer et ce qu'il reste à jouer. Sinon je pourrai toujours organiser des auditions pour les deux trois qui restent à jouer, afin que les personnes soient prises pour leur talent d'interprétation. Ce serait également une bonne idée?
Cela montrerait notre aptitude à faire partager le monde du théâtre avec le reste de la ville, et permettre à de futurs et éventuels artistes un essai, quitte à ce qu'ils apprécient et que cela leur donne l'envie d'entrer à la fraternité par la suite?
Mes respects,
Ärold.
Post by Nathaniel de Sorgrad,ADM - January 17, 2010 at 7:16 PM
Arold,
Comme je t'ai déjà dit, je suis limité dans le temps, mais je veux bien gardé les rôle que tu m'a déjà données. Pour ce qui est des artistes extérieurs une audition pourrais être bien. Si t'ici deux jours il n'y a pas de personne interressé au sein de la guilde, je serais d'avis à faire une annonce. Qu'en pensée vous?
nath.
Post by Malik Croumicou, Fdc - January 17, 2010 at 7:33 PM
Salutations Aröld,
Tu m'avait envoyé une missive pour rôle pendant que j'étais partit à la recher de mon totem, je ne l'ai donc pas reçus immidiatement et je ne suis pas aller chercher mon courier dès mon retour. Je suis prêt à prendre le rôle si personne m'a remplacé, mais sâche que je ne suis pas beaucoup disponnible.
Cordialement,
Malik Croumicou, Loup Blanc.
Post by Ärold, AdC - January 17, 2010 at 8:35 PM
Pour l'instant personne ne t'a remplacé pour ton rôle, cela permettrait évidemment de lever un problème. Je vous joint la liste des rôles encore non pris:
dans la mort amoureuse:
-Castel.
dans la pièce comique:
- Léon Sidonie
- Gara Garichie
- magistère gargarisme
Ce qui nous fait en tout quatre rôles d'hommes à jouer. Je trouve ta proposition plus que judicieuse Nathaniel, si dans deux jours nous n'arrivons pas à trouver des remplaçants au sein de la guilde, nous organiserons donc des auditions. Pour ce qui est de la disponibilité de chacun de vous, j'enverrai sous peu une proposition de date pour une répétition au théâtre, je pensais à dans une semaine en soirée.
Post by Ärold, AdC - January 23, 2010 at 3:21 PM
Je propose de publier une annonce pour trouver les deux acteurs manquant pour la pièce, afin que l'on puisse commencer les répétitions. Je propose une première répétition demain, en soirée, je serais devant le théâtre et ferait les auditions en même temps. J'aurai donc besoin de toi Eloëdyn, afin de m'ouvrir le bâtiment.
Mes respects,
Ärold.
dimanche soir en heures fr, de 21h30 à jusque quand vous voulez.
Post by Cléa, CdA - January 23, 2010 at 4:21 PM
Ärold,
Je compte bien venir, j'ai déjà un peu appris mon texte, cela me fera plaisir de voir ce que peut donner la pièce jouée.
Cléa
Post by Ärold, AdC - January 23, 2010 at 5:28 PM
L'annonce avait été ajouté à la vue de tous les membres afin qu'ils constatent que les mesures nécessaires avaient été prises. Peut être se demanderaient-ils d'où venait l'or que le géant promettait...
La fraternité du chêne recherche actuellement tout acteur ou personne motivée afin de jouer dans plusieurs pièces de théâtre. La participation sera évidemment payée de 500 pièces d'or en échange de la motivation et du plaisir de jouer.
Les premières auditions auront lieux au théâtre situé en moyenne ville, près des thermes, demain soir. Pour s'y rendre, il suffit de prendre en sortant du coin chaud, la rue du parc, puis tourner dans la première ruelle à droite rue du théâtre, l'entrée du théâtre se trouve dans la ruelle des fleurs sauvages, au rez de chaussée de la salle d'entraînement.
En vous remerciant de votre future participation. Pour tout renseignement supplémentaire, vous pouvez contacter la fraternité, qui se fera un plaisir de vous en dire plus.
Ärold, néophyte de la fraternité du chêne.
Post by Eloëdyn, Fdc - January 23, 2010 at 6:56 PM
*Une petite note était laissée à Arold pour dire que la porte du théâtre en moyenne ville était ouverte. *
Post by Ärold, AdC - January 25, 2010 at 12:24 PM
Après la première séance de répétition et d'audition, nous pourrons accueillir la demoiselle Taräsilmë Taur'Amandil Balgor au sein de notre troupe. Je lui enverrai sous peu tous les textes et les propositions de rôles.
Je compte sur vous pour être présent lors de la prochaine répétition, qui aura lieue cette semaine.
Mes respects, Ärold.
samedi même endroit même heure pour ceux qui peuvent.
Post by Eloëdyn, Fdc - January 25, 2010 at 10:46 PM
Désolé pour hier, j'ai eu quelque chose à la dernière minute. Et j'annonce que samedi sa sera de-nouveau sans moi, car je suis pas là.
Post by Ärold, AdC - January 25, 2010 at 11:14 PM
Un ajout avait été fait pour le remplacement de Sid dans le rôle de Sidonie sur la liste des rôles, à présent, ce serait le rôle de la jeune adolescente Balgor.
Post by Venoss M. Nazgaroth, AdC - January 26, 2010 at 8:46 PM
Mystique ignora si elle pourrait être là.
Fin de semaine très souvent dédié à ma femme.
Post by Alysanne Recaedre, Ind - January 27, 2010 at 1:41 AM
Alysanne laisse une note pour spécifier qu'il y avait autant de chances qu'elle soit là, qu'elle ne soit pas là. Malheureusement!
Post by Malik Croumicou, Fdc - January 28, 2010 at 3:47 AM
Malik laissa une note indiquant son absence...
Je penserai à vous quand je buverai une p'tite bière !
Post by Ärold, AdC - February 11, 2010 at 10:11 PM
Une note fut affichée à la vue de tous.
Répétition pour la troupe de théâtre en fin de semaine. en espérant vous voir au théâtre en moyenne ville près des thermes. Ceux ne faisant pas partit de la troupe sont bien entendus conviés afin de venir voir les répétitions.
Ärold.
Ce vendredi à partir de 23h fr.
Post by Eloëdyn, Fdc - February 11, 2010 at 10:24 PM
Eloëdyn annonça qu'il aurait un peut de retard.
Oula, je reviens d'un voyage vers 22h-23 donc petit retard ou que j'arrive pas du tout (s'il y à des bouchons)
Post by Astria, AD - February 12, 2010 at 7:55 AM
Ärold,
Cette fois j'y serai. La dernière fois j'étais venu mais je ne vous avais pas trouvé. Cette fois tu m'y verras.
Amitiés,
Astria
Post by Ärold, AdC - February 14, 2010 at 7:25 PM
Chers membres de la troupe,
Une nouvelle répétition aura lieu, veuillez me faire parvenir votre présence par pli privée à mon nom que je sache qui pourra être présent.
Ärold.
vendredi prochain, à partir de 17h qc.
Post by Malik Croumicou, Fdc - February 14, 2010 at 7:36 PM
Je devrais probablement être là....
Post by Astria, AD - February 16, 2010 at 2:27 AM
J'y serai!
Astria